PROSIT RETOUR 32 Nom du PROSIT => Theorie et Pratique

PROSIT RETOUR 32
Nom du PROSIT =>
Theorie et Pratique
Thème ou sujet du Prosit
Qualité
Animateur
Secrétaire
Scribe
Intendant
Nicolas
Ah Yanne
Guillaume F
X
**MOTS CLEFS / A DEFINIR
Le cycle de vie du logiciel :
Comme tout produit complexe , le cycle de vie du logiciel passe par les phases (ou étapes) suivantes :
* Étude de faisabilité ;
* Spécifications ;
* Production ;
* Contrôles ;
* Essais ;
* Contrôle de la production ;
* Vente/utilisation/entretien ;
Pour mieux maîtriser le processus développement on se réfère à des modèles de cycle de vie, (cf. 2.4 et
1.3) permettant de prendre en compte, en plus des aspects techniques, l'organisation et les aspects
humains.
Il est important de noter qu'une étape, telle que la conception, peut faire intervenir plusieurs activités,
comme celles de la spécification globale, du maquettage et de la validation. Inversement une activité
comme la documentation peut se dérouler pendant plusieurs étapes.
Les relations entre les différentes activités, entre les différentes étapes et entre les étapes et les activités
dépendent du modèle. La définition fournie par le modèle en Vsec:relPhaseAc est parmi les plus
complètes.
La continuité du cycle de vie du logiciel implique qu'il faut respecter l'enchaînement des différentes phases.
Le processus de développement consiste à décomposer le problème en veillant à :
* à chaque niveau de décomposition, bien décrire le problème et sa décomposition en sous-problèmes ;
* bien préciser le procédé de recomposition (ou intégration) : l'assemblage des solutions des sous
problèmes ne donne pas automatiquement la solution du problème ;
* concevoir (et utiliser) des solutions réutilisables.
IDE :
Définition de Environnement de développement intégré L'IDE (Integrated Development Environment) est
une interface qui permet de développer, compiler et exécuter un programme dans un langage donné.
Description
Description de Environnement de développement intégré La plupart des langages de programmation
(Java, Langage C, etc...) sont associés à un outil permettant de saisir du code, compiler, débugger et
exécuter des programmes.
Cet outil combine les fonctionnalités d'un éditeur de texte, d'un compilateur et d'un débugger. Il rend plus
pratique la programmation, peut disposer de fonctions de complétion automatique de textes pour accélérer
la saisie. Il dispose en général d'une documentation sur les outils et méthodes du langage concerné et
facilite l'accès aux propriétés des librairies communes.
Les IDE sont souvent puissants et très efficaces mais gourmands en ressources système.
Exmples d'IDE :
- Microsoft .NET pour C, C++, C#
- NetBeans pour Java.
Notons qu'il reste toujours possible de programmer sans IDE, en utilisant un éditeur de texte classique et le
compilateur en ligne de commande que fournissent la plupart des langages courants...
SMQ :
La démarche d'amélioration continue conduit l'organisation vers son futur voulu, les objectifs stratégiques
sont définis dans la politique et sont revus de façon régulière et systématique en fonction du pas de progrès
réalisé.
Lorsque les dirigeants d'une organisation décident de s'orienter vers le développement d'un Système de
Management de la Qualité (SMQ) complet, c'est à dire répondant aux exigences d'un modèle, ou d'un
référentiel, cette décision est souvent motivées par une tierce partie ayant des intérêts dans cette
organisation.
L'ISO 9000 dit :
"Le Système de Management de la Qualité permet d'orienter et de contrôler un organisme en matière de
Qualité"
On pense alors immédiatement à la Qualité du produit ou du service, mais on délaisse trop souvent l'idée
que pour réaliser ces produits/services, il faut mettre en œuvre des processus au moyen de ressources
financières, matérielles et humaines maîtrisées.
De plus, l'organisation évolue dans un environnement, et elle est amenée à travailler en collaboration avec
d'autres organismes ; des ressources sont donc à mettre à la disposition des processus de maîtrise de cet
environnement.
L'ensemble de ces ressources est souvent cautionné par des organisations ou des personnes, qui ont de
ce fait, un intérêt majeur à voir la réussite et la rentabilité de l'activité.
La construction et la mise en œuvre d'un SMQ visent des objectifs stratégiques précis ; cela demandent
une grande maîtrise de l'intégralité de l'activité.
Les éléments de sortie de ces processus de construction et de mise en œuvre concernent donc de très
près le devenir de l'organisme, et le SMQ devient l'outil, ou plutôt l'atelier de construction du succès futur.
Cependant, les objectifs visent trop souvent à satisfaire des exigences complémentaires des clients, et très
vite, la seule motivation de la démarche semble être "la fidélisation des clients".
