LA JOYEUSE DELIVRANCE DE DIEU EN JESUS (Cantique de

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LA JOYEUSE DELIVRANCE DE DIEU EN JESUS
(Cantique de Zacharie)
Luc 1 :57-80
Verset Clé 1 :69
« Et nous a procuré une pleine délivrance Dans la maison de David, son
serviteur. »
Si on lit « pucelle d’Orléans ; Jeanne d’Arc », théâtre écrit par Friedrich von Schiller,
écrivain allemand de 18e siècle, quand Jeanne, troisième fille de Thibaud, son père, ne
s’intéressait pas du mariage planifié par ce dernier, ce dernier est transformé en un grand
persécuteur au milieu de la vie ascendante de Jeanne, pour que sa gloire chute par sa
calomnie. Selon lui, elle qui contempla seulement sous le chêne, en rejetant Raymond qui
est un homme le plus vertueux du village n’est qu’une fille capricieuse et présomptueuse,
agent de Satan. Bien sûr que c’est la fiction. Mais quand Marie choisit clairement la grâce
du Seigneur, elle devrait espérait de toute part ce genre d’opposition et de persécution et
de malentendu. Mais peu importe, Marie voulut servir la volonté du Seigneur coûte que
coûte, quel que soit le prix qu’il devait payer. Vraiment Marie était une femme de foi
audacieuse. Dieu bénit son obéissance si belle et fit déborder la joie immense au tréfonds
de son âme. Ce matin, je voudrais réfléchir avec vous, sur l’autre chant de louange qui
s’ensuivit, celui de Zacharie, père de Jean-Baptiste. Son cantique, nous le constatons avec
étonnement, n’est pas concentré sur son fils Jean-Baptiste, mais sur Jésus-Christ.
Premièrement, Zacharie nomma son fils Jean, non Zacharie Jr. Comme nous avons étudié,
Zacharie avait un problème d’absence d’enfant qui le rendait très fataliste. Néanmoins, il
garda la vie de foi jusqu’au bout dans cette génération incrédule. Dieu bénit sa famille.
Elisabeth donna naissance à un fils, comme l’ange l’avait dit. (57). Alors ses voisins et ses
parents entendirent que le Seigneur avait manifesté sa miséricorde, et ils se réjouirent
avec elle (58). C’est vraiment touchant que tout le village vint se réjouir ensemble avec
Elisabeth. C’est la communauté des saints. Leur sympathie désintéressé nous rappelle
Romains 12 :15, « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent et pleurez avec ceux qui
pleurent. » Ils étaient le royaume de sacrificateurs et une nation sainte au milieu de la
génération incrédule et perverse. Le caractéristique d’être le royaume de sacrificateurs et
une nation sainte est d’avoir un cœur large comme océan pour contenir nos voisins. Je
suis sûr que Dieu nous a appelé chacun à être le royaume de sacrificateurs et une nation
sainte. Examinons nos cœurs, n’est-ce pas par hasard, il y en a parmi nous qui à cause de
la petite blessure de la fierté, on ferme la porte du cœur vers les voisins, même pas les
regarder le jour du Seigneur. Nous devons penser à Jésus à ce Noël. C’est le jour où Jésus
descendit du ciel. Jésus ouvrit la porte du ciel, enjamber son seuil pour venir au monde,
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qui n’est pas si beau, mais sale. Jésus n’est pas descendu comme si la star descend du
podium pour saluer les spectateurs. Il est descendu pour être rejeté par les hommes et
pour mourir finalement sur la croix. A ce Noël, nous devons accueillir Jésus en ouvrant la
porte de notre cœur vers lui, et vers les autres ; Jésus dit, « Aimez-vous les uns les autres.
Comme je vous ai aimé, aimez-vous les uns les autres » et être le royaume de
sacrificateur et une nation sainte. Vraiment les voisins d’Elisabeth étaient une
communauté des saints digne d’être appelé le royaume de sacrificateurs et nations sainte.
