INTRODUCTION Ce travail d’étude et de recherche porte sur la Mécanique de la rupture. Nous nous intéressons particulièrement au calcul du taux de restitution d’Energie G par une méthode non classique : la méthode q (cf article en annexe 3). Cette méthode est implémentée dans les codes de calcul MODULEF (développé par l’INRIA) et CASTEM2000 (développé par le CEA). Ce travail d’étude et de recherche est divisé en 2 parties principales : La première partie consistera à présenter la méthode q . On se consacrera surtout à la compréhension de la méthode, et à sa mise en œuvre par la Méthode aux Eléménts Finis. Nous commencerons par tenter de valider cette méthode sur un cas simple avec le logiciel Eléments Finis MODULEF. Pour ce faire, nous nous appuierons sur un projet sur ce même sujet rédigé quelques années auparavant. Les résultats obtenus ne concordaient pas avec des solutions de référence. Nous étudierons donc le même cas test à quelques paramètres prés. Les programmes qui mettent en œuvre cette méthode seront étudiés afin de déceler le bug qui fausse les résultats. On comparera la solution numérique à une solution analytique obtenue par application des formules classiques que l’on trouve dans la littérature de la Mécanique de la rupture (les références bibliographiques sont figurent en annexe 3). La seconde partie sera plus axée sur l’utilisation de cette méthode avec le logiciel CASTEM 2000. Le but ne sera pas ici de comprendre comment la méthode est implémentée mais de comparer avec les résultats obtenus avec MODULEF. On étudiera cette fois une éprouvette CT sur laquelle on pourra comparer solution numérique et résultats expérimentaux (cf articles en annexe 3). 1 INTRODUCTION A LA MECANIQUE DE LA RUPTURE La caractérisation de l’état des pièces fissurées s’appuie sur la détermination du taux de restitution d’énergie et des facteurs d’intensité de contraintes, à la base de nombreux critères en Mécanique de la Rupture : amorçage en fond de fissure, propagation de défauts, méthodes simplifiées…Ces grandeurs peuvent être calculées numériquement par la méthode q, qui est une méthode Lagrangienne introduite par P.DESTUYNDER. 1. Contrainte critique de rupture fragile Le premier critère de rupture dans le cas d’un matériau élastique fragile a été établie vers 1930 par un physicien Anglais du nom de Griffith. Il est basé sur l’utilisation d’un bilan énergétique. Si le matériau rompt avant d’atteindre la résistance théorique à la rupture, on peut supposer que cette résistance est atteinte, localement, sur des défauts de l’éprouvette. s Considérons donc une éprouvette contenant une fissure débouchante de longueur a perpendiculaire à l’axe de traction. Pour que la fissure puisse se propager, il faut rompre des liaisons atomiques, la première condition à vérifier est que la contrainte en tête de fissure soit supérieure à la résistance à la rupture du matériau. Lors de a la propagation d’une fissure, deux phénomènes sont à prendre en compte : la relaxation des contraintes autour de la fissure et la création de nouvelles surfaces. s 1.1 La relaxation des contraintes autour de la fissure La fissure traverse entièrement l’éprouvette dans le sens de son épaisseur e. La zone de relaxation de contrainte autour de la fissure a une forme de demi-ellipse, de demi-grand axe 2a et de demi-petit axe a. L’énergie élastique libérée est par conséquent : 2 1 1 U e 2 E 2 a2a e (E élastique stockée/un ité de volume) (surface de la zone de relaxation ) (épaisseur de l' éprouvette ) 1.2 La création de nouvelles surfaces Soit gs l’énergie libre de surface par unité de surface. L’énergie de surface requise est alors : U s 2 (ae) s (2 surfaces sont crées) 2 On en déduit l’énergie de fissuration : U f U e U s 2 1 2 a 2 2 E s ea Tant que a<ac, l’énergie requise pour propager la fissure augmente, la propagation est donc stable. Pour a>ac, l’énergie requise diminue, donc la propagation devient instable, ce qui conduit à une rupture brutale. La longeur critique de fissure pour un contrainte donnée s correspond donc à la valeur : a c E 2 s 2 Et la contrainte critique de rupture pour un matériau fragile contenant des fissures débouchantes de longueur a ou des fissure internes de longueur 2a est : 2. c 2 s E a Formulation générale Soit Gc l’énergie nécessaire pour qu’une fissure se propage d’une longueur unité : c’est l’énergie de rupture, qui est caractéristique du matériau. On démontre alors que : a E Gc Dans le cas des matériaux fragiles Gc = 2gs Dans le cas des matériaux ductiles Gc = 2gs + gp Où gp est l’énergie de déformation plastique nécessaire pour déplacer les dislocations en tête de fissure. En effet, on a une zone de déformation plastique importante en tête de fissure, avec gp>>gs . La propagation des dislocations produit en outre un émoussement du fond de fissure, donc une augmentation du rayon de courbure et une diminution de la contrainte en fond de fissure. Le terme sSpa dépend de l’état des contraintes et de la géométrie de l’éprouvette. K a est appelé facteur d’intensité de contraintes. En toute rigueur, cette expression n’est valable que dans le cas d’une éprouvette semi-infinie contenant une fissure interne de longueur 2a sollicitée en mode I (les 3 modes de sollicitations sont présentés page suivante). Dans les autres cas, on introduit des facteurs correctifs liés à la géométrie de la fissure et de la pièce et on a : 3 K I a F avec F facteur correctif. Le terme SEGc est une caractéristique intrinsèque du matériau. On pose alors Qui est appelé facteur d’intensité de contrainte critique ou tenacité du matériau. K c E Gc Le critère de rupture s’écrit alors : K = Kc Les 3 modes de sollicitations Mode II Mode I Mode III Le mode I est généralement le plus étudié, car le plus critique en terme de rupture brutale. G est appelé indifféremment Energie de fissuration, force d’extension de la fissure, ou encore taux de restitution d’Energie. La fissure se propage lorsque G atteint une valeur critique Gc , caractéristique du matériau. Il existe donc une valeur KIc du facteur d’intensité de contraintes telle que la fissure ne se propage de façon instable que lorsque : K I K Ic KIc caractérise la résistance du matériau à la propagation plane des fissures en mode I. Sa valeur est indépendante de la géométrie du détail et des conditions de chargement, à condition que le matériau soit isotrope. Une structure sera donc considérée comme « sûre » si l’inégalité suivante est vérifiée : a K Ic D’où l’introduction d’une longueur ac pour laquelle la fissure se propage de manière instable (rupture). 4 PARTIE I I. PRESENTATION DE LA METHODE q 5 Cette méthode implémentée dans certains codes de calcul permet d’évaluer numériquement le taux de restitution d’Energie G. Cette grandeur intéresse le mécanicien dans le cadre de la Mécanique de la rupture. Elle s’appuie sur un moyen mathématique qui permet la considération d’une intégrale de volume plus simplement appropriée aux calculs par la Méthode aux Eléments Finis que l’intégrale de contour. Les calculs numériques entraînent l’évaluation d’une intégrale de surface en 2D et d’une intégrale de volume en 3D. La fonction q est définie comme un champ de déplacements normalisé, qui peut être interprété comme le mouvement de la matière à proximité du fond de fissure, suite à une propagation virtuelle de la fissure. Elle représente un champ de propagation virtuelle du fond de fissure. Pour une étude sur un domaine 2D, ce qui correpond au cas le plus simple dans sa formulation, la fonction q peut être présentée comme suit : q = 1 dans le domaine A 0 < q <1 dans le domaine B q = 0 dans le domaine C q=(0,0) C q=(1,0) X2 A B X1 On se donne un domaine d’étude comportant une fissure. On définit les domaines A et B comme indiqué sur la figure ci-dessus, le domaine C constitue donc le reste du domaine d’étude. Dans la direction X1, la fonction q est égale à 1 à l’intérieur du domaine A comportant le fond de fissure, varie entre 1 et 0 à l’intérieur de la couronne B (en fonction de la distance au fond de fissure), et est égale à 0 dans tout le reste du domaine d’étude (C). Pour que cette fonction puisse être compatible avec les calculs par MEF, il convient de l’interpoler aux nœuds du maillage des domaines A et B. On définit donc en chaque nœud i d’un maillage une valeur qi. Cette valeur est en fait un champ de vecteurs. On parlera de valeur puisque la seule composante de ce champs prise en compte est la composante suivant X1. Le champs q est ainsi défini suivant la géométrie du problème, en considérant la direction dans laquelle le fond de fissure est le plus susceptible d’avancer. Le champ q est donc défini aux nœuds. Ainsi une représentation paramétrique de la fonction est obtenue sur chaque élément. On a q = Ni qi où Ni sont les fonctions de pondération, et i les numéros des nœuds d’un élément. Le calcul de G est effectué sur chaque élément, à partir du champ de contraintes, des déplacements et du champ q défini plus haut, Il est donc nécessaire d’avoir accès à q sur les éléments. 6 Pour un calcul MEF, le maillage du domaine (A+B) devra être adapté à ce qui précède, c’est pourquoi il conviendra de faire intervenir un maillage rayonnant autour du fond de fissure. Nous obtenons ainsi une portion de cercle définissant le domaine A, et une succession de couronnes définissant le domaine B, comme l’illustre la figure suivante : B B A A (Les logiciels Eléments Finis génèrent évidemment des formes géométriques parfaites, la figure se contente de donner une idée de la procédure.) Une fois ce maillage rayonnant obtenu, nous définissons le champ q comme indiqué précédemment, et q décroît linéairement de 1 à 0 sur les nœuds des rayons du maillage rayonnant. q peut donc être obtenu sur les éléments et le calcul de G sur chaque élément j peut être lancé. Le taux de restitution d’énergie total est la somme des Gj, avec j numéro des éléments. G est défini comme une intégrale de surface en 2D, car elle est équivalent à l’intégrale J, intégrale de Rice (ceci n’est vrai qu’en 2D). Son expression fait intervenir les champs solutions en déplacements et en contraintes, et le champ q définissant l’avancée virtuelle de la fissure. G est défini comme la dérivée de l’énergie potentielle (W) par rapport à la longueur de fissure (a) : G W a P.DESTUYNDER a montré que G s’écrit sous la forme : G 2 2 ij ( i , j 1 k 1 u j k x k xi )d 2 u i 2 k 1 ( )( )d 2 i , j 1 ij x j k 1 xk Le calcul est effectué sur chaque élément. Le taux de restitution d’énergie global G sera évidemment la somme des taux élémentaires. Remarque : On a vu précédemment que la valeur de q sur un élément est obtenue en faisant une moyenne pondérée des valeurs aux nœuds de cet élément : qél = Ni qi. Ceci entraîne que les seuls éléments sur lesquels q, et par conséquent G, sera non nul sont les 7 éléments ayant au moins 1 nœud en commun avec les éléments de la couronne extérieure du maillage rayonnant, ainsi que les éléments du maillage rayonnant. II. ETUDE THEORIQUE D’UN CAS TEST :EPROUVETTE CN (CENTRE NOTCHED, éprouvette fissurée centrale) II.1 Facteur d’intensité de contraintes et taux de restitution d’énergie Le cas simple qui sera étudié dans le but de valider la méthode ( sur le code