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Sélection de la bibliographie d’H et G en Médiévale
Plus de 100 titres… Les titres du classement ont été conservés pour vous donner une idée sur
quelques thèmes.
A. QUELQUES GRANDS DÉBATS HISTORIOGRAPHIQUES
1. La mutation de l’an mil, sa contestation et l’élaboration de nouveaux modèles
[1] * D. BARTHELEMY, La mutation de l’an mil a-t-elle eu lieu ? Paris, 1997.
2. Le recouvrement de l’ecclésial et du social
3. Le Reichskirchensystem et sa contestation
[2] * T. REUTER, « The ‘Imperial Church Systemof the Ottonian and Salian Rulers : a Reconsideration »,
Journal of Ecclesiastical History, 33, 1982, p. 347-374.
4. Le phasage chronologique de l’histoire allemande
[3] * K. J. LEYSER, « The Crisis of Medieval Germany », dans Id., Communications and Power in Medieval
Europe. The Gregorian Revolution and beyond, éd. T. REUTER, Londres, 1994, p. 21-49 (publication
initiale : Proceedings of the British Academy, 69, 1983, p. 409-443).
5. La question de l’État
[4] P. TOUBERT, « Église et État au XIe siècle : la signification du moment grégorien pour la genèse de l’État
moderne », dans J.-Ph. GENET et B. VINCENT (dir.), État et Église dans la genèse de l’État moderne, Madrid,
1986, p. 9-22.
[5] W. POHL (dir.), Staat und Staatlichkeit im Europäischen frühmittelalter, 500-1050. Grundlagen, Grenzen,
Entwicklungen, à paraître à Vienne fin 2008 (articles en allemand, anglais, français).
OUVRAGES GENERAUX
[6] * The New Cambridge Medieval History, tome 3 : c. 900 - c. 1024, éd. T. REUTER, Cambridge, 1999 ;
tome 4 : c. 1024 c. 1198, éd. D. LUSCOMBE et J. RILEY-SMITH, 2 vol., Cambridge, 2004.
1. Synthèses en relation avec la question
[7] * O. GUILLOT, A. RIGAUDIERE, Y. SASSIER, Pouvoirs et institutions dans la France médiévale, t. 1, Des
origines à l’époque féodale, Paris, 2003 (3ème édition), p. 159-252.
[8] * M. PARISSE, Allemagne et Empire au Moyen Âge, Paris, 2002, p. 34, 44-102.
[9] * F. MENANT, H. MARTIN, B. MERDRIGNAC, M. CHAUVIN, Les Capétiens. Histoire et dictionnaire, 987-1328,
Paris, 1999, p. 3-105.
2. Histoire du royaume de Germanie
[10] * H. KELLER et G. ALTHOFF, Die Zeit der späten Karolinger und der Ottonen. Krisen und Konsolidierungen,
888-1024, Stuttgart, 2008 (Gebhardt. Handbuch der deutschen Geschichte, 10e éd. entièrement revue, tome
3).
[11] * L. KÖRNTGEN, Ottonen und Salier, Darmstadt, 2002 (avec une bibliographie commentée).
[12] * T. REUTER, Germany in the Early Middle Ages, c. 800 - 1056, Londres / New York, 1991, p. 113-286.
[13] F. RAPP, Le Saint-Empire germanique d’Otton le Grand à Charles Quint, Paris, 2000 (éd. de poche en 2003)
[14] Ph. DEPREUX, Le royaume de Germanie sous les Ottoniens et les Saliens : vie politique, institutions et société,
Rennes, 2008 (à paraître fin 2008).
[15] J.-Fr. NOËL, Histoire du peuple allemand des origines à la paix de Westphalie, Paris, 1975
[16] J.-P. CUVILLIER, L’Allemagne médiévale. Naissance d’un État (VIIIe - XIIIe siècles), Paris, 1979.