Que c’est beau de voir qu’une de nos sœurs prie pour son amie de la vie commune pour
la réussite de ses études de tout son cœur. Que c’est beau de voir qu’une de nos
membres s’inquiète de la santé de son mentor. Que c’est laid de voir fermer la porte de
cœur comme une porte blindé en raison de la petite blessure de fierté ou des
événements de la famille ou des enfants.
J’attire votre attention, car le titre du message de ce jour est la joie, à cette communauté
des saints des voisins d’Elisabeth, qui se réjouirent avec elle. Quand on vit comme citadin,
le concept de voisinage se détériore, si bien qu’on doit express fêter le jour des voisins.
Sartre a bien dit que de nos jours, les ennemis, c’est l’autre. Nous devons recevoir cet
apprentissage de joyeux voisinage. Il semble que depuis quelque temps notre
communauté de CCU Paris est entraînée à grandir à être un bon voisin. Quand un de nos
enfants était malade de ganglion cancérogène, nos mères durent renoncer à leur vie
familiale pour partager la tristesse avec ses parents. J’ai prié chaque matin pour l’enfant
et ses parents qui venaient de loin. Quand un de nos membres masculins souffre de la
douleur, les membres masculins durent renoncer à leur vie familiale pour partager la
douleur avec lui. Quand un ados mineur va dans une mauvaise voie, l’instinct humain est
de protéger la famille ou les enfants. J’ai vu qu’on en vient à haïr ainsi un enfant qui n’est
qu’un mineur. Satan rend l’homme haineux. Il rend l’homme indifférent. Mais j’ai vu une
de nos mères prier pour l’enfant mineur en question, en ne craignant pas d’exposer ses
propres enfants au danger. J’ai rendu grâce au Seigneur.
C’était le huitième jour après la naissance de l’enfant. Selon la coutume, à ce temps,
l’enfant fut circoncis et l’on nomma l’enfant. Les parents et les voisins voulurent le
nommer selon la coutume. La coutume française est de nommer souvent l’enfant selon
les prénoms des aïeuls, parfois ceux des arrière-arrière-grand-parents, d’où une très
grande longueur du prénom parfois. Alors, les parents et voisin de Zacharie voulurent
nommer l’enfant de cette manière, selon le nom Zachaire, peut-être du genre de Zacharie
le jeune ou Jac Jr. Mais mère Elisabeth s’y opposa, et dit « Non ! Il sera appelé Jean. » Les
gens lui rétorquèrent en disant : pourquoi ? Il n’y a pas de ce genre de nom dans la
parenté. En général, dans une société masculine comme le pays d’Asie et Palestine, les
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femmes n’ont pas de droit de parole. Elles suivent la direction du mari ou des parents et
la tradition. A plus forte raison pour Elisabeth qui vivait il y a 2000 ans. Mais Elisabeth
était très claire dans sa décision pour nommer l’enfant.
D’abord, la raison pour laquelle elle insista le nom d’enfant ainsi audacieusement, quoi
que ce fusse à l’encontre de la coutume, est parce qu’elle était une femme obéissante. La
femme obéissante voit la grandeur de l’obéissance de son voisin. Ainsi, Elisabeth fit une
exclamation envers Marie, en disant, « Heureux celle qui a cru à l’accomplissement de ce
qui lui a été dit de la part du Seigneur. » Pour Elisabeth, la volonté de Dieu prime la
tradition et elle se doit y obéir absolument. En deuxième lieu, Elisabeth exprima par sa
nomination, sa foi personnelle que l’enfant né est le don de Dieu et qu’elle n’a aucune
prétention à avancer au sujet de son fils comme s’il était le sien. Autrement dit, elle avait
déjà décidé de donner son enfant à Dieu. Quand les parents chrétiens nomment les
enfants, ils les nomment avec ce sentiment de dédicace à Dieu. Au moins pour notre
église, je crois, Alléluia. Ainsi un père nomma son premier fils avec le premier disciple de
Jésus pour le consacrer à Dieu. Maintenant il semble qu’il erre, mais il est judicieux qu’il
se souvienne de cette volonté paternelle et consacre plus sa vie à Dieu, en renonçant à
ses propres.
