LES E.H.D.A.A

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LES E.H.D.A.A
PETIT GUIDE PRATIQUE
DES PREMIERS PAS
DE LA REMÉDIATION
PAR PATRICK JJ DAGANAUD
2002-02-10

ÉTAPE PRÉALABLE
ÉTAPE PRÉALABLE
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
ACTION
5) LE PLAN D ’INTERVENTION : CONTENU
– l ’identification précise de
l ’écolier et les renseignements
nominatifs qui le concernent.
– son anamnèse
– son histoire scolaire
– ses «points forts»
– ses difficultés précises par
champ et/ ou discipline
– ses attentes
– les attentes parentales
– les besoins
– les objectifs
– les« grands moyens» ou les
plan s d ’action
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
les répondants
les échéances
les évaluations réalisées
les évaluations requises
les autorisations d ’agir
les communications prévues
et leurs modalités
le support et le soutien à
l ’écolier et au titulaire
les recommandations de
classement et d ’orientation
les recommandations
d ’intégration
les dates de révision
LE PLAN D ’INTERVENTION : INSERTION
PLAN DE SERVICES
(MULTI-INSTITUTIONNEL)
(OU MULTI-SERVICES)
PLAN D'INTERVENTION
ÉCOLIER A
plan d'action
en titulariat
plan d'action
orthopédagogie
PLAN D'INTERVENTION
ÉCOLIER B
plan d'action
orthophonie
plan d'action
en cadrement
titulaire/ direction
parents/ écolier
PLAN D'INTERVENTION
ÉCOLIER C
plan d'action
neurologie
plan d'action
hyperkinésie
médication
école/ famille
LE PLAN D ’INTERVENTION : ARTICULATION
DOSSIER D'AIDE PARTICULIÈRE
INCLUT LE P.I.
CONTIENT TOUTE INFO SUR TOUT GESTE SIGNIFICATIF POSÉ À L'ÉGARD DE L'ÉCOLIER
CONTIENT TOUTE INFO SUR TOUT GESTE SIGNIFICATIF POSÉ PAR L'ÉCOLIER
OUVERTU8RE DU P.I.(VOIR CONTENU)
DÉTERMINE LES BESOINS, LEUR PRIORITÉ
LES OBJECTIFS, LES «GRANDS MOYENS» ET/OU LES PLANS D'ACTION
LEURS RÉPONDANTS/ LES ÉCHÉANCES/ ÉVALUATIONS/COMMUNICATIONS...
PLAN D'ACTION A
OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
RÉPONDANCE
MOYENS/ ÉVALUATIONS/ÉCHÉANCES
PLAN D'ACTION B
OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
RÉPONDANCE
MOYENS /ÉVALUATIONS/ÉCHÉANCES
PLAN D'ACTION C
OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
RÉPONDANCE
MOYENS/ ÉVALUATIONS/ ÉCHÉANCES
ACTION
6) LE PLAN D ’ACTION : SON CONTENU
– l ’identification précise de
l ’écolier
– la répondance
– l ’autorisation d ’agir
– les objectifs spécifiques
– les moyens retenus
– les grilles d ’observation
– les grilles de suivis
– les référentiels pertinents
– les travaux pertinents
– les évaluations
– les communications
• à l ’écolier et de lui
• à ses parents et d ’eux
• aux partenaires dans
le P.I. et d ’eux
– les constats , les
bilans
– l ’identification des
moyens efficaces ou
inefficaces
– le contrôle, la
réorientation du P.A.
– les recommandations
ACTION
6) LE PLAN D ’ACTION : SON VÉCU
• Il n ’y a ni trucs, ni recettes qui permettent, à partir
de la listes des lacunes et dysfonctions de l ’écolier
d ’appliquer techniquement (et bêtement) une série
de gestes et d ’interventions préprogrammés.
• Par contre, il est vrai qu ’un plan d ’action devrait
être systématiquement articulé autour d ’une gestion
et d ’une application éthiques et professionnelles de
protocoles d ’intervention garantissant l ’absence
d ’improvisation ou d ’expérimentation gratuites.
• Pour ce faire, LE PRÉALABLE demeure, n ’en
déplaise à qui que ce soit du M.E.Q.ou d ’ailleurs,
L ’OPÉRATION DIAGNOSTIQUE la plus poussée et
la plus précise possible. Car...