[17] M.-M. DE CEVINS, Saint Étienne de Hongrie, Paris, 2004
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I. LES NOUVEAUX POUVOIRS
A. LA FORMATION DES ROYAUMES POST-CAROLINGIENS
[18] * J. NELSON, « Rulers and government », dans The New Cambridge Medieval history, t. III, c. 900-c.1024,
Cambridge, 1999, p. 95-129.
[19] * Y. SASSIER, Royauté et idéologie au Moyen Âge. Bas Empire, monde franc, France (IVe-XIIe siècle), Paris,
2002, p. 186-225.
1. Les événements de 888 et la fin de l’Empire carolingien
[20] Une étude globale : * S. MACLEAN, Kingship and politics in the late ninth century. Charles the Fat and the
end of the Carolingian Empire, Cambridge, 2003.
[21] G. SERGI, « Genesi di un regno effimero : la Borgogna di Rodolfo I », Bollettino storico-bibliografico subalpino,
87, 1989, p. 5-44.
[22] R.-H. BAUTIER, « Aux origines du royaume de Provence : de la sédition avortée de Boson à la royauté légitime
de Louis », Provence historique, 93-94, 1973, p. 41-68.
2. La légimité royale : hérédité, élection, sacre
[23] Une évocation rapide commode : * J. LE GOFF, « Aspects religieux et sacrés de la monarchie française du Xe
au XIIIe siècle », dans A. BOUREAU et C. INGELFLOM (dir.), La royauté sacrée dans le monde chrétien,
Paris, 1992, p. 19-29.
[24] * A. W. LEWIS, Le sang royal. La famille capétienne et l’État, France, Xe-XIVe siècle, Paris, 1981 ; id.,
« Successions ottoniennes et robertiennes », dans M. PARISSE et X. BARRAL I ALTET (dir.), Le roi de France et
son royaume autour de l’an mil, Paris, 1992, p. 47-53.
3. Le royaume de Francie occidentale
[25] * O. GUYOTJEANNIN et R. LE JAN, « 888-1060 », dans P. CONTAMINE (dir.), Histoire de la France politique,
t. 1, Le Moyen Âge. Le roi, l’Église, les grands, le peuple, Paris, 2002, en particulier p. 115-170.
[26] * J. DUNBABIN, France in the making, 843-1180, Oxford, 1985 (rééd. 2000).
[27] * C.-R. BRÜHL, Naissance de deux peuples. Français et Allemands (IXe-XIe siècle), Paris, 1994 (1ère éd.
allemande, 1990) [voir le CR de R. FOLZ, « France et Allemagne : genèse de deux peuples. À propos d’un
ouvrage récent », Le Moyen Âge, 98, 1992, p. 85-90]
[28] * K. F. WERNER, « Les Robertiens », dans M. Parisse et X. Barral I Altet (dir.), Le roi de France et son
royaume autour de l’an mil, Paris, 1992, p. 15-26.
[29] * D. BARTHELEMY, L’an mil et la paix de Dieu : la France chrétienne et féodale, 980-1060, Paris, 1999.
[30] Un ouvrage de référence : * J.-F. LEMARIGNIER, Le gouvernement royal aux premiers temps capétiens (987-
1108), Paris, 1965.
[31] À reconsidérer à la lumière des travaux d’O. GUYOTJEANNIN, « Les actes de Henri Ier et la chancellerie royale
dans les années 1020-1060 », dans Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, janvier-
mars 1989, p. 81-97. Id., « Les actes établis par la chancellerie royale sous Philippe Ier », Bibliothèque de l’École
des chartes, 147, 1989, p. 29-48. * Id., « Actes royaux français : les actes des trois premiers Capétiens (987-
1061) », dans Typologie der Königsurkunden, J. BISTRICHLY (dir.), Olmuz, 1998, p. 43-63 (ces trois articles
incitent à une forte pondération de l’usage des souscriptions pour une étude de l’entourage et du gouvernement
royal, et procèdent à une nouvelle analyse des pratiques de chancellerie capétiennes, à la lumière, en particulier,
des traditions carolingiennes).
