
Baisse de l’emploi industriel par la désindustrialisation (causes : augmentation de la
productivité, externalisation et intérim).
Baisse de l’emploi salarié dans les grandes entreprises mais augmentation dans les
petites (< 20 salariés).
Dans les années 1990 : précarisation de l’emploi.
2007 : 14,5% d’emplois temporaires parmi les emplois salariés et 17,1% de temps
partiels (~comme UE).
Annualisation du temps de travail et 35h => flexibilité de l’emploi.
Un CDD ne peut être renouvelé au-delà de 18 mois.
Le CDD est un sas vers le CDI (donc la stabilité).
Accord de 2008 : logique de flexi-sécurité. Flexibilité de la sortie d’emploi mais
protection pour les perdants.
Pour les CDI : nouveau mode de licenciement la rupture conventionnelle, le salarié
donne son accord.
Nouveau CDD pour les cardes et ingénieurs : échéance à la fin d’un projet.
=>baisse des coûts de licenciement => baisse du chômage des jeunes et de longue
durée.
France : 2,2 millions de chômeurs.
Comparaison France/UE : France plus de femmes
UE plus de longue durée
18,7% de moins de 25 ans sont au chômage contre 8% pour toutes classes d’ages.
En 2004, seuls 30% accèdent directement à un CDI dont 35% le quittent au bout de 3
ans.
Le taux de chômage des jeunes augmente plus vite que le taux de chômage global.
En 2007, 40,4% des chômeurs sont non qualifiés.
Depuis 1993 : politique d’exonération des charges sociales sur les bas salaires.
Idée que le SMIC et les cotisations sociales pèsent sur le demande de travail des
entreprises.
Cette politique a réduit la productivité du travail.
En 1996 : allègement des charges dégressif pour les salaires inférieurs à 1,33 SMIC.
En 2007, le taux d’activité des seniors (55-64 ans) était de 40,4% (pour les 15-64 ans :
70,2%) => préretraites ou DRE (dispenses de recherche d’emploi).
Années 1990 : politique d’enrichissement de la croissance en emploi.
Lisbonne 2000 : la stratégie européenne pour l’emploi change d’objectif => de la
baisse du taux de chômage à l’augmentation du taux d’emploi.
Stratégie de Lisbonne = augmenter la croissance en investissant dans la recherche.