ACTION
6) LE PLAN D ’ACTION : SON VÉCU
IL EST DU DEVOIR PROFESSIONNEL DE BASE
ET DE LA DÉONTOLOGIE PROPRE
À TOUTE INTERVENTION RELATIVE À L ’HUMAIN
CERTES, DE SOULAGER LES SYMPTÔMES
MAIS , ET PRIMORDIALEMENT,
D ’ÉLIMINER , DE CONTRER OU DE COMPENSER
LES CAUSES
DES DIFFICULTÉS OU DES HANDICAPS :
LA CORRÉLATION DES SYMPTÔMES ET DES CAUSES
DANS LE DOMAINE HUMAIN
EST BEAUCOUP TROP ALÉATOIRE ET MASQUÉE POUR
S ’AUTORISER, MALGRÉ SON EXPERTISE,
À SE CONTENTER BÉATEMENT DES APPARENCES.


ACTION
7) EXEMPLE : PROTOCOLE D ’OBSERVATION
ÉCOLIER INITIALEMENT REPÉRÉ À RISQUE
• OBSERVATIONS DES SYMPTÔMES VERS LA PHASE
DE DIAGNOSTIC.
– Sont-ils relatifs à l ’APPRENTISSAGE ?
• Y-a-t-il des retards ?
– Sont-ils légers, modérés, sévères ?
• Évaluation sommative de contrôle
jusqu ’au seuil d ’autonomie
• Tentative de rattraper les retards
• Mesure de l ’écart à la «norme»
– L ’écolier a-t-il doublé ?
• Quand, quel degré ? Résultats ?
• Vient-il d ’un autre pays ?
ACTION
• Est-il allophone ?
• Évaluation des savoirs et
connaissances langagières
• Demande de mesures d ’accueil
• A t-il changé de nombreuses fois d ’écoles ?
• Vérification du dossier scolaire
• recherche de l ’existence d ’un P.I. antérieur
• Son rythme seul est-il en cause ?
– Son potentiel apparaît-il atteint ?
• Recherche d ’une évaluation antérieure
• Exercisation sélective des processus
cognitifs et repérage
•
ACTION
Y a-t-il des troubles spécifiques ? De quel type ?
– Communication ? (phasies)
• Exercisation du langage, travail en
conscience phonologique
• Est-il évalué en orthophonie ?
– THADA
• observation de l ’attention, de la concentration
• de l ’hyperactivité/de l ’impulsivité/ de
l ’agressivité et de l ’hyperkinésie
• pairage aux apprentissages et au comportement
• Pratique de la relaxation, du retrait préventif
• Est-il évalué en neurologie ?Sous
médicament ?
ACTION
– Psychomoteurs ?(praxies)
• Exercisation et observation en gymnase, lors des
déplacements ou dehors.
• Exercisation de la motricité fine
• Repérage des écarts à la norme.
• Est-il évalué en ergothérapie, en
neurologie ?
– Touchant les gnosies
• Observation des variables de la
• Dyscalculie
• Dyslexie
• Dysgraphie
• Dysorthographie
ACTION
– Touchant les gnosies (suite : évaluations)
• Est-il évalué en neurologie ?
• Est-il évalué en psychologie ?
• Est-il évalué en orthopédagogie?
– Affectant la mémoire (mnésies)
• Exercisation et observation des mémoires
•
court terme
•
long terme
•
de travail
• Est-il évalué en neurologie ?
• AUSSI : VÉRIFICATION DE L ’OUÏE, DE LA
VISION, DE LA SANTÉ
ACTION
ÉCOLIER INITIALEMENT REPÉRÉ À RISQUE
• OBSERVATIONS DES SYMPTÔMES VERS LA PHASE DE
DIAGNOSTIC.
– Sont-ils relatifs à la CAPACITÉ D ’APPRENDRE?
– À une DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ?
• En principe, l ’ensemble des étapes précédentes portant sur
les retards et les troubles devraient fournir suffisamment de
données sur la probabilité ou le soupçon d ’une déficience AU
PLAN INTELLECTUEL.
• TOUTEFOIS , il est désormais requis de considérer les
dimensions des comportements adaptatifs et du soutien
requis : cela s ’avère essentiel et congruent dans une
approche scolaire s ’ouvrant à d ’autres intelligences que
celles dont se nourrit historiquement le système scolaire :
l es intelligences linguistique et logico-mathématique.
ACTION
ÉCOLIER INITIALEMENT REPÉRÉ À RISQUE
• OBSERVATIONS DES SYMPTÔMES VERS LA PHASE DE
DIAGNOSTIC.
– Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
• Dans ce domaine, il convient d ’agir avec circonspection :
• 1) les symptômes masquent des causes et des origines
souvent «extérieures» à l ’école et à l ’écolier, auxquelles
il réagit pour faire connaître ou reconnaître son
inconfort ou sa souffrance.
• 2) L ’enseignant(e), sous la pression et les tensions des
exigences et contingences du quotidien scolaire peut
aisément se trouver «agressé(e)» par la situation et
devenir partie prenante de la problématique.