4. Les royaumes de Provence, de Bourgogne et de Bourgogne-Provence
[32] Un ouvrage vieilli mais non encore remplacé : L. JACOB, Le royaume de Bourgogne sous les empereurs
franconiens (1038-1125). Essai sur la domination impériale dans l’est et le sud-est de la France aux XIe et XIIe
siècle, Paris, 1906.
[33] * G. CASTELNUOVO, « Les élites des royaumes de Bourgogne (milieu IXe-milieu Xe siècle) », dans La
royauté et les élites dans l’Europe carolingienne (du début du IXe aux environs de 920), R. Le Jan (éd.), Lille,
1998, p. 383-408. Id., « La Burgondie carolingienne et rodolphienne. Prémices et développements d’un
royaume », dans P. PARAVY (dir.), Des Burgondes au Royaume de Bourgogne (Ve-Xe siècle). Espace politique et
civilisation, Grenoble, 2003, p. 183-210. F. MAZEL, « La Provence entre deux horizons (843-1032). Réflexions
3
sur un processus de gionalisation », dans M. GAILLARD et M. MARGUE (dir.), De la Mer du Nord à la
Méditerranée : Francia media, une région au cœur de l’Europe c.840-c.1050, à paraître fin 2008.
[34] Une mise en perspective du destin de l’ensemble des territoires entre Francie et Germanie : M. GAILLARD et M.
MARGUE (dir.), De la Mer du Nord à la Méditerranée : Francia media, une région au cœur de l’Europe c.840-
c.1050, à paraître fin 2008.
[35] Le point sur le royaume de Bourgogne avant l’intégration au Saint-Empire : * Le royaume de Bourgogne autour
de l’an mil, C. GUILLERE, J.-M. POISSON, L. RIPART, C. DUCOURTHIAL (dir.), Chambéry, 2008.
5. Le royaume de Germanie
[36] Une synthèse : E. MÜLLER-MERTENS, « The Ottonians as kings and emperors », dans The New Cambridge
Medieval History, tome 3, Cambridge, 1999, p. 233-266.
[37] * I. S. ROBINSON, Henry IV of Germany, 1056-1106, Cambridge, 1999.
[38] R. LE JAN, « La reine Gerberge, entre Carolingiens et Ottoniens », dans Ead., Femmes, pouvoir et société dans le
haut Moyen Âge, Paris, 2001, p. 30-38.
[39] R. MCKITTERICK, « Ottonian intellectual culture in the tenth century and the role of Theophanu », Early
Medieval Europe, 2, 1993, p. 53-74.
[40] * T. REUTER, « The medieval German Sonderweg? The Empire and its Rulers in the High Middle Ages »,
dans A. J. DUGGAN (dir.), Kings and Kinship in Medieval Europe, Londres, 1993, p. 179-211.
[41] * G. ALTHOFF, « Ira Regis : Prolegomena to a History of Royal Anger », dans B. H. ROSENWEIN (dir.),
Anger’s Past. The Social Uses of an Emotion in the Middle Ages, Ithaca / Londres, 1998, p. 59-74.
[42] * D. A. WARNER, « Ritual and Memory in the Ottonian Reich : The Ceremony of Adventus », Speculum,
76, 2001, p. 255-283.
[43] * R. FOLZ, « Le sacre impérial et son évolution (Xe-XIIIe siècle) », dans Le sacre des rois, Paris, 1985, p. 89-
100.
[44] * G. ALTHOFF et Chr. WITTHÖFT, « Les services symboliques entre dignité et contrainte », Annales HSS,
2003, p. 1293-1318.
B ) PRINCIPAUTES ET ARISTOCRATIES REGIONALES
[45] * D. BATES, « West Francia : the northern principalities », dans The new Cambridge medieval history, t.
III, c. 900-c.1024, Cambridge, 1999, p. 398-419.
[46] * M. ZIMMERMANN, « West Francia : the southern principalities », dans The new Cambridge medieval
history, t. III, c. 900-c.1024, Cambridge, 1999, p. 420-455.
