V. Courtas 16e dimanche ordinaire A 08/06/2017 Fiches dominicales 1
FICHES DOMINICALES
Revue pour les équipes liturgiques
16e dimanche ordinaire
23 juillet 2017
(Année Matthieu - A)
Être disciples : soyons prêts pour la moisson !
N'ayons pas peur de vivre au monde :
Dieu nous a devancés !
N'ayons pas peur de vivre au monde
Où Dieu même s'est risqué.
N'arrêtons pas la sève ardente :
Dieu nous a devancés !
N'arrêtons pas la sève ardente
Qui tourmente l'univers.
Chantons des chants gorgés de vie :
Dieu nous a devancés !
Chantons des chants gorgés de vie
En dansant au pas de Dieu.
Les pas de Dieu mènent au pauvre :
Dieu nous a devancés !
Les pas de Dieu mènent au pauvre
L'opprimé, c'est Dieu caché.
N'attendons pas que la nuit tombe :
Dieu nous a devancés !
N'attendons pas que la nuit tombe
Sur le cri des mal-aimés.
Pour tout gagner, s'il faut se perdre :
Dieu nous a devancés !
Pour tout gagner, s'il faut se perdre,
Risquons tout, dans un grand feu.
Jean SERVEL / Jo AKEPSIMAS
T 72 - Chants Notés T3 / Signes Musiques n°21
V. Courtas 16e dimanche ordinaire A 08/06/2017 Fiches dominicales 2
AUTOUR DES TEXTES
À partir des lectures
Il s’agit toujours de chercher la manière d’être disciples. Trois nouvelles paraboles nous sont offertes, celles de l’ivraie et du bon
grain, celle de la graine de moutarde et celle du levain. Toutes les trois nous disent que la moisson ne se fait pas sans peine.
L’ivraie se mêle au bon grain et il est inutile de vouloir l’arracher avant de moissonner. Quant à celle de la plus petite des
semences, n’ayons crainte, si nous en prenons bien soin, elle dépassera en hauteur toutes les autres et ne sera donc pas difficile
à cueillir. Celle du levain prend son temps, mais au bout du compte, la pâte lève. L’explication prend la forme d’une allégorie et
cherche à donner à chaque élément une correspondance : « ce sont ».
Il n’y a pas une telle correspondance chez les humains, car s’il est vrai que l’on peut reconnaître dans le Bon Grain, le Fils de
l’Homme et que le champ correspond à notre monde, nous sommes souvent en même temps faits d’ivraie et de bon grain. À
nous d’éliminer « le diable » afin de pouvoir moissonner ce qui aura goût de Royaume de Dieu. Et comment faire ? En nous
référant par exemple à la première lecture tirée du livre de la Sagesse qui conseille aux humains que nous sommes d’être vraiment
humains, sachant que la conversion est toujours possible, puisque Dieu nous donne toujours d’espérer vivre de sa force et de sa
bonté. Car Dieu prend soin de toute chose et donc de chacun de nous. Pour ce faire, il nous donne son Esprit (2e lect) qui vient
au secours de notre faiblesse. « Il n’y a pas d’autre dieu que le Dieu que tu es ».
Première lecture : Sagesse 12, 13.16-19
Le Seigneur n’utilise sa force que pour la mettre au service de sa justice. S’il s’impose à ceux qui lui résistent, il traite les hommes
fragiles avec indulgence et ménagement parce qu’il croit que leur conversion est toujours possible. L’auteur du livre de la Sagesse
tire ces enseignements de l’histoire de l’occupation de la terre de Canaan. Dieu n’a pas exterminé les païens, il s’est montré
patient envers eux parce qu’il était sûr de sa force. Ce comportement divin doit nous servir d’exemple dans nos relations avec
ceux qui ne partagent pas notre foi ou ceux qui se disent nos ennemis. Pour être un fidèle imitateur de Dieu, le juste, en toutes
circonstances, « doit être humain ». Il peut ainsi garder « une belle espérance ».
