Lorsque le système nerveux sympathique n’arrive plus à s’activer (surentraînement ou burn-out) : c’est le
système nerveux parasympathique qui domine et qui impose le repos. L’activité physique modérée peut
permettre de relancer l’activité du système nerveux sympathique.
A l’inverse, lorsque le système nerveux sympathique a pris l’ascendant, la récupération est insuffisante, ce qui
implique de lever le pied et de rééduquer le système nerveux parasympathique : respiration abdominale,
exercices de cohérence cardiaque, relaxation, sophrologie, yoga, méditation…
Certains recourent à la musicothérapie, au thermalisme (sauna, hammam, hydrothérapie…) ou la diététique
(épices, aliments particuliers antioxydants) pour rééquilibrer la relation entre le système sympathique et
parasympathique.
Son utilisation n’est pas incompatible avec celle d’un cardiofréquencemètre à ceinture thoracique. Ce dispositif et
son logiciel permettent de générer les graphiques présentés plus bas.
Ce matériel est utilisé par :
des sportifs de haut-niveau (trailers, triathlètes, marathoniens…),
plus de 300 équipes pro de sports collectifs (Football : PSG, Roja, Liverpool, Juventus, Barça, Manchester
City. Rugby : le stade français, le racing, FFR, équipes nationales d’Angleterre, Australie ; Basket-ball : San
José, Sharks, Chicago Bulls ; Hockey sur glace : équipes de NHL ; F1 : Mac Laren ; Motocross : Red Bull
US…),
des départements recherche de centre d’entraînement en sports olympiques (Swiss olympic medical training
center, Finnish Olympic Training center Vierumäki, German Olympic Training Center Rostock, Meadville
Medical Center - USA…).
Variabilité cardiaque, activité physique et stress