Introduction à la sociologie de l’école. Structure du cours.
DEUST sciences de l'éducation Stéphane Bonnéry.
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séance n°1
PHASE D’INTRODUCTION
(n’apparaître ici que les principaux découpages)
* Présentation du cours sur le semestre et de ses objectifs (connaître et situer respectivement des
auteurs, des théories, des méthodes ; s’initier à la déconstruction de discours de sens commun et à la
problématisation / construction d’objets sociologiques).
* Définition de « sociologie »
* cours sur la spécificité de l’étude des phénomènes sociaux : on accepte facilement un regard
scientifique sur les phénomènes naturels, difficultés à accepter l’objectivation des comportements sociaux
(cf. ce qui est développé dans : Lahire Bernard, L’esprit sociologique, La découverte, 2005)
* définitions : sociologie ; dénaturalisation ; sens commun ; prénotions ; allants de soi ; objets
sociaux / objets bavards ; déconstruction ; rupture épistémologique ; construction d’objets sociologiques ;
objectivation et résistance à l’objectivation (notamment sur "échec scolaire", faits sociaux et expérience
individuelle...).
* travail sur la base de la lecture du texte [Isambert-Jamati Viviane, « Quelques rappels de
l’émergence de l’échec scolaire comme "problème social" dans les milieux pédagogiques français », in
Plaisance Éric (dir.) L’échec scolaire : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris : éd.
du CNRS, 1985, pp. 155-163]
Préalablement à la lecture, rapides repères historiques sur l’évolution de l’école : les deux
ordres de scolarisation ; la mise en système scolaire ; la scolarité unique et la filiarisation ;
l’évolution jusqu’à nos jours.
Première lecture du texte par les étudiants « chez eux » entre les deux séances : consignes de
lecture à l’appui de questions obligeant à le lire en fonction des notions abordées dans la
première séance.
Manuels pour s’aider tout au long du semestre :
1. Barrère Anne & Sembel Nicolas, Sociologie de l’éducation, Paris : Nathan, 1998, collection "Éducation 128", 128 p.
2. Cacouault Marlaine & OEuvrard Françoise, Sociologie de l’éducation, Paris : La découverte, 1995/2001, collection
"Repères", 128 p.
3. De Queiroz Jean-Manuel, L’école et ses sociologies, Paris : Nathan, 1995, collection "Sociologie 128", 128 p.
4. Durand Jean-Pierre & Weil Robert, Sociologie contemporaine, Paris : Vigot, 1993, 644 p.
5. Duru-Bellat Marie & Van Zanten Agnès, Sociologie de l’école, Paris : A. Colin, 1999/2002, collection U, 256 p.
séance n°2
5 à 10 mn : questions des étudiants sur ce qui n’a pas été compris
à la relecture des notes et/ou retour sur les points principaux
Travail en groupe de trois étudiants : confrontation et synthèse des réponses aux questions
posées pour guider la lecture du texte de V. Isambert-Jamati
Retour du travail des étudiants Correction collective liée à une relecture collective du
texte lors de laquelle on insiste sur : identifier que l’auteur déconstruit des conceptions de
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En noir : structure du cours
En rouge : chronologie des séances et précisions sur les options évolutives annuellement
En bleu : modalités d’évaluation
En vert : résumés de cours ou indications pour aider les étudiants publiées sur le blog comme complément aux notes des
étudiants
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sens commun et la façon dont il le fait ; identifier que l’auteur problématise la question et
construit un objet de recherche et la façon dont il le fait ; identifier la méthode de recherche
liée aux objectifs de al recherche ; identifier le lien entre empirie et théorie ; travail sur
« qu’est ce que lire-écrire un texte sociologique » ; identifier la construction du texte en
paragraphes selon le développement du propos.
* Formulation explicite : le travail fait collectivement et sans notation sur ce texte (utiliser les
notions du cours pour comprendre et expliquer le texte) sera quasiment le même que celui qui sera
demandé d’ici quelques séances et qui donnera lieu à notation.
* Retour sur l’approche de différentes conceptions de l’"échec scolaire" et des inégalités :
présentation du « fil rouge » du cours.
* Travail pour la fois suivante : refaire individuellement le même travail pour vérifier que la
« correction » est bien comprise, notamment en comparant à la première version individuelle.