Psaume 85
Le psalmiste fonde son espérance de voir sa prière exaucée, sur la bonté du Seigneur et sa capacité à pardonner. C’est pourquoi
il invoque Dieu avec les mots par lesquels il s’est révélé à Moïse lors du renouvellement de l’alliance « Dieu de tendresse et de
pitié, lent à la colère, plein d’amour et de vérité ».
Deuxième lecture : Romains 8, 26-27
Dans ce court passage, Paul nous montre le caractère trinitaire de notre prière : c’est un dialogue de fils avec le Père dans l’Esprit.
Le but de notre prière c’est que nous soyons accordés aux vues de Dieu sur nous et plus généralement à son dessein sur le monde.
Or Paul nous apprend que dans la prière, c’est l’Esprit qui s’exprime en nous. Les lignes précédentes de l’Épitre (lecture du
dimanche précédent) nous disaient que la création entière, et nous avec elle, gémissons, dans l’attente de notre libération. Or
c’est aussi par des gémissements que l’Esprit intercède en nous, reprenant nos pauvres soupirs humains pour les diviniser. Ses
gémissements sont ineffables, bien au-dessus de tout ce que nous pouvons dire : c’est donc selon les vues de Dieu qu’il intercède
pour nous. Et Dieu, en sondant nos cœurs, rencontre les intentions de l’Esprit sur nous. Mais Paul a aussi écrit dans ce chapitre
que l’Esprit « fait de nous des fils » (Rm 8, 15), nous rendant de plus en plus conformes au Fils, au Christ notre frère. Quand
nous prions dans l’Esprit nous laissons donc la vie trinitaire diviniser toujours davantage notre propre vie.
Évangile : Matthieu 13, 24-43
Devant le mal commis par les hommes, nous sommes souvent tentés de demander un jugement de Dieu qui, sans plus attendre,
mette fin au scandale. C’est le sens de la question poignante posée dans l’Apocalypse par ceux qui ont subi le martyre : « Jusques
à quand, Maître saint et vrai, resteras-tu sans juger, sans venger notre sang sur les habitants de la terre ? » (Ap 6, 10). Le
scandale du mal dans le monde, c’est ce dont Jésus nous parle dans la parabole de l’ivraie. À notre étonnement, le maître répond
aux serviteurs qui proposent d’aller arracher la mauvaise herbe : « Non, en enlevant l’ivraie, vous risquez d’arracher le blé en
même temps » (v. 29). Jésus calme l’impatience de ses serviteurs. Il y a une première leçon qui ressemble à celle du livre de
la Sagesse (1ère lect). Dieu n’est pas indifférent au mal mais sa patience est justifiée par le souci d’éviter le pire, la destruction
du bien avec lequel le mal se trouve enchevêtré. Cette situation d’attente n’empêche d’ailleurs pas le Royaume de croître.
Croissance illustrée par deux courtes paraboles, la graine de moutarde et le levain, qui interviennent alors dans le discours. Mais
jusqu’à quand faudra-t-il patienter pour voir le mal disparaître définitivement ? Jésus nous éclaire sur ce point dans
l’interprétation qu’il fait de la parabole : il est le Fils de l’homme, c’est lui qui sème le bon grain et c’est son ennemi, le diable,
qui sème l’ivraie. C’est à lui qu’il appartiendra au temps de la moisson, de juger les hommes. Le Royaume des cieux est un corps
mixte, composé de bons (les fils du Royaume) et de méchants (les fils du Mauvais). C’est à la fin des temps que le Fils d’homme
demandera à ses anges d’enlever de son Royaume « toutes les causes de chute » (littéralement : les scandales) et « ceux qui font
le mal ». Le message à retenir c’est que le mal, à la fin, disparaîtra, il n’aura pas le dernier mot. Voilà qui doit soutenir, jusqu’au
cœur des plus grandes épreuves, notre espérance.
