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CH. 3 LES ESPACES PRODUCTIFS FRANCAIS DANS LA MONDIALISATION
I.Un espace économique intégré à l’économie mondiale :
1)Vers une économie post-industrielle :
Cf. Etude de cas : L’île de France – Q°1-7
a/L’inégale valeur des productions :
La quasi totalité du territoire français est productif. Mais la nature et la valeur de ce qu’on produit est
très ≠ à l’échelle du territoire :
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Agriture prtant 1ere d’Europe et 2e du monde ne fournit auj, que 3% du PIB.
Indus fran au 5e rang r mondial qui dispose d’un pôle performant de hte technogie (ARIANE,
Nucléaire AREVA, TGV, aéronautique  AIRBUS) et qui assure ¼ des emplois, et ne participe
qu’à 26% du PIB.
Auj, ce sont les Services qui participent à l’essentiel de la richesse fran puisqu’il assure 71%
du PIB.
b/La tertiarisation de l’économie :
-L’explosion des emplois de services :
Les pays du N sont maintenant ts entrés ds une aire post indus où l’écomie repose sur la prod° de
Services et d’info° :
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Le tertaire regroupe auj, ¾ des actifs (1/3 ap 2GM) et même ds les campagnes, on dénb +
d’actifs ds le 3aire que d’actifs agriole (tourisme vert, loisirs, services auprès des agriteurs, etc)
Les 2/3 des ents qui se créent auj, sont des ents de Services.
Cette évolu° résulte du changet des modes de vie, de la réduc° du tps de W, de la conso° de masse,
de la généralis° de la pub et du commerce en ligne. Cette tendance s’accentue encore avec la
générali° des nlles technogie (NTIC  Nlles Technogie de l’Info° et de la comm°) ds les ents et les foyers
(40M de tel en FRA)
-La localisation des activités de Services : cf.TD1 – Q°8-12
Plus la place d’une ville ds la hiérarchie urbaine est élevée, + l’offre des Services est importante et +
ceux-ci sont rares :
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Ds les villes moy, se concentrent les Services les + communs (commerce, restaura°, banque,
admini°, santé, etc).
Ds les gdes métropoles, la spécialis° de certains types d’actités favorise la forma° de 1/4iers
spécifiq.
Auj, de nlles infrastructures s’implantent à la périphérie des villes (dentres commerciaux,
cinéma multiplex, centres de loisirs et les technopoles ; doc1p.151).
2)Une économie qui participe à la mondialisation :
a/Un pays ouvert :
A l’O, une façade littorale ouvre sur le monde et le continent Americain.
Au N, ouverture sur la Manche (route maritime la plus fréquentée du mde : Nothern Range)
Au S, Méditerranée (port de Marseille) ouvre sur l’Afrq, l’Asie et l’Orient.
A l’E, les interfaces frontaliers, en particulier, l’Axe Rhénan intègre la FRA à la mégalopole euro.
b/Une grande puissance commerciale :
cf.TD1 – Q°1-3
Grâce à la construction euro et au dvpt des échanges, écomie fran est larget ouverte sur le monde. La
FRA est devenue un acteur majeure du commerce mondial en réalisant près de 6% des échanges
mondiaux et sa balance commale a été excédentaire durant tte les 90s. Elle est le 2e exportateur de
produits agriole et de Services (1er pôle touristq mondial) et le 4e exportateur de produits indus
(aéronautique). Les exportat° fran représentent 21% du PIB. La FRA commerce principalt avec les
pays du N et en particulier avec membres de l’UE (2/3 de ses échanges, surtt avec ALL, ITA, RU) et
USA.
c/Des firmes françaises présentes sur l’ensemble du globe :
cf.TD1 – Q°4-8
Ces FTN (Firmes TransNationales) participent activt à la réussite commale fran en décrochant de gds
marchés à l’export°, en s’implantant à l’étranger, en faisant l’acquisi° de firmes concurentes. La FRA
compte 13 FTN ds les 100 1eres mondiales (Renault ds auto doc1p.297 ; DANONE ; CARREFOUR ds la
distribution  présent sur tt les continents ; Michelin domine le marché mondial du pneumaq)
A l’inverse, l’internationalis° de l’écomie fran est marquées par le présence de gdes firmes étrangères
en FRA (TOYOTA à Valencienne ; 12000 établisst étrangers en FRA) qui recourt parfois à des pratq soc
très contestables ( licenciement préventif, délocali°, ...)
d/Les investissements (IDE : Investissement Direct à l’Etranger  financement à
l’étranger et étrangers en France) :
FRA reçoit 5% du total mondial des IDE (doc3p.295) et de nbreuses ents sont en fait détenues par des
capitaux étrangers. Ce phénomène est révélateur d’une bonne santé écoq et reste positif pour la
créa° d’emploi.
II.Permanence et mutations de l’espace économique français :
1)Le redéploiement des activités :cf. Repère p.152
Les mutations de l’économie, tant au niveau euro que mondial, affectent la répart° des activités sur
le territoire. L’opposition entre FRA indus à l’E de la ligne Le Havre-Marseille et une FRA ruraleà l’O
s’estompe peu à peu. La recompostion du tissu des activités se traduit par une mosaïq de situations :
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Désindus de certains bassins d’emplois (St Etienne ; Le Creusot) ou reconversion indus pour
d’autres (Valencienne, Metz, Nancy) grâce à leur proximité à UE.
Concentra° des activités agriole ds certaines régions (bassin parisien), on déprise ds d’autres
(centre, montagne)
Spéciali° ds activités de loisirs et de tourisme (littoraux et montagnes)
2)Vers une nouvelle logique d’implantation des activités :
L’évolu° vers une écomie post-indus a totalt transformé, l’espace écoq fran. Au 19°s, l’activité écoq se
dvpait en f° des matières. Ds 50s-60s, ce sont les grandes villes et les gds axes de commun° quiont
monopolisé la croiss écoq mais de puis le début des 70s, la recherche de la qualité de vie est
fondamentale ds la logiq d’implanta° des ents et des indiv (héliotropisme). De même, l’accessibilité
des lieux est devenue un fatceur essentiel de la localisa° des activités (échangeurs d’autoroute, TGV,
aéroport, etc).
3)La permanence de l’hypertophie parisienne
L’espace écoq fran reste marqué par le poids de la capitale malgré les efforts de déconcentra° polq et
indus (mesures fiscales, polq des villes nlles,...). Auj, Paris et la région parisienne concentre l’essentiel
des f° de commandt (financier, indus, tertiaire) (1/4 er de la défense). L’IDF (île de France) reste la
région la plus riche d’EUR.
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