ACTION
– Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
APPROCHE «ÉCOLOGIQUE»
L ’OBSERVATION ET LES ÉVALUATIONS
L ’observation en classe ou dans le contexte scolaire ne suffira
généralement pas à déterminer les causes. Il FAUT que je puise
à d ’autres sources de renseignements
– le contexte et le vécu familiaux, le vécu parental;
– les épisodes récents ou anciens de stress ou d ’anxiété :
deuil, maladie, séparation, déménagement, etc…
– les perspectives de maltraitance
– les perspectives de malnutrition
ACTION
– Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
APPROCHE «ÉCOLOGIQUE»
L ’OBSERVATION ET LES ÉVALUATIONS
Je vais devoir aussi déterminer si les troubles observés
ont une origine
– liée à la santé physique et neurologique de l ’écolier :
THADA, trouble de la communication, syndrome
d ’Asperger, de Tourette, autisme , trouble auditif,
trouble visuel, organique, etc.
– liée à la santé mentale et affective de l ’écolier :
carence, trouble oppositionnel, trouble anxieux,
trouble psychopathologique, déficience intellectuelle
moyenne et plus, etc.
ACTION
à un TROUBLE ÉMOTIF?
– Sont-ils relatifs
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
APPROCHE «ÉCOLOGIQUE»
L ’OBSERVATION ET LES ÉVALUATIONS
Ces précautions indispensables visent :
• 1) à POSER LE DIAGNOSTIC PERTINENT en évitant
les confusions symptomatiques;
• 2) à APPLIQUER LES BONNES REMÉDIATIONS, car
l ’orientation et le choix des services DOIVENT se
rendre aux causes et RÉSISTER, sauf épuisement des
alternatives, au seul traitement des symptômes : même
l ’élimination, le contrôle ou le soulagement des
symptômes n ’éliminent les causes et leur
éventuelle récurrence.
ACTION
– Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
Les interventions
• L’observation et les évaluations non seulement
n ’éliminent pas la nécessité d ’INTERVENIR, mais, au
contraire, permettent d ’en envisager de façon
systématique l ’étagement, du moindre contrôle externe
sur l ’écolier au plus contrôlant.
• Les interventions préliminaires doivent en effet être
graduées et systémiques afin de préserver le potentiel de
gestion autonome de son comportement par l ’écolier
concerné.
• Grosso modo, les interventions vont cibler 2 GRANDES
CATÉGORIES D ’ÉCOLIERS en troubles de ce type .
Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
L ’écolier sur-réactif (exemples de symptômes)
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•
Qui bouge tout le temps.
Qui «joue» sans cesse avec 100 000 objets.
Qui est impulsif.
Qui est bagarreur, agressif.
Qui harcèle, menace.
Qui conteste sans arrêt, s ’oppose à l ’autorité.
Qui s ’oppose aux consignes, au travail.
Qui refuse de travailler.
Qui frustre à la moindre contrariété.
Qui est en constante chicane.
Qui perd son contrôle lors des transitions.
Qui perd son contrôle en situation de stress .
Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
L ’écolier sous-réactif (exemples de symptômes)
• Qui se confond au décor, s ’efface : l ’écoliercaméléon
• Qui ne joue jamais ou rarement, qui s ’isole.
• Qui est léthargique, indolent, semble neurasthénique.
• Qui est souvent victime, bouc émissaire.
• Qui se fait souvent harceler, menacer.
• Qui craint ostensiblement l ’autorité pondérée.
• Qui oublie à répétition les consignes, le travail.
• Qui ne remet pas ses travaux.
• Qui pleure à la moindre contrariété.
• Qui est rejeté, inhibé, a peu d ’amis ou aucun.
• Qui panique en situation de stress .
ACTION
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•
•
•
– Sont-ils relatifs à un TROUBLE ÉMOTIF?
– À un TROUBLE DU COMPORTEMENT ?
Les interventions
Les interventions préalables à la référence et gérables
par le/ la titulaire sont multiples :
La modification ou l ’élimination des stimuli extérieurs
«provocateurs» .
La simplification ou le morcellement en étapes des tâches
à effectuer.
Récompenser les comportements attendus.
Capter ailleurs ou recapter l ’attention.
L ’apprentissage de protocoles de communication, de
demande d ’aide ou de prévention des crises.
ACTION
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Les interventions
La relation d ’encadrement et de confiance.
La reconnaissance positive inconditionnelle.
Les changements à la gestion de classe.
Les sociogrammes et leurs suivis.
L ’approche coopérative.
Le conseil de classe.
Le conseil de coopération.
Les jeux de rôles.
La boîte à lettres.
La boîte à confidences.
Périodes de disponibilité à l ’échange ,la médiation et
l ’arbitrage.