Les gens souhaitaient demander l’avis du mari, père de l’enfant, car la réaction
d’Elisabeth était vraiment bizarre. Zacharie écrivit sur la tablette présentée, « Jean est son
nom » Ce qui étonna encore les gens. Ont-ils triché pour être en commun ? Mais cela en
dit long que Zacharie avait assumé l’entraînement du mutisme pas à contre cœur, mais de
tout son gré, humblement. En effet, Zacharie aurait pensé que l’entraînement fut
disproportionné par rapport à sa commission imprudente d’une erreur. Assumer 9 mois
pénible en raison d’un mot sortant de sa bouche, comme ça ? Dieu veut que son peuple
soit grand, comme il disait à Abraham, « je ferai de toi une grande nation, je rendrai ton
nom grand, deviens donc une bénédiction. » L’homme veut être grand, mais ce qui est
paradoxal, c’est que du côté de ce désir de la grandeur, il désire vivre une toute petite vie
ordinaire. Je connais un homme diplômé d’une grande école et qui voulait être un grand
prêtre national, mais maintenant, il vit comme un ouvrier d’une usine d’éclairage. Deng
Xiaoping dit une fois que quiconque devint grand reçois l’entraînement du ciel écrasant.
Zacharie fut qualifié à être un grand instrument de Dieu, c’est-à-dire père de JeanBaptiste, car il assuma cet entrainement injuste par excellence, jusqu’à ce qu’il y ait une
explosion de l’adoration intérieure. Pour lui dans l’isolement, il y eut un voisin. Ou plutôt
une voisine. Certainement, sans dire que « je suis déçue, est-ce ton niveau ? » Elisabeth
partagea la souffrance de son mari et le supporta jusqu’au bout en priant qu’il soit un bon
instrument de Dieu par la repentance. Au fait, Zacharie aurait boudé son sort. Mais par
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l’entraînement, il s’ouvrit plutôt à Dieu et renoue une relation plus intime et en vint à
croire en sa bonté dans toute la circonstance où Dieu l’amène. Il n’était pas une victime
du sentiment d’échec, mais eut l’audace de se relever et pour triompher. Et il sortit
indemne grâce à son humilité.
En tout cas, à travers la réponse d’Elisabeth et Zacharie au moment de la nomination de
leur enfant, nous apprenons qu’ils avaient la foi en Dieu. Leur foi les conduisit à
l’obéissance à la direction de Dieu montré par l’ange, même si cela se heurtait à la
tradition et à leur propre désir familial. Croire nous semble être une chose facile ; donc
beaucoup de gens disent, « je crois en Dieu, » en ne sachant pas que l’acte de croire
inclue définitivement l’obéissance. Nous devons savoir que la foi et l’obéissance forment
un seul corps. Par exemple, Dieu dit à Abraham d’offrir Isaac comme holocaustes.
Abraham était prêt et partant à y obéir, en disant, « me voici ». Puis, très tôt matin, il se
leva et se mit en route. A cause de sa foi qui obéit, Abraham devint une source de
bénédiction de toute la terre, grand homme devant Dieu et grand homme devant les
hommes. Jésus obéit à la volonté de Dieu, vint sur la terre et mourut sur la croix. A cause
de sa foi qui obéit, Jésus devint la source de salut de toute l’humanité (Ph 2 :8b). Nous
devons savoir que seulement lorsque nous obéissons, nous devenons grands. Ce peut
être pénible, mais il n’y a pas de 36 solutions pour être grand. C’est l’unique chemin
d’être grand d’obéir. Puis, de plus, Dieu nous donne le supplément. Nous pouvons
expérimenter l’amour et la joie dans nos âmes. (Jn 14 :21)
Quand Zacharie avait dédié son fils à Dieu, sa bouche s’ouvrit et sa langue se délia, et il se
mit à parler, louant Dieu (64). Les voisins étaient saisis de crainte, et dans toutes les
montagnes de la Judée, les gens s’entretenaient de tous ces événements. (65) Ils étaient
surpris qu’une vieille dame qui avait été stérile portât un bébé et la nourrît avec son
propre sein et que Zacharie, qui avait été muet pendant neuf derniers mois, maintenant,
soudainement, chantât un chant de louange. Ils furent encore plus surpris de voir que
l’enfant n’était pas un enfant ordinaire. Donc, ils se demandaient : « Que sera donc ce
petit enfant ? » L’auteur Luc commente, « En effet, la main du Seigneur était avec lui. »
(66) Quand deux vieilles personnes gardaient la vie de foi et obéit à la parole de Dieu en
tout détail, la main puissante de Dieu étaient avec leur famille.