[47] * H.-W. GOETZ, « Définir l’espace politique : la formation des duchés dans le royaume franc de l’Est vers
l’an 900 », dans Ph. DEPREUX, F. BOUGARD et R. LE JAN (dir.), Les élites et leurs espaces. Mobilité,
rayonnement, domination (du VIe au XIe siècle), Turnhout, 2007, p. 155-172.
(n.b. : ici une liste de monographies régionales en Francie occid. - dont aucune n’est distinguée par les
rédacteurs de la biblio)
[48] * H. J. HUMMER, Politics and Power in Early Medieval Europe. Alsace and the Frankish Realm, 600-1000,
Cambridge, 2005.
[49] * M. SPINDLER (dir.), Handbuch der bayerischen Geschichte, t. 1 : Das alte Bayern. Das Stammesherzogtum
bis zum Ausgang des 12. Jahrhunderts, Munich 1981 (2e éd.), essentiellement p. 277-335 et passim
[50] * M. PARISSE, « Lotharingia », dans The New Cambridge Medieval History, t. 3, Cambridge, 1999, p. 310-
327 Id., « Désintégration et regroupements territoriaux dans les principautés lotharingiennes du XIe au XIIIe
siècle », dans A. HEIT (dir.), Zwischen Gallia und Germania, Frankreich und Deutschland. Konstanz und
Wandel raumbestimmender Kräfte, Trèves, 1987, p. 155-180.
Pour aller plus loin :
[51] * K. J. LEYSER, Rule and conflict in an early medieval society. Ottonian Saxony, Londres, 1979.
3. Les aristocraties régionales
[52] * R. LE JAN, « La noblesse au IXe et Xe siècles : continuité et changements », dans ead., Femmes, pouvoir et
société dans le Haut Moyen Âge, Paris, 2001, p. 190-203.
[53] * H. DEBAX, « L’aristocratie méridionale autour de 1100 », dans L’aristocratie, les arts et l’architecture à
l’époque romane, Cahiers de Saint-Michel de Cuxa, 36, 2005, p. 7-20.
[54] * D. BARTHELEMY, « Chevalerie et noblesse autour de l’an mil », dans Id., La mutation de l’an mil a-t-elle
eu lieu ? Servage et chevalerie dans la France des Xe et XIe siècle ? Paris, 1997, p. 222-298.
4
[55] * R. LE JAN, « De la France du nord à l’Empire. Réflexions sur les structures de parenté au tournant de
l’an mil », dans Hommes et sociétés dans l’Europe de l’an mil, P. Bonnassie et P. Toubert (éd.), Toulouse,
2004, p. 162-184.
[56] M. PARISSE, La noblesse lorraine, XIe - XIIIe s., Paris, 1976.
[57] P. CORBET, Autour de Burchard de Worms. L’Église allemande et les interdits de parenté (IXe - XIIe siècle),
Francfort/Main, 2001. Id., « Interdits de parenté, hagiographie et politique. La passio Friderici episcopi
Traiectensis (ca. 1024) », Ius commune. Zeitschrift für Europäische Rechtsgeschichte, 23, 1996, p. 1-98.
[58] La thèse mutationiste de référence : * P. BONNASSIE, La Catalogne du milieu du Xe à la fin du XIe siècle.
Croissances et mutations d’une société, Toulouse, 1975-1976, p. 539-680.
[59] La thèse non mutationiste de référence : * D. BARTHELEMY, La société dans le comté de Vendôme de l’an mil
au XIVe siècle, Paris, 1993, p. 277-710.
[60] M. PARISSE, « Grundherrschaft. Le grand domaine dans la Francie de langue allemande aux époques
carolingienne et ottonienne », Bulletin d’information de la Mission historique française en Allemagne, 15, 1987,
p. 51-67.
