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n° 1735 Homme, 30ans... érotiquement 29/01/01
60 ans... aussi l'âge de l'amour !
critères: fh fplusag fagée grosseins campagne voir cunnilingu pénétratio
12087 caractères Ecrire à Solal
Auteur : Solal Série : 60 ans - 01
Colette était une personne assez charmante pour son âge mais pas vraiment de
celles qu'on remarque. Ses traits étaient fins et sa bouche bien dessinée. Ses
yeux verts étaient si clairs qu'ils étaient presque transparents...Les formes
arrondies de son corps traduisaient un léger surplus de poids qui charmait
néanmoins mon œil et ses seins étaient lourds et gros. Colette avait une belle
peau blanche et ...67 ans.
C'était il y a 2 ans. J'avais 28 ans. Mes amours étaient peu nombreuses. La
puérilité des midinettes m'ennuyait et je me décourageais assez vite devant les
coquetteries des filles trop comme il faut. Enfin, pour tout vous dire, les femmes
mûres (très) m'excitaient à la folie...Comment vous dire...L'émoi des sens...Ce
mélange de charme désuet, de plénitude des formes, d'érotisme à retrouver, de
sensations nouvelles, d'attente...
L'hiver finissait. Les journées baignaient dans un soleil doux et caressant. Colette
était venue en vacances pour Pâques avec son fils récemment divorcé. Pierre
c'était son nom était plus âgé que moi et à quarante ans il passait une étape
difficile... Nous nous étions rencontré au café du cours à Aix puis nous nous
étions revu à deux reprises. Quelques jours après il me présenta sa mère,
blonde et émouvante... Nous nous promîmes d'aller déjeuner tous les trois dans
un restaurant que je connaissais, près de Pertuis. J'avais remarqué son visage
doux malgré les quelques rides, ses yeux si clairs et sa poitrine généreuse sous
un chemisier bien boutonné. J'étais ému et mes regards se voulaient déjà
entreprenants. Je la regardais comme on regarde une fille de mon âge, avec les
yeux doux et légèrement hypocrites. Elle s'en aperçut mais trouva cela plutôt
agréable et il me semble qu'elle en fut elle-même émue.
Le lendemain je passai à leur hôtel vers 11 h 30. Ils attendaient devant la
fontaine des 4 dauphins. Je ne vis qu'elle !. Elle avait un pantalon noir, un pull col
roulé et un gilet ouvert. Stricte et classe à la fois. Ses cheveux gris, tombaient
sur la nuque en cascades avec application. Je remarquais les formes de ses
seins imposants et le dessin subtil de ses lèvres, une invitation au baiser...
Au restaurant nous avons bu un verre dans un petit salon rustique avant de
regagner notre table. Elle était en face de moi, silencieuse et souriante. De
temps en temps elle passait la langue sur ses lèvres détournant mon regard...
Dieu que j'avais envie d'elle ! Envie découvrir sa peau, ses seins, ses fesses
larges, ses cuisses trop fortes, toutes ces parties du corps de la femme vouée
spécifiquement à l'amour, au plaisir...mes pensées s'égaraient en la regardant et
je n'entendis rien quand Pierre me proposa d 'aller nous installer à table, mon
regard accroché au visage de sa mère... Quand je m'en aperçus, je rougis
violemment ce qui fit rire Pierre et sourire Colette... le sang m'empourprait et de
grosses gouttes perlaient à mon front. Je dus m'absenter quelques minutes pour
reprendre mes esprits.
- Que t'arrive-t-il ? dit Pierre
- Excusez-moi je suis assez émotif
- Une fille que vous ne vouliez pas voir ? repris Colette
- Non, non excusez-moi encore...
Avant de nous quitter je décidai de l'inviter à découvrir la région en voiture
puisque son fils, nous apprit-il pendant le déjeuner, projetait de faire les caves à
la découverte d'un bon vin de pays. Elle accepta facilement. Elle ne cessait de
me sourire et, voyant qu'elle était en terrain favorable, me faisait du charme...
j'étais aux anges.
En rentrant chez moi je ne pensai qu'à elle, mes pensées n'étaient qu'érotisme...
Elle vibrait pour moi aussi, j'en étais sûr... A l'idée de partager l'amour avec cette
femme de l'âge de ma grand-mère j'eus une érection violente. En arrivant à la
maison, sous la douche, je me masturbais puis dans le salon, nu, traversé par
mille obscénités, je recommençais. Mes mains fouillaient mon entrecuisse, je me
branlais avec un bonheur parfait et à la pensée de ses fesses légèrement
avachies dont elle m'offrirait la voluptueuse mollesse, je giclais très vite ma
semence sur mon ventre.
Notre promenade commençait. Elle portait une robe en tweed qui recouvrait ses
genoux admirablement ronds. Un chemisier blanc bien boutonné sous un gilet
vert complétait sa tenue. Très vite, je me rendis compte qu'une grande tension
érotique parcourait l'espace clos de ma " clio "...Elle me regardait beaucoup.
J'étais un peu gêné mais je lui rendais ses regards en lui faisant comprendre
combien j'avais envie d'elle...
Elle me demanda :
- Hier c'est à cause de moi que vous avez rougi non ?
Mes joues s'enflammèrent à nouveau et elle comprit.
- Vous savez vous me plaisez mais je n'aurais jamais imaginé vous faire autant
d'effet. A mon âge on a du mal à séduire les quinquagénaires alors un jeune
homme comme vous...