Résumé sur le blog :
Nous avons d'abord fini notre travail basé sur le texte distribué la semaine dernière (Isambert-Jamati Viviane,
« Quelques rappels de l’émergence de l’échec scolaire comme "problème social" dans les milieux
pédagogiques français », in Plaisance Éric (dir.) L’échec scolaire : Nouveaux débats, nouvelles
approches sociologiques, Paris : éd. du CNRS, 1985, pp. 155-163). Il est important de comprendre la logique
principale du texte : pour étudier un "problème social" (ce que la société ressent comme un problème et qu'elle désigne à sa
façon) le sociologue ne doit pas prendre comme "allant-de-soi" la façon ordinaire de désigner ce problème ; sinon, il reste pris
dans les évidences (= allants de soi) de nos façons de penser ordinaires. Pour étudier "l'échec scolaire", V. I-J. cherche donc à
comprendre quels phénomènes sont désignés ainsi et amalgamés derrière ce terme. Pour ce faire, elle utilise une méthode
socio-historique d'étude des "traces" écrites. Cela lui permet à la fois d'identifier des traces observables, donc analysables ; et
d'étudier ces traces, ces textes, comme des révélateurs de ce qui influence la pensée des pédagogues qui lisent ces textes à
l’époque où ces derniers sont publiés. En suivant l'apparition et l'évolution du terme "échec scolaire" dans le temps, elle peut
ainsi voir et montrer que les pédagogues ne parlent pas d'échec scolaire tant que la société n'en est pas arrivé à vouloir que tout
le monde fasse des études longues. Tant qu'il n'y a pas d'objectifs de scolarisation ambitieux, la société n'a pas de problème
avec les élèves qui (50% au moins) sortent de l'ancienne école primaire sans le certificat d'études. A cette époque, l'idée
d'échec est abordée seulement pour des cas individuels que l'on s'attend à voir réussir dans le lycée élitiste (car ils viennent de
familles favorisées et scolarisées) : on les appelle les "cancres". C'est quand les objectifs de scolarisation s'élèvent que, devant
la difficulté à ce que tous les élèves réussissent, alors on va parler d'échec. D'abord en désignant "l'élève en échec individuel".
Puis, nous y reviendrons bientôt dans le cours, dans la société on parlera d'échec pour désigner les inégalités qui frappent plus
fortement les enfants de milieux populaires.
séance n°3
5 à 10 mn : questions des étudiants sur ce qui n’a pas été compris
à la relecture des notes et/ou retour sur les points principaux
PREMIERE PARTIE DU COURS : LES SOCIOLOGIES DETERMINSITES / HOLISTES
Chapitre 1. La sociologie de Durkheim
(n’apparaître ici que les principaux découpages, le plan est très « cadré » et répétitif pour chaque
chapitre,pour aider les étudiants a se repérer)
A)la sociologie de Durkheim dans son contexte historique
1. repères historiques (permettant de relier ensuite à l’évolution des formes de solidarité et
d’intégration, du « mécanique » vers « l’organique » ; le chercheur dans son époque :
1858-1917 ; début de la révolution industrielle ; début de la république et de l'existence
des deux ordres scolaires primaire / secondaire).
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2. Les débats sociaux, politiques et scientifiques qui conduisent à l’élaboration d’une
nouvelle discipline sociologique et de l’éducation (fondation de la sociologie dans un
contexte les idées dominantes vont plutôt dans le sens d'une interprétation
individualisante des phénomènes humains, crainte de l’anomie…)
B) la théorie et la méthode de Durkheim
* Durkheim et la construction de la sociologie et de sa sociologie
* cadrage sur : holisme ; positivisme ; fonctionnalisme ; évolutionnisme
* Approche de la théorie de Durkheim et de notions : individu / société ; solidarités mécanique /
organique ; besoins sociaux, institutions, fonctions ; division du travail social ; anomie, intégration,
cohésion sociale ; germe
* Les grandes lignes à retenir des gles de la méthode sociologique (lien avec notions vues lors du
premier cours : objectivation…)
* sur les points précédents, exemples pris notamment dans « la division du travail » et « le suicide »
(déconstruction de l’allant de soi selon lequel le suicide serait un acte typiquement individuel montrer
le contraire = argument de légitimité de la sociologie , etc.)
séance n°4
15 mn : questions des étudiants sur ce qui n’a pas été compris à la relecture des notes et/ou retour
sur les points principaux notamment sur le lien entre A-B et la suite
C) La sociologie durkheimienne de l’éducation
En liant chaque fois avec le cours précédent et les notions de la théorie sociologique « générale » de
Durkheim : besoin social / institution / fonction ; « éducation à proprement parler » ; les fonctions de
l’éducation ; les fonctions de l’école (intégrer à un milieu spécifique / intégrer à la société tout entière ;
intégrer pour éviter l’anomie… insistance sur la cohérence entre la « théorie sociologique générale » et la
« théorie de l’éducation » et sur ce qui dans la seconde découle de la première)
D) Bilan et réinvestissement des connaissances
A partir d’un extrait de Education et sociologie, pp. 45-51 :
Les étudiants lisent le texte « chez eux » en répondant aux questions photocopiées et distribuées (et
qui, c’est précisé explicitement, auront une forte ressemblance avec celles qui seront données pour le
devoir suivant donnant lieu à évaluation) :
- Quel objet sociologique Durkheim construit-il ?
