Tom passe le ruisseau
Tom, après avoir couru un bon moment, arrive devant un ruisseau. Tom
flaire le vent et, quittant le sentier, longe le ruisseau vers la droite,
cherchant un gué. Il avance de cinq cents mètres sans s’arrêter. Il trouve le
passage tant attendu, s’en approche prudemment. L’eau lui mouille les
pattes, les jarrets, le ventre. Il n’avance plus qu’avec lenteur, prêt à
rebrousser chemin… Mais sous lui le sol remonte. Tom s’accroche à l’autre
rive sans difficulté. Et là il se secoue vigoureusement et continue sa route.