Deuxièmement, le cantique de Zacharie (67-80) C’était un chant prophétique que
Zacharie chantait. Donc ce chant tend vers l’avenir. Il s’agit de l’œuvre qui s’accomplirait
par Jésus qui meurt sur la croix et ressuscite. Poussé par le Saint-Esprit, Zacharie le saisit
et chantât. Regardons de près son cantique.
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D’abord, Zacharie chantât que Dieu visita son peuple. La situation du peuple était
lamentable. Il était assis dans les ténèbres sans savoir comment trouver l’issue. La
situation spirituelle était que depuis 400 ans il n’avait reçu aucun prophète de Dieu, en
sorte qu’il pensait simplement que Dieu l’avait abandonné. La situation politique était le
joug écrasant des colonisateurs romains le peuple le plus cruel par des exactions
incessantes. Alors, le peuple hébreu était désespéré. Il avait le souvenir de punition de
Dieu lors de la captivité en Babylone, 6 siècles auparavant, du fait qu’il s’était rallié aux
dieux païens et abandonnait Dieu. Dans cette situation, leur cœur était accablé de la
culpabilité et il lui semblait être privé de toute la possibilité d’être sauvé. Mais il n’en était
pas ainsi. En Dieu il y a toujours l’espoir. Alors, Dieu visita son peuple dans son temps.
Dieu prit son initiative pour venir vers son peuple.
Ensuite, Dieu visita son peuple pour le racheter. A la différence de l’expression « rendre
visite », quand on dit « visiter », ce mot implique un clair but ; par exemple, le médecin
visite le patient pour le guérir. Dieu visite son peuple pour un but clair. Il vint pour le
racheter. Le rachat se réfère à la délivrance par une rançon qui se paie pour un esclave.
Après la chute, l’homme devint esclave de Satan. Dans l’incertitude, les gens de différents
croyance disent : « on verra à la fin si Dieu nous sauve ou pas, mais pour l’instant, je fais
de mon mieux par mes actes de justice, tels jeûne et aumône. » Mais l’homme a beau se
débattre par ses œuvres, car elles sont mortes, n’ayant aucun effet pour la délivrance.
Quoi qu’elles soient pathétiques, l’homme restera toujours dans l’esclavage de Satan.
Jésus dit long de l’impasse des luttes humaines, par ses mots, « si vous péchez, vous serez
l’esclave du péché, et vous mourrez dans le péché. » Donc, l’homme est foncièrement un
être fataliste qui ne peut se défaire de la chaîne de Satan et du péché.
Un jour, Dieu appela Moïse sur la montagne de Sinaï. Le buisson était ardent mais il
n’était pas consumé. Quand il détourna le buisson, il y avait cette voix, « Moïse, Moïse. »
En effet, Dieu parla de l’intérieur du buisson pour lui parler. Dieu dit qu’il avait entendu le
gémissement de son peuple en Egypte sous l’esclavage de Pharaon. Son cri monta jusqu’à
son trône et il se détermina de le sauver. Dieu voulut envoyer Moïse. Au début c’était un
peu difficile, mais bon gré mal gré, Moïse obéit et s’en alla. Mais le Pharaon ne l’écouta
évidemment pas. Sa devise préférée était, « Qui est Dieu pour que je me déplace ? » Le
Pharaon, homme dur ne se laissa jamais fléchir. Seulement devant les plaies
successivement envoyés, il manifestait un peu de gestes adoucissants, mais c’est tout.
C’était en fait Satan qui gisait dans son cœur. Après un répit, il changea d’avis, endurcit le
ton et retint continuellement le peuple dans sa main. Alors Dieu envoya la dernière plaie
qui fut la mort de tous les premiers-nés du pays. Bientôt, l’ange de la mort frappera tout
le pays y compris le camp des Hébreux pour tuer tous les premiers-nés. Cette situation
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d’esclaves d’Israël implicite le sort de tous les hommes qui crient désespérément au
secours. Le ciel est particulièrement noir, sans donner une moindre possibilité de salut.