- Quels problèmes sociaux de son temps le conduisent à étudier cette question ? Quelles ruptures avec les conceptions
dominantes à son époque marque-t-il ?
- En quoi cet extrait mobilise (explicitement ou implicitement) des concepts et des analyses que Durkheim a élaborés par
ailleurs ?
- En quoi cet extrait montre la mise en œuvre des règles de sa méthode sociologique ?
- Pour répondre aux questions précédentes, utilisez les différents concepts étudiés en cours (ceux de la sociologie en général et
ceux propres à Durkheim) que l’auteur mobilise dans son raisonnement de façon explicite ou implicite, et expliquez en quoi le
choix de certains concepts relève de la conception théorique générale de l’auteur. Les concepts ne doivent pas être définis « à
part » de l’explication du texte ci-après : mobilisez-les pour mieux expliquer le texte, ce qui y est dit et ce qui n’est pas dit pas
influence la pensée de l’auteur ; composez un texte qui développe votre raisonnement de façon organisée et progressive (ne
reproduisez pas forcément les étapes du texte de l’auteur pour structurer votre propre raisonnement).
Sur le blog :
Pour approfondir la réflexion ou les lectures, plusieurs pistes :
* Jean-Claude Filloux a écrit des textes de présentation de l'oeuvre de Durkheim qui sont accessibles pour des étudiants de
licence. A la bibliothèque, vous pouvez aller voir : Filloux Jean-Claude, Durkheim et l’éducation, Paris : PUF, 1994, collection
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"pédagogies et pédagogues", 128 p ; de même, en ligne, vous pouvez lire : http://agora.qc.ca/reftext.nsf/Documents/Durkheim-
-Emile_Durkheim_penseur_de_leducation_par_Jean-Claude_Filloux
* Trois ouvrages de Durkheim sur l'éducation existent (chacun d'eux peut être emprunté à la bibliothèque de Paris 8 - voir le
lien ci-contre dans la colonne de droite ; de même, chacun d'eux peut être consulté en ligne en texte intégrale sur le site
québecois "les classsiques des sciences sociales", voir le lien ci-contre aussi). Il s'agit des trois ouvrages suivants :
Durkheim Émile, Éducation et sociologie, Paris : P.U.F (Quadrige), rééd. 1999, 130 p.
Durkheim Émile, L’éducation morale, Paris : P.U.F (Quadrige), rééd. 1992, 242 p.
Durkheim Émile, L’évolution pédagogique en France, Paris : P.U.F (Quadrige), rééd. 1999, 403 p.
retour sur : besoin social / institution / fonction
pour ce qui est de la sociologie de l'éducation en particulier, nous avons vu que pour Dukheim, les "fonctions" de l'"institution"
école doivent identifiées par rapport aux "besoins sociaux" qu'elles assouvissent.
On voit dans le texte (téléchargeable dans le message de la semaine précédente) distribué aujourd'hui que pour Durkheim,
l'éducation a deux fonctions essentielles : intégrer à la société en unifiant unifier les membres du corps social (transmission de
valeurs et de modèles communs...) ; intégrer à un milieu particulier ou une classe sociale particulière en spécialisant l'éducation
pour l'adapter à ce qui permettra à chaque futur adulte de se sentir à sa place dans ce milieux spécifique-là.
Selon Durkheim l'éducation, au travers de ces fonctions intégratives (unifier et spécialiser), permet d'éviter l'anomie. Pour ce
faire, l'éducation doit enseigner "méthodiquement" (contenu et forme de l'enseignement) ce qu'une génération d'adulte pense
être nécessaire à la génération suivante pour assurer la pérennité de la société. (Importance de l'éducation morale dans ce
cadre-là.) On voit là qu'il y a une différence pour Durkheim entre socialisation (large et pas méthodique) et éducation.
séance n°5
* première partie de la séance : les étudiants qui le souhaitent rendent compte oralement de leur
travail + correction collective + retour sur tout ce qui n’a pas été compris dans l’ensemble du cours.
* distribution d’un texte qui sera à lire pour la prochaine séance au cours de laquelle un devoir sur
table sera effectué : des questions distribuées sur place porteront sur le texte qui devait être lu et travaillé
« chez soi ». Il est précisé que les questions auront une ressemblance avec celles qui ont été posées pour
la lecture des deux premiers textes. Le texte distribué = extrait de L’évolution pédagogique en France,
PUF, 1938/1999, Quadrige : sélection-montage d’extraits du chapitre premier « introduction ».
* dernière partie de la séance = début du chapitre 2.
