V. Courtas 6e dimanche de Pâques A 09/06/2017 Fiches dominicales 1
FICHES DOMINICALES
Revue pour les équipes liturgiques
6e dimanche de Pâques
21 mai 2017
(Année Matthieu A)
Que devons-nous faire ? …
Soyons prêts à rendre raison de l’espérance qui est en nous, Alléluia !
Allez porter ma joie au monde par toute la planète,
portez ma joie au monde, portez ma fête.
Vers les hommes sans lumière
allez porter la paix
et cette amitié qui éclaire,
portez l’amour qui ne finit jamais.
Pour le Royaume à construire
allez porter vos vies,
portez vos pierres et vos rires
au monde neuf qui doucement grandit.
J.J. Juven
V. Courtas 6e dimanche de Pâques A 09/06/2017 Fiches dominicales 2
AUTOUR DES TEXTES
À partir des lectures
L’invitation proposée en tête de cette fiche reprend une phrase de la deuxième lecture tirée d’une lettre de Pierre. Cela s’adressait
aux premiers chrétiens et chaque apôtre ou disciple annonçait l’évangile, chacun à sa manière. La première lecture nous présente
Philippe, l’un des Sept, prêchant dans une ville de Samarie. Et l’évangile assurait chacun de la présence de l’Esprit afin qu’il
sache ce qu’il a à faire et à vivre. C’est de cet appui que peut se nourrir notre espérance. Elle consiste à reconnaître que le Christ
est à l’œuvre dans tous les actes et toutes les paroles que chacun est invité à poser et à prononcer « avec douceur et respect » (2e
lect). La bienveillance, la justice et la paix sont autant d’attitudes susceptibles de désarçonner toutes les personnes qui font montre
de brutalité, d’envie, d’orgueil et de mauvaises intentions. N’oublions pas que le Christ nous a promis d’être en permanence avec
nous par son Esprit. Il a établi sa demeure chez nous et il nous habite le cœur. Comme le dit le frère Roger de Taizé : « Toi le
Christ, t’accueillir c’est savoir que tu seras avec nous, en toute situation, toujours ».
Première lecture : Actes 8, 5-8.14-17
Après l’arrestation et la lapidation d’Etienne, le premier des Sept hommes appelés au service des tables, une persécution se
déchaîne contre l’Église de Jérusalem. À l’exception des Apôtres, les chrétiens se dispersent alors en Judée et Samarie.
Paradoxalement, c’est donc cette persécution qui va déclencher l’expansion de la mission selon les indications du Ressusci(Ac
1, 8).
Philippe, le deuxième des Sept, rempli de sagesse et d’Esprit, a l’audace d’aller évangéliser les Samaritains. Philippe n’était-il
pas pourtant destiné au service des tables ? L’Esprit souffle il veut et se joue de nos classifications. Les Samaritains sont
considérés comme infidèles au Dieu d’Israël par les Juifs pieux qui ne leur adressent pas la parole. Mais, touchés par le Christ et
les signes accomplis par Philippe, ils sont baptisés.
Avertis, les apôtres délèguent Pierre et Jean qui demandent à l’Esprit Saint de descendre sur les nouveaux baptisés, ratifiant ainsi
l’œuvre d’évangélisation de Philippe. Une Pentecôte pour les Samaritains !
Psaume 65
Venez et voyez les hauts faits de Dieu ! Qu’il s’agisse des actions de Dieu, de celles de Philippe ou des nôtres, ce sont d’abord
ces actes libérateurs qui touchent les Samaritains, les païens ou la terre entière. Ils témoignent en faveur du Seigneur. Que ceux
qui portent la marque de son Esprit aient aux lèvres les paroles et accomplissent les gestes qui guérissent, libèrent, relèvent,
redonnent vie et espérance.
Deuxième lecture : 1 Pierre 3, 15-18
Avant sa passion, Jésus a promis l’Esprit à ses disciples. Il sera leur Défenseur (Év). C’est bien parce qu’ils ont reçu à leur
baptême ce Défenseur, cet Esprit qui garde le Christ vivant, que les chrétiens auxquels s’adresse la lettre de Pierre peuvent
présenter une défense et rendre compte de leur espérance.