Mais Dieu aimant donna à Moïse la direction de tuer un agneau sans défaut pour chaque
famille et répandre le sang et l’appliquer sur le linteau et les poteaux de la porte de
chaque maison ce qui servirait du signe lors du passage de l’ange. Alors, quand tout le
peuple en Egypte, y compris la maison de Pharaon se lamentait de la perte des premiersnés, les Hébreux furent sauvegardés du cataclysme, par l’effet de ce sang d’agneau que
l’ange vit et outrepassa. Il s’agit de l’événement de Pâques d’Israël. Ainsi il racheta son
peuple.
Deuxièmement, Jésus est la corne de salut. Les mots « la pleine délivrance » sont
originellement « la corne de Satan. » Il y a deux sortes de corne dans la Bible. L’une est
corne de salut, et l’autre corne de Satan. Ce dernier est un ennemi redoutable et il existe,
bien que les gens nient son existence. Le corne de salut est l’emblème de gloire et la
puissance de Dieu (Dt 33 : 17 ; Ps 148 :14 ; 1Sa 2 :1,10 ; 2Sa 22 :3 ; Ap 5 :6). Mais la corne
de Satan est le pouvoir du péché et de la mort (Da 7 :21 ; Ap 12 :3 ; 13 :1)
Ce dont le peuple d’Israël eut besoin était le salut de leurs ennemis. Il avait souffert
comme un peuple d’esclave pendant 400 ans sous le joug de l’Egypte, où il y eut le peuple
impie. Le peuple impie était un ennemi amer du peuple d’Israël. Après l’exode, il vivait
dans la terre promise découlant du lait et du miel. Mais il était sous la constante menace
et peur de leurs ennemis dans la terre promise. Dieu leur donna David comme leur berger
et roi. David détruisit tous leurs ennemis. Pendant que le roi David régnait, son peuple
jouissait de l’amour et la paix. Mais son règne finit si rapidement. Dans le passé, les
ennemis d’Israël était les nations voisines qui l’avaient harcelé. Mais le vrai ennemi
d’Israël n’était pas les nations voisines, mais Satan dans les cœurs des Israélites. Satan est
trompeur et sa ruse est au-delà du défi de tous les hommes. Car il a sept têtes, alors que
l’homme n’a qu’une tête. Le pouvoir de Satan est aussi destructif, car il a dix cornes, alors
que l’homme n’a pas de corne du tout. Beaucoup de gens pensent qu’ils souffrent à cause
de leur avenir incertain. Mais à vrai dire, les gens souffrent à cause de la manœuvre de
Satan. Cela s’applique à tout le monde.
La corne de Satan est la chose la plus redoutable à l’humanité ; quand il empale l’homme,
il le laisse dans une condition critique tout au long de sa vie. Dans l’histoire de
tauromachie, Manolete était un des meilleurs matadors du 20e siècle. Il pensait qu’il
devrait faire la retraite, mais il la reporta un an plus tard, car il était persuadé qu’il devrait
retourner à l’arène pour son dernier combat contre le Miura, le taureau le plus cruel pour
satisfaire l’admiration de ses fans. Dans l’arène où plus de 10000 personnes s’étaient
entassé, Manolete voulut une attaque définitive à Islero, ainsi s’appela l’animal féroce,
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en plantant son épée entre ses épaules jusqu’à la manche. L’animal s’arrêta un instant, et
ses yeux furent furieux d’un feu ardent et le nez plein de vapeur, puis un instant après il
courra à toute vitesse vers le matador, et sa corne perça dans la cuisse de Manolete. Le
sang jaillit de la blessure, et étant conduit à l’infirmerie, Matador prit son dernier soupir.
