LA JOIE OBEISSANTE Ph 3 : 1 – 21 Ph 3 : 1, 10 « Au reste, mes

LA JOIE OBEISSANTE
Ph 3 : 1 21
Ph 3 : 1, 10
« Au reste, mes frères, réjouissez-vous dans le Seigneur. Je n’éprouve aucun
ennui à vous écrire les mêmes choses, et pour vous, c’est une sécurité.
Mon but est de le connaître, lui, ainsi que la puissance de sa résurrection et
la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort,
pour parvenir, »
Est-ce que cela existe la joie obéissante ? J’ai entendu parler de la foi
obéissante mais pas de la joie obéissante ! Si vous voyagez en Provence et si vous
vous présentez comme chrétien, les provenciaux diraient : « Ah vous êtes ravi » pas
rabbi mais ravi. Ravi de la nature, ravi de la crèche… Pour les provenciaux, qu’un
chrétien soit triste est quelque chose d’inimaginable, d’impensable. Paul était dans la
prison donc on peut dire qu’il était dans la pire situation comme une vie d’homme. Et
puis trouver quel sujet de joie que ce soit dans cette situation ! Au moins on cherchera
une occasion de liberté si ce n’est une tentative d’évasion. Mais Paul éprouve la liberté
intérieure même si il était en prison car le Seigneur Jésus l’a libéré de tous les liens
humains. L’épître de Paul aux Philippiens est souvent appelé l’épître de joie car Paul
ne cessait de répéter ces mots : « Réjouissez-vous ». Dans le deuxième chapitre 2 : 17-
18 : « Même si je sers de libation pour vous, je m’en réjouis et je me réjouis avec vous
tous. Vous aussi réjouissez-vous de même et réjouissez-vous avec moi. » Le chapitre 3
qui est l’objet de notre étude cette semaine débute par ces mots : « Au reste, frère,
réjouissez-vous dans le Seigneur… » Je voudrais réfléchir avec vous ce matin sur la
vraie joie. Jésus a dit que quand le Saint Esprit viendra, il rendra votre joie complète.
Si on se sent donc joyeux, c’est l’action du saint esprit. Bien sûr, c’est de la vraie joie
inaltérable, spirituelle, qu’il s’agit.
Je voudrais d’abord vous parler de la forme impérative de cette phrase :
« Réjouissez-vous. » Donc dans n’importe quelle situation le chrétien doit se réjouir.
Quelqu’un dira : « comment je me réjouirai dans cette situation tragique ». Néanmoins
ce que le Seigneur nous commande est que nous nous réjouissions de toute façon. En
entrant plus en détail, pourquoi nous est-il impératif que nous nous réjouissions ? C’est
parce que c’est le commandement du Seigneur. Dieu ne nous a jamais obligé de rire,
de sauter de joie… Quand même quand il créa la vie humaine, c’est parce qu’il a voulu
voir de cette vie s’épanouir le bonheur. Jamais on ne pourra considérer la joie comme
un commandement alors que l’on considère l’amour de Dieu aux autres. La joie est
donc aussi un commandement. Si c’est un commandement, il faut une obéissance. Au
fil de la lecture de l’évangile, nous trouvons que Jésus Christ a obéi à ce
commandement. Il savait que l’homme se donnait beaucoup de peine en vivant dans ce
monde déchu. Après la chute de l’homme, il est vraiment difficile de trouver la joie
dans sa vie. Une série de malheur se succèdera sans jamais s’arrêter et à la fin, sa vie
va se solder par la mort. Sans avoir besoin de lire Chopenhaur, un philosophe allemand
nihiliste, l’homme est naturellement amené à s’absorber dans le fatalisme et dans la
tristesse profonde. Mais Dieu veut redonner la vie aux hommes. C’est une des raisons
de l’envoi de son fils. Jésus obéit à cette direction et en venant au monde avant même
que le ministère ne commença, s’engagea la fête joyeuse des noces de Cana et Jésus y
transforma l’eau en vin. Le marié et la mariée s’étaient trouvés devant une panique
générale et le gâchis de la fête à cause du manque de vin mais, Jésus est apparu, je ne
sais d’où et changea l’eau en vin, pas en beaujolais, mais en vrai vin plus délicieux
qu’aucun bordeaux de la France. Et il a ranima la fête pour que sa joie continue. Nous
ne pourrons pas extraire la joie comme si nous tordons le chiffon mouillé pour obtenir
un peu d’eau. Nous nous disons que si on est triste, c’est triste, c’est tout. Mais mes
chères frères et sœurs dans le Seigneur, il n’en est pas ainsi. On peut extraire la joie, si
on a l’obéissance. Si on obéit, nous pouvons nous réjouir, même dans la pire situation.