MODULEF) est le modèle de Griffith : Une plaque fissurée en son centre dans le sens de la largeur, soumise à un effort de traction uniaxial. Cette plaque est un plan infini comportant une fissure, comme l’illustre la figure page suivante. Cette étude théorique est menée à partir des formules empiriques communément admises dans la littérature relative à la Mécanique de la Rupture. Le résultat obtenu sera la référence par rapport à la solution numérique recherchée. Le calcul théorique de G (taux de restitution d’énergie) fait intervenir le facteur d’intensité de contraintes KI. D’après le 1er chapitre, on a : K I a Avec : a : longueur de demi-fissure s : contrainte de traction imposée. Unité de KI : Mpa Sm . Cette expression est valable pour le modèle de Griffith, où le milieu considéré est un plan infini. Un facteur correctif devra être introduit afin de prendre en compte la longueur de la fissure devant la largeur finie de la plaque. Le milieu considéré est alors un plan semi-infini. La figure page suivante illustre la différence entre le modèle de Griffith dans le cas d’un plan infini et dans le cas d’un plan semi-infini, ce dernier cas étant beaucoup plus approprié aux études théoriques. s s 8 2a 2a 2b s s KI = sSpa KI = sSpa f(a/b) Problème de Giffith dans le cas d’une plaque de largeur finie. Problème de Griffith : plan infini avec fissure de longueur 2a. L’équation qui sera retenue pour notre étude sera évidemment la seconde. On admettera donc la formule : 2 K I a a f b avec a a a 1 0,5 0,370 0,044 b a b b f a b 1 b Le taux de restitution d’énergie est lié à KI suivant les formules suivantes : G K 2 G I E EN CONTRAINTES PLANES 1 E 2 K 2 I EN DEFORMATIONS PLANES Notre étude est faite en contraintes planes, la formule à considérer est donc : 2 a 2 a I f E E b G K Avec G 2 MPa 2 .m MKg.m MPa.m MKg.s 2 MN .m1 (106 ) N .m1 MPa m.s 2 9 3 II.2 Application numérique Le domaine d’étude que nous considérerons est le suivant : s Paramètres géométriques, caractéristique du matériau et du chargement : L = 500 mm b = 100 mm a = 37 mm E = 200 000 Mpa (module d’Young) n = 0,3 (coefficient de Poisson) s = 1 MPa L 2a 2b s En appliquant les formules précédemment établies au domaine d’étude, on obtient : a 1 0,5 0,37 0,37 0,37 0,044 0,37 f 1,087812328 1 0,37 b 2 D' où 3 K I 1 37.103 1,087812328 K I 0,3708768918 MPa. m On obtient donc pour le taux de restitution d’énergie G: G 0,6877483445 N .m1 2 0,3708768918 G 6,877483445 . 10 7 MPa.m 200000G 0,6877483445 N .m 1 G 0,6877483445 Pa.m G 0,6877483445 Kg.s 2 10 Voici le tableau présentant les différentes valeurs du taux de restitution d’énergie G en fonction de la contrainte. Les courbes théoriques présentant G en fonction du chargement pour différentes longueurs de fissure figurent page suivante. Taux de restitution d'énergie G (MPa.m) Chargement s 0,25 0,5 1 1 1,25 1,5 1,75 2 a=20mm Mpa MPa MPa MPa MPa MPa MPa MPa 0,019631 0,078538 0,176701 0,31415 0,49084 0,70684 0,96207 1,2566 a=30mm a=40mm 0,029445 0,11795 0,26505 0,47121 0,73628 1,06025 1,44313 1,88491 Fact. d'intensité de contraintes K (MPa.m 0,5) a=20mm 0,03967 0,15707 0,3534 0,62831 0,98173 1,41368 1,92417 2,51326 a=30mm 0,06266 0,12533 0,18799 0,25066 0,31332 0,37599 0,43865 0,50132 a=40mm 0,07674 0,15349 0,23024 0,30699 0,38374 0,46049 0,53724 0,61399 0,08862 0,17724 0,26586 0,35449 0,44311 0,53173 0,62035 0,70898 Il est aisé de voir d’après les formules que les courbes présentant l’évolution du facteur d’intensité de contraintes K et du taux de restitution d’énergie seront respectivement des droites et des paraboles. K = f( s , a) Evolution du facteur d'intensité de contraintes en fonction du chargement pour différentes longueurs de fissure 0,8 0,7 0,6 0.5 K (MPa.m ) 0,5 a=20 mm 0,4 a=30 mm a=40 mm 0,3 0,2 0,1 0 0,25 0,5 1 1 1,25 Chargement (contrainte en Mpa) 11 1,5 1,75 2 G = f( s , a) Evolution du taux de restitution d'Energie en fonction du chargement pour différentes longueurs de fissure 3 2,5 G (MPa.m) 2 a=20 mm a=30 mm 1,5 a=40 mm 1 0,5 0 0,25 0,5 1 1 1,25 1,5 1,75 2 Chargement (contraintes en MPa) On remarquera que ces courbes théoriques ont été tracées en ne considérant aucun facteur correctif. On représentera plus loin dans le compte-rendu sur une même courbe les points théoriques et expérimentaux. III. MISE EN ŒUVRE DE LA METHODE SUR MODULEF Passons maintenant à l’évoluation numérique de G. Nous allons tout d’abord fixer le contexte mécanique dans lequel nous travaillons. On se place dans le cadre de l’Elasticité Linéaire Homogène et Isotrope (ELHI). Un calcul élastique classique sera effectué afin d’obtenir les champs solutions en déplacements et en contraintes. Nous détaillerons cette étape plus loin. Une fois ces champs solutions obtenus, nous définissons le champ THETA à partir du maillage rayonnant. L’exécutable qui crée la SD contenant le champs q, défini en chaque nœud du maillage, est thetaxx. L’étape suivante est le calcul effectif de G sur chaque élément. Le programme effectuant ce calcul est gcalxx. 12 III.1 Organigramme du calcul L’organigramme du calcul de G est le suivant : CREATION DU MAILLAGE III.2 apnoxx, rayoxx INTERPOLATION comaxx DEFINITION DES CONDITIONS AUX LIMITES CINEMATIQUES cobdxx DEFINITION DES CARACTERISTIQUES DU MATERIAU, DES EFFORTS ET CALCUL DES QUANTITES ELEMENTAIRES thecxx ASSEMBLAGE ET RESOLUTION PAR LA METHODE DE CHOLESKY cholxx DEFINITION DU CHAMP q DEFINISSANT L’AVANCEE VIRTUELLE DE LA FISSURE EN CHAQUE NOEUD thetaxx CALCUL EFFECTIF DE G SUR CHAQUE ELEMENT ET DU G GLOBAL gcalxx Résolution : du maillage au calcul de G III.2.1 Définition et discrétisation du domaine d’étude La plaque étudiée a été décrite précédemment, et les symétries du problèmes sont évidentes. La géomètrie de la plaque permet donc l’étude sur un quart de la plaque, plutôt que sur la plaque entière. Les calculs seront moins nombreux donc moins longs. La solution globale sera obtenue par symétrie. On définit donc le domaine d’étude suivant : Le maillage sera relativement fin. Le voisinage du fond de fissure sera maillé avec un maillage rayonnant. 250 37 100 13 Puisque différents type de maillage doivent être générer, il faudra construire le maillage en plusieurs étapes : Maillage rayonnant Un exécutable a été développé sur MODULEF permettant de générer quasiment automatiquement un maillage rayonnant autour d’un point : rayoxx. Les données nécéssaire à ce programme sont les coordonnées des points définissant la génératrice, le nombre de secteurs et de couronnes à générer, ainsi que l’angle de rotation (en degrés). Les références des entités générées sont également recquises. On maille donc le demicercle suivant : 5 couronnes + partie centrale 12 secteurs mray.sd (8,0) génératrice, ainsi que sommets référencés 3 (37,0) (66,0) 3 3 3 2 2 2 Reste de la plaque Le reste du domaine est maillé avec le mailleur 2D APNOPO. On génère donc les maillages suivants : (0,250) 2 (0,40) (100,40) 2 2 2 (100,250) nopo1.sd 2 (0,0) 1 (8,0) (37,0) (66,0) 3 nopo2.sd (100,0) 3 3 2 (0,40) Ces maillages sont maillés en triangle alors que le maillage rayonnant est maillé en quadrangle (sur ses couronnes, et en triangles pour la partie centrale). 14 (100,40) Les références 1, 2, et 3 seront utilisées par la suite pour la définition des conditions en déplacements, ainsi que la définition des efforts appliqués. On procède au recollement de ces 3 maillages, à l’aide du pré-processeur recoxx pour obtenir le maillage final NOPO.SD . Le maillage est constitué d’éléments droits, en appelant le pré-processeur adpnxx, on ajoute 1 nœud sur chaque arête afin d’obtenir des quadrangles et triangles à respectivement 8 et 6 nœuds. Il faut à présent renuméroter les nœuds du maillage : on appelle le pré-processeur gibbxx qui optimise la numérotation des nœuds du maillage. En résumé, voici les différentes étapes : RAYON.DTA nopo1.dat nopo2.dat mray.sd nopo1.sd nopo2.sd Maillage rayonnant mray.sd rayoxx nopo1.sd apnoxx Maillage du reste de la plaque nopo2.sd apnoxx recoxx NOPO.SD NOPO.SD adpnxx NOPO2.SD Ajout de noeuds NOPO2.SD gibbxx NOPO.SD Renumérotation des noeuds Recollement des 3 maillages La SD NOPO.SD est le maillage final (sd de type nopo) sur lequel nous effectuerons le reste des opérations. Tous les maillages mentionnés plus haut, ainsi que leurs datas figurent en annexe1. III.2.2 Interpolation Il faut ici définir les fonctions d’interpolations des éléments. Le module d’interpolation est COMACO. Des nœuds ont été ajoutés afin d’obtenir des éléments courbes, nous allons donc choisir des éléments courbes de type 2. Les éléméents choisis sont QUAD 2Q2C et TRIA 2P2C, respectivement quadrangle courbes à 8 nœuds et triangle courbe à 6 nœuds. TRIA 2P1D TRIA 2P2C QUAD 2Q1D QUAD 2Q2C 15 On obtient en sortie de COMACO les SD MAIL.SD et COOR.SD, respectivement de type mail et coor. Les datas et versions formatées de ces sd sont fournies en annexe1. III.2.3 Définition des conditions aux limites cinématiques On appelle le module COBDC1 pour décrire les conditions aux limites en déplacements, puisque l’étude est réduite à un quart de la plaque. Les symétries sont évidentes et on sent intuitivement que certains nœuds du domaine d’étude ne se déplaceront que dans une seule direction. On rappelle que le domaine que nous avons maillé est le suivant : Référence 1 : pas de condition de blocage de ddl.(effort linéique appliqué plus loin) Référence 2 : déplacement uniquement suivant y, ddl 1 bloqué. Référence 3 : déplacement uniquement suivant x, ddl 2 bloqué. Référence 0 : Aucune condition imposée en déplacements et aucun effort appliqué. Il est évident que les points appartenant à la référence 2 n’ont aucunes raisons de se déplacer suivant x, et idem pour les points appartenant à la référence 3 suivant y. Ces conditions aux limites imposées semblent légitimes. Nous verrons tout de même plus loin qu’elles seront remises en question… Dans le data, ces conditions correspondent aux triplets suivants : Ref ddl mnémonique valeur de blocage 2 3 1 2 VN VN 0. 