- Je vous trouve séduisante, attirante vous l'avez compris...
- Oui... vous n'avez pas de petite amie ?
- Non. J'ai rompu il y a 6 mois de cela
Elle caressa ma joue. J'ai cru que je pourrais avoir un orgasme dans l'instant.
Mon rêve devenait réalité. Bientôt je caresserai ce corps de femme de 67 ans, je
me laisserai aller à le baiser sans retenue, je le savais...
Vers 11 h nous nous arrêtâmes pour marcher un peu au milieu des oliviers. Elle
me prit le bras puis trouva ma main qu'elle caressa maternellement.
- J'en meure d'envie moi aussi vous savez
J'osais un baiser dans le cou. Elle ferma les yeux.
- Mais il faut que je vous dise... depuis le décès de mon mari il y a 6 ans je n'ai
eu que deux aventures... et je n'ai pas connu d'homme depuis 2 ans... ça vous
surprend ?
- Oui et non... vous êtes quand même attirante
- J'ai des cheveux gris, un peu trop de poids...
- Je trouve ça irrésistible chez vous...
- Tu es gentil... elle me regarda, passa une main dans mon cou et posa ses
lèvres sur les miennes sans les ouvrir... Je crus m'évanouir au contact de tant de
douceurs. Nous restâmes comme ça quelques secondes puis nos lèvres
s'ouvrirent, nos langues se touchèrent, se mélangèrent, longtemps, doucement
puis furieusement... Elle était étonnante. Elle y mettait beaucoup de passion.
- Viens, cachons-nous...
Derrière une haie de cyprès, un coin d'herbe nous attendait... Elle s'allongea. Je
regardais mon bonheur étendu par terre, là, âgé de 67 ans, offert...
J'ouvris son chemisier et les deux seins fabuleusement gros explosèrent... Ils
tombaient légèrement mais ils étaient doux, agréables au toucher, chauds...Je
les malaxais, je suçais les tétons qui se dressaient durs comme de petits bouts
de bois. Elle fermait les yeux en gardant la bouche entrouverte...
- Viens... c'est bon... c'est si bon... fais-moi du bien...
Elle répondait à la caresse habile de ma langue autour des aréoles sombres par
de petits gémissements... à nouveau elle était complètement femme
Des mots d'amour lui venaient aux lèvres tandis que mes mains glissaient sous
la jupe et atteignirent la culotte de coton mouillée comme jamais...
- Attends...
Elle enleva elle-même sa culotte et dégrafa sa jupe. Elle était nue ! enfin ! Je
sentais mon sexe laisser échapper de petites gouttes de liqueur...elle se tourna
pour ôter son chemisier et je vis ses fesses, leur profusion scandaleuse, leur
blancheur...je l'agrippais aussitôt. Je n'en cru pas mes doigts et je pensai alors
que celles qui ont le cul plat ne sont décidément pas tout à fait des femmes...
A genoux, j'embrasse son merveilleux fessier, je le lèche, je le caresse...
Allongez-vous lui dis-je... Répandue sur l'herbe, j'admire la blancheur de sa
chair, son ventre rebondi, la tache grise du con... elle écarte les cuisses
-Caresse-moi
J'enfonce un doigt dans son sexe. Ma main libre écarte les lèvres pour dégager
le clitoris au milieu de la toison clairsemée... Mes doigts tournent autour de lui,
l'effleure puis retournent dans son ventre, ils fouillent son con avec des moments
de va et vient... très vite elle a un orgasme qui secoue son corps par saccades...
j'enfile ma langue en elle... elle replie les genoux, sa main m'attire en se plaçant
derrière ma nuque, elle m'encourage... je sens sa substance chaude et
visqueuse. Je regarde son corps de mamie se cambrer, les cuisses grandes
ouvertes, obscène et belle à la fois... je la regarde gémir.
- Ouii, ouii, encore, caresse-moi encore... elle parlait doucement
- Lèche-moi encore mon bébé...
Ma langue fouillait entre ses lèvres, jouait sur le clitoris, baisait cette chatte vielle
et pourtant si divinement agréable... elle jouit encore une fois, la tête en arrière...
Elle me sourit et me dit :
- C'est tellement bon ! merci !
Elle me retira le pull et caressa mon torse avec application et une grande
douceur ...elle goûtait ma peau s'en délectait... Elle était en manque. Puis elle
m'embrassa à pleine bouche, défit mon ceinturon et fit glisser pantalon et slip
dans un même geste...
- Je suis heureuse grâce à toi... profitons ...prends-moi !
Au moment où mon sexe la pénètre je réalise un rêve.
Mes mains empoignaient ses seins énormes. Elle me recevait avec de brefs
gémissements, de petits râles, et son plaisir venait peu à peu... Elle se laissait
aller à dire un peu n'importe quoi...
- Vas-y. Baise ta mamie. Baise la bien, elle est à toi. Donne-lui du plaisir...
Son ventre n'est que lave en fusion. Mes mains caressent les, remontent sur les
fesses, accrochent la masse charnue...
- Enfonce-toi bien mon amant... rentre-la plus profond...
Elle était large. Je la baisais avec délectation. Le soleil frappait mon dos, l'air
doux glissait entre nos corps mêlés qui se frottaient éperdument. Sa langue
léchait la mienne, la suçait... le sexe est une drogue et nous étions en manque
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