Bouddisme
On trouve au cimtière le blason familial sur la tombe. On respecte vraiement ses
ancêtres au Japon. Des plaquettes installées autour de la tombe s’appelle sotoba (卒塔
婆), surlaquelle le nom de défunt et le mot pour prier son repos.
Si ce défunt est de la famille de Jôdo-shû, l’école du bouddhisme Terre pure, il est
marqué namu-amidabutsu (南無阿弥陀仏:soyez bienveillant à mon égard, monsieur le
Bouddha).
On voit aussi des fleurs et un encensoir. Les Japonais vont nettoyer leur tombe au cours
de O-bon (les jours entre le 13 et le 16 août, considérés les esprits de morts reviennent
dans ce monde). À côté de cimetière, il y a des seaux qu’on utilise. On ne les apportent
pas chez soi pour ne pas apporter la saleté. On peut acheter des choses necéssaires
telles que encens, bougies et fleurs.
Au Japon, les dieux et le Bouddha sont mélangés.
Le bouddhisme du Japon est le bouddhisme de grand véhicule, dans lequel on croit au
Bouddha Amida ou aux bodhisattva. Par ailleurs, dans d’autres pays d’Asie, le
bouddhisme est le bouddhisme de petit véhicule. Dans ce dernier, on doit mener la vie
aussi sévère que Bouddha. On doit tous vivre comme moine. Il y a 2000 ans, ce dernier
était courant principal. Comme c’est un trop petit chemin, les gens ordinaires ne
peuvent pas se débrouiller. Suivant le temps, on a créé des préceptes plus gentils et on
préfère l’enseigne plus facile à pratiquer : on sera tous sauvé si on fait un peu de prière
ou de méditation. On peut même atteindre au niveau d’éveil.
Les gens d’alors comprennaient vraiment l’essence du bouddhisme et modifiaient de la
façon appropriée de chaque époque.
Le shogyô-mujô (諸 行 無 常 ) est la notion importante du bouddhisme : tout étant
éphémère et mortel dans ce monde, le désir provoquera la souffrance. Il faut changer la
conscience pour le saisir. En regardant les changements de saison, on peut le bien
comprendre. Donc on essaye d’exprimer la saison dans un temple ou jardin.
Le bouddhisme est un chemin pour vivre, un moyen de vie et un texte d’esprit.
Le shintoisme est par contre sorte d’animisme. Il est profondément lié à la nautre,
comme la foi d’Aborigène.