Ces chrétiens sont en butte à la persécution comme le furent les tous premiers disciples (1ère lect). Ils sont encouragés à sanctifier
le Christ dans leurs cœurs, c’est-à-dire à l’aimer jusqu’au bout comme lui l’a fait pour eux. En s’appuyant sur la certitude que,
mis à mort, il demeure vivant et les fait vivre.
S’ils doivent défendre leur cause, ils sont appelés à la plaider par une conscience droite. En comptant sur l’Esprit Saint fenseur
pour trouver les mots expliquant leur espérance, avec douceur et respect. Rude exigence que celle d’appartenir au Christ.
Évangile : Jean 14, 15-21
Sans doute connaissons-nous ce désarroi qui nous gagne lorsqu’un de nos proches s’absente pour longtemps, ou même
irrémédiablement, lorsqu’il meure. Nous pensons d’abord que c’est irréel, puis que nous ne pourrons plus vivre. Nous n’avons
pas d’avenir sans lui. Mais, lentement, il se peut que nous découvrions des signes de sa présence dans l’absence. Une relation
nouvelle s’invente, si surprenante parfois. Nous pouvons avoir l’impression d’être plus proche de lui que nous ne l’avons jamais
été. Tant de choses, de personnes, nous le rendent présents. Son esprit n’est-il pas en nous qui nous réconforte, nous relève, nous
pousse à vivre et agir de telle ou telle façon, parce que c’est ce qu’il aurait voulu pour nous ?
À l’heure Jésus voit la croix s’approcher, il fait ses adieux aux disciples et les prépare à son absence. Quand bien me le
monde ne le verra plus, eux le verront vivant à leurs tés. Et ils continueront à vivre, plus proches de lui que jamais : vous
reconnaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et moi en vous.
De plus, le Père leur donnera un autre Défenseur, comme un autre lui-même, en grec un Paraclet. Forme passive d’un verbe qui
signifie appeler, le mot est employé dans un sens judiciaire. Lors d’une comparution, le Paraclet est l’avocat, le défenseur appelé
au secours. Plus largement, il est l’intercesseur, le consolateur. Dans la littérature johannique, le Christ, le premier, joue ce rôle :
« Mes petits enfants, je vous écris pour que vous évitiez le péché. Mais, si l’un de nous vient à pécher, nous avons un défenseur
devant le Père : Jésus Christ, le juste. Il est la victime offerte pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais encore
pour ceux du monde entier » (1 Jn 2,1-2)
Ce Défenseur, appelé aussi l’Esprit de Vérité viendra habiter au cœur des disciples, leur enseignant toutes choses. Il les gardera
dans l’amour du Christ et, par lui, dans l’amour du Père. Un amour dont le meilleur témoignage est dans le partage de la Bonne
Nouvelle à tous les hommes (cf. les deux autres lectures).
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Pistes d’homélie
Vivons-nous de l’Esprit Saint qui est en nous ? Les catéchumènes qui ont été baptisés durant la Vigile pascale ont reçu dans un
même mouvement le baptême, la confirmation, et l’eucharistie ce que l’on appelle les sacrements de l’initiation chrétienne. Pour
beaucoup d’entre nous, cela s’est réalisé dans un temps plus ou moins long depuis le baptême dans notre enfance, notre première
communion vers 10 ans et notre confirmation à l’adolescence. Et certains se disent : « j’ai tout fait » autrement dit « je suis en
règle ».
Mais cette initiation nous a en réalité intégré dans la dynamique de la vie chrétienne et nous appelle à déployer ces dons à travers
toutes les dimensions de notre existence.
À ses Apôtres inquiets d’apprendre le départ de leur Maître, Jésus promet le soutien de l’Esprit Saint qui saura leur permettre de
reconnaître sa présence au cœur même des circonstances de leur vie et de leur mission.
C’est bien cela la vie chrétienne : une manière de voir au-delà du visible ce qui est donné de la miséricorde divine ; comprendre
que cette vie terrestre n’est que la première étape d’un chemin qui conduit au Royaume.
