Le lendemain je passai à leur hôtel vers 11 h 30. Ils attendaient devant la
fontaine des 4 dauphins. Je ne vis qu'elle !. Elle avait un pantalon noir, un pull col
roulé et un gilet ouvert. Stricte et classe à la fois. Ses cheveux gris, tombaient
sur la nuque en cascades avec application. Je remarquais les formes de ses
seins imposants et le dessin subtil de ses lèvres, une invitation au baiser...
Au restaurant nous avons bu un verre dans un petit salon rustique avant de
regagner notre table. Elle était en face de moi, silencieuse et souriante. De
temps en temps elle passait la langue sur ses lèvres détournant mon regard...
Dieu que j'avais envie d'elle ! Envie découvrir sa peau, ses seins, ses fesses
larges, ses cuisses trop fortes, toutes ces parties du corps de la femme vouée
spécifiquement à l'amour, au plaisir...mes pensées s'égaraient en la regardant et
je n'entendis rien quand Pierre me proposa d 'aller nous installer à table, mon
regard accroché au visage de sa mère... Quand je m'en aperçus, je rougis
violemment ce qui fit rire Pierre et sourire Colette... le sang m'empourprait et de
grosses gouttes perlaient à mon front. Je dus m'absenter quelques minutes pour
reprendre mes esprits.
- Que t'arrive-t-il ? dit Pierre
- Excusez-moi je suis assez émotif
- Une fille que vous ne vouliez pas voir ? repris Colette
- Non, non excusez-moi encore...
Avant de nous quitter je décidai de l'inviter à découvrir la région en voiture
puisque son fils, nous apprit-il pendant le déjeuner, projetait de faire les caves à
la découverte d'un bon vin de pays. Elle accepta facilement. Elle ne cessait de
me sourire et, voyant qu'elle était en terrain favorable, me faisait du charme...
j'étais aux anges.
En rentrant chez moi je ne pensai qu'à elle, mes pensées n'étaient qu'érotisme...
Elle vibrait pour moi aussi, j'en étais sûr... A l'idée de partager l'amour avec cette
femme de l'âge de ma grand-mère j'eus une érection violente. En arrivant à la
maison, sous la douche, je me masturbais puis dans le salon, nu, traversé par
mille obscénités, je recommençais. Mes mains fouillaient mon entrecuisse, je me
branlais avec un bonheur parfait et à la pensée de ses fesses légèrement
avachies dont elle m'offrirait la voluptueuse mollesse, je giclais très vite ma
semence sur mon ventre.