0. En sortie de ce module, on obtient la sd COBD.SD de type bdcl. (Cette sd sera prise en compte pour le calcul élastique par la méthode de Cholesky) III.2.4 Calcul des quantités élémentaires et définition Dans le module ELASCT, on indique la provenance du problème, à savoir problème d’élasticité linéaire classique.On définit ici les caractéristiques du matériau : module d’Young et coefficient de Poisson. On décrit également l’effort appliqué à notre domaine d’étude. On rentre donc les données suivantes : E = 200 000 MPa n = 0.3 16 La référence à laquelle nous appliquons l’effort en traction est la référence 1 (voir page précédente). Pour un effort linéique, on a la relation s = F / l avec F effort appliqué et l longueur de la ligne sur laquelle est appliqué l’effort. Dans notre cas, on a l = 100 mm, et s = 1 MPa. On en déduit donc l’effort à appliquer sur la référence 1: F = l . s = 100 mm * 1 MPa = 100 N Dans le data, la seule référence à décrire sera donc la référence 1. Et la seule composante non nulle des efforts est la comosante suivant y de l’effort linéique (100 N). On précisera que le fichier POBA est nécéssaire ici. On obtient en sortie la sd TAE.SD de type tae. III.2.5 Assemblage et résolution par la méthode de Cholesky On enchaîne plusieurs modules avec l’exécutable cholxx. On tient compte pour le calcul de la sd bdcl définie précédemment COBD.SD contenant les conditions aux limites en déplacements. La sd de sortie de ce module est B.SD, de type b. Elle contient le champs solution en déplacements en chaque nœud. Ce sera une des sd recquises pour le calcul de G sur chaque élément. III.2.6 Définition du champ THETA en chaque nœud du maillage Passons à présent au calcul du champ THETA nécéssaire au calcul de G. L’exécutable à appeler est thetaxx. Le source fortran77 est conservé mais il ne figure pas en annexe. Ce programme demande en entrée le nombre de fissure, la description de la fissure (par nœud ou par référence), le numéro de ce nœud ou de cette référence, les composantes du vecteur définissant l’avancée virtuelle de la fissure, et pour finir les rayons de la première et de la dernière couronne du maillage rayonnant. Une légère modification a été apportée au programme initial : la variable NBFIS (nombre de fissure) est forcée à 1 dans le source fortran 77. Cette variable n’est en fait pas attendue dans le source, alors que des calculs nécéssitent sa présence. On indique que la fissure est repérée par un nœud (son numéro est 12, c’est le nœud représentant le fond de fissure).Le module est 1. Les composantes du vecteur définissant l’avancée du fond de fissure sont (1,0) respectivement suivant x et y. Enfin, les rayons de la première et de la dernière couronne sont 4,83 mm et 29 mm. En chaque nœud du maillage rayonnant sont affectées 2 composantes : une suivant x, l’autre suivant y. La 2ème composante ( sur y) est nulle quelque soit le nœud, à cause du vecteur défini plus haut. La composante de q suivant x varie linéairement de 1 à 0 sur les nœuds des rayons du maillage rayonnant (1 en fond de fissure et 0 sur le bord). Ainsi, comme expliqué dans le chapitre I, on définit les domaines suivants : q=0 0<q<1 q=1 4,83 mm 29 mm 17 Ces données sont contenues dans le data RAY_THETA.DTA, et la sd obtenue après exécution de ce programme est THETA.SD. C’est cette structure de donnée qui contient le champ THETA en chaque nœud du maillage. Cette sd est de type b, on pourra donc visualiser le champs THETA sous forme d’isovaleurs, à l’aide de l’outil de post-traitement graphique trmcxx. Cette visualisation figure en annexe1. On remarquera que q est nul sur tout le reste du domaine d’étude. III.2.7 Calcul du taux de restitution d’énergie G Nous entrons à présent dans le vif du sujet : le calcul de G sur chaque élément et par conséquent du taux de restitution d’énergie global G. Le programme effectuant ce calcul est GCALXX. Le source fortran77 comme précédemment sera conservé mais non fourni en annexe. Cet exécutable est constitué de plusieurs subroutine : GCALG, GCALCU, G2AXEC, GCALCW, MILIEU et GSIGMA. Les subroutines s’appellent entre elles suivant une multitude de boucles. Celle qui nous intéresse le plus ici est GCALCU. C’est dans celle-ci que sont calculés les taux élémentaires, elle est donc située dans une boucle sur les éléments. Plusieurs sd sont nécéssaires en entrée du programme : la sd mail MAIL.SD, la sd coor COOR.SD, la sd b B.SD, la sd b THETA.SD, du fichier résultat existant GCALG.RES et du fichier GCALG.ERR pour stocker les erreurs au cas où il y en aurait. La méthode « G-THETA » n’est toujours pas validée sur MODULEF, les résultats qui sortent de cette procédure semblent faux. Des valeurs négatives de G sont obtenues, alors que le taux de restitution d’énergie est un scalaire positif. Une erreur dans le calcul ou dans la programmation est sans doute à l’origine de ces résultats négatifs, reste à déceler le problème dans les sources F77. Les résultats sont indiqués dans le tableau ci-après, pour un premier calcul. Ce calcul n’aurait même pas dû être lancé pour des raisons évidentes qui sont expliquées plus loin. En effet, avant même d’avoir eu la possibilité de lancer le calcul de G (car il a fallu en quelque sorte « débuguer » le programme et le recompiler), nous avons constaté que le calcul élastique était faux. Le fond de fissure se déplace vers l’intérieur du domaine d’étude, alors qu’il semblerait logique qu’il se déplace vers l’extérieur. On peut sentir, même intuitivement, que la fissure centrale de la plaque soumise à une traction devrait s’ouvrir. Le calcul élastique étant faux, les déplacements sont faux, par conséquent les contraintes sont fausses, et le calcul de G est ainsi complètement faussé. Le maillage initial et la déformée figurent en annexe 1, et un zoom sur le maillage rayonnant permet de constater que le fond de fissure se déplace vers l’intérieur de la plaque. En admettant donc que le calcul de G soit correctement implémenté et mis en œuvre, les résultats n’en seraient pas corrects pour autant, puisque le calcul élastique linéaire est faux. Nous présentons tout de même les résultats obtenus, après avoir lancé le calcul. 18 Le résultat fourni ici correspond à la traction de la plaque fissurée en son centre, de largeur 100mm et de longueur de fissure initiale 37mm. Pour le quart de la plaque modélisé : G = 0,6537365 E+02 = 65,37365 N.mm-1 On aura donc pour la plaque entière : Gplaque = 4 * 0,6537365 E+02 = 261,4946 N.mm-1 Ce résultat est apparemment faux. L’erreur relative est de quasiment 100 % (99,73). On lancera tout de même les calculs pour plusieurs chargement afin d’avoir l’allure de la courbe. Soit l’implémentation du calcul de G est buggé, soit les contraintes sont également faussées par un bug. Dans le cadre de ce TER, il est difficile et surtout coûteux en temps de reprendre toutes ces vérifications. Les résultats sortis de MODULEF pour différents chargements figurent dans le tableau ci-dessous. On tracera l’évolution de G en fonction de la contrainte de traction imposée. En annexe figure une partie du fichier GCALG.RES dans lequel se trouve les résultats numériques sortis de GCALXX. III.3 Présentation des résultats expérimentaux La courbe correspond a une longueur de fissure initiale a=37mm. On constate que malgré les valeurs de G beaucoup trop supérieure aux valeurs théoriques, la courbe expérimentale a exactement l’allure des courbes théorique. contrainte en MPa G expérimental (quart de la plaque) G expérimental (plaque entière) en N/mm en N/mm 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 4,085853 16,34341 36,77268 65,37365 102,1463 147,0907 200,2068 261,4946 16,343412 65,37364 147,09072 261,4946 408,5852 588,3628 800,8272 1045,9784 On verra plus loin que les résultats sortants de MODULEF ne sont pas si incohérents, le problème vient peut-être de l’unité du résultat numérique. 19 SOLUTION EXPERIMENTALE - MODULEF Evolution du taux de restitution d'énergie G en fonction du chargement pour a=37mm 1200 Taux de restitution d'énergie G (N/mm) 1000 800 600 a = 37mm 400 200 0 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 contrainte s (en MPa) IV RECONSIDERATION DU PROBLEME IV.1 Problèmes rencontrés Comme expliqué précédemment, le problème peut provenir d’une part du calcul élastique et d’autre part de l’aspect programmation. Il a donc fallu reposer le problème et réviser nos hypothèses. Les questions qui se posent sont les suivantes : Est-ce que les éléments finis utilisés sont adaptés au calcul ? Est-ce que le couplage de ces éléments au niveau du maillage pose un problème ? Est-ce que les résultats sont faussés par un bug informatique dans le calcul de G? Est-ce que notre approche théorique est correcte ? Nous sommes donc amenés à changer les données du problème afin de pouvoir répondre à toutes ces questions. IV.1.1 Test des éléments finis TRIA 2P2C et QUAD 2Q2C seuls Pour tester les éléments finis, nous maillons notre domaine d’étude à l’aide des éléments utilisés précédemment mais séparément cette fois. On relancera 2 calculs : l’un s’appuyant sur un maillage en triangles uniquement, l’autre sur un maillage en quadrangles uniquement. Ces maillages figurent en annexe 1, et on constate que le calcul élastique donne les mêmes résultats. Nous ne pouvons évidemment pas comparer G, puisque le calcul n’est pas réalisable à partir de tels maillages. 20 IV.1.2 Test du couplage de ces 2 éléments au niveau du maillage Pour s’assurer que le couplage de ces deux éléments (QUAD 2Q2C et TRIA 2P2C) ne fausse pas les résultats, on peut considérer le même domaine d’étude, mais avec un essai mécanique dont on connait la solution analytique. C’est le cas d’une poutre en traction. On revoit donc les conditions aux limites cinématiques de manière à introduire l’encastrement de la base de la plaque. On a donc le problème classique suivant : s La solution analytique de ce problème est connue. En élasticité linéaire, on a la relation s = E e. On a alors suivant y : yy E yy E Uy l E l y Cette formule est valable sur n’importe quel point du domaine d’étude. Le nœud sur lequel nous avons vérifier cette relation est le nœud haut gauche du maillage. La relation est validée, le couplage entre ces 2 éléments n’est donc pas une source d’erreur. IV.1.3 Révision de l’approche théorique Dans la littérature de la mécanique de la rupture, on trouve plusieurs formules définissant le facteur d’intensité de contraintes dans le cas d’une plaque de largeur finie. Nous avons pris l’une d’entre elles. Nous pouvons penser que ceele avec laquelle nous avons fait les calculs analytiques est fausse, et par conséquent nous en prenons une autre. Une autre formule donnant le facteur correctif à introduire au niveau du calcul du KI dans le cas d’une plaque de largeur finie est : a F2 cos 2b 1 2 Ce qui nous donne dans notre cas, avec a=37mm et b=100mm : F2=1.000025725 Ce facteur est beaucoup plus faible que le précédent, le résultat théorique en sera un peu changé, mais pas dans le bon sens : KI = s Spa.F2 = 0.34094 MPa.Sm et G = KI2 / E = 0,5812245 N/m Un autre facteur nous a été donné par l’enseignant responsable du TER, sur une solution analytique de référence : F=1,98. On a alors : KI = s Spa.F = 0.67505 MPa.Sm et G = KI2 / E = 2,27851.10 -6 N/m IV.1.4 Recours à un autre code de calcul : CASTEM 2000 21 La 2ème partie de ce TER portant sur l’utilisation de ce code, nous nous proposons d’étudier ce même cas test pour avoir des résultats numériques présentables. Nous ne donnerons pas ici le détail des calculs ni les valeurs numériques obtenues. Ceci fait l’objet du début de la 2ème partie du rapport. Nous noterons tout de même que les valeurs obtenues sur les 2 codes sont comparables au niveau des décimales. On pourra conclure sur l’unité du résultats numérique. Ceci n’explique pas la large différence même sur CASTEM avec la théorie. Les résultats seront présentés plus loin, dans la 2ème partie entièrement consacrée à CASTEM 2000. IV.2 Solutions envisagées L’autre aspect est la programmation fortran77. Il a en effet fallu « fouiller » dans les sources f77 (qui ne sont pas fournis ici) afin de déceler toutes les sources d’erreurs. Dans le programme GCALXX, nous avons changer le remplissage de la matrice d’élasticité (subroutine MILIEU) car le coefficient de Lamé l était mal défini : l’étude est faite en contraintes planes alors que la valeur affectée au coefficient dans le programme était celle d’une étude en déformations planes. De plus au niveau des itérations pour le calcul des G élémentaires, une somme en trop figure dans le programme, nous avons donc jugé bon de l’enlever et de faire les calculs avec le nouvel exécutable obtenu après compilation et édition de liens. A ce stade du TER, nous pensons que les résultats de MODULEF ne sont pas acceptables. V. CONCLUSION Dans le tableau ci-dessous figurent les résultats numériques obtenus sur les 2 codes de calcul. Les valeurs analytiques sont calculées avec le facteur correctif F=1,98 . Contrainte (MPa) 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 Taux de restitution d'énergie G (en N/mm) ERREUR % MODULEF CASTEM 2000 ANALYTIQUE CASTEM/ANALYTIQUE 16,34341 65,37364 147,09072 261,49460 408,58520 583,62800 800,82720 1045,97840 1,634580E-04 6,538330E-04 1,471120E-03 2,615330E-03 4,086450E-03 5,884490E-03 8,009450E-03 1,046130E-02 1,4240722E-04 5,6962886E-04 1,2816650E-03 2,2785154E-03 3,5601804E-03 5,1266598E-03 6,9779536E-03 9,1140618E-03 14,70% 14,70% 14,80% 14,90% 14,60% 14,80% 14,70% 14,20% On constate que les résultats fournis par MODULEF sont 105 fois supérieur à ceux obtenus par CASTEM 2000, même si les décimales sont très similaires. A priori l’unité du taux de restitution d’énergie sortant du logiciel est en Newton par unité de longueur, ici N/mm. Le problème provient peut-être de ces unités justement. La finesse du maillage et le degré des éléments finis utilisés ne sont à priori pas à remettre en question ici. VI. ANNEXE 1 22 VI.1 Jeu de data relatif à chaque module RAYON.DTA (maillage rayonnant mray.sd) 'COORDONNEES DES 2 POINTS DEFINISSANT LA GENERATRICE ANGULAIRE ' 37. 