Mr EDBAIECH SOCIOLOGIE 23 octobre 2006
3è cours
Page 2 sur 2 D.Venturelli/JB.Maitrot
Pour cela → observations, écoute des rumeurs, information, lien entre ce qui se dit et ce qui se
fait…
Il y a un objectif institutionnel affiché qui sera oublié peu à peu pour les acteurs car entrent
dans les enjeux de Pouvoir → l’organisation est malade
Les effets vont être produits et questionner le système.
Pour ne pas être objet → conserver une zone de liberté
La Maîtrise est un fantasme, un leurre mais on vise tout de même à le réaliser → moyen de
savoir, objectiver pour rendre certain.
Il y a constamment référence à la Loi → pour rencontrer les gens car les dérives sont
possibles.
DenisVASSE : « 1 parmi d’autres »
→ « la Loi a comme fonction première de s’opposer au Désir »
Elle n’organise pas la réalité mais s’oppose au Désir, c’est pourquoi elle s’écrit au futur et au
négatif : ne pas faire…
Dans le sujet de la Loi, l’Homme transgresse → son Désir est la transgression
→ anticiper sur des Désirs potentiels
→ Les règles sont contingentes des actions fixées par les Acteurs.
Mais trop de règles empêchent la Souplesse
Le Pouvoir d’un Individu dans une organisation est fonction de l’importance de la zone
d’incertitude qu’il sera capable de contrôler face à ses partenaires.
C’est la Loi qui légitime les positions de domination : notamment au niveau de l’action.
La Loi est le principe organisateur ou régulateur de la praxis.
Praxis : champ de la pratique, ce au nom de quoi la pratique se justifie.
Les statuts se justifient par rapport aux référentiels : Loi de la pratique
Eléments intervenants dans la zone d’incertitude dans la relation de Pouvoir :
Les zones d’incertitude ont lien avec le savoir faire expert
La relation avec l’environnement → légitimé par la Loi
→ formations diverses, connaissances diversifiées, réseaux..
Accès à l’information : être au croisement de flux (à l’info stratégique → les acteurs sont des
aiguilleurs)
Faire, créer des règles : attention car la règle doit être appliquée par tous et perd de la
souplesse.
Marcus (philosophe américain des années 70)
« l’H est multidimensionnel » → culturel, sociologique, psychologique, biologique,
économique et historique
Dans l’entreprise, on considère l’acteur comme rationnel : avec des comportements
prédéterminés.
Il existe aussi des K irrationnels, pulsionnels, affectifs : tout cela est connecté → donc même
dans les K rationnels transparaissent des K affectifs.
Les normes sociales peuvent être :
Rigidifiées : le pulsionnel est vu comme Déviance comportementale
Souples : le pulsionnel est vécu comme Variance comportementale