De même, une fois empalé par la corne de Satan, l’homme est gravement blessé dans
l’âme. Une jeune fille voulut juste une fois jouir du plaisir charnel, après quoi elle pensait
qu’il ne lui restera qu’à l’oublier. Mais la corne de Satan l’empala jusqu’à son âme et
subconscient, en sorte qu’elle devienne une femme mentalement perturbée. La corne de
Satan est le pouvoir du péché. Paul dit encore, « l’aiguillon de la mort, c’est le péché. »
Nous devons savoir que Satan est rusé. Il est de plus sans répit. Satan n’apparait pas
toujours comme une figure horrible comme la télé nous décrit souvent. Par exemple,
Satan vint à Eve dans la forme d’un serpent coloré et soyeux (Gn 3 :1). Satan se servit du
sens esthétique d’Eve et l’induisit en erreur en l’incitant à manger l’arbre défendu. Par
conséquent, elle désobéit à la parole de Dieu. Elle causa aussi son mari à désobéir au saint
commandement de Dieu. Eve ne put voir la corne de Satan derrière son maquillage.
Pierre dit que Satan rôde autour de nous en cherchant de quoi dévorer. De nos jours,
Satan maquille son visage même dans l’église. Les chrétiens interprètent la parole comme
il leur semble bon ou à leur guise. Professeur Chaffer dit qu’aux Etats-Unis, la majorité des
chrétiens sont empêchés d’avoir accès à l’appel personnel au salut, en laissant Satan
déformer le message des prédicateurs et des pasteurs. Selon Dr Linsey, après avoir étudié
les cas des pays, dans le monde de laïcité comme la France, les mots, « les gens sans foi »
qui se trouvaient banalement dans les conversations des gens à une certaine époque sont
remplacés par les mots de reniement total de la foi, et ce publiquement. Paul dit dans
2Timothée, la domination de Satan est évidente dans les derniers jours, en disant, « Les
hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs,
rebelles à leurs parents, ingrats, sacrilèges, insensibles, implacables, calomniateurs, sans
frein, cruels, ennemis des gens de bien, traître, impulsifs, enflés d’orgueil, aimant leur
plaisir plus que Dieu ; ils garderons la forme extérieure de la piété, mais ils en renieront la
puissance. Eloigne-toi de ces hommes-là. » Alors que faire, nous trouvons vraiment que
ces signes se multiplient ? Linsey dit encore que le seul moyen de repousser et défaire
Satan déformateur et envahisseur, c’est le Saint-Esprit. Donc, nous avons tout lieu de
saisir nouvellement ce que Paul dit dans la même épître, « Car ce n’est pas l’esprit de
timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse. N’aie
donc pas honte du témoignage à rendre à notre Seigneur… Mais souffre avec moi pour
l’Evangile, par la puissance de Dieu. » Que le nom du Seigneur soit exalté, car il a élevé la
corne de salut pour briser la corne de Satan.
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Troisièmement, Dieu nous rend capables à travers son Fils de servir Dieu sans crainte tout
au long de nos jours (74-75). Il y a une claire raison pourquoi Dieu nous sauve de la corne
de Satan, nos ennemis. Regardez les versets 74,75. « Après avoir été délivrés de la main
de nos ennemis, de pouvoir sans crainte lui rendre un culte. Dans la sainteté et la justice,
en sa présence, tout au long de nos jours. » Dieu nous sauve de la corne de Satan en sorte
que nous puissions servir Dieu sans crainte dans la sainteté et la justice tout au long de
notre vie. Dieu nous créa afin d’être heureux quand nous servons Dieu sans crainte dans
la sainteté et la justice. Chacun a un désir profond d’être saint, comme Dieu est saint (1P
1 :16). Quand nous faisons quelque chose pour le Dieu saint, nous sommes vraiment
heureux. D’un autre côté, ceux qui font le mal, intentionnellement ou sans exprès,
expérimentent la misère et les tragédies inexorables dans leurs âmes. Ces jours,
beaucoup disent, « Amuses-toi bien. » C’est l’appel que Satan fait à notre nature
coupable. L’homme est heureux quand il participe à la nature divine (2P 1 :3,4), parce
Dieu nous a créés ainsi.