0. 66. 0. 'ANGLE DE GENERATION (EN DEGRE) ' 180 'NOMBRE DE SECTEURS A GENERER ' 12 'NOMBRE DE SOMMETS SUR LA GENERATRICE ' 7 'PROGRESSION GEOMETRIQUE DES SOMMETS SUR LA GENERATRICE ' 1.1 'SENS DE GENERATION (1, 2, 3 OU 4) ' 1 'NUMERO DE REFERENCE DU SOMMET DEFINISSANT L'ORIGINE DE LA GENERATRICE' 3 'NUMERO DE REFERENCE DU SOMMET DEFINISSANT LA GENERATRICE ' 3 'NUMERO DE REFERENCE DU SOMMET DEFINISSANT LE DERNIER COTE GENERE ' 0 'NUMERO DU SOUS DOMAINE ' 1 'INDICATEUR DE DECOUPAGE DES QUADRANGLES GENERES ' 0 'INDICE D IMPRESSION DE LA SD NOPO RESULTAT ' 10 nopo1.dat (maillage de nopo1.sd) nopo1.dat (data nopo1.sd) 23 'TER 'POIN 10 7 $ IMPRE NPOINT $ $ NOP NOREF(NOP) X(NOP). Y(NOP). $ 1 2 0.000000E+00 0.000000E+00 2 0 0.800000E+01 0.000000E+00 3 3 0.660000E+02 0.000000E+00 4 3 0.100000E+03 0.000000E+00 5 0 0.100000E+03 0.400000E+02 6 2 0.000000E+00 0.400000E+02 7 0 0.370000E+02 0.000000E+00 'LIGN 10 6 $ IMPRE NDLM $ $ NOLIG NOELIG NEXTR1 NEXTR2 NOREFL NFFRON RAISON $ 1 3 1 2 0 0 0.100000E+01 2 13 3 2 0 -3 0.100000E+01 7 $ NOCE 3 8 3 4 3 0 0.100000E+01 4 10 4 5 0 0 0.100000E+01 5 20 5 6 0 0 0.100000E+01 6 10 6 1 2 0 0.100000E+01 'TRIA 10 1 1 6 1 $ IMPRE NIVEAU NUDSD NBRELI NPROPA $ LISTE DES LIGNES DU CONTOUR : 1 2 3 4 5 6 1 0 0 $ NCOMP NBRINT IOPT $ 6 $ COMPOSANTE $ 'RENC 10 1 2 $ IMPRE NIVEA1 NIVEA2 'SAUV 10 2 0 $ IMPRE NINOPO NTNOPO nopo1.sd $ NOM FICHIER 'FIN ' ' ' ' ' ' ' nopo2.dat (maillage de nopo2.sd) 'TER ' 24 'POIN 10 5 $ IMPRE NPOINT $ $ NOP NOREF(NOP) X(NOP). Y(NOP). $ 1 2 0.000000E+00 0.400000E+02 2 0 0.100000E+03 0.400000E+02 3 4 0.100000E+03 0.145000E+03 4 0 0.100000E+03 0.250000E+03 5 2 0.000000E+00 0.250000E+03 'LIGN 10 5 $ IMPRE NDLM $ $ NOLIG NOELIG NEXTR1 NEXTR2 NOREFL NFFRON RAISON $ 1 20 1 2 0 0 0.100000E+01 2 14 2 3 0 0 0.100000E+01 3 16 3 4 0 0 0.100000E+01 4 20 4 5 1 0 0.100000E+01 5 30 5 1 2 0 0.100000E+01 'TRIA 10 1 1 5 1 $ IMPRE NIVEAU NUDSD NBRELI NPROPA $ LISTE DES LIGNES DU CONTOUR : 1 2 3 4 5 1 0 0 $ NCOMP NBRINT IOPT $ 5 $ COMPOSANTE $ 'RENC 10 1 2 $ IMPRE NIVEA1 NIVEA2 'SAUV 10 2 0 $ IMPRE NINOPO NTNOPO nopo2.sd $ NOM FICHIER 'FIN coma.dat (interpolation donnant MAIL.SD et COOR.SD) 0 INTERPRETEES 2 1 4 0 ELAS 2 QUAD 2Q2C TRIA 2P2C 2 QUAD 2Q2C TRIA 2P2C NOPO.SD 0 MAIL.SD 0 COOR.SD 0 0 0 $ Y A T IL DES FONCTIONS 0 $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ NDIM NDSD NBSDC NNR NBLC NOM DE LA BIBLIOTHEQUE NTYED DU SD 1 LE NOM DES ELEMENTS DROITS LE NOM DES ELEMENTS DROITS NTYEC DU SD 1 LE NOM DES ELEMENTS COURBES LE NOM DES ELEMENTS COURBES NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD NOPO NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD MAIL NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD COOR NTMAIL NTCOOR cobd.dat (conditions aux limites cinématiques donnant COBD.SD) MAIL.SD $ NOM DU FICHIER 25 ' ' ' ' ' ' 35 COBD.SD 35 0 1 2 5 2 1 VN MNEMO 3 2 VN MNEMO 0.0000000E+00 0.0000000E+00 0 0 SI CL EN RL PAR SP $ $ $ $ $ $ ET NIVEAU DE LA SD MAIL NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD BDCL NTBDCL ICONST NBFR NTYP REF INC.VARIATIONNELLE $ REF $ $ $ $ INC.VARIATIONNELLE VALEUR VALEUR 1 SI SD NDL1 2 SI CL EN RL A LA MAIN ; -1 elas.dat (calcul des quantités élémentaires donnant TAE.SD) MAIL.SD $ NOM DU FICHIER 35 $ ET NIVEAU DE LA SD MAIL COOR.SD $ NOM DU FICHIER 35 $ ET NIVEAU DE LA SD COOR tae.sd $ NOM DU FICHIER 35 $ ET NIVEAU DE LA SD TAE 0 $ NTTAE 1 $ 1 SI POBA EST UTILISE , 0 SINON /usr/local/modulef/hp700/sta/etc/poba.direct 2 $ NPROV 0 $ NTHELA 0 1 1 1 $ IOPT(*) :RIE 0 $ NOM DU TABLEAU DES CL ET NOMBRE DE CL 1 $ NOMBRE DE SD A DECRITS , LISTE 1 1 $ NBRE DE REFERENCES DECRITES , LISTE 1 2 0 1 $ NDIM NAXIS ISOTROPIE 1 $ NOPTIO 0.2000000E+06 0.3000000E+00 0.0000000E+00 $ TENSEUR E(I,J) 0.0000000E+00 0.0000000E+00 0.0000000E+00 $ TENSEUR E(I,J) 1 $ NDSM 0.0000000E+00 0.0000000E+00 $ F DANS OMEGA 0.0000000E+00 0.1000000E+03 $ F SUR GAMMA chol.dat (résolution par la méthode de Cholesky donnant sd B.SD) MAIL.SD $ NOM DU FICHIER 26 1 1 tae.sd 1 1 SINON COBD.SD 1 0 B.SD 1 10 5 $ ET NIVEAU DE LA SD MAIL $ NDSM NTYP ND $ NOM DU FICHIER $ ET NIVEAU DE LA SD TAE $ 1 SI BDCL EST UTILISE , 0 2 $ $ $ $ $ $ NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD BDCL 1 SI CL. EN RL. EXISTE NOM DU FICHIER ET NIVEAU DE LA SD B IMPREB RAY_THETA.DTA (création THETA.SD) 0 12 1. 1. 0. 4.83 29. VI.2 structures de données formatées &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. NOPO DE NIVEAU 5 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& TITRE : DATE ET NOM UTILISATEUR : 25/05/99 pohier TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES : NOPO NIVEAU ET NUMERO D'ETAT : 5 0 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 0 TABLEAU N O P 2 ---------------CARACTERISTIQUES DU MAILLAGE : DIMENSION DE L'ESPACE (NDIM ) MAXIMUM DES NUMEROS DE REFERENCE (NDSR ) MAXIMUM DES NUMEROS DE SOUS-DOMAINE (NDSD ) NOEUDS ET POINTS NE COINCIDENT PAS (NCOPNP) NOMBRE D'ELEMENTS DU MAILLAGE (NE ) NOMBRE DE TRIANGLES (NTRI ) NOMBRE DE QUADRANGLES (NQUA ) NOMBRE D'ELEMENTS FRONTALIERS (NEF ) NOMBRE DE NOEUDS (NOE ) NOMBRE DE NOEUDS PAR SEGMENT (HORS EXTREMITES) NOMBRE DE POINTS (NP ) TYPE DES VALEURS DES COORDONNEES (NTYCOO) DIFFERENCE MAX + 1 ENTRE 2 NOEUDS D'UN ELEMENT NOMBRE D'ELEMENTS GROSSIERS (NBEGM ) NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU NOP5 (LNOP5 ) AXES DE REFERENCE X,Y,Z (NTACOO) : 2 : 5 : 1 : 0 : 1287 : 1227 : 60 : 198 : 2750 : 1 : 732 : REEL1MOT : 117 : 0 : 19518 : 1 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. MAIL DE NIVEAU 0 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& 27 TITRE DATE ET NOM UTILISATEUR TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES NIVEAU ET NUMERO D'ETAT NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : : 25/05/99 : MAIL : 0 : 0 pohier 0 TABLEAU M A I 2 ---------------DIMENSION DE L'ESPACE (NDIM) : 2 NOMBRE D'INCONNUES DE LA FORMULATION VARIATIONNELLE (NINCFV) : NOMBRE DE TYPES D'ELEMENTS (NTYELM) : 2 NOMBRE DE NUMEROS DE REFERENCES (NNR) : 5 NOMBRE DE TYPES DE NOEUDS (NTYNOE) : 1 NOMBRE DE TYPES DE POINTS (NTYPOI) : 1 NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU MAI3 (LMAI3) : 36 LES POINTS NE SONT DEFINIS QUE PAR LEURS COORDONNEES NOEUDS ET POINTS COINCIDENT PARTOUT (NCOPNP) : 1 NOMBRE MAXIMUM DE MOTS POUR UN ELEMENT (NMMAEL) : 25 NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU MAIL (LMAIL) : 16884 OPTION DE STOCKAGE (NOPFI) : 0 TABLEAU M A I 3 ---------------NOMBRE D'ELEMENTS NOMBRE DE NOEUDS NOMBRE DE POINTS NOMBRE DE SOUS-DOMAINES (NE) (NOE) (NP) (NDSD) : : : : 2 1287 2750 2750 1 NOMBRE D'INCONNUES VARIATIONNELLES DE CHAQUE TYPE DE NOEUD ---------------------------------------------------------DEPLACEMENT EN X (INCONNUE : DEPLACEMENT EN Y (INCONNUE : 1) : VN 2) : VN TABLEAUX M A I B A M A I K ------------------------------DESCRIPTION DES TYPES D'ELEMENTS TYPE D'ELEMENT 1 : ------------------NOM DE L'ELEMENT : ELASQUAD2Q2C CODE DE L'ELEMENT : 200008 L'ELEMENT EST UN : QUADRANGLE NOMBRE DE NOEUDS : 8 NOMBRE DE POINTS : 8 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 1 --------------------------------------------------------------------TYPE D'ELEMENT 2 : ------------------NOM DE L'ELEMENT : ELASTRIA2P2C CODE DE L'ELEMENT : 200003 L'ELEMENT EST UN : TRIANGLE NOMBRE DE NOEUDS : 6 NOMBRE DE POINTS : 6 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 1 --------------------------------------------------------------------- &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. COOR DE NIVEAU 0 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& 28 TITRE DATE ET NOM UTILISATEUR TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES NIVEAU ET NUMERO D'ETAT NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : : 25/05/99 : COOR : 0 : 0 TABLEAU C O O 2 --------------TYPE DU TABLEAU COO4 (NTYT) NOMBRE DE SES INDICES (NINDI) DIMENSION DU DOMAINE (NDIM) VALEUR MAXIMALE DU DEUXIEME INDICE (M2) CODE DE LA SEGMENTATION (NCODS) NOMBRE DE BLOCS (NBLOC) TYPE DES AXES DES COORDONNEES (NTACOO) pohier 0 : : : : : : : 2 2 2 2750 1 1 1 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. BDCL DE NIVEAU 35 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& TITRE : DATE ET NOM UTILISATEUR : 25/05/99 pohier TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES : BDCL NIVEAU ET NUMERO D'ETAT : 35 0 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 0 TABLEAU B D C 2 ---------------TYPE DES VALEURS DE BLOCAGE (NTYB) NOMBRE DE CARTES DECRIVANT LES BLOCAGES (NCART) NOMBRE DE RELATIONS LINEAIRES DE BLOCAGE (NCLRL) NUMERO D'OPTION DE STOCKAGE (NOPTFI) NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU BDC3 (NMMAT3) NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU BDC4 (NMMAT4) NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU BDC5 (NMMAT5) NOMBRE DE MOTS DU TABLEAU BDC6 (NMMAT6) : : : : : : : : 5 103 0 0 309 206 0 0 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. TAE DE NIVEAU 35 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& TITRE : DATE ET NOM UTILISATEUR : 16/04/99 pohier TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES : TAE NIVEAU ET NUMERO D'ETAT : 35 0 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 0 TABLEAU T A E 2 ---------------NOMBRE D'ELEMENTS (NE) NOMBRE DE NOEUDS (NOE) NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES A CHAQUE ELEMENT (NTACE) NOMBRE MAXIMUM DE NOEUDS D'UN ELEMENT (NNOMAX) NOMBRE CONSTANT DE D.L. PAR NOEUD ( 0 SI NON ) (ND) NOMBRE MAXIMUM DE D.L. PAR NOEUD (NDLMAX) NOMBRE DE TYPE D'ELEMENTS (NTYELM) SOMME DU NOMBRE DE NOEUDS DES TYPES D'ELEMENTS (LNOET) PROBLEME : 1 THERMIQUE, 2 ELASTIQUE, 3 AUTRE (NPROV) 29 : : : : : : : : : 1180 674 3 4 2 2 2 7 2 LES OPTIONS CHOISIES NUMERO DU TABLEAU ASSOCIE QUI REPRESENTE LA MASSE LA RAIDEUR LA PREMIERE COMBINAISON LINEAIRE LA DERNIERE LE(S) SECOND(S) MEMBRE(S) LES CONTRAINTES OU LE FLUX (NOPTNT) : : : : : : : : 111 0 1 0 0 2 3 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. B DE NIVEAU 1 (B.SD) &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& TITRE : DATE ET NOM UTILISATEUR : 25/05/99 pohier TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES : B NIVEAU ET NUMERO D'ETAT : 1 2 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 0 TABLEAU B 2 -----------TYPE DU TABLEAU (NTYT) : 5 NOMBRE DE SES INDICES ET LEURS MAXI (NIND..) : 2 1 5500 TRAITEMENT (1:PAGES DE MEME TAILLE,0:SINON) (NCOD) : 1 NOMBRE DE PAGES DU TABLEAU B4 (NBLOC) : 1 NOMBRE DE NOEUDS (NOE) : 2750 NOMBRE DE TABLEAUX B4 DANS CETTE S.D. (NBBLOC) : 1 NOMBRE CONSTANT DE D.L. PAR NOEUD OU 0 (ND) : 2 NOMBRE DE D.L. OU LONGUEUR D'UNE PAGE DE B4 (NTDL) : 5500 CODE DE STOCKAGE DE B (NCODSB) : -1 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& IMPRESSION DE LA S.D. B DE NIVEAU 0 (THETA.SD) &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& TITRE : DATE ET NOM UTILISATEUR : 25/05/99 pohier TYPE DE LA STRUCTURE DE DONNEES : B NIVEAU ET NUMERO D'ETAT : 0 0 NOMBRE DE TABLEAUX ASSOCIES : 0 TABLEAU B 2 -----------TYPE DU TABLEAU (NTYT) NOMBRE DE SES INDICES ET LEURS MAXI (NIND..) TRAITEMENT (1:PAGES DE MEME TAILLE,0:SINON) (NCOD) NOMBRE DE PAGES DU TABLEAU B4 (NBLOC) NOMBRE DE NOEUDS (NOE) NOMBRE DE TABLEAUX B4 DANS CETTE S.D. (NBBLOC) NOMBRE CONSTANT DE D.L. PAR NOEUD OU 0 (ND) NOMBRE DE D.L. OU LONGUEUR D'UNE PAGE DE B4 (NTDL) CODE DE STOCKAGE DE B (NCODSB) VI.3 Visualisation des résultats 30 : : : : : : : : : 5 2 1 1 2750 1 2 5500 -1 1 5500 Les pages suivantes présentent les différents maillage intermédiaires et le maillage final, ainsi que la déformée. Nous présentons également les tests pour vérifier le calcul élastique. Figurent également le champ de contraintes, les isovaleurs des déplacements en X puis en Y, ainsi que la sd THETA. 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 VI.4 Fichier résultats GCALG.RES 48 ------------------------------------------------------------ ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT . . ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT 1 2 3 4 5 6 7 8 11 12 13 14 15 16 17 18 20 21 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 --------------------------------------------------- G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = -.4816866D+00 -.5029084D-04 -.5184970D-02 .1500834D+00 .8445404D-01 -.1727061D-01 -.6652169D-03 .9455963D-01 .2779733D-03 -.2026807D-01 -.7199015D-01 .3170321D-01 -.8186101D-02 .8476094D-01 -.3278036D-01 .2416588D-01 .1617434D-01 .2620570D-02 -.1834230D-02 -.6996152D-02 .1283200D-01 -.1006544D-02 -.5578192D-01 .2049324D-01 .3057563D-01 -.2274181D-01 .2879000D-01 -.2184816D-01 .2932154D-01 -.2538035D-01 .0000000D+00 -.6593936D-02 -.4204129D-02 .0000000D+00 -.3379729D-01 .1964647D-01 .1580015D-01 .1696900D-02 .2009029D-01 -.1601207D-01 .1541984D-01 .0000000D+00 -.1450964D-01 -.4147283D-02 .0000000D+00 .0000000D+00 -.4288888D-03 .0000000D+00 .0000000D+00 -.1111930D-02 67 68 69 70 71 72 73 74 75 ---------- G G G G G G G G G = = = = = = = = = .6980630D-03 -.2461949D-01 .1457930D-03 -.9926844D-01 .8007455D-04 -.3012290D-01 .5130536D-03 .0000000D+00 -.1116870D-02 49 ------------------------------------------------------------- ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT . 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 ------------------------------------------------------------- G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = .2523793D-02 .0000000D+00 .3985649D-01 -.3478769D-01 .3737032D-01 -.1173429D+00 .2938483D+00 .1041221D-01 -.6254855D-01 .4737444D-01 -.3049451D-01 -.5211064D+00 .7868050D+00 -.3768885D+00 .1239148D+00 .6768085D+00 .0000000D+00 -.5576319D+00 .2210016D-01 .2223662D+00 .2937947D-02 .1049624D-03 -.2419468D+00 .6177510D+00 .4060996D+00 -.1076676D-01 .9090403D-03 .0000000D+00 .1616332D-02 .0000000D+00 -.7788085D-02 -.8451153D-02 .4104099D+00 -.1361814D-01 .0000000D+00 .1180678D-01 .0000000D+00 .1435336D-01 .0000000D+00 .0000000D+00 -.4564642D-02 .1342923D-02 .2774731D-01 .0000000D+00 -.2529021D-03 -.2542985D-02 -.6180479D-03 .3404320D-02 .3157054D-01 -.2982811D-01 -.1229944D-01 -.6677247D-02 .2897845D-01 -.1910386D-01 .0000000D+00 -.2806729D-02 .2090339D-01 -.5312485D-02 .0000000D+00 .5087548D-02 50 ------------------------------------------------------------- . ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT 145 146 147 148 149 150 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 ------------------------------------------------------------- G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = -.9945144D-04 .0000000D+00 .0000000D+00 .1923725D-02 .2740722D-01 -.1126842D+00 .0000000D+00 -.1117555D-01 -.2638525D-02 -.1923274D-01 .0000000D+00 .9305267D-02 .3953279D-01 -.1701156D-04 -.4268277D-02 .3405882D-03 .1225469D-01 .0000000D+00 .4169327D-02 .5089221D-02 -.1044614D-01 .0000000D+00 .5072291D-03 .0000000D+00 .0000000D+00 -.4778440D-02 .2484043D-02 -.2556603D-02 .7522651D-02 -.1999724D-01 -.2216026D-01 .0000000D+00 -.4224958D-02 .1715376D-01 .2634735D-01 -.2374308D-01 .1922063D-01 .4813220D-01 -.1374707D-01 -.2119484D-01 .2083620D-01 -.4726268D+00 .3457533D-01 -.7826463D+00 .1167286D+01 .0000000D+00 -.4694965D+00 -.1803050D+01 -.1099625D+01 .5500665D+00 -.2912435D-02 -.2584625D+01 .4460174D+00 -.3990301D+01 .2154349D+01 -.5994558D+01 .7788058D+01 .0000000D+00 .3867197D-01 -.5305872D+01 51 -------------------------------------------------------------- ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 -------------------------------------------------------------- G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = -.7808927D+01 -.6845682D+01 -.4379842D+01 .0000000D+00 .2026517D+00 .1641899D+02 .1446510D+02 .2453291D+02 .1312575D+02 .2459509D+02 .6925821D-01 .2092870D+02 .1994363D+02 -.3093576D+02 .1944025D+02 .1640466D+02 .1916846D+01 .2439982D+02 -.2641442D+02 -.6904565D+01 -.3066787D+02 -.4146975D+01 .6430904D+01 -.1865455D+02 .2481587D+02 -.1596451D+02 -.1332134D+00 .0000000D+00 .5149860D+01 .0000000D+00 -.1108651D+02 .1742068D+02 -.2268415D+02 .1274075D+02 -.6824496D+01 .1770457D+01 .9995483D+01 -.1055983D+02 -.4439292D+01 -.8109508D+00 .6078279D+01 .1494310D+01 .5651703D-01 -.5514454D+00 .5729476D+00 -.2644692D+00 .3637876D+00 -.2611551D-01 -.2123850D+00 -.1252353D+00 .4029382D+00 .1608970D-01 .3856273D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 -.1397250D-02 .0000000D+00 -.5117646D-03 -.3637615D-01 -.3212775D-03 52 ----------------------- ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 ----------------------- G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = .3294433D-03 .7594641D-01 .2998249D-02 .0000000D+00 -.1717063D-02 -.1771968D-01 .0000000D+00 .1528813D-01 .0000000D+00 .0000000D+00 .3647079D-01 -.5400485D-01 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 -.3857621D-02 .0000000D+00 .0000000D+00 .2106884D-02 1281 1282 1283 1284 1285 1286 1287 -------- G G G G G G G = = = = = = = .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 .0000000D+00 . . -------- ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT ELEMENT G GLOBAL = .6537365D+02 Ce fichier est le fichier résultat dans lequel sont stockées les valeurs des taux élémentaire, puis par somme la valeur du taux de restitution d’énergie global Gglobal. 53 PARTIE 2 54 Cette seconde partie du TER consiste à évaluer numériquement le taux de restitution d’énergie via la méthode G-THETA à l’aide du code de calculs par Eléments Finis CASTEM 2000. Pour se familiariser avec le logiciel, on se propose de reprendre le cas test présenté sur MODULEF : plaque fissurée en son centre soumise à une traction. Nous nous consacrerons ensuite à l’étude d’une éprouvette CT (Compact Tension), de traction. L’étude sera tout d’abord faîte dans le cas isotrope. Nous tenterons ensuite de valider une « astuce » qui permet de traiter également le cas en orthotrope. I. REPRISE DU CAS TEST DE LA PLAQUE 2D FISSUREE La méthode G-THETA est implémentée sur CASTEM 2000, on pourra donc obtenir une évaluation numérique de G. Le domaine d’étude, l’effort appliqué ainsi que les conditions aux limites cinématiques sont rigoureusement les mêmes. Les valeurs de G que nous avons obtenu sur MODULEF nous parraissaient complétement abhérentes, nous allons pourtant montrer que les changements que nous avons apportés au programme GCALXX permettent d’obtenir des valeurs présentables(*), à un facteur de 10 près. Le même cas d’école (modèle de Griffith) a été repris sur le code de calcul CASTEM 2000, et les résultats qu’il donne sont complétement comparable à ceux donnés par MODULEF. En appliquant successivement les mêmes chargement à la même géométrie, les résultats sont quasiment identiques à un facteur 105 près. Nous présentons dans un tableau page suivante les valeurs du taux de restitution d’énergie obtenu via CASTEM 2000, et nous porterons notre attention non pas sur la courbe mais sur les valeurs qui sont, comme expliqué précédemment particulièrement analogue à celles obtenues via MODULEF. On présentera également dans un même tableau les valeurs des 2 codes de calcul MODULEF et CASTEM 2000 SOLUTION NUMERIQUE - CASTEM 2000 Taux de restitution d'énergie G en N/mm Contrainte en MPa 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 quart de la plaque plaque entière 4,08645E-05 1,63458E-04 3,67780E-04 6,53833E-04 1,02161E-03 1,47112E-03 2,00236E-03 2,61533E-03 1,63458E-04 6,53833E-04 1,47112E-03 2,61533E-03 4,08645E-03 5,88449E-03 8,00945E-03 1,04613E-02 (*) : On considère que l’on peut faire confiance à CASTEM 2000. 55 SOLUTION EXPERIMENTALE - CASTEM 2000 Evolution du taux de restitution d'énergie en fonction du chargement pour a=37mm 1,20000E-02 Taux de restitution d'énergie G (en N/mm) 1,00000E-02 8,00000E-03 6,00000E-03 a=37mm 4,00000E-03 2,00000E-03 0,00000E+00 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 Contrainte s (en MPa) COMPARAISON ENTRE MODULEF ET CASTEM 2000 Taux de restitution d'énergie G (en N/mm) Contrainte (MPa) 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 MODULE F CASTEM 2000 16,343412 65,373640 147,090720 261,494600 408,585200 588,362800 800,827200 1045,978400 0,000163458 0,000653833 0,001471120 0,002615330 0,004086450 0,005884490 0,008009450 0,010461300 On constate sur le tableau qu’à part le facteur 105, les valeurs sont similaires. On sait que dans CASTEM 2000, la méthode G-THETA est bien implémentée et que les résultats qui en sortent sont corrects. On pourra donc conclure sur l’origine des erreurs dans MODULEF. Les valeurs présentées ci-dessus sont obtenues avec les éléments finis TRI3 et QUA4 de CASTEM, qui sont respectivement des triangles droits à 3 nœuds et des quadrangles droits à 4 nœuds. On se propose d’étudier l’influence de l’élément fini sur les résultats. On relancer pour ce faire le calcul avec les éléments QUA8 et TRI6, qui sont des éléments courbes à respectivement 8 et 6 nœuds. La différence des résultats en fonction de l’élément est représentée par les courbes pages suivantes. La solution analytique apparaît également sous forme de courbe afin de situer la solution expérimentale par rapport à la théorie. 