Paul se réjouit dans la prison et il ne cessait d’exhorter aux philippiens de se réjouir.
Dans la douleur des événements sinistres de l’œuvre messianiques terrestres, Jésus
Christ s’est réjoui sans cesse, c’est parce qu’il a considéré que la joie est non
seulement la volonté divine, mais c’est aussi un commandement suprême de Dieu.
Notre Seigneur Jésus est l’incarnation de sa divinité selon le terme théologique. Mais
Jésus est l’incarnation de l’obéissance à Dieu pour servir d’exemple pour tous les
hommes. Une fois Jésus a dit : « Comme mon Père travaille, moi aussi je travaille. »
Le travail de tout homme, n’est-ce pas, à pour cause un quelconque rendement, mais le
travail de Jésus a pour cause l’obéissance à Dieu. De me Jésus se réjouissait car
Dieu se réjouissait et Dieu veut que l’homme se réjouisse. Même si les ennemis le
serraient de toute part, Jésus creusait sans cesse le puits de la joie et s’en épanouissait.
La joie est ainsi quelque chose lié au travail, pas comme quelque qui tombe du ciel
comme cette parole d’un philosophe ascète français Simone Veil qui disait : « En toute
chose ce qui vient de dehors gratuitement par surprise comme un don du sort sans que
personne ne le cherche est pure joie ». Beaucoup pense comme cela, que la joie tombe
du ciel. Mais ce n’est pas ainsi, la joie est quelque chose de travaillée. La Bible dit que
Jésus pleurait, mais jamais un verset dit qu’il riait. C’est parce que la situation était
pour lui plutôt accablante mais Jésus nous donne la trace de ce qu’il a donné beaucoup
de peine pour creuser la joie durant tout son ministère. Deux événements sont
marquants, surtout quand ils priaient, cela s’est révélé. Une fois quand il pria Dieu
devant Lazare mort et enseveli, il s’est réjoui de ce qu’il l’avait toujours exaucé. Dans
une autre occasion, il leva les yeux et dit à Dieu qu’il remercie de ce que Dieu a révélé
cette vérité à ses enfants. Donc d’abord, être exaucé par Dieu est un grand sujet de joie.
Nous avons prié et Dieu nous a répondu. C’est pourquoi nous pouvons nous jouir.
Peut-être que nous n’avons pas encore la réponse, mais nous savons que Dieu nous a
répondu par son silence et qu’il nous répondra un jour à nos souhaits donc nous
pouvons donc nous en réjouir. Ensuite, la révélation de la vérité est un autre grand
sujet de joie. Comme proverbe 25 : 25, c’est comme une visite d’un ami lointain après
une longue absence. C’est comme une eau paisible qui étanche la soif. Chaque matin,
quand nous retournons à cette source d’eau, nous avons expérimenté cette joie durant
2011. Vraiment la révélation de la vérité est un inexprimable sujet de joie et de
remerciement. N’est ce pas que pour chacun de nous, que lorsqu’on était dans
l’ignorance, Dieu nous a envoyé son serviteur pour nous montrer quel est le chemin.
Dieu révéla sa vertue et sa justice, toujours, sans faute, aux âmes assoiffées comme les
enfants. Quand notre cœur est orgueilleux, nous sommes privés de la vérité, mais dès
que nous sommes humiliés, le Seigneur Dieu est à nos côtés, à l’instant même pour
nous instruire et nous conduire. C’est la grâce immuable et l’un des sujets de joie
indicible.