Quatrièmement, Jésus est le donateur de la connaissance du salut (76,77). Regardez le
verset 76. « Et toi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ; car tu marcheras
devant le Seigneur pour préparer ses voies. » Le fils de Zacharie sera utilisé comme
précurseur du Messie. Dans le temps ancien, un précurseur allait avant un roi, criant, « le
roi vient ! Courbez-vous ! » Zacharie sut que la vie de son fils ne serait pas facile comme
celle des précurseurs de roi. Cependant, il était heureux de ce que son fils sera appelé
« un prophète du Très-Haut. » Après avoir fait une brève mention sur son fils, Zacharie
continua de louer Jésus. Regardez le verset 77. « Pour donner à son peuple la
connaissance du salut par le pardon de ses péchés. » L’homme ne peut être heureux sans
la vraie connaissance du salut à travers le pardon du péché. Par exemple, un malade
physique n’est pas heureux. Un malade mental n’est pas heureux non plus, parce qu’il
pense de toutes choses avec l’excentricité. Une personne spirituellement malade est très
malheureuse, parce qu’il est très malade du péché. Le malade physique peut être guéri
par le médicament. Mais le malade spirituel est incurable parce qu’il y a aucun
médicament pour eux qui sont malades du péché. Dans l’histoire, personne n’avait
mentionné la connaissance du salut pour le péché de l’homme. Seulement, Jésus nous
donne la vraie connaissance du salut à travers le pardon des péchés.
Cinquièmement, Jésus est le soleil levant (78,79a). Regardez les versets 78, 79a. « Grâce à
l’ardent miséricorde de notre Dieu, C’est par elle que le soleil levant nous visitera d’enhaut Pour éclairer ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort…. »
Jusqu’à ce que Jésus ne vienne, les hommes étaient assis dans les ténèbres du péché.
Mais Jésus vint dans ce monde sombre comme le soleil levant ; Jean 8 :12b dit, « Je suis la
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lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la
lumière de la vie. » Une jeune fille était très jolie, mais son père dit une fois, « Toi tu n’es
pas jolie comme ta grande sœur. Tu parais moche. » A partir de ce moment-là, elle se mit
à douter de l’amour de son père pour elle. Bientôt, elle se dit à elle-même, « je suis un
canard moche à mon père. » Elle s’apitoyait jour et nuit pendant presque 20 ans avant de
rencontrer Jésus. Mais par l’étude de l’évangile de Jean, le rayon de soleil se mit à briller
dans son cœur. Une autre fille tomba dans une image charnelle par hasard, et ses
pensées s’assombrirent, étant harcelé par elle. Mais un jour par l’étude de la Bible, son
âme retrouva la lumière. Un homme que je connais fut dans les ténèbres profondes en
raison de son sentiment de culpabilité qui l’accablait. Il dut apporter la pince dans la rue,
pour couper la ligne d’électricité, car le bruit que générait le feu l’a gêné pendant la nuit.
C’est drôle. Mais c’était ça. Mais par l’étude de la Bible Dieu lui jeta la lumière. Cet
homme paranoïaque est changé d’un homme charnel en un homme spirituel, en un bon
berger des multiples brebis errantes dans un pays étranger.
Regardez de nouveau les versets 78 et 79. « Grâce à l’ardente miséricorde de notre Dieu.
C’est par elle que le soleil levant nous visitera d’en haut. Pour éclairer ceux qui sont assis
dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort Et pour diriger nos pas dans le chemin de la
paix. » Beaucoup se disent, « Oh, si seulement j’éprouve quelques secondes de paix dans
mon intérieur ! » Ils sont riches et complaisants. Mais ils sont assis dans l’ombre de la
mort. Le soleil se lève cruellement après la nuit des ténèbres pour beaucoup d’entre eux.
Ces jours, beaucoup de gens prennent les médicaments psychédéliques. Pourquoi ? Ils
veulent avoir l’amour et la paix. Mais il n’y a aucune amour et paix pour eux, parce qu’ils
sont gravement blessés par la corne de Satan. Mais quand le soleil levant les visite, ils
sont illuminés par la lumière du ciel et vivent une vie plein de paix et d’amour. Que le
soleil levant, Jésus vous visite encore à ce Noël vous fasse sourire.
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