Il est frappant de voir combien les chrétiens habités de l’Esprit Saint savent apporter un rayonnement qui les dépasse et nous
aident à voir l’amour en toute chose. Sommes-nous de ceux- ? Ô bien évidemment, il s’agit de rester lucide sur les profondes
blessures de l’humanité et sur les nécessaires secours à apporter pour permettre à chacun de tenir debout dans l’espérance.
Néanmoins sommes-nous de ceux qui se plaignent de la bouteille à moitié vide ou bien de ceux qui se réjouissent de la moitié
restante pour le bien de tous ?
Dans une société qui centre sa vision sur les échecs, les épreuves et les incohérences du monde, invoquons les grâces de l’Esprit
Saint pour reconnaître que dans le projet de Dieu tout peut concourir à l’avènement d’un monde nouveau.
Père Pascal SARJAS
Diocèse de Metz (57)
Pour aujourd’hui
Des questions pour vous permettre de partager en équipe et de commenter les textes…
1. UNIVERSALISME. « Samarie… Jérusalem » (1ère lect) ; « Toute la terre » (Ps). Philippe - son nom est grec
- s’oriente chez les samaritains ; bien que les juifs ne fréquentent pas les samaritains, les apôtres juifs
cautionnent cette initiative en envoyant une mission. Est-ce qu’on peut interpréter l’ouverture aux populations
jusque-là évitées comme une efficacité de la résurrection ?
2. RENDRE COMPTE DE L’ESPERANCE. « Vous devez être prêts à… » (2e lect). Quelles sont les
circonstances dans lesquelles il nous est demandé de rendre raison de notre espérance ? Est-ce que des gens
attendent que nous présentions la foi comme raisonnable ? Si je peux dire « ce qu’il a fait pour mon âme »
(Ps), est-ce le signe que le Christ est vivant ? « Vous me verrez vivant » (Év). le voyons-nous vivant,
agissant, transformant ?
3. LES LIENS D EGLISE. « Ils envoyèrent Pierre et Jean » (1ère lect) pour attester des liens entre la
communauté de Samarie et celle de Jérusalem. Aujourd’hui, sommes-nous heureux de constater des liens
entre Églises ? Est-ce qu’un groupe est ‘catholique’ s’il vit sa foi sans lien avec les autres ?
4. ESPRIT SAINT. « afin qu’ils reçoivent le Saint-Esprit » (1ère lect) ; « le Père vous donnera un autre
Défenseur, l’Esprit de rité » (Év). Dirions-nous que laisser le Christ ressuscité agir en soi va de pair avec
croire à l’action du Saint-Esprit ?
DYNAMIQUE DE CE DIMANCHE
Des mises en œuvre
À nouveau, il nous sera possible de privilégier l’aspersion au début de la célébration.
Les chants pourront mettre en valeur l’accent choisi pour ce dimanche ; à savoir la permanente présence du Christ en nous et
auprès de nous.
Le psaume retiendra l’antienne « Terre entière… ». C’est l’ensemble de l’humanité qui peut porter ce chant de remerciement à
ce Dieu toujours présent en notre monde.
Après l’homélie, il sera possible de dire cette prière qui insiste sur l’annonce de la venue de l’Esprit : « Dieu, Père de Jésus, en
ton Fils tu nous fais la grâce de reconnaître l’amour dont tu nous as aimés. À sa prière, donne-nous ton Esprit ; qu’il prenne
notre défense, qu’il accomplisse ta promesse, et nous t’appartiendrons pour les siècles des siècles »
On n’oubliera pas de chanter les deux épiclèses au cours de la prière eucharistique (celle sur les offrandes et celle sur le peuple)
pour faire écho à ce que dit Jésus à ses apôtres : « Moi, je prierai le Père et il vous donnera un autre Défenseur qui sera pour
toujours avec vous ».