Cette vision est trop simpliste : il est indispensable de comprendre que la maîtrise de la satisfaction des
clients se construit très en amont, et qu'elle est garantie par la fiabilité et la rentabilité d'un ensemble -
souvent complexe - de processus.
Il ne s'agit pas simplement d'engager une démarche de management de la Qualité en vue de satisfaire les
clients ; il est tout aussi important d'engager cette démarche en vue d'assurer la pérennité et le
développement de l'organisation.
C'est par la mise en œuvre du SMQ que l'on parvient à décliner la politique générale au niveau du terrain,
en vue d'atteindre les objectifs stratégiques.
Le modèle CMM :
Origine :
Le gouvernement américain ayant déclaré le logiciel « industrie stratégique », à partir de 1986 le DoD
finance le SEI (Sofware Engineering Institute) pour développer et diffuser un modèle d’évaluation de la
maturité des entreprises dans le domaine du développement du logiciel : le « Capability Maturity
Model : CMM »
D’abord aux Etats-Unis puis maintenant en Europe et en France de nombreux donneurs d’ordre
imposent à leur fournisseurs d’atteindre un niveau de maturité élevé, font apparaître ces exigences dans
les appels d’offres.
Dans la lignée du modèle CMM d’autres sont apparus, dont le modèle SPICE.
Structure :
Le modèle CMM d'évaluation de la capacité en terme de développement logiciel conçu par le Software
Engineering Institute (SEI), est utilisé dans le monde entier afin d'améliorer la façon de manager, de
développer et de maintenir le logiciel.
Issu de l'expérience le CMM est un modèle décrivant quelles sont les pratiques à mettre en oeuvre dans
une organisation afin d'améliorer et d'assurer la maîtrise des coûts, des délais et des performances du
logiciel développé.
Le modèle est constitué de cinq niveaux de maturité :
* Niveau 1 - Initial : le processus de développement n'est pas défini. La réussite des projets dépend du
savoir-faire de quelques personnes clés dans l'organisation. Ce savoir-faire n'est pas formalisé ni partagé
par les différentes équipes projet de l'organisation,
* Niveau 2 - Reproductible : les entrées et les sorties des activités logiciel sont gérées et contrôlées. Les
règles sont connues et appliquées par les équipes. Le développement est planifié et suivi. Les produits
sont vérifiés par rapport aux exigences initiales,
* Niveau 3 - Défini : les meilleures pratiques mises en oeuvre au niveau 2 sur les projets sont
généralisées à toute l'organisation. Un projet instancie le processus standard afin de définir la
meilleure solution répondant à ses propres objectifs. L'efficacité de chacun des processus est
mesurée et renforcée,
* Niveau 4 - Maîtrisé : chaque processus est systématiquement mesuré. Les données sont consolidées
et exploitées pour la prise de décision et l'anticipation des risques,
* Niveau 5 - Optimisation : les processus sont totalement maîtrisés et optimisés en permanence. Toute
évolution est anticipée et gérée.
ISO 9001 : v2000 :
La famille des normes ISO 9000 est destinée à aider les organisations à mettre en place de manière
efficace un système qualité.
Les normes ISO 9000 et les modèles CMM et CMMI sont donc complémentaires : les modèles CMM et
CMMI se focalisent sur les processus liés au développement de manière très pragmatique et concrète,
alors que les normes ISO 9000 traitent de l'ensemble des processus du système qualité.
De plus avec la version 2000 de l'ISO 9001, la nécessité pour une organisation de s'engager dans une
démarche continue d'amélioration des processus devient une obligation, ce qui tend à renforcer comme l'a
prouvé une étude Q-Labs la complémentarité avec les modèles CMM et CMMI complétement élaborés
pour supporter et encourager cette dynamique d'amélioration.
Les modèles CMM et CMMI deviennent alors des outils naturels pour implémenter de manière efficace
dans l'organisation les processus de développement requis par l'ISO 9001:2000.
De part sa double compétence dans l'ISO 9001:2000 et dans la mise en place de processus de
développement basés sur les modéles CMM et CMMI, Q-Labs aide les entreprises à mettre en place un
système qualité cohérent et complet répondant à leurs impératifs ainsi qu'à leurs objectifs.
Le modèle SPICE :
Le modèle ISO SPICE (Software Process Improvement and Capability dEtermination) fait l'objet de la
norme internationale ISO/IEC 15 504 qui fournit une approche structurée pour l'évaluation de processus
logiciel pour le compte de ou par une organisation, dans les buts suivants :
* comprendre la situation de ses propres processus pour l'amélioration de processus,
* déterminer l'adéquation de ses propres processus par rapport à une exigence,
* déterminer l'adéquation des processus d'une autre organisation pour un contrat.
