personne demande à être née, et ce n’est pas leur choix pas du tout. Alors, il est cruciale
que chacun personne trouve leur proper chemin, parce-que c’est une chose complètment
sous le contrôle. Le bramin enseigne les autres de la philosophie pour quarante ans, mais
toute le temps il ne comprend pas sa essence. Il est toujours préoccupé avec l’enterprise
d’echappe en utilisant la philosophie, quand il peut utiliser ces idées pour se libérer. À la
fin, il comprend sûrement que c’est plus productif de vivre la vie pas de la perspective
individuel, mais plutôt de la perspective holistique. Beaucoup comme le Candide, le
bramin vient de sasir que “tout est le mieux du monde”(288), même il ne paraît pas
toujours. On a son coin dans l’univers et le temps, et la peine vient avec l’essai de sortir
cet endroit. C’est la message du bramin.
Avec la conaissance d’un rôle, il est très important aussi qu’on sache qu’il ne
durera pas éternellement, et qu’il est aussi le sujet du change. C’est le cas spécialement
dans le poème “Le Pont Mirabeau” de Guillaume Apollinaire
où, “L’amour s’en va
comme cette eau courante/ L’amour s’en va/ Comme la vie est lente/ Et comme
l’Espérance est violente…” (13-16). Comme la belle Seine, la vie coule en permanence,
sans regard pour l’individuel. L’amour est peut-être le plus grand example de ce
permanence, parce qu’elle a toujours l’implication de l’espoir. Fâcheusement, comme dit
par Apollinaire, l’espoir n’est jamais un chose sûr. La fortune peut apporter la guerre, la
peste, ou les autres types de destruction, et soudain, l’amour est perdu. L’amour est
perdu, mais la rivière coule sans cesse. Elle coule comme toujours, avant l’amour,
pendant l’amour, et après l’amour, sans le sympathie ou de notification à l’amoureux
Guillaume Apollinaire, “Le Pont Mirabeau”, Panaché Littèraire, Mary J. Baker, Jean-
Pierre Cauvin (Boston: Heinle, 1995) 302-3.