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germination des fèves de l'espèce. (need to state that references are backing up your hypotheses, -1) 
 
Méthodes et matériel 
L'expérience  se  déroula  sur  une  quinzaine  de  jours.  Au  premier  jour,  quarante  fèves  furent  plantées 
séparément dans des pots à terre fertile. Elles ont été laissées dans une serre pour sept jours, à 26 °C le 
jour et 22 °C la nuit. Leur photopériode était de 14 à 16 heures par jour et on leur a servi de l'eau pure 
une fois par jour. 
Une semaine plus tard (jour 8), nous avons mesuré et noté le premier entre-noeud de toutes les plantes. 
Ensuite, celles-ci furent arrosées d'un ou l'autre de deux produits, les traitements A et B (frequency of 
spraying  and  quantity? -1).  De  fait,  un  des  traitements  était  l'acide  gibbérellique  et  l'autre  était  un 
contrôle  (de  l'eau).  L'identité  des  traitements  A  et  B  ne  fut  révélée  aux  expérimentateurs  qu'au 
quinzième jour, question d'objectivité (okay but next time say it was blinded). Les plantes arrosées du 
traitement A furent placées bien à l'écart de celles traitées au produit B pour éviter la contamination. 
Par suite, toutes les plantes ont été remises en serre aux mêmes conditions que mentionnées plus haut. 
Le même jour (jour 8), le second volet de l'expérience, étudiant l'effet potentiel de l'acide g. sur les fèves 
hors terre, fut entamé. Mille deux cents fèves ont été placées en groupes de vingt-cinq, dans quarante-
huit boîtes de Petri. Vingt-quatre boîtes furent remplies du traitement A jusqu'à une hauteur de deux 
millimètres et les vingt-quatre boîtes restantes ont été pareillement remplies, mais avec le traitement B. 
On a laissé les fèves germer pour quatre jours (jusqu'au jour 12), après quoi elles ont été mises au froid 
jusqu'au jour 15. 
Au jour 15, plantes  et fèves  en boîtes  de Petri  ont été  ressorties de  leur milieu respectif.  Les plantes 
furent sorties de leur pot et rincées de leurs vermiculites.  Nous avons pris note d'une série de mesures 
(how did you measure them?) à l'égard de chacune desdites plantes que voici : la taille totale de chaque 
plante de la base à l'extrémité du tronc, la longueur du deuxième entre-noeud, le diamètre au milieu du 
même entre-noeud, le nombre de feuilles sur le spécimen (incluant les cotylédons qu'ils fussent tombés 
ou non, mais excluant les feuilles très très jeunes) et la masse du spécimen. Pour cette dernière, nous 
avons enlevé  bonne partie de  l'eau restante sur  les plantes  et avons mesuré  la masse de celles-ci en 
groupes d'une à cinq plantes (chaque plante étant par la suite associée à la masse moyenne par plante 
de  son  groupe).  Les  moyennes  de  ces  mesures  pour  chaque  groupe  de  traitement  (A  et  B)  ont  été 
compilées  et  sont  présentées  dans  les  figures N à M.  Des  barres  d'erreur  de  plus  ou  moins  l'erreur 
standard a été ajoutée pour illustrer la signifiance des résultats. De là, et toujours pour les plantes, un 
test t fut employé pour mesurer la signifiance des différences de résultats, c.-à-d. pour faire ressortir la