Chapitre 2. Les sociologies de la reproduction
A) le sociologie de Bourdieu dans son contexte historique
1. repères historiques
2. Les débats sociaux, politiques et scientifiques qui conduisent à l’élaboration d’une
nouvelle conception sociologique de la société et de l’éducation
3. Quelques repères dans les courants dont cette sociologie est héritière et/ou se démarque
B) la théorie et la méthode de Bourdieu
* cadrage (et comparaison par rapport à Durkheim) sur : holisme / déterminisme ; fonctionnalisme ;
sociologie critique / positiviste
* Approche du cadre théorique et de notions : champ / habitus / agent ; violence symbolique /
domination ; condition/position, lutte de places et classes sociales ; distinction.
* objectivation et méthode quantitative ; quelques éléments sur « macro-sociologique »
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séance n°6
Première partie de la séance : devoir sur table (1h30). Questions distribuées sur place :
Répondez aux questions suivantes (dans un texte d’ensemble, les questions étant interdépendantes) :
* Quel est le "problème social" que Durkheim déconstruit ? (Quels débats de son temps le conduisent à étudier une question ?)
Comment déconstruit-il ce problème social ?
* Quel objet sociologique, quelle question centrale de recherche reconstruit-il ? Quelles évidences déconstruit-il pour cela?
* Quelles sont les différentes raisons pour lesquelles il a recours à l’histoire comme méthode de recherche?
* Pour répondre aux questions précédentes, utilisez les différents concepts étudiés en cours (ceux de la sociologie en général et
ceux propres à Durkheim) que l’auteur mobilise dans son raisonnement de façon explicite ou implicite, et expliquez en quoi le
choix de certains concepts relève de la conception théorique générale de l’auteur. Les concepts ne doivent pas être définis « à
part » de l’explication du texte ci-après : mobilisez-les pour mieux expliquer le texte, ce qui y est dit et ce qui n’est pas dit
mais influence son texte.
Composez un texte qui développe votre raisonnement de façon organisée et progressive (ne reproduisez pas forcément les
étapes du texte de l’auteur pour structurer votre propre raisonnement).
[Extraits de : Durkheim Émile, L’évolution pédagogique en France (Cours de 1904-1905 pour les candidats à l’Agrégation),
é.o. 1938, PUF, 1990, pp. 9-23.]
* deuxième partie de la séance = suite du chapitre 2. Retour sur ce qui n’a pas été compris la
semaine précédente. Poursuite du cours (B).
Résumé de la séance sur le blog :
*a] la théorie des champs de la société. (autonomie relative)
*b] capital économique - capital social - capital culturel (nous avons vu en quoi Bourdieu s'inspire de la notion de capital chez
Marx, tout en s'en distanciant et en la transférant).
*c] violence symbolique ; domination ; légitimation ; distinction ; luttes de places / luttes de classes
*d] théorie de l'action : agent / sens pratique / habitus. Bourdieu donne plusieurs définitions du concept d’«
habitus », notamment :
« schèmes communs de pensée, de perception, d’appréciation et d’action » ; (Bourdieu Pierre &
Passeron Jean-Claude, La reproduction, éditions de Minuit, Paris, 1970, p. 233.)
« systèmes de dispositions durables et transposables, structures structurées prédisposées à
fonctionner comme structures structurantes, c'est-à-dire en tant que principes générateurs et
organisateurs de pratiques et de représentations qui peuvent être objectivement adaptées à leur but
sans supposer la visée consciente de fins et la maîtrise expresse des opérations nécessaires pour les
atteindre ». (Bourdieu Pierre, Le sens pratique, éditions de Minuit, Paris, 1980, p. 88.)
*e] L'échange nous a également permis de revenir sur les "résistances à l'objectivation sociologique" car il est toujours
un peu violent dans un premier temps de voir ses propres pratiques "mises au jour" comme étant conditionnées par nos milieux
de socialisation et nos conditions de vie alors que l'on croit "choisir" ce que l'on fait. Idem, nous avons également
« exemplifié » certains aspects en évoquant la confrontation d’habitus que l’on peut observer dans le film « Le goût des
autres » d’Agnès Jaoui, que certains étudiants ont vu et que d’autres doivent voir lors de sa rediffusion à la télévision la
semaine suivante.
*f] nous avons aussi essayé de "comparer" la théorie de Bourdieu avec celle de Durkheim étudiée au chapitre 1. Holisme pour
les deux. Fonctionnalisme pour les deux. Mais pour Bourdieu, il ne s'agit pas d'une théorie positiviste, mais d'une sociologie
critique : le travail du sociologie cherche ici à "objectiver", à découvrir les fonctions cachées des institutions dans la société,
pour "critiquer" les injustices de certaines de ces fonctions.
Les étudiants qui veulent approfondir quelques aspects et avoir accès en ligne à un extrait du livre "La reproduction" (s’ils ne
peuvent se rendre en bibliothèque d’ici la semaine prochaine) se reporteront à :
http://classiques.uqac.ca/collection_methodologie/bourdieu_et_al/hypothese_holisme/hypothese_ho
lisme_texte.html
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