56 SOLUTION EXPERIMENTALE - CASTEM 2000 influence du degré de l'élément fini sur la solution 1,20E-02 taux de restitution d'énergie G (en N.mm-1) 1,00E-02 8,00E-03 6,00E-03 éléments droits éléments courbes solution analytique 4,00E-03 2,00E-03 0,00E+00 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 contrainte s (en MPa) La solution experimentale est encore assez éloignée de la solution analytique, ce qui semble assez curieux puisque CASTEM devrait donner les bons résultats. Le problème de l’unité en sortie de CASTEM se pose toujours… Remarque : Cette étude du même cas test a été réalisée afin d’avoir le logiciel en main pour aborder la suite sans se poser trop de questions. Nous avons ainsi pu nous familiariser avec l’environnement CASTEM, avec les datas qui se programment en GIBIANE (macro langage)… On présentera en annexe 2 le maillage et les contraintes (critère de Von-Mises). II. ETUDE D’UNE EPROUVETTE CT (Compact Tension) EN 2D, DANS LE CADRE DE L’E.L.H.I. II.1 Etude théorique de l’éprouvette CT ( KI et G) L’éprouvette étudiée ici est une éprouvette CT normalisée ayant les dimensions suivantes : w 0.25 w diamètre 0.275 w 1,2 w a B 57 1,25 w Notre étude sera faite en déformations planes, avec w=14mm, et a=7,..,13mm pour être cohérent avec les résultats expérimentaux donnés en annexe 3. On rappelle que cette étude est réalisée en 2D, pour un matériau isotrope et dans le cadre de l’ELHI. Dans la littérature classique de la mécanique de la rupture, ainsi que dans l’article fourni en annexe 3, on trouve l’expression du facteur d’intensité de contraintes : 1 3 5 7 9 2 2 2 2 a a a a a 29,6 185,5 655,7 1017 638,9 2 KI B w w w w w w P Où P est le chargement en Newtons (N), B la l’épaisseur de l’éprouvette, w la largeur de l’éprouvette et a la longueur de fissure initiale. La relation liant le facteur d’intensité de contraintes au taux de restitution d’énergie G est dans l’hypothèses des déformations planes : 1 2 2 G KI E Où E et n sont respectivement le module d’Young et le coefficient de poisson du matériau. Nous prendrons pour notre étude : E = 18,4 Gpa et n = 0,32. Notre étude est faite dans le cas isotrope, en 2D. Il faudra, lors des calculs analytiques, tenir compte de l’épaisseur B qui intervient dans le calcul du facteur d’intensité de contraintes. On considére l’épaisseur unité pour être cohérent avec le chargement appliqué dans CASTEM sur la structure 2D. La page suivante présente les résultats théoriques du facteur d’intensité de contraintes KI, et du taux de restitution d’énergie G en fonction de l’effort appliqué, et pour différentes longueurs de fissure initiale. Les courbes sont également tracées, il va sans dire que leurs allures sont les mêmes que pour le problème précédent. Les valeurs ont été obtenues à l’aide d’un petit programme FORTRAN77 développé dans le but d’éviter d’effectuer le calcul, assez fastidieux, pour chaque chargement et chaque longueur de fissure à la calculette. Ce programme prog.f figure en annexe 2. Remarque : On notera cette fois que le chargement P dans la formule est un effort en Newtons et non plus une contrainte en MPa comme c’est le cas pour la plaque (modèle de Griffith). L’unité du facteur d’intensité de contrainte KI est donc ici N.mm-3/2 et celle du taux de restitution d’énergie G est N.mm-1. 58 59 K=f(P,a) Evolution du facteur d'intensité de contraintes en fonction du chargement P pour différentes longueurs de fissure initiale a 3500 3000 2500 2000 1500 1000 a=13mm a=12mm a=11mm a=10mm a=9mm a=8mm a=7mm 500 -3/2 4000 facteur d'intensité de contraintes K I (en N.mm ) 4500 a=7mm a=8mm a=9mm a=10mm a=11mm a=12mm a=13mm 0 25 50 75 100 150 125 175 200 Chargement P (enN) G=f(P,a) Evolution du taux de restitution d'énergie en fonction du chargement P pour différentes longueurs de fissure initiale a 1000 800 700 600 500 400 300 200 a=13mm a=12mm a=11mm a=10mm a=9mm 100 0 a=8mm a=7mm 25 50 100 75 125 150 Chargement P (en N) 60 175 200 Taux de restitution d'énergie G (en N.mm-1) 900 a=7mm a=8mm a=9mm a=10mm a=11mm a=12mm a=13mm On prendra comme valeurs représentatives KI et G pour un chargement de 100 N et une longueur de fissure initiale de 7mm. Ce qui nous donne : KI = 256,6615 N.mm-3/2 pour le facteur d’intensité de contraintes. G = 3,21356 N.mm-1 pour le taux de restitution d’énergie. Ces valeurs théoriques pourront être comparées aux évaluations numériques par la suite. II.2 Calcul numérique avec CASTEM 2000 Nous détaillerons moins cette partie que pour MODULEF, puisque chaque étape (maillage, conditions aux limites cinématiques, assemblage et résolution…) est effectuée dans un seul data, en Gibiane. Le data de notre éprouvette CT figure en annexe. Le temps nous manque dans le cadre de ce TER pour détailler chacune des opérations comme avec MODULEF. Nous privilègions donc la présentation des résultats obtenus, puis la comparaison avec la théorie. Le calcul du taux de restitution d’énergie G sur CASTEM se fait par appel de la procédure « G-THETA ». Le calcul du facteur d’intensité de contraintes sera également effectué. Les maillages, déformées et champs de contraintes figurent en annexe 2. Faute de temps, nous ne présentons qu’une seule série de résultats : ils correspondent à une longueur de fissure initiale de 7mm, le chargement variant de 25 à 200 Newtons. Voici les résultats numériques obtenus avec ce logiciel. La valeur de G étant déjà multipliée par 4, elle correspond au G global de l’éprouvette entière. CHARGEMENT KI G en N.mm-3/2 en N.mm-1 en Newtons (N) Facteur d'intensité de contraintes Taux de restitution d'énergie 25 50 75 100 125 150 175 200 64,395 128,79 193,19 257,58 321,98 386,37 450,77 515,16 0,34308 1,3723 3,0877 5,4892 8,5769 12,351 16,811 21,957 II.3 Conclusion : comparaison des résultats analytiques et numériques Nous présentons les tableaux donnant les valeurs analytiques et numériques de KI d’une part, et de G d’autre part. Le pourcentage d’erreur relative apparaîtra, ainsi que les courbes donnant l’évolution de ces grandeurs en fonction de l’effort appliqué. 61 On rappelle que l’étude est faite pour une longueur de fissure initiale a=7mm. II.3.1 Facteur d’intensité de contraintes KI Voici la comparaison entre théorie et évalution numérique sous forme de tableaux, d’erreur relative et de courbes, pour le facteur d’intensité de contraintes. KI en N.mm-3/2 (facteur d'intensité de contraintes) Chargement Erreur relative en Newtons (N) SOLUTION ANALYTIQUE SOLUTION NUMERIQUE en % 25 50 75 100 125 150 175 200 64,16537 128,3307 192,4961 256,6615 320,8269 384,9922 449,1576 513,32 64,395 128,79 193,19 257,58 321,98 386,37 450,77 515,16 0,358 0,358 0,36 0,358 0,359 0,358 0,359 0,358 EPROUVETTE CT Comparaison entre solution analytique et solution numérique (CASTEM 2000) pour une longueur de fissure initiale a=7mm 600 400 -3/2 (en N.mm ) Facteur d'intensité de contraintes K I 500 300 Solution analytique 200 solution expérimentale 100 0 25 50 75 100 125 150 175 200 Chargement P (en N) On constate que les résultats numériques sont très proches des résultats analytiques. Ceci se remarque au niveau de l’erreur relative, et sur les courbes ci dessus. Elles sont quasiment superposées. 62 II.3.2 Taux de restitution d’énergie G Voici la comparaison entre théorie et évaluation numérique sous forme de tableaux, d’erreur relative et de courbes, pour le taux de restitution d’énergie. G en N.mm-1 (taux de restitution d'énergie) Chargement Erreur relative en Newtons (N) SOLUTION ANALYTIQUE SOLUTION NUMERIQUE en % 25 50 75 100 125 150 175 200 0,208475 0,8033901 1,807628 3,21356 5,021188 7,230511 9,841529 12,85424 0,34308 1,3723 3,0877 5,4892 8,5769 12,351 16,811 21,957 64,5 70,8 70,8 70,8 70,8 70,8 70,8 70,8 EPROUVETTE CT Comparaison entre solution analytique et solution numérique (CASTEM 2000) pour une longueur de fissure initiale a=7mm 20 -1 Taux de restitution d'énergie G (en N.mm ) 25 15 10 solution anlytique 5 solution numérique 0 25 50 75 100 125 150 175 200 Chargement (en N) On constate cette fois que l’évalution numérique est très loin de la théorie. Une erreur relative de 70% n’est pas acceptable dans un calcul de ce type. Cette différence se retrouve sur les courbes. L’évaluation numérique du facteur d’intensité de contraintes est quasi exact, alors que le taux de restitution d’énergie est très loin d’approcher la théorie. 63 Les calculs numériques avec CASTEM ont été réalisés avec un maillage constitué des éléments courbes QUA8 et TRI6. Le résultats de G, assez important par rapport à la théorie, peut provenir du nombre de couronnes du maillage rayonnant autour du fond de fissure (6 couronnes), les valeurs de G étant non nulles sur les éléments du maillage rayonnant et sur ceux ayant au moins un nœud en commun avec la couronne extérieure. III. ETUDE DE L’EPROUVETTE CT DANS LE CAS ORTHOTROPE Le cas que nous avons traité dans le chapitre précédent est en fait un cas particulier de cette étude. En effet, le matériau était considéré comme isotrope, c’est à dire que ses caractéristiques étaient les mêmes dans toutes les directions. Nous nous plaçons maintenant dans le cas orthotrope, c’est à dire que les caractéristiques du matériau (module d’Young et coefficient de Poisson) sont différentes suivant la direction considérée. La procédure « G-THETA » de CASTEM 2000 n’a pas été prévue pour l’étude en orthotrope. Il existe apparemment une astuce pour contourner cet obstacle, qui consiste à introduire une modification dans la procédure. Nous reviendrons sur cet aspect numérique plus loin. III.1 Etude théorique dans le cas orthotrope Le calcul du facteur d’intensité de contraintes KI est identique à celui pour le cas isotrope puisqu’il fait intervenir uniquement le chargement et la géométrie de l’éprouvette. On rappelle que la formule est : 1 3 5 7 9 2 2 2 2 2 a a a a a KI 29,6 185,5 655,7 1017 638,9 B w w w w w w P Le calcul du taux de restitution d’énergie est un peu plus complet dans sa formulation : 1 2 b b G K I 11 22 2 1 2 1 2 2 2 b22 b12 b66 2 b11 b11 Avec, en déformations planes: a a a b a 11 33 2 b 13 12 11 a a 12 22 33 22 33 2 23 33 a a a b a 66 64 a13 a 23 a 33 a a a b a 33 33 66 33 2 36 Et : 11 a a a 22 33 1 E a 13 13 31 E 1 E 2 1 E 36 3 a 12 E 2 0 3 a 23 23 32 1 E E 1 a a 66 3 1 G 12 12 21 E E 1 2 Où E1, E2, et E3 sont les modules d’Young suivant les 3 directions considérées, G12 le module de cisaillement, et n13, n23, n12 sont les 3 coefficients de Poisson. Les caractéristiques du matériau étudié sont les suivantes : E1 = 18,4 GPa = 18,4 E+03 MPa n13 = 0,32 E2 = 8,51 GPa = 8,51 E+03 MPa n23 = 0,62 E3 = 6,91 GPa = 6,91 E+03 MPa n12 = 0,31 G12 = 4,91 GPa = 4,91 E+03 MPa Ces valeurs sont donc des constantes pour chaque problème considéré Un petit programme à été développé ici aussi afin de faciliter les calculs, encore plus lourds que pour le cas isotrope. Ce programme (orto.f) figure en annexe 2. Faute de temps, les calculs seront effectués pour une seule longueur de fissure. Notre étude est à ce niveau réalisée en 2D, l’épaisseur considérée