Si nous lisons Luc 15, ce célèbre chapitre des 3 perdus, n’est autre que
l’indication de la joie de Dieu. La brebis perdue et le drachme perdu et le fils perdu
sont tous retrouvés et cela a donné l’énorme joie de Dieu. Quand le berger amena sa
brebis perdue, il appela les voisins pour fêter cette retrouvaille. Et quand une femme
veuve trouva son drachme perdu, elle appela elle aussi toutes ses voisines pour fêter
cette retrouvaille. Quand le fils prodigue perdu revint du pays lointain, l’amour de son
père reconnaissant, ce père a fait tuer le veau gras et prépara un festin luxueux pour
toute sa maisonnée. Quand une âme accepte sa parole et est sauvé, toute l’armée
céleste se lève et applaudit dans la grande réjouissance de Dieu. Paul dit :
« Réjouissez-vous, car c’est le commandement de Dieu. » Je vous le répète, il faut
nous réjouir car c’est ainsi que Dieu nous le commande. Le cœur indifférent est
insipide. Mais le ur reconnaissant est comme une eau limpide qui rafraichit
l’homme. Donc n’oublions pas de tourner nos regards et creusons le sujet caché de la
joie et épanouissons-nous par la reconnaissance. Déjà autour de nous, une âme est en
train de recevoir le salut éternel de Dieu. D’où notre éclat de joie, prêt à jaillir.
Paul ajouta après le mentionnement de la joie dans le Seigneur, une phrase très
importante selon mon point de vue. Ainsi le verset 1 deuxième partie dit : « Je
n’éprouve aucun ennui à vous écrire les mêmes choses, pour vous c’est la sécurité. »
N’est-ce pas que la pétition déchire nos oreilles en général, mais néanmoins, Paul
répète que les Philippiens doivent se réjouir. Pourquoi la joie est elle une sécurité. Si
nous sommes joyeux, de quoi sommes-nous sécurisés. Si nous sommes tristes ou
sentimentaux, nous sommes exposés en quelque sorte au danger. Mais en fait, la vie
humaine est déjà exposée aux dangers s la jeunesse, dès la naissance. On est
dépourvu et la vie est par nature précaire. me un millionnaire est dépourvu et
précaire car il est sans moyen pour résister à la mort. Mais tant qu’on a la joie, on est
sécurisé. Ce n’est pour flatter vos oreilles que je parle, mais c’est parce que c’est la
vérité. Tant que nous nous réjouissons dans le Seigneur, nous pouvons braver même la
mort. Je vais vous expliquer cette vérité à travers un épisode de l’ancien testament, il
s’agit du livre de Ruth.
Le début de l’histoire de Ruth nous montre que sans Dieu ou en dehors du
territoire de Dieu, la vie est obligée d’être triste. C’est la raison pour laquelle Paul
répète réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur car en dehors du Seigneur nous ne
pouvons nullement trouver la vraie joie. Quelle joie qu’une famille heureuse avec des
enfants, la réussite richissime, la gloire et l’honneur enviable, mais en tout cela,
aucune ne fournit vraiment le sujet de joie. Dans cette histoire de Ruth, il famille
d’Elimélek, un homme de Judas, a décidé de quitter le pays et de résider dans une
région païenne à cause de la famine. Et là-bas il subit un malheur insurmontable, sa
femme appelée Naomi, ce qui signifie la charmante, perdit son mari. Puis ses deux fils
moururent en laissant leurs femmes au monde comme veuve. Donc vous voyez dans
cette famille, au total, trois veuves. La veuve dans l’ancienne époque est le surnom de
la précarité. Elle est exposé à la l’instabilité et l’insécurité de la vie. Naomi a décidé de
retourner dans son pays et renvoya ses deux belles filles, pour qu’elles aillent à la
maison de leur père, pour qu’elles se marient à nouveau. Mais Ruth, sa deuxième belle
fille, s’attacha à Naomi et retourna avec sa belle-mère en Judée. Au seuil du pays,
quand ses compatriotes l’appelèrent avec son nom Naomi, celle-ci dit, ne m’appelle
pas Naomi mais Mara car Dieu a rendu ma vie amère. En fait mara veut dire amertume.