[61] J. DEMADE, « Les "corvées" en Haute-Allemagne. Du rapport de production au symbole de domination (XIe -
XIVe siècles) », dans M. BOURIN et P. MARTINEZ SOPENA (dir.), Pour une anthropologie du prélèvement
seigneurial dans les campagnes médiévales. Réalités et représentations paysannes, Paris, 2004, p. 337-363
[62] * Y. SASSIER, « Autour des Gesta pontificum Autissiodorensium », dans Auctoritas. Mélanges en l’honneur
d’O. Guillot, Paris, 2006, p. 437-451. Id., « Patrimoines d’églises et pouvoirs locaux en Auxerrois (début Xe-fin
XIe siècle) », dans D . BARTHELEMY et O. BRUAND (dir.), Les pouvoirs locaux dans la France du centre et de
l’ouest (VIIIe-XIe siècles). Implantations et moyens d’action, Rennes, 2004, p. 175-192.
[63] * M. PARISSE, « Les ministériaux en Empire : ab omni jugo servili absoluti », Jahrbuch für westdeutsche
Landesgeschichte, 6, 1980, p. 1-24.
[64] * T. REUTER, « Filii matris nostrae pugnant adversum nos : Bonds and Tensions between Prelates and their
milites in the German High Middle Ages », dans Chiesa e mondo feudale nei secoli X-XII, Milan, 1995,
p. 247-276.
4. Le processus de castralisation
[65] A. DEBORD, Aristocratie et pouvoir. Le rôle du château dans la France médiévale, Paris, 2000.
[66] Un point de vue d’archéologue : * L. BOURGEOIS, « Les résidences des élites et les fortifications du haut
Moyen Âge en France et en Belgique dans leur cadre européen : aperçu historiographique (1955-2005) »,
Cahiers de civilisation médiévale, 49, 2006, p. 113-142.
[67] Un point de vue d’historien : * J. MORSEL, L’aristocratie médiévale, Ve-XVe siècle, Paris, 2004, p. 88-115.
5. La mutation anthroponymique
[68] M. BOURIN (dir.), Genèse médiévale de l’anthroponymie moderne, t. I, II (2 vol.) et III, Tours, 1988, 1992 et
1995 (en particulier la conclusion générale du t. 1 due à * M. BOURIN, « Bilan de l’enquête : de la Picardie au
Portugal, l’apparition du système anthroponymique à deux éléments et ses nuances régionales », p. 233-
246).
C. L’IMBRICATION DES POUVOIRS LAÏQUES ET ECCLESIASTIQUES
[69] Un maître-livre : * G. TELLENBACH, The church in western Europe from the tenth to the early twelfth
century, Cambridge, 1993 (1ère éd. allemande, Göttingen, 1988), p. 1-134.
[70] * H. FICHTENAU, Living in the tenth century : mentalities and social orders, Chicago, 1991. Voir le compte
rendu suggestif de :
1. Évêques et sièges épiscopaux
[71] * M. PARISSE, « Princes laïques et/ou moines, les évêques du Xe siècle », dans Il Secolo di ferro : mito e
realtà del secolo X, Settimane di Studio del Centro italiano di studi sull’alto medioevo, 38, Spolète, 1991, t. 1,
p. 449-516.
[72] * S. PATZOLD, « L’épiscopat du haut Moyen Âge du point de vue de la médiévistique allemande », Cahiers
de Civilisation Médiévale, 48, 2005, p. 341-358.
[73] * O. GUYOTJEANNIN, « La seigneurie épiscopale dans le royaume de France (Xe-XIIIe siècles) », dans
Chiesa e mondo feudale nei secoli X-XII, Milan, 1995, p. 151-188.
5
[74] * G. BÜHRER-THIERRY, Évêques et pouvoir dans le royaume de Germanie. Les Églises de Bavière et de
Souabe, 876-973, Paris, 1997.
[75] * J.-L. KUPPER, Liège et l’Église impériale, XIe-XIIe siècles, Paris, 1981.
[76] * T. REUTER, « Property transactions and social relations between rulers, bishops and nobles in early
eleventh-century Saxony : the evidence of the Vita Meinwerci », dans W. DAVIES et P. FOURACRE (dir.),
Property and Power in the Early Middle Ages, Cambridge, 1995, p. 165-199.
[77] * B. ARNOLD, Count and Bishop in Medieval Germany. A Study of Regional Power, 1100-1350,
Philadelphia, 1991 (sur Eichstätt).