est donc l’unité (aussi bien au niveau de la formule théorique qu’au niveau du maillage). Pour un chargement P variant de 25 à 100 N, et une longueur de fissure initiale a = 7 mm, on obtient : EPAISSEUR UNITE: b=1mm Chargement P KI en N.mm-3/2 G en N.mm-1 en Newtons (N) facteur d'intensité de contraintes taux de restitution d'énergie 25 64,1653 0,3110483 50 128,3307 1,244193 75 192,4961 2,799435 100 256,6615 4,976773 125 320,8269 7,776207 150 384,9922 11,19774 175 449,1576 15,24137 200 513,323 19,90709 65 Les courbes suivantes représentent l’évolution du facteur d’intensité de contraintes et du taux de restitution d’énergie, en fonction du chargement. KI=f(P,a) Evolution du facteur d'intensité de contraintes en fonction du chargement, pour une longueur de fissure initiale a=7mm CAS ORTHOTROPE 2D -3/2 Facteur d'intensité de contraintes K I (en N.mm ) 600 500 400 300 a=7mm 200 100 0 25 50 75 100 125 150 175 200 Chargement (en N) G=f(P,a) Evolution du taux de restitution d'énergie en fonction du chargement, pour une longueur de fissure initiale a=7mm - CAS ORTHOTROPE 2D -1 Taux de restitution d'énergie G (en N.mm ) 25 20 15 a=7mm 10 5 0 25 50 75 100 125 Chargement (en N) 66 150 175 200 III.2 Mise en œuvre avec CASTEM 2000 Le data correspondant au calcul en orthotrope 2D figure en annexe 2. Le calcul élastique dans le cas orthotrope est prévu dans le logiciel, on a donc accès aux champs solutions en déplacements et en contraintes, respectivement U et s sans aucun problème. Le calcul du taux de restitution d’énergie est quant à lui un peu moins évident : la procédure « G-THETA » de CASTEM ne contient en effet que le cas isotrope. Il existe une astuce de programmation qui permet d’élargir le calcul de G au cas orthotrope. C’est là que réside tout l’intérêt de la démarche. Cette « astuce de programmation » figure en annexe 2. Nous présentons également en annexe 2 le champ de contraintes calculé dans le cas orthotrope (critère de Von-Mises). On constate une légère différence avec celui du cas isotrope, au niveau du fond de fissure. Nous ne sommes pas parvenus à obtenir des résultats numériques avec CASTEM 2000 pour cette étude en orthotrope. Le calcul de du facteur d’intensité de contraintes KI ne se fait pas aussi simplement que pour le cas isotrope puisque le logiciel plante au niveau de ce calcul, indépendant de celui de G. Le calcul du taux de restitution d’énergie G n’a pas abouti non-plus. Une erreur dans le programme ou dans la démarche (indiquée au dessus) nous a contraint à passer au calcul 3D. Nous ne présentons donc ici aucun résultat numérique, du moins en ce qui concerne le facteur d’intensité de contraintes et le taux de restitution d’énergie. IV. ETUDE DE L’EPROUVETTE CT EN 3D Pour cette étude de la structure en 3D, nous prendrons en compte l’épaisseur de l’éprouvette b=7mm. Les formules théoriques donnant KI et G dans le chapitre II.1 ne présentent à priori pas de condition sur la dimension de l’étude. Il suffit de définir une épaisseur unité pour une étude en 2D, et l’épaisseur réelle de l’éprouvette pour un calcul en 3D. On remplacera donc la valeur de b=1mm par b=7mm dans la formule du calcul de KI. Le facteur d’intensité de contraintes sera le même pour une étude en isotrope ou orthotrope, puisque son calcul ne fait pas intervenir les caractéristiques du matériau. Le calcul de G sera effectué selon le cas considéré (iso ou ortho). IV.1 Approche théorique en 3D dans les cas ISOTROPE et ORTHOTROPE On rappelle que le changement intervient au niveau de l’épaisseur b, et que les calculs sont faits à chaque fois pour la même longueur de fissure initiale a=7mm. 67 IV.1.1 Etude de l’éprouvette CT 3D dans le cas ISOTROPE La formule à considérer pour le calcul du taux de restitution d’énergie est donc celle se trouvant page 58 (§ II.1). On obtient les valeurs théoriques figurant dans le tableau ci-dessous : EPAISSEUR PRISE EN COMPTE: b=7mm Chargement P KI en N.mm-3/2 G en N.mm-1 en Newtons (N) facteur d'intensité de contraintes taux de restitution d'énergie 25 9,166482 4,098929E-03 50 18,33296 1,639570E-02 75 27,49945 3,689036E-02 100 36,66593 6,558287E-02 125 45,83241 1,024732E-01 150 54,99889 1,475615E-01 175 64,16537 2,008475E-01 200 73,33186 2,623315E-01 IV.1.2 Etude théorique de l’éprouvette CT 3D dans la cas ORTHOTROPE La formule à considérer pour calculer G analytiquement est maintenant celle se trouvant à la page 64 (§ III.1). Les résultats sont ceux fournis dans le tableau cidessous : EPAISSEUR PRISE EN COMPTE: b=7mm Chargement P KI en N.mm-3/2 G en N.mm-1 en Newtons (N) facteur d'intensité de contraintes taux de restitution d'énergie 25 9,166482 6,347924E-03 50 18,33296 2,539170E-02 75 27,49945 5,711313E-02 100 36,66593 1,015680E-01 125 45,83241 1,586981E-01 150 54,99889 2,285253E-01 175 64,16537 3,110483E-01 200 73,33186 4,062671E-01 68 IV.1.3 Courbes théoriques : comparaison entre ISOTROPE et ORTHOTROPE Voici sous formes de courbes les résultats analytiques du facteur d’intensité de contraintes et du taux de restitution d’énergie, en fonction du chargement. On peut situer un cas par rapport à l’autre. G=f(P) pour les cas isotropes et orthotrope 4,500000E-01 -1 Taux de restitution d'énergie G (en N.mm ) 4,000000E-01 3,500000E-01 ISOTROPE ORTHOTROPE 3,000000E-01 2,500000E-01 2,000000E-01 1,500000E-01 1,000000E-01 5,000000E-02 0,000000E+00 25 50 75 100 125 150 175 200 Chargement P (en N) IV.2 Mise en œuvre avec CASTEM 2000 IV.2.1 Etude dans le cas ISOTROPE 3D Le fichier de données de ce calcul figure en annexe 2. Nous présentons également le maillage 3D, la déformée obtenue suite à l’application d’un effort de 100 N, et le champ de contraintes 3D sous formes d’isovaleurs (critère de Von-Mises). L’épaisseur du maillage est 7mm, épaisseur prise en compte lors des calculs analytiques. Le calcul de G en 3D, même dans le cas isotrope n’a pas pu être lancé. Il nous aurait fallu plus de temps pour pouvoir nous consacrer entièrement à ce problème. IV.2.2 Etude dans le cas ORTHOTROPE 3D Pour les mêmes raisons, le calcul complet en orthotrope 3D n’a pu aboutir. Nous ne sommes pas parvenus à effectuer le calcul standard d’élasticité linéaire, le data ne sera donc pas fourni. 69 V. CONCLUSION Cette seconde partie du TER était surtout axée sur l’utilisation du code CASTEM 2000. Nous estimons avoir passé trop de temps sur la première partie qui consistait à valider la méthode sur MODULEF. Nous n’avons par conséquent pas pu consacrer à cette 2ème partie autant de temps que nous aurions du. L’étude dans le cas 2D isotrope n’a pas posé de problème. Le passage en 3D puis en orthotrope a compliqué les calculs. L’étude dans le cas orthotrope était en fait le plus grand intérêt de ce TER, et nous n’avons pas obtenu de résultats. Nous n’avons donc pas pu comparer de résultats numériques avec les résultats analytiques présentés. 70 VI. ANNEXE 2 VI.1 Programmation FORTRAN77 Nous présenterons ici les 2 programmes développés en FORTRAN77 afin d’effectuer les calculs analytiques du facteur d’intensité de contraintes KI et du taux de restitution d’énergie G, qui nous servent de références. Programme prog.f, pour l’étude en isotrope Program rupture double precision a,b,w,K,G,sig,K0,K1,K2,K3,K4,K5,nu,E write(*,*)'************************************' write(*,*)'****** MECANIQUE DE LA RUPTURE *****' write(*,*)'************************************' write(*,*)' ' write(*,*)' ETUDE THEORIQUE D''UNE EPROUVETTE CT' write(*,*)' EN DEFORMATIONS PLANES POUR UN MATERIAU ISOTROPE' write(*,*)'---------------------------------------------' write(*,*)' Calcul du facteur d''intensité de contraintes K' write(*,*)' Calcul du taux de restitution d''énergie G' write(*,*)' ' write(*,*)' Largeur de l''éprouvette en mm ? (w) ' read(*,*)w write(*,*)' Epaisseur de l''éprouvette en mm ? (b)' read(*,*)b write(*,*)' Longueur de fissure initiale en mm ? (a)' read(*,*)a write(*,*)' Young et Poisson du matériau ? (E,nu)' read(*,*)E,nu write(*,*)' Chargement (en N)' read(*,*)P K0=P/(b*(w**0.5)) K1=29.6*((a/w)**(0.5)) K2=-185.5*(a/w)**(1.5) K3=655.7*(a/w)**(2.5) K4=-1017*(a/w)**(3.5) K5=638.9*(a/w)**(4.5) K=K0*(K1+K2+K3+K4+K5) G=(K**2)*(1-(nu**2))/E 100 200 format(1X,'K=',1x,D14.7,' format(1x,'G=',1x,D14.7,' write(*,100)K write(*,200)G N.mm-3/2') N.mm-1') end 71 Programme orto.f , pour l’étude en orthotrope Program double double double double rupture2 precision precision precision precision a,b,w,K,G,G1,G2,G3,G4,P,K0,K1,K2,K3,K4,K5 E1,E2,E3,G12,nu13,nu23,nu12 a11,a22,a33,a13,a23,a12,a36,a66 b11,b22,b12,b66 write(*,*)'************************************' write(*,*)'****** MECANIQUE DE LA RUPTURE *****' write(*,*)'************************************' write(*,*)' ' write(*,*)' ETUDE THEORIQUE D''UNE EPROUVETTE CT' write(*,*)' EN DEFORMATIONS PLANES POUR UN MATERIAU ORTHOTROPE' write(*,*)'---------------------------------------------' write(*,*)' Calcul du facteur d''intensité de contraintes K' write(*,*)' Calcul du taux de restitution d''énergie G' write(*,*)' ' c ********** a=7 b=1 w=14 P=100 DEFINITIION DES PARAMETRES et EFFORT ******* c ********** DEFINITION DES CARACTERISTIQUE DU MATERIAU ***** E1=18.4E3 E2=8.51E3 E3=6.91E3 G12=4.91E3 nu13=0.32 nu23=0.62 nu12=0.31 c ******** CALCUL DE K1,facteur d'intensité de contraintes **** K0=P/(b*(w**0.5)) K1=29.6*((a/w)**(0.5)) K2=-185.5*(a/w)**(1.5) K3=655.7*(a/w)**(2.5) K4=-1017*(a/w)**(3.5) K5=638.9*(a/w)**(4.5) K=K0*(K1+K2+K3+K4+K5) c ******** DEFINITION DES TERMES POUR LE CALCUL DE G ****** a11=1/E1 a22=1/E2 a33=1/E3 a13=-(nu13)/E1 a23=-(nu23)/E2 a12=-(nu12)/E1 a36=0 a66=1/G12 c ************** CACUL DE CES TERMES ********************* b11=((a11*a33)-(a13)**2)/a33 b22=((a22*a33)-(a23)**2)/a33 b12=((a12*a33)-(a13*a23))/a33 b66=((a66*a33)-(a36)**2)/a33 72 c ******** CALCUL DU TAUX DE RESTITUTION D'ENERGIE G **** G1=((b11*b22)/2)**0.5 G2=(b22/b11)**0.5 G3=((2*b12)+b66)/(2*b11) G4=(G2+G3)**0.5 G=(K**2)*G1*G4 c 100 200 VI.2 ********** AFFICHAGE ********************* format(1X,'K=',1x,D14.7,' N.mm-3/2') format(1x,'G=',1x,D14.7,' N.mm-1') write(*,100)K write(*,200)G end Modification à apporter à la procédure G-THETA initiale Cette astuce de programmation consiste à apporter une modification dans le source de la procédure G-THETA de façon à prendre en compte le fait que les caractéristiques du matériau sont variables et non constantes. 2 solutions s’offrent alors au programmeur : Soit inclure la procédure modifiée en tête de fichier de données, soit faire figurer la procédure modifiée dans le répertoire du fichier de données, puis l’appeler avec le mot-clef « UTIL PROC nom_modif », où nom_modif est le nom de la procédure modifiée dans le répertoire. Cette modification figure page suivante. 