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Pistes d’homélie
Les fondements de cet engagement pour la mission reposent sur la force, la puissance et l’action de Dieu lui-même. Sa
détermination ne prend pas la forme de la violence, de la pression exercée sur des volontés rebelles, ordinairement récalcitrantes
et trop lentes à se mettre en mouvement et à adhérer à son dessein. Sa patience infinie s’accorde à la lenteur de nos cheminements
et de notre réticence à entrer dans ses propositions pour les mettre en œuvre. Nous ne comprenons que progressivement qu’elles
sont, pour chacun de nous, chemin de bonheur, de réalisation, de plein épanouissement et de « belle espérance » ! Son indulgence
se trace un chemin profond et toujours nouveau dans nos cœurs en les touchant par des situations opportunes, des événements
significatifs, des personnes adaptées à nos démarches et porteuses de propositions pour nous, au nom du Seigneur lui-même. La
Sagesse de Dieu développe son action sous toutes ses formes et nous permet d’envisager la conversion avec sérénité.
Paul souligne avec vigueur et une foi lumineuse que cette démarche est directement inspirée par l’Esprit Saint. Chaque croyant
est invité à le reconnaître. Son action prend en compte notre faiblesse, nos limites et en même temps, pour en développer la
richesse, les ressources exprimées dans la prière. Pétris spirituellement par l’action de l’Esprit de Dieu en nous, notre être le plus
singulier, le plus personnel, le plus riche se trouve promu pleinement dans la liberté. Cette force de Dieu, sans se substituer à
notre faiblesse, lui offre des possibilités d’expression filiale, d’action de grâce et de communion profonde avec Dieu. L’Esprit
intervient par des cris dont nous ne pouvons expliquer la source. Il est à l’œuvre et nous en rendons grâce.
L’Évangile de Matthieu, dans cette parabole du semeur, présente Jésus comme le semeur généreux, courageux, déterminé à jeter
la semence sur tous les terrains du monde. Sa détermination est inaltérable. Ses disciples, serviteurs, doutent de l’efficacité de la
démarche et émettent des réserves sur cette méthode singulière de leur maître. Leur expérience, leurs convictions, leurs pratiques
appliquées à leurs milieux respectifs sont évidemment mises à mal. Elles suscitent des réactions de sagesse, de prudence et de
raison. Le Seigneur prend le temps de les éduquer à passer de l’apparence à la profondeur de la réalité, du signe extérieur, à sa
signification. Il les arrache à l'inquiétude et les sollicite à s'impliquer personnellement. Par le moyen de la parabole, chacun
d’entre eux est tout simplement appelé à suivre le semeur, jusqu’à la réalisation pleine et entière de son dessein, dont la croix
devient, progressivement à leurs yeux, le point du passage obligé. Cet itinéraire conduit à la vie avec le ressuscité dont ils vont
devenir les partenaires et les missionnaires ardents et intrépides.
Mgr Pierre PICAN,
évêque émérite de Bayeux-Lisieux (14)
Pour aujourd’hui
Des questions pour vous permettre de partager en équipe et de commenter les textes…
1. DIEU FORT. « Ta force te permet d’épargner toute chose… tu juges avec indulgence… tu accordes la
conversion » (1ère lect) ; « toi qui es bon et qui pardonnes » (Ps). Comment tenez-vous ensemble que Dieu
soit bon envers les hommes et tolérant envers l’ivraie (Év) qui fait souffrir les hommes ?
2. ESPERANCE. « A tes fils, tu as donné une belle espérance » (1ère lect). Êtes-vous d’accord qu’il ne faut pas
arracher l’ivraie de peur d’« arracher le blé en même temps » (Év) ? Est-ce parce que l’ivraie n’empêche pas
la croissance et la maturation du blé ? Est-ce que la patience est un autre nom de l’amour ?