Fleurir
Durant tout le temps pascal, l’équipe « Fleurir en liturgie » des Fiches Dominicales vous propose de travailler en équipe les
pages 28 et 29 du Livret de l’Année A du Coffret « FLEURIR EN LITURGIE - Fleurir les temps liturgiques privilégiés et les
grandes fêtes » pour penser et mettre en œuvre vos bouquets.
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Pour se former en équipe
Origine de la Pentecôte chrétienne et du temps pascal
Au premier temps de l’Église, les chrétiens font mémoire de la mort et de la résurrection du Christ au premier jour de chaque
semaine, qui est le jour du Seigneur. C’est l’assemblée dominicale autour de la table du Seigneur qui constitue l’acte essentiel
du mémorial. On se souvient que le huitième jour après la résurrection de Jésus, les apôtres étaient déjà réunis pour se souvenir,
quand celui-ci se tint au milieu d’eux et invita Thomas à mettre sa main dans la plaie de son côté. Tel fut le premier dimanche.
Mais dès le second siècle, on éprouve le besoin d’ajouter au mémorial hebdomadaire, le mémorial annuel de la Pâque. Jésus
avait été immolé la veille de la Pâque juive, de la veillée en l’honneur du Seigneur prescrite par Moïse au peuple de l’ancienne
alliance (Ex 12,42). C’est donc en lien avec la Pâque juive que fut retenue la date de la Pâque chrétienne. Très rapidement, on
célébra la Pâque chrétienne le dimanche qui suit la Pâque juive.
À peine la fête chrétienne de la Pâque était-elle entrée dans la vie des communautés chrétiennes, qu’elle apparaissait comme une
fête qui se poursuit pendant 50 jours, ce en quoi elle se différenciait de la Pâque juive. Cette « pentecôte d’allégresse » (Tertullien)
était célébrée dans la joie et l’exultation, comme si c’était un jour de fête unique, ou mieux un « grand dimanche » (S. Athanase).
Les premiers chrétiens ne célébraient donc pas la fête de la Pentecôte. Ils célébraient Pâques « grand dimanche » pendant 50
jours. Au début du 3e siècle, quand on parle de Pentecôte dans l'Église, c'est pour désigner la durée de ces 50 jours et non la
fête du 50e jour. Ces 50 jours formaient un unique jour de fête. Le mot Pentecôte vient du grec πεντηκοστή [pentèkostè] :
cinquantième (jour après Pâques). Cela durera jusqu’au 5e siècle.
Pourtant, dès le 4e siècle, au cœur de la fête, certains jours émergent avec un relief particulier. Ce sont l’octave de Pâques et les
solennités de l’Ascension et de la Pentecôte.
POUR UNE CÉLÉBRATION DOMINICALE DE LA PAROLE
lorsqu’il n’y a pas d’eucharistie
Chaque diocèse définit le genre d’assemblée qu’il convient de tenir, le dimanche, dans les églises où l’eucharistie ne peut
pas être lébrée. Soit les petites paroisses (relais) sont invitées à prier au cours de la semaine, réservant l’eucharistie dans
un seul lieu de rassemblement. Soit elles sont conviées à célébrer le dimanche par des célébrations de la Parole, en
alternance avec l’eucharistie, selon une fréquence prévue.
Devant la diversité des pratiques diocésaines, et aussi à la lecture des courriers de remerciements qui nous parviennent,
nous désirons assurer cette mission susceptible de répondre aux divers besoins. D'autant que dans ces messages nous
parviennent des témoignages qui soulignent la richesse de la diversité de nos propositions. C’est pour cela que les Fiches
Dominicales vous offrent une aide et pour la préparation des célébrations eucharistiques et pour celle des célébrations de
la Parole de Dieu.
D’autre part, les Fiches Dominicales suggèrent que, lors des célébrations où l’on communie au Christ dans sa Parole, on
ne distribue pas la communion au pain eucharistique. Pourtant si cette dernière est prévue par les orientations diocésaines,
les Fiches suggèrent qu’elle soit donnée avec du pain eucharistique consacré le même jour et apporté de la messe
paroissiale.