Dans le cœur de Naomi, il y avait donc cette amertume profonde de son triste sort.
Mais Ruth, sa belle-fille avait cette joie dans son cœur. Elle était aussi veuve et sa vie
était aussi précaire, comme sa belle-mère, mais elle n’oublie pas la joie dans son cœur.
Celle-ci a été bien révélée quand elle confessa sa foi à sa belle-mère : « Ne me pousse
pas à te quitter en me détournant de tes pas. tu iras j’irai. Où tu demeureras, je
demeurerai. Ton peuple est mon peuple et ton Dieu est mon Dieu. tu mourras, je
mourrai et j’y serai enseveli. Que l’Eternel me fasse ceci et qu’il me fasse cela si ce
n’est pas la mort qui me sépare de toi. » Pour cette femme veuve, le Dieu d’Israël qui
lui avait fait goûter le salut éternel par ce lien de mariage est quelque chose
d’inoubliable, d’inséparable. Tant cette explosion de joie déborde dans son cœur, et
dans un pays qui est pour elle étranger, elle ne cessa de garder cette joie indicible
venant de Dieu et de son salut. Elle obéit comme d’habitude à sa belle-mère et s’en
alla comme un enfant docile au travail des champs et s’en alla pour glaner les épis. Là,
un homme de Béthléem, nommé Booz, remarqua cette femme qui travaillait dans son
champ. Il la protégea et enfin se maria avec elle en la rachetant avec son héritage. La
bible a dit que cet homme avait entendu parlé de la fidélité de cette femme païenne
envers la fidélité de cette veuve, mais si je l’analyse, c’était sa joie enfantine et
indicible de l’intérieur que cet homme remarqua, dans ce champs où elle travaillait. En
se mariant avec cet homme, Ruth devint l’arrière, l’arrière-grand-mère du roi David.
La joie est une sécurité dit Paul. Si nous obéissons aux commandements de Dieu,
réjouissez-vous et creusons la source de joie quotidiennement en venant à la parole et
nous serons sécurisés de tous les malheurs possibles de ce monde et garantis de la
bénédiction de Dieu comme le montre cet épisode de Ruth.
A partir du verset 2, l’ambiance de l’alentour de Paul s’envenime et semble
qu’elle fut pourrie car l’ennemi de la croix fit irruption et dérange énormément
l’œuvre de Dieu. Les faux docteurs y font ici leur apparition. Qui sont-ils ? Ce sont
ceux qui font valoir leur mérite charnel dont l’une est leur circoncision. Ils se basaient
sur leur propre justice mais pas sur la justice divine. Paul les appelle sans mâcher ses
mots : Chien. Les mauvais ouvriers, les chiens ont tendances de retourner à leurs
excréments, oubliant la grâce. Les mauvais ouvriers travaillent diligemment, non pour
le salut, que ce soit pour lui ou pour les autres, mais pour la perdition des autres, des
âmes. En tant que fidèle régénéré, nous serons tentés de considérer ces hommes, ces
faux docteurs, qui servent d’ennemis de la croix comme les faux chrétiens qui n’ont
jamais été régénérés par le sang de Jésus, mais je n’en suis pas trop sûre. Un jour, ma
femme m’a raconté qu’une fidèle s’est mis à parler en langue. Mais le lendemain,
quand elle l’a rencontré, son visage était tout noir comme le charbon. Cette femme
pensait que tous ceux qui n’avaient pas eus cette expérience étaient comme des
chrétiens immatures. C’est un peu comme Frantz Olivier Gilbert, de nos jours qui
disait, je suis chrétien, mais je crois trop à la force de la foi et que tous les incrédules
sont ensevelis quelque part dans la terre. A la vue de sa parole politique, il est évident
qu’il est un pseudo chrétien. En ce qui concerne ceux qui sont imbibés dans l’illusion
de la nouvelle naissance, mais qu’en fait leur foi est factice et contribue à la division,
Paul met en garde vèrement, comme il le dit dans Ti 2 : 10 : « Ecarte de toi celui qui