Le modèle est constitué de 6 niveaux d'aptitude :
Niveau 0 : Incomplet : les pratiques de bases ne sont pas mises en œuvre ou le processus n'atteint que
partiellement ses objectifs,
Niveau 1 : Réalisé : les pratiques de bases sont réalisées et le processus atteint ses objectifs,
Niveau 2 : Géré : les activités du processus et les produits issus de ces processus sont gérés,
Niveau 3 : Etabli : les activités du processus sont effectuées selon un processus standard défini au
niveau de l'organisation,
Niveau 4 : Prévisible : le déroulement du processus et ses performances sont mesurés,
Niveau 5 : En optimisation : le processus standard est en amélioration continue en fonction des objectifs
de l'organisation.
Pour évaluer le niveau d'aptitude de chacun des processus, le modèle définit deux types d'indicateurs :
* les indicateurs de réalisation de processus ou dimension processus : pour chacun des processus, des
pratiques de bases sont identifiées ainsi que des produits du travail en entrée et en sortie,
* les indicateurs d'aptitude de processus ou dimension d'aptitude : pour chacun des niveaux d'aptitude,
des pratiques de management sont identifiées ainsi que des caractéristiques de réalisation, de
ressources et d'infrastructure.
XP :
ExtremeProgramming est une méthode de développement de projet mise au point à la fin des années 90
par KentBeck, WardCunningham et RonJeffries.
Affiliée aux méthodes dites agiles (et à ce jour sans doute la plus connue), XP s'appuie sur
QuelquesPrincipes et TreizePratiques ainsi que sur le respect de QuatreValeurs essentielles :
LaCommunication, LeRetourInformation ou feedback, LaSimplicite et LeCourage.
ExtremeProgramming doit son nom au fait qu'elle place l'activité de programmation au centre du projet, et
qu'elle obtient ses résultats en combinant et en poussant à l'extrême certaines pratiques de
développement.
Axe de Travail
Normes qualité ISO : comment ça marche ?
Iso Promouvoir un produit ou un service c’est bien, pouvoir en garantir la qualité au client c’est mieux.
Voyons aujourd’hui comment obtenir un « label » qualité que nous connaissons tous : l’ISO 9000. Cet
ensemble de normes de gestion, défini par des experts internationaux, est remis à jour continuellement.
Contrairement à certaines idées reçues, l’ISO 9000 peut s’adresser à tout type d’entreprise ou de
collectivité. Un cabinet d’avocat, votre boulangerie du coin ou même une collectivité locale peut tout à fait
envisager une certification ISO 9000 pour garantir la qualité de sa prestation. Seulement voilà, comment
se faire certifier ?
C’est un travail de fond qui consiste à redéfinir sous forme de procédures écrites compatibles avec la
norme choisie l’ensemble de l’activité de l’entreprise. L’objectif final est évidemment la qualité du service
rendu au client. C’est un processus lourd, qui implique une remise en cause complète de ses habitudes de
travail, mais qui garantit, au final, une efficacité accrue.
Ce n’est que lorsque cela est effectué que l’on peut faire appel à des entreprises spécialisées dans la
certification comme, par exemple, SGS. La certification se fait après un audit approfondi et n’est pas
accordée à vie : elle est renouvelée tous les ans si l’entreprise s’adapte aux évolutions de la norme.
Bien entendu, les normes ISO ne concernent pas que la qualité, il existe également, par exemple une série
« 14000 » qui définit un ensemble de pratiques écologiques pour les entreprises et les organisations.
Mettre en oeuvre une démarche qualité :
Ce document présente de façon succincte la démarche complète de mise en place d'un système de
management de la qualité (SMQ) au sein d'une entreprise.
Cette démarche se décompose en 18 points distincts allant de la sensibilisation de la Direction à la
demande d'un audit de certification.
Les étapes sont les suivantes :
ETAPE 1 : SENSIBILISATION DE LA DIRECTION ET DU PERSONNEL
Avant même d'initier la démarche Qualité au sein de l'entreprise, il convient de mettre en place différentes
réunions de sensibilisation à la Qualité (regroupées par niveau hiérarchique). Les ENJEUX de la Qualité,
Les SYSTEMES Qualité, Les OUTILS de la Qualité…
ETAPE 2 : ENGAGEMENT DE LA DIRECTION
Il est impératif, avant même d'initier toute démarche qualité, de définir et de structurer l'engagement de la
Direction.
La Direction doit définir de manière précise la Politique Qualité et doit mettre en place une gestion de la
Qualité en :
Nommant un responsable système de management de la qualité.
Définissant des budgets pour permettre la réalisation de la Politique Qualité.
L'étape suivante de l'engagement de la Direction est l'annonce et le lancement de la démarche Qualité.
ETAPE 3 : IDENTIFIER LES RESPONSABILITES
Différentes fonctions sont nécessaires pour assurer le fonctionnement et la pérennité de toutes les
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