73 74 VI.3 Datas et résultats obtenus sur CASTEM 2000 Les pages suivantes présentent pour tous les calculs lancés sur l’éprouvette CT, les datas, maillages, déformées et champs de contraintes tracées par le critère de VonMises. On présisera pour chaque série de résultats (datas et graphismes) les conditions de l’étude : ISOTROPE ou ORTHOTROPE, 2D ou 3D. 75 ISOTROPE 76 2D DATA DU CALCUL option dime 2 elem qua8 mode plan defo ; w=14. ;a=7 ;b=w-a ;a0=4.2 ;b0=w-4.2 ; ************** dens 1; pf=(b 0.) ; p1=(b-0.6 0.) ; p2=(b 0.6) ; p3=(b+0.6 0.) ; c1=(c (5) p1 pf p2) c (5) pf p3 ; sf=cout pf c1 ; *************** r=b0 -b ; p4=(b-r 0.) ; p5=(b r) ; p6=(b+r 0.) ; c2=(c (5) p4 pf p5) c (5) pf p6 ; l1=d (-6) p4 p1 DINI (0.6) DFIN (0.4) ; l2=d (-6) p2 p5 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; l3=d (-6) p3 p6 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; sf1=(dall l1 (c1 comp p1 p2) l2 ((inve c2) comp p5 p4)) ; sf2=(dall l3 ((inve c2) comp p6 p5) (inve l2) (c1 comp p2 p3)) ; sf=sf ET sf1 ET sf2 ; *********** OPTION ELEM TRI6 ; dens 1; p7=(10.3 0.6); l4=d p6 p7 ; p10=(0. 8.4); p11=(0. 0.); l8=d (10) p10 p11 ; l9=d (4) p11 p4 ; p12=(17.5 0.6); l10=d (13) p7 p12 ; p17=(17.5 8.4); l15=d (10) p12 p17 ; l7=d (10) p17 p10; l6=d (10) p7 p12 ; p19=(14. 5.6) ; p20=(15.75 3.85) ; p21=(14. 2.1) ; p22=(12.25 3.85) ; 77 c3=cer3 (10) p19 p20 p21 ; c4=cer3 (10) p21 p22 p19 ; c5=c3 et c4 ; lig1=l9 et c2 et l4 et l10 et l15 et l7 et l8 et c5 ; surf1=surf lig1 'PLANE' ; travail=(sf et surf1) ; ctravail=cont travail ; libas=ctravail comp p11 pf ; lifis=ctravail comp pf p6 ; ******************** trac travail ; *trac ctravail ; ****************éprouvette 3D************** **OPTION dime 3 ELEM cub8; **vec2=0. 0. 5. ; **rv=travail PLUS vec2 ; **vol1=travail volu rv ; **trac vol1 ; *option dime 2 ELEM TRI3 ; ***************************************** *****************calculs************************ objet=modl travail mecanique elastique isotrope ; mat=matr objet YOUN 18.4e3 NU 0.32 ; rig=rigi objet mat ; cdl1=bloq Uy libas ; cdl2=bloq Ux Uy p10 ; f=FORCE FY 100 p19; U=reso (rig et cdl1 et cdl2) f ; SIG=sigm mat objet U ; vec1=vect f FX FY 1. blanc ; defo1=DEFORME travail U 0. ; defo=DEFORME travail U rouge ; *trac (defo1 et defo) ; VMIS1=VMIS objet SIG ; trac objet VMIS1 ; sigy=exco SIG smyy ; sigx=exco SIG smxx ; trac sigy objet travail ; 78 trac sigx objet travail ; log2='faux' ; tab1=TABLE ; TAB1.FRTFISS=pf ; TAB1.LIFIS1=lifis ; TAB1.MODMIXTE=log2 ; SIF mat U tab1 ; SUPTAB = TABLE ; SUPTAB.OBJECTIF = MOT 'J' ; SUPTAB.LEVRE_SUPERIEURE = lifis ; SUPTAB.FRONT_FISSURE = pf ; SUPTAB.MODELE =objet ; SUPTAB.CARACTERISTIQUES =mat ; SUPTAB.SOLUTION_RESO = U ; SUPTAB.CHARGEMENTS_MECANIQUES = f ; SUPTAB.COUCHE = 6 ; ****APPEL A LA PROCEDURE G_THETA***** G_THETA suptab ; K=tab1.K1 ; mess 'K1='K ; G=SUPTAB.RESULTATS ; Gtot=G*2 ; mess'Gtot='Gtot ; 79 80 81 82 83 84 ORTHOTROPE 2D 85 DATA DU CALCUL option dime 2 elem qua8 mode PLAN DEFO ; *UTIL proc GRV ; w=14. ;a=7 ;b=w-a ;a0=4.2 ;b0=w-4.2 ; *************************maillage rayonnant********** ***************************************************** dens 1; pf=(b 0.) ; p1=(b-0.6 0.) ; p2=(b 0.6) ; p3=(b+0.6 0.) ; c01=c (5) p1 pf p2 ; c02=c (5) p2 pf p3 ; sf01=cout pf c01 ; sf02=cout pf c02 ; ***** r=b0 -b ; p4=(b-r 0.) ; p5=(b r) ; p6=(b+r 0) ; c11=c (5) p4 pf p5 ; c12=c (5) p5 pf p6 ; l1=d (-6) p4 p1 DINI (0.6) DFIN (0.4) ; l2=d (-6) p2 p5 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; l3=d (-6) p3 p6 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; sf11=(dall l1 c01 l2 (inve c11)) ; sf12=(dall l3 (inve c12) (inve l2) c02) ; **************************surface 1 ************** ************************************************** OPTION ELEM tri6 ; dens 1; p7=(10.3 0.6); l4=d p6 p7 ; p8=(17.5 0.6);l5=d (10) p7 p8 ; p9=(17.5 8.4);l6=d (10) p8 p9 ; p10=(0. 8.4);l7=d (10) p9 p10 ; p11=(0. 0.); l8=d (10) p10 p11 ; l9=d (4) p11 p4 ; p19=(14. 5.6) ; p20=(15.75 3.85) ; p21=(14. 2.1) ; p22=(12.25 3.85) ; ***** c3=cer3 (10) p19 p20 p21 ; c4=cer3 (10) p21 p22 p19 ; c5=c3 et c4 ; ***** lig1=l9 et c11 et c12 et l4 et l5 et l6 et l7 et l8 et c5 ; 86 surf1=surf lig1 'PLANE' ; maillage=surf1 ET sf01 ET sf02 ET sf11 ET sf12 ; ELIM 0.001 maillage ; cmail=CONT maillage ; libas=cmail COMP p11 pf ; lifiss=cmail COMP pf p6 ; trac maillage ; ****************************caculs***************** *************************************************** mod = MODL maillage MECANIQUE ELASTIQUE ORTHOTROPE ; dir1=1. 0. ; dir2=0. 1. ; mat=MATE MOD DIRECTION dir1 YG1 1.8e4 YG2 8.51e3 YG3 0. NU12 0.32 NU23 0.62 NU13 0. G12 4.91e3 ; ******************************* *mod=modl maillage mecanique elastique isotrope ; *mat=MATE mod YOUN 1.84e4 NU 0.32 ; rig=rigi mod mat ; cdl1=bloq UY libas ; cdl2=bloq Ux Uy p11 ; f=FORCE FY 100 p19 ; U=reso (rig et cdl1 et cdl2) f ; SIG=sigm mat mod U ; vec1=VECT f FX FY 0.5 blanc ; defo1=DEFORME maillage U 0. ; defo=DEFORME maillage U vec1 rouge ; trac (defo1 ET defo) ; VMIS1=VMIS mod SIG ; trac mod VMIS1 TITRE 'CHAMP DE CONTRAINTES'; sigy=exco SIG smyy ; sigx=exco SIG smxx ; trac sigy mod maillage ; trac sigx mod maillage ; *********facteur intensite de contraintes *log2='faux' ; *tab1=TABLE ; *tab1.FRTFISS=pf ; *tab1.LIFIS1=lifiss ; *tab1.MODMIXTE=log2 ; *SIF mat U tab1 ; ********** 87 SUPTAB = TABLE ; SUPTAB.OBJECTIF = MOT 'J' ; SUPTAB.LEVRE_SUPERIEURE = lifiss ; SUPTAB.FRONT_FISSURE = pf ; SUPTAB.MODELE =mod ; SUPTAB.CARACTERISTIQUES =mat ; SUPTAB.SOLUTION_RESO = U ; SUPTAB.CHARGEMENTS_MECANIQUES = f ; SUPTAB.COUCHE = 3 ; ************ *APPEL A LA PROCEDURE G_THETA ** G_THETA SUPTAB ; G=SUPTAB.RESULTATS ; mess'G='G ; *k=tab1.k1 ; *mess'k='k ; 88 89 ISOTROPE 3D 90 DATA DU CALCUL option dime 3 elem qua4 mode TRID ; OEIL=0. -50. 100. ; w=14. ;a=7 ;b=w-a ;a0=4.2 ;b0=w-4.2 ; h=-7 ; ncou=5; vec2=0. 0. h ; *************************maillage rayonnant********** ***************************************************** dens 1; pf=(b 0. 0.) ; p1=(b-0.6 0. 0.) ; p2=(b 0.6 0.) ; p3=(b+0.6 0. 0.) ; c01=c (5) p1 pf p2 ; c02=c (5) p2 pf p3 ; sf01=cout pf c01 ; sf02=cout pf c02 ; ***** r=b0 -b ; p4=(b-r 0. 0.) ; p5=(b r 0.) ; p6=(b+r 0.1 0.) ; c11=c (5) p4 pf p5 ; c12=c (5) p5 pf p6 ; l1=d (-6) p4 p1 DINI (0.6) DFIN (0.4) ; l2=d (-6) p2 p5 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; l3=d (-6) p3 p6 DINI (0.4) DFIN (0.6) ; sf11=(dall l1 c01 l2 (inve c11)) ; sf12=(dall l3 (inve c12) (inve l2) c02) ; **************************surface 1 ************** ************************************************** OPTION ELEM tri3 ; dens 1; p7=(10.3 0.6 0.); l4=d p6 p7 ; p8=(17.5 0.6 0.);l5=d (10) p7 p8 ; p9=(17.5 8.4 0.);l6=d (10) p8 p9 ; p10=(0. 8.4 0.);l7=d (10) p9 p10 ; p11=(0. 0. 0.); l8=d (10) p10 p11 ; l9=d (4) p11 p4 ; p19=(14. 5.6 0.) ; p20=(15.75 3.85 0.) ; p21=(14. 2.1 0.) ; p22=(12.25 3.85 0.) ; ***** c3=cer3 (10) p19 p20 p21 ; c4=cer3 (10) p21 p22 p19 ; 91 c5=c3 et c4 ; ***** lig1=l9 et c11 et c12 et l4 et l5 et l6 et l7 et l8 et c5 ; surf1=surf lig1 'PLANE' ; ***********************creation des volumes********* **************************************************** OPTION ELEM PRI6 ; vol01=sf01 VOLU ncou TRAN vec2 ; vol02=sf02 VOLU ncou TRAN vec2 ; vol0=vol01 ET vol02 ; ELIM 0.001 vol0 ; ***** OPTION ELEM CUB8 ; vol11=sf11 VOLU ncou TRAN vec2 ; vol12=sf12 VOLU ncou TRAN vec2 ; vol1=vol11 ET vol12 ; ***** ELIM 0.001 vol1 ; OPTION ELEM PRI6 ; vol2=surf1 VOLU ncou TRAN vec2 ; ***** volume=vol0 ET vol1 ET vol2 ; ELIM 0.001 volume ; ************************************************ lifiss=volume POIN DROIT pf (b 0. h) ; liforc=volume POIN DROIT p19 (14. 5.6 h) ; su0=vol01 POIN PLAN p1 pf (b 0. h) ; su1=vol11 POIN PLAN p4 p1 (b-r 0. h) ; su2=vol2 POIN PLAN p11 p4 (b-r 0. h) ; subas=su0 ET su1 ET su2 ; su3=vol02 POIN PLAN pf p3 (b 0. h) ; su4=vol12 POIN PLAN p3 p6 (b+r 0.1 h) ; sufiss=su3 ET su4 ; trac OEIL cach volume ; ****************************caculs***************** *************************************************** *MOD = MODL volume MECANIQUE ELASTIQUE ORTHOTROPE ; *dir1=1. 0. 0. ; *dir2=0. 1. 0. ; *dir3=0. 0. 1. ; * *MAT=MATE MOD DIRECTION dir1 dir2 dir3 *YG1 1.8e4 YG2 8.51e3 YG3 6.91e3 *NU12 0.32 NU23 0.62 NU13 0.31 *G12 4.91e3 G23 4.91e3 G13=4.91e3 RHO 8.e-6 ; *RIG = RIGI MOD MAT ; 92 ******************************* mod=modl volume mecanique elastique isotrope ; mat=MATE mod YOUN 1.84e4 NU 0.32 ; rig=rigi mod mat ; cdl1=bloq UY Uz subas ; *cdl2=bloq Ux Uy p10 ; f=FORCE FY 100 liforc ; U=reso (rig et cdl1) f ; SIG=sigm mat mod U ; vec1=VECT f FX FY FZ 0.5 blanc ; defo1=DEFORME volume U 0. ; defo=DEFORME volume U vec1 rouge ; trac OEIL cach (defo1 ET defo) ; VMIS1=VMIS mod SIG ; trac OEIL mod VMIS1 TITRE 'CHAMP DE CONTRAINTES'; sigy=exco SIG smyy ; sigx=exco SIG smxx ; trac OEIL sigy mod volume ; trac OEIL sigx mod volume ; SUPTAB = TABLE ; SUPTAB.OBJECTIF = MOT 'J' ; SUPTAB.LEVRE_SUPERIEURE = sufiss ; SUPTAB.FRONT_FISSURE = lifiss ; SUPTAB.MODELE =mod ; SUPTAB.CARACTERISTIQUES =mat ; SUPTAB.SOLUTION_RESO = U ; SUPTAB.CHARGEMENTS_MECANIQUES = f ; SUPTAB.COUCHE = 3 ; ************ *APPEL A LA PROCEDURE G_THETA ** G_THETA suptab ; G=SUPTAB.RESULTATS ; mess'G='G ; fin; 93 94 95 96 97 PARTIE 3 98 DISCUSSION ET CONCLUSION GENERALE Ce T.E.R. était très intéressant. Il nous a permis d’acquérir les bases du domaine de la Mécanique de la rupture, en plus d’une formation supplémentaire sur la modélisation par Eléments Finis. La première partie était particulièrement motivante : la méthode THETA n’étant pas validée sur le code de calcul MODULEF, nous avons progressé dans ce but sans pour autant être certains d’obtenir des résultats corrects. Dans un logiciel d’éléments finis, il n’y a en général pas d’unités réellement définies, c’est à l’utilisateur de rester cohérent au niveau des dimensions des données qu’il rentre. Nous avons donc émit l’hypothèse suivante : le programme GCALXX ayant été développé indépendamment du reste du code, cette cohérence au niveau des unités est peut-être remise en question… Nous avons constaté que le résultat obtenu sur MODULEF est le même que celui de CASTEM 2000, à un facteur 104 près. Ces résultats sont obtenus après une légère modification apportée au programme. La seconde partie était également très intéressante. L’étude portait sur une éprouvette CT, avec le logiciel CASTEM 2000. Nous avons considéré plusieurs problèmes par ordre croissant de difficulté, en adaptant les données et calculs à chaque fois. Tout l’intérêt résidait dans l’utilisation d’une astuce pour pouvoir calculer le taux de restitution d’énergie dans le cas orthotrope. L’étude a été faite en 2D dans le cas isotrope sans aucun problème, mais nous ne sommes pas parvenus à obtenir une évaluation numérique de G dans les cas orthotrope (2D et 3D). Nous n’aurions peut-être pas du nous attarder autant sur la première partie car elle nous a coûté du temps sur la seconde. Une meilleure gestion de notre temps nous aurait sans doute permis de mieux cerner le cas orthotrope et d’approfondir l’étude en 2D puis 3D… 99 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Mécanique des matériaux solides , J. LEMAITRE, J.L. CHABOCHE Editions Eyrolles. Notions pratiques de la mécanique de la rupture , B. BARTHELEMY Editions Dunod. Cours de Sciences Des Matériaux , F. REDOUANE Maîtrise de Technologie Mécanique, 1998-99. Advanced in the fracture mechanics of cortical bone , W. BONFIELD J.Biomechanics, vol 20 (1987). Fracture toughness of human bone under tension , T.L. NORMAN, D. VASHISHTH, et D.B. BURR J.Biomechanics, vol 28 (1995). Numerical evaluation of the energy release rate for non-linear fracture mechanics – Formulation of the « G-q » method and application with CASTEM 2000 , X.Z. SUO, D. UHLMANN Les 3 articles mentionnés ci-dessus figurent ci-après. 100