après un premier et un second avertissement celui qui commet la division sachant
qu’un tel homme perverti est qu’il pèche et se condamne lui-même. » Or malgré tous
ses combats acharnés et contre les ennemis de la croix, Paul maintenait sa joie dans le
Seigneur. C’est merveilleux. Quel est le secret de ce grand apôtre. C’est parce qu’il n’a
pas perdu son but. Son but est si pur qu’aucune autre chose si acharnée, si sinistre ne
peut le perturber. Le but n’est autre que le motif. Avoir le but ou le motif d’un cœur
sincère et pur est un facteur très important pour que nous ne tombions pas dans le
péché et pour que la joie ne nous soit pas enlevée. C’est en quelque sorte qu’un
chrétien soit en règle avec Dieu. Paul était tellement ému de la grâce de Dieu, lui qui
était autrefois un ennemi de Dieu et un persécuteur de l’église, mais sur le chemin de
Damas, Jésus daigna venir et le rencontrer. Il le bouleversa et fit de lui son enfant. A
cause de cette émotion, il se mit à chercher désormais ardemment Dieu et il l’aima et
lui consacra sa vie. Paul n’oublie jamais cette grâce et travaillait plus qu’aucun autre
pour Dieu. Quoique toutefois, selon sa confession, ce ne soit pas par lui-même, mais
par la grâce du Seigneur. Donc, il est très important pour un chrétien d’examiner sa
conscience pour savoir si celle-ci est en règle avec Dieu. Pour ne pas perdre la joie,
voire la santé. Un exemple. Les Rubénites, les Gadites dans les nombres 32, de
l’ancien testament, voulurent s’installer en Transjordanie avant que tout le peuple ne
franchisse le Jourdain et aille conquérir Canaan. Moïse reprocha en disant : « Vos
frères iront-ils à la guerre et vous vous restez ici. » Vivre tranquillement pour soi,
malgré la grâce de l’exode de l’Egypte, n’était pas en règle avec Dieu. C’est pourquoi
leur proposition n’est pas seulement courageante au sein des frères mais elle fit
disparaitre la joie au sein des cœurs. La vie pour soi en dehors de la communauté si on
est le peuple racheté n’est pas en règle avec Dieu. Moïse dit : « Vous partirez avec vos
frères à la guerre après quoi, vous retournerez vous installer alors vous serez quittes
envers l’Eternel. Mais si vous n’agissez pas ainsi, vous péchez contre l’Eternel, mais
sachez que votre péché vous retrouvera. » Il n’y a pas de milieu pour la vie chrétienne.
Soit partir avec la communauté de frère pour le même combat, soit prendre rendez-
vous avec le péché en vivant une vie pour soi. Quand Paul dit : « Mon but est de le
connaître », ce n’est pas pour se vanter de son désir particulièrement noble. C’est tout
simplement sa réponse à la grâce immuable et insupportable pour le pécheur qu’il était.
Il est en règle avec Dieu, c’est la raison pour laquelle il ne perdit pas la joie, même
dans leur combat acharné et dans la prison. Il y en a dans l’église qui ne veulent jamais
douter de leur salut. Puis ils disent que celui qui prêche trop sur la sanctification
souvent lié à l’engagement est sectaire. Je vous dis seulement une chose, c’est que le
serviteur de l’ancêtre du réformateur en Angleterre, Wycliffe. Il disait que nous ne
serons que par la vie sanctifiée si nous sommes sauvés ou pas.
La dernière partie du chapitre est le moignage de la vie de Paul, mais nous
pouvons entrevoir également un autre secret par lequel Paul a pu maintenir la joie
incessante. C’est qu’il s’est renoncé à ce que l’on appelle la réminiscence, ou encore la
nostalgie. C’est une chose très importante pour que nous accostions la joie indicible de
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