•
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•
Les interventions ACTION
Le renforcement positif des comportements attendus et
l ’ignorance intentionnelle des comportements déviants.
Le renforcement des périodes sans comportements
déviants.
Le renforcement des alternatives valables aux
comportements déviants.
La rencontre de clarification des observations avec
l ’écolier.
L ’envoi des observations à la maison.
La rencontre de clarification des observations avec
l ’écolier et ses parents.
La rencontre de clarification des observations avec
l ’écolier, ses parents, la direction.
ACTION
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Les interventions
La rencontre de clarification des comportements
attendus avec l ’écolier.
L ’envoi des comportements attendus... À la maison.
La rencontre de clarification des comportements
attendus avec l ’écolier et ses parents.
La rencontre de clarification des des comportements
attendus avec l ’écolier, ses parents, la direction.
L ’avis disciplinaire à l ’écolier avec mesure réparatoire.
L ’avis disciplinaire à l ’écolier avec mesure réparatoire
et signature parentale.
L ’avis disciplinaire à l ’écolier avec mesure réparatoire ,
signature parentale et de la direction.
ACTION
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Les interventions
Programme ou séances de relaxation.
Convention de retrait autonome.
Convention de retrait contraint.
Retrait dans la classe.
Retrait à l ’extérieur de la classe (prévoir surveillance).
Suspension du transport scolaire, du droit d ’accès au
dîner, de la fréquentation scolaire (décisions de la
direction)
Attribution de responsabilités, de privilèges.
Retrait de responsabilités, de privilèges.
ACTION
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Les interventions
Contrat d ’apprentissage avec l ’écolier
Contrat d ’apprentissage avec l ’écolier, ses parents.
Contrat d ’apprentissage avec l ’écolier, ses parents et la
direction.
Contrat de comportement avec l ’écolier.
Contrat de comportement avec l ’écolier et ses parents.
Contrat de comportement avec l ’écolier, ses parents et la
direction.
Programme d ’habiletés sociales en classe
Programme d ’habiletés sociales à un groupe ciblé.
ACTION
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•
•
•
•
Les interventions
Pairage à un ou des écoliers «stabilisateurs» (avec avis
aux parents de ces écoliers selon la mesure des risques.
Travaux communautaires.
Programme d ’activités complémentaires internes ou
externes.
Programme d ’intégration en entretien (avec
approbation de la direction, volontariat et supervision du
personnel de conciergerie).
Programme préventif de suivi psychologique.
Programme préventif de suivi psychoéducatif.
La suite des événements...
LA PÉRIODE D'OBSERVATION-INTERVENTION EST ACCOMPLIE
IL Y A, HORS NORME, PERMANENCE, FRÉQUENCE, AMPLITUDE
DES DIIFICULTÉS D'APPRENTISSAGE OU D'ADAPTATION
OU DES RISQUES DE HANDICAP
1) JE PROCÈDE À LA RÉFÉRENCE
ELLE EST DOCUMENTÉE
AU PLAN DES OBSERVATIONS
À CELUI DES INTERVENTIONS
2) JE PARTICIPE À L'ÉTUDE DE CAS
3) J'ÉLABORE MON PLAN D'ACTION
EN PRÉSENCE PARENTALE
DANS MON CHAMP PROFESSIONNEL
ABOUTISSANT, S'IL Y A LIEU, AU P.I.
PARTENAIRE DES AUTRES INTERVENANTS
ET OFFICIALISANT ALORS LE DIAGNOSTIC
SOUCIEUX DE LA COMUNICATION
La suite des événements...
La suite des événements...
LE PLAN D'INTERVENTION A LIEU
IL EST PRÉVENTIF OU CURATIF
INCLUT LES PLANS D'ACTION REQUIS, LEURS RESPONSABLES ET LES ÉCHÉANCES
DONT CELLES DES ÉVALUATIONS ET COMMUNICATIONS REQUISES
1) J'APPLIQUE MON PLAN D'ACTION
2) JE FAIS LE RAPPORT-SYNTHÈSE DE MON P.A.
3) JE PARTICIPE À LA RÉVISION DU P.I.
JE COMMUNIQUE À L'ÉCOLIER, SES PARENTS
LES RÉSULTATS ATTEINTS
EN PRÉSENCE PARENTALE
JE COMMUNIQUE AUX PARTENAIRES
LES MOYENS PERTINENTS ET LES AUTRES
NOUS FAISONS LE BILAN GÉNÉRAL
JE CONTRÔLE MON P.A., L'ÉVALUE, LE MODIFIE
JE FAIS MES RECOMMANDATIONS
ET RÉORIENTONS L'ENSEMBLE DES ACTIONS
Le processus cyclique se poursuit et implique, s ’il y a
lieu, la révision du diagnostic
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