[78] * H. MAYR-HARTING, Church and Cosmos in Early Ottonian Germany. The View from Cologne, Oxford,
2007 (sur Brunon de Cologne : analyse de sa biographie par Ruotger, p. 1-63).
[79] * R. FOLZ, « Un évêque ottonien : Thierry Ier de Metz (965-984) », dans Media in Francia... Recueil de
Mélanges offert à Karl Ferdinand Werner à l’occasion de son 65e anniversaire par ses amis et collègues
français, Maulévrier, 1989, p. 139-156.
2. Moines et chanoines
[80] * J. WOLLASCH, « Monasticism : the first wave of reform », dans The new Cambridge medieval history, t.
III, c. 900-c.1024, Cambridge, 1999, p. 163-185.
[81] Une introduction commode : * D. IOGNA-PRAT, « Ecclésiologie et système ecclésial clunisiens », dans id.,
Études clunisiennes, Paris, 2002, p. 11-34.
[82] * D. MEHU, Paix et communautés autour de l’abbaye de Cluny (Xe-XVe siècles), Lyon, 2001 (l’idéologie et les
[83] * D. IOGNA-PRAT, Études clunisiennes, Paris, 2002.
[84] M. GAILLARD, D’une réforme à l’autre (816-934) : les communautés religieuses en Lorraine à l’époque
carolingienne, Paris, 2006.
[85] * M. PARISSE, « Noblesse et monastères en Lotharingie du IXe au XIe siècle », dans R. KOTTJE et
H. MAURER (dir.), Monastische Reformen im 9. und 10. Jahrhundert, Sigmaringen, 1989, p. 167-196.
[86] * Id., « Les monastères de femmes en Saxe, Xe - XIIe siècles », Revue Mabillon, n.s. 2 (= t. 63), 1991, p. 5-48.
[87] M. PARISSE, « L’abbaye de Gorze dans le contexte politique et religieux lorrain à l’époque de Jean de Vandières
(900-974) », dans : M. PARISSE et O. G. OEXLE (dir.), L’abbaye de Gorze au Xe siècle, Nancy 1993, p. 51-90.
[88] * J. NIGHTINGALE, Monasteries and Patrons in the Gorze Reform. Lotharingia c. 8501000, Oxford, 2001.
[89] * Ph. GEORGE, « Un réformateur lotharingien de choc : l’abbé Poppon de Stavelot (978-1048) », Revue
Mabillon, n.s. 10 (= t. 71), 1999, p. 89-111.
[90] * M. PARISSE, « La communauté monastique de Fulda », Francia, 7, 1979, p. 551-565.
3. Le contrôle du sacré
[91] * P. CORBET, Les saints ottoniens. Sainteté dynastique, sainteté royale et sainteféminine autour de l’an
Mil, Sigmaringen, 1986.
[92] * Guerriers et moines. Conversion et saintearistocratiques dans l’Occident médiéval (IXe-XIIe siècle),
M. LAUWERS (éd.), Antibes, 2002 (en particulier les articles de D. Iogna-Prat, M. Goullet, A. Guerreau-
Jalabert, C. Carozzi et M. Lauwers).
[93] * E. BOZOKY, « La politique des reliques des premiers comtes de Flandre (fin IXe-fin XIe) », dans E.
BOZOKY et A.-M. HELVETIUS (dir.), Les reliques. Objets, cultes, symboles, Turnhout, 1999, p. 271-292.
II. STRUCTURES ET PRATIQUES EN MUTATION
A. LES RENOUVELLEMENTS DE LENCADREMENT ECCLESIASTIQUE
1. La paroisse et le diocèse
[94] * La Paroisse. Genèse d’une forme territoriale, Médiévales, 49, 2005. Voir en particulier les contributions de :
[95] * S. HAMILTON, The Practice of Penance, 900-1050, Woodbridge, 2001.
2. Le regroupement des hommes autour des églises et des aires funéraires
[96] * M. LAUWERS, Naissance du cimetière. Lieux sacrés et terre des morts dans l’Occident médiéval, Paris,
2005.
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