3. JUGEMENT. Le maître ne juge pas que les serviteurs doivent arracher l’ivraie (Év). Est-ce parce que les
serviteurs n’ont pas la compétence de juger (dans le procès de Jésus, les hommes ont désigné comme ivraie
le parfait innocent) ? Est-il arrivé qu’une colère qui se voulait juste fasse plus de mal que la cause de la colère ?
Est-ce difficile de vivre dans un monde où l’ivraie est mêlée au blé ?
4. HUMILITE FORTE. « C’est la plus petite des semences » (Év). Avons-nous confiance dans le
développement de ce qui commence petit ? « L’Esprit Saint vient au secours de notre faiblesse » (2e lect).
Parlons de l’Esprit Saint comme force des petits… force de l’Église.
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DYNAMIQUE DE CE DIMANCHE
Des mises en œuvre
On pourra, durant toute la célébration insister sur la présence de l’Esprit, toujours à l’œuvre en nous et autour de nous.
Quelques moments privilégiés :
Au début de la célébration, un chant à l’Esprit ou tel ou tel chant qui souligne que nous sommes appelés à être disciples :
par exemple K 64 - Peuple choisi, TK 52-32 - Appelés pour bâtir le Royaume, ou encore MP 26-92 - Qui donc est
Dieu ?
À la prière pénitentielle, on aura soin de souligner qu’il s’agit toujours, dans les trois invocations, d’une prière à Jésus Christ.
Dans les intentions, il serait possible de dire quelque chose du genre : Nous nous adressons à toi Jésus notre frère qui par
l’Esprit nous fait découvrir la miséricorde de ton Père
Au Credo, il serait possible de prendre le chant : Je crois en Dieu le Père, en son Fils. ; ou Je crois en Dieu CNA 223 ou
CNA 224. Ceci pour manifester l’importance de la Trinité dans notre foi.
À la prière universelle. il serait possible d’avoir un refrain qui s’adresse à l’Esprit en écho à la deuxième lecture : « Nous ne
savons pas prier comme il faut. L’Esprit Saint intercède pour nous ».
Au Notre Père, une monition : « C’est l’Esprit qui nous fait dire Abba, Père ».
Pour se former en équipe
Lire dans le Livre
Les lectionnaires et l'Évangéliaire
Les lectionnaires et l'Évangéliaire sont des objets importants de la célébration chrétienne. Ils servent la proclamation et l'accueil
de la Parole de Dieu. Ce sont de beaux livres, comme ceux qu'on offre en cadeau.
Les lectionnaires ne sont pas la Bible. Ils proposent différents passages de ses livres. Par le choix et le montage des lectionnaires
(Ancien Testament, Psaume, lecture d'apôtre, passage d’Évangile), l'Église indique dans quel esprit il faut écouter et interpréter
les textes de la Bible. Ils ne se comprennent bien que mis en rapport les uns avec les autres, l’Évangile étant la clé principale de
compréhension.
L'Évangéliaire. Toutes les paroisses n'en possèdent pas. C'est souvent dans le Lectionnaire, qui contient toutes les lectures,
qu’est proclamé l’Évangile. L'Évangéliaire (qui ne contient que les Évangiles) met en relief l'importance de l’Évangile dans la
célébration chrétienne. Sa reliure et sa décoration font de ce livre est objet d’un soin particulier. Dans une célébration,
l’Évangéliaire (ou le Lectionnaire si la paroisse ne possède pas d’Évangéliaire) est un symbole.
