JT « L’ashram » (1976) décrite :
« Ici, on vit de la vente des statuettes des livres religieux et un peu du
tourisme. 5 Francs la visite. 80 franc par jour pour le stage. L’ashram est
une association loi d’1901 »
Et « L’Inauguration temple bouddhiste » (1987) :
« Le bouddhisme, une religion mais aussi une communautaire par le rituel
et les danses sacrés. Le temple des milles Bouddha a coûté 4,000,000
francs, les dons, les emprunts bancaires, mais aussi en offrandes de
travail bénévoles de nombreux adeptes. »
2.1.3. L’intégration locale, la rencontre avec les voisins
Tous les JT dans ce groupe n’évoque pas tout sur la question de l’intégration
de la communauté avec l’environnement local.
Néanmoins, cette question a été évoquée trois fois pour le même centre, le
« Dashang Kagyü Ling » et le discours semble très positif.
Dès le premier JT « A1 : Bouddha sur Saône » (1976), sur ce centre en cours de
construction, trois témoins à la fois des commerçants de proximité et de
l’église voisin ont été appelé. Tous parlent de la même voix que, malgré leur
apparence différente, à cause de la tenue, les fidèles du centre sont gentils,
polis, même de bons clients ! Mais peu de gens comprennent exactement ce
qu’ils font ou leur philosophie.
Pourtant, un autre JT « A3 : L’inauguration d’un temple bouddhiste»
(1987) traitant le même centre, après 11 ans de construction, pour son
inauguration officielle. D’après le commentaire du présentateur, les moines
bénédictins, voisins du centre, ont été mêmes invités pour la cérémonie
d’inauguration De plus, un chanoine, témoin dans le reportage, a abordé un
sujet plus profonde de la cohabitation, mais dans le sens spirituel, du
Bouddhisme et du christianisme.
Et pour le troisième JT, «A5 : Temple bouddhiste » (2002) à l’occasion de
trentième anniversaire, la question de l’intégration est devenue un discours
principal du reportage, comme les phrases ci-dessous, cités à la fois dans le
commentaire Voix-Off et dans la parole du témoin :
Commentaire voix-off :
« Ce voisinage tranquille intrique les gens du cru, mais ne les dérange
pas. Chacun vivent chez soi sans entretenir le réel contact. Une fois
par an pourtant ces deux mondes parallèles se croisent. Le temps un
week-end, les lamas bhoutanais présentent leur culture et découvre