Croire en la résurrection c’est croire, quoiqu’il arrive, que Jésus est sorti vainqueur de tous les combats qu’il a mené contre la
maladie, la mort, la violence, l’indifférence, le rejet des plus petits et des plus faibles.
Croire en la résurrection aujourd’hui c’est croire que nous sommes choisis et associés par le Seigneur pour mener à bien ces
combats et faire vivre dès aujourd’hui « la terre de demain » là où nous vivons !
Accueil et ouverture
CHANT DENTREE
Nous vous suggérons : K 158 - Dieu qui nous appelles à vivre - CNA 547
INTRODUCTION
Celui ou celle qui conduit la prière pourra introduire la célébration par quelques mots :
Frères et sœurs, comme chaque dimanche,
nous répondons à l’appel du Seigneur à nous rassembler.
Nous sommes ici, heureux de nous retrouver pour certains,
préoccupés par les soucis quotidiens pour d’autres,
troublés ou révoltés par les événements qui ont marqué cette semaine.
Une seule certitude pourtant :
Dieu nous reçoit tels que nous sommes
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et nous offre, sans conditions, sa Parole et son pardon.
PRIERE PENITENTIELLE
Nous retenons le rite de l’aspersion. Pour sa mise en œuvre, vous pouvez vous référer à la p. 7 de cette fiche.
PRIERE DOUVERTURE :
Que l’Esprit du Christ ressuscité
nous unisse dans une même prière. (Silence)
Nous te prions, Père très bon,
de nous garder fidèles à la parole de ton Fils.
Envoie-nous ton Esprit Saint :
qu’il soit en nous le vivant souvenir
de tout ce que Jésus nous a dit,
lui qui est ta Parole,
dès le commencement
et pour les siècles des siècles. AMEN.
La Parole
PROCLAMATION DU LIVRE DES ACTES DES APOTRES Ac 8, 5-8.14-17
« Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit Saint »
PSAUME 65
L’antienne de ce psaume est bien connue « Terre entière, acclame Dieu, chante le Seigneur ! ». Nous vous suggérons
la mise en œuvre proposée p. 81 du CNA ou celle de la p. 8 de cette fiche.
PROCLAMATION DE LA LETTRE DE SAINT PIERRE APOTRE 1 P 3, 15-18
« Dans sa chair, il a été mis à mort ; dans l’Esprit il a reçu la vie »
ACCLAMATION A L’ÉVANGILE voir la proposition et la mise en œuvre p. 9 de cette fiche.
PROCLAMATION DE L’ÉVANGILE Jn 14, 15-21
COMMENTAIRE DE LA PAROLE
La personne qui conduit la prière préparera un commentaire inspiré, par exemple, de « Autour des textes », des pistes
d’homélie et des mots ci-dessous :
Aujourd’hui l’Apôtre Pierre nous invite « à rendre raison de l’espérance qui est en nous ». Une autre manière d’être
témoin de la résurrection. On peut dire que l’Apôtre nous encourage à regarder le monde, notre existence, les événements
de notre quotidien, avec les yeux du Ressuscité. Combien de fois nous perdons pied devant ce qui se passe autour de nous,
nous perdons confiance et au lieu de croire en une résurrection possible, nous déclarons forfait et sombrons dans le
désespoir et le découragement. À quoi bon, nous n’y pouvons rien !
CHANT APRES LA PAROLE
Nous vous suggérons : G 212 - Ta nuit sera lumière de midi - CNA 589
Louange et intercession
Pour la PRIERE DINTERCESSION, nous vous suggérons de vous inspirer de la prière universelle proposée p. 10 de cette
fiche.
La PRIERE DE LOUANGE est inspirée du chant G 212 - Ta nuit sera lumière de midi - CNA 589 que nous avons
proposé comme chant après la Parole :
Oui, il est bon de te rendre grâce et de te bénir,
car à la Parole de ton Fils, tu as rassemblé ton Église.
En témoignant de ton amour, elle ouvre à chacun les portes de l’espérance.
R/ : Béni sois-tu, Seigneur, source d’amour et de paix. CNA 231-2
Béni sois-tu, Seigneur pour ceux qui dénouent les liens de servitude
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