Porté en procession par le diacre lors de l'entrée en célébration, il est déposé sur l'autel. Il est porté à nouveau pour la proclamation
de l’Évangile à l'ambon. Le prêtre ou le diacre l’encense, l’ouvre, le montre pour qu'on l'acclame, l'embrasse, le referme et le
dépose avec respect. Ces gestes manifestent que l'assemblée chrétienne aime écouter le Christ qui lui parle. C'est à Lui, et non
pas au livre, que sont adressés les marques de respect et les acclamations. Au cours d'une lébration, "le Christ est là, présent
dans sa Parole, car c'est Lui qui parle, tandis qu'on lit dans l’Église les Saintes Écritures." (Vatican II, SC n°7)
D’après Michel Scouarnec
Abécédaire de la célébration chrétienne,
Ed de l'atelier p. 111
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POUR UNE CÉLÉBRATION DOMINICALE DE LA PAROLE
lorsqu’il n’y a pas d’eucharistie
Chaque diocèse définit le genre d’assemblée qu’il convient de tenir, le dimanche, dans les églises où l’eucharistie ne peut
pas être célébrée. Soit les petites paroisses (relais) sont invitées à prier au cours de la semaine, réservant l’eucharistie dans
un seul lieu de rassemblement. Soit elles sont conviées à célébrer le dimanche par des célébrations de la Parole, en
alternance avec l’eucharistie, selon une fréquence prévue.
Devant la diversité des pratiques diocésaines, et aussi à la lecture des remerciements qui nous parviennent, nous désirons
assurer cette mission susceptible de répondre aux divers besoins. D'autant que dans ces courriers de remerciements nous
parviennent des témoignages qui soulignent la richesse de la diversité de nos propositions. C’est pour cela que les Fiches
Dominicales vous offrent une aide et pour la préparation des messes et pour celle des célébrations de la Parole de Dieu.
D’autre part, les Fiches Dominicales suggèrent que, lors des célébrations où l’on communie au Christ dans sa Parole, on
ne distribue pas la communion au pain eucharistique. Pourtant si cette dernière est prévue par les orientations diocésaines,
les Fiches suggèrent qu’elle soit donnée avec du pain eucharistique consacré le même jour et apporté de la messe
paroissiale.
NB : Les chants sont indispensables. Ils ne sont pas indiqués ici puisqu’on ne suggère que des éléments capables de prolonger
les textes de la Parole de Dieu.
L’Ouverture
SALUTATION
Les fidèles étant rassemblés, la personne qui conduit la prière prononce quelques mots d’accueil ; elle dit : « Que l’Esprit de
Dieu vienne au secours de notre esprit, pour que nous fassions mémoire du mystère que porte chaque dimanche : la mort et la
résurrection de Jésus Christ ». Elle invite à faire le signe de la croix et à chanter le chant d’ouverture.
CHANT DENTREE (voir proposition p. 7 de cette fiche)
PREPARATION PENITENTIELLE
La personne qui conduit la prière invite à faire la préparation pénitentielle : « Dans notre vie, se côtoient des choses admirables
et des choses regrettables. Sans tricher, parlons au Seigneur de ce qui est en nous. Disons ‘merci’ puis ‘pardon ».
Créateur souverain, tu nous as confié la terre.
Pour toute fidélité… (tous) Merci !
Pour toute lâcheté… (tous) Pardon !
Tu nous as donné des compagnons, en famille, au travail, en vacances…
Pour les secours donnés et reçus… (tous) Merci !
Pour les malveillances et les jalousies… (tous) Pardon !
Tu nous as donné des personnes à aimer.
Pour les témoignages d’affection et de fidélité (tous) Merci !
Pour tout manque d’amour… (tous) Pardon !
Tu nous as donné de rencontrer des inconnus.
Pour les liens qui se sont noués… (tous) Merci !
Pour nos indifférences (tous) Pardon !
GLOIRE A DIEU
La personne qui conduit la prière fait chanter le GLOIRE A DIEU.
PRIERE DOUVERTURE
Puis elle dit l’oraison suivante :
Seigneur Dieu, dans le monde tu sèmes les semences du bien :
ne cesse pas de répandre ton Esprit sur tous les hommes.
Pendant le temps de ta patience, qu’il fasse grandir ce que tu as semé.
Et que vienne le jour où la moisson rassemblera le bon grain
dans le Royaume de Jésus le Christ notre Seigneur. AMEN.
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