Les Jeux Dangereux
Comment tout ça a t-il commencé ? je ne sais plus. L’ennui sûrement. Oui, c’est très certainement l’ennui. Oscar
Wilde disait qu’il était le seul péché irrémissible. L’ennui, ce beau parleur, ce grain de folie, cet élan qui vous
pousse à faire tant de choses, tant de choses que vous n’auriez jamais songé faire, ou oser faire, et que par un
trop plein d’ennui, vous faites.
L’ennui, c’est qu’il y a des choses que pour aucune raison vous devriez faire. Des choses qu’il vaudrait mieux
garder pour soi, dans un coin de sa tête, œuf non éclos qui n’attends qu’une chose, que l’imagination le couve.
L’exacte différence entre :
« Putain je vais le buter ce connard » et le moment où vous passer véritablement à l’action, flingue, couteau,
montre en main, le poing levé ou le bras dressé, prêts à appuyer sur la gâchette ou à lui transpercer le cœur.
Ce que l’ennui m’a poussé à faire, c’est une de ces choses là, que j’aurais mieux fait de garder un coin reculé de
mon crâne.
Cela a commencé il y a quelques mois. Quelques mois, c’est si peu, et c’est tellement d’événement. Ça paraît
court, mais vécu, ils semblent durer une éternité.
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Je mentais surtout. (Je mentais sur tout).
Sur ma vie, mes goûts, mon identité. Je prenais soin de laisser le hasard choisir ce que moi et moi avions en
commun et en différent, ce que nous aimions pareillement et ce que j’aimais sans que lui l’aime, ou inversement.
Je prétendais habiter loin d’elle, afin d’être plus tranquille ; ne lui laissait aucun moyen de me joindre afin de ne
pas la mettre sur une piste qui aurait pu me faire démasquer.
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La scène se passe à Venise, la première rencontre durant le carnaval. L’auteur s’ennuie, alors elle décide de
« tromper » sa bien aimée. Se déguise et va aborder sa dulcinée comme si de rien n’était dans le but de se faire
passer pour une autre. Le jeu marche à merveille et la belle s’y laisse prendre.
Après ça, c’est au théâtre que la scène va se passer (l’auteur est dramaturge et comédienne) et c’est sous forme
de cet acteur qui refuse tjs d’enlever son masque (vénitien) qu’elle va aborder sa bien aimée. Qui se prendra au
jeu sans s’en rendre compte et qui finira par porter un attrait bien trop grand que ce que l’auteur ne l’aurait
imaginé. Résultat : jalousie de l’auteur pour elle même ; et pour ce personnage qu’elle a créé, mais à la fois
impossibilité d’arrêter car le jeu est devenu trop dangereux et surtout trop prenant.
La jalousie la consume, la bouffe, la rend malade & folle. Elle adopte un comportement presque animal,
complètement cinglé et morbide.
Vers la fin, à chaque fois qu’elle joue le personnage, elle se sent mal, très mal, ce qui va conduire le personnage
à avoir des agissements étranges.
Le personnage va commencer à devenir distant, froid, voire même violent. Jusqu’où cela va t-il aller ?
Il va violenter la dulcinée de l’auteur, mais à quel point ?
Comment cela finit-il ?
L’auteur tue t-elle le masque ou est elle sous la tutelle de celui ci ? (hu hu)
La pièce de théâtre parle du carnaval de Venise, se renseigner. La pièce a été commandé à l’auteur pour célébrer
le prochain carnaval de Venise.
Confondre le lecteur en même temps
Le masque change à chacune de leur rencontre. Vers la fin, le masque se fait de plus en plus dur et effrayant.
Vicieux, méfiant et dont il faut se méfier.
Ecrire en penchant vers la SF Le cafard de Kafka, ou Le portrait de Dorian Gray
ms un truc assez excentrique et coloré, comme le carnaval de Venise
un style dans le genre Boris Vian
En plus j'ai pensais à une autre manière de débuter la rencontre.
En fait, le truc ce serait, y a le carnaval de Venise machin Belle Jeunesse y va tranquillou machin, et Drama ne
devait pas y aller a la base, ms elle y va qd mm. Les deux se croise, enivrée par le monde et l'allégresse, et
trompée par le costume, Belle Jeunesse ne reconnait pas Drama; alors qu'elle la reconnait.
Suite à ça, ça donne une idée à Drama, continuer a 'duper' Belle Jeunesse. du coup, elle va quelques jours plus
tard, une fois sa pièce écrite (pièce qui parle du carnaval), elle se rend dans le théatre de rue où Belle Jeunesse
traine pour passer le tps (fasciiinnatiiioonn 8-)) et où elle joue, parfois écrit des petites pièces. En somme c un
théâtre bonne franquette hein, une sorte dee rdv des écrivains ratés, y a pas vraiment de troupe ou quoi (le
théâtre de Ruby ds FFIX XD)
et la elle présente sa pièce. Le soir mm ou le lendemain, Belle Jeunesse va parler à Drama de la pièce la plus
nnnnnnnnnnnnnazzzzzze qu'elle ait jms vu, et etc
La fin :
Drama va se consumer de jalousie. Mais est ce qu’elle tombe en cendre ou est ce qu’elle brule ? et est ce qu’elle
brule avec les masque ou est ce qu’elle s’en sort, mais avec les marques de brulures ?
Et est ce qu’elle arrive à briser les masques ou est ce qu’elle crame toute seule ?
Important :
Notion qui va avec la jalousie : BG ne se rend pas compte que ce qu'elle peut dire peut être véritablement
heurtant, blessant. Elle ne fait pas attention, ne se rend pas compte que parfois,en une phrase, elle dévaste le
morale de Drama.
Noms des persos :
Drama (ou son antonyme) / Catastrophe ?
Artis Facta
Bella Giovinezza
Réflexions :
Fiction & réalité
Jeu, acteur et jouer
(Théâtre comédie, faux, artifice)
(Les dangers de la jalousie, passion)
Jeu de métaphore
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