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Mes remerciements vont à toutes celles et à tous ceux que j’ai rencontrés sur les
chemins et plus particulièrement à celles et à ceux qui m’ont accompagnés,
à mes petits enfants, Violette, Loann et Jonathan qui m’ont suivi sur les sentiers ardus
de montagne, à leurs parents qui ont bien voulu me les confier, à Sarah qui emboîtera
le pas,
à mes amis randonneurs qui m’ont fourni des données, Pascale, Claude et Gilbert,
à mes enfants, Anne Claire, Elisabeth et Marc qui ont porté un intérêt affectueux à
mes diverses pérégrinations,
à celles et à ceux qui m’ont donné un coup de main, Marc pour les tableaux et les
graphes ; Anne-Claire, Carole et Marc pour l’aide à la mise en page,
à tous ceux qui ont accepté de lire ces pages en m’aidant à traquer les fautes de
frappe et d’orthographe, Annie, Anne-Marie, Danielle, Laurence, Yvette, Jenny, Clovis
et Gilbert,
à ceux qui m’ont déconseillé de jeter le bébé avec l’eau du bain, Isabelle, Danielle,
Yvette et Albert, et les compagnons des séminaires de Jean-Louis,
à ceux qui ont patienté que j’en finisse pour répondre à leurs invitations,
à mes compagnes et compagnons du chemin, Paulette et Ginette, Isabelle et Danielle,
Momo et Marie-Jo, Anny et Jean-Louis, Clovis et Mylène, Gilbert et Thérèse, Claude,
Louis, Alain et Yvette, Patrick et Jacqueline, Huguette et Jean-Louis, Marie, Eliane,
Madeleine, Christiane et Pierre, Nathalie, Jeanne et Jeannine, Nicole et Claude, et à
tous ceux qui sont dans mes pensée, et que je n’ai pas oubliés,
à mes compagnons de l’Université,
à celles et à ceux dont j’ai suivi l’enseignement, Gilles Brougère, Lucette Colin,
Marie-Christine Delory-Momberger, Remi Hess,
à mon directeur de recherches, Jean-Louis Le Grand,
et bien entendu à Philippe Bassinet qui m’a conduit sept années de suite sur les
chemins itinérants de montagne, dans la chaîne des Aravis, des Fiz, du Haut Giffre et
dans les massifs des Aiguilles Rouges et du Mont Blanc.