optimiser son système immunitaire

publicité
CHAPITRE 14
OPTIMISER SON SYSTÈME IMMUNITAIRE
Le système immunitaire joue deux rôles vitaux dans l’organisme.
1.
D’abord, il réagit aux corps étrangers en produisant des anticorps et stimule les
cellules spécialisées qui détruisent ces organismes ou neutralise leurs produits
toxiques. C’est ainsi qu’il nous défend contre ces envahisseurs étrangers, à savoir les
germes, les virus, les bactéries, et les choses semblables.
2.
Ensuite, il monte la garde pour les cellules de l’organisme afin de s’assurer qu’elles ne
soient pas anormales ni dégénérées.1
Votre Système immunitaire
Sous plusieurs aspects, le système immunitaire est le plus étonnant système de l’organisme,
rivalisant facilement avec le cerveau, que ce soit en complexité, subtilité, et « autoconscience ». Voici juste quelques exemples de choses que fait le système immunitaire :
 Votre système immunitaire est capable d’identifier chaque cellule de l’organisme et de
reconnaître chacune d’elle en tant qu’amie.
 Réciproquement, il est capable d’isoler et d’identifier les envahisseurs étrangers, que ce
soient des bactéries, virus, champignons ou des parasites.
 Une fois qu’il a identifié un envahisseur, votre système immunitaire développe alors
rapidement une arme défensive sur mesure qui cible de façon spécifique le point faible de
l’envahisseur.
 Puis il fait encore mieux. Après avoir conçu l’arme spécifique requis, votre système
immunitaire commence alors à construire une manufacture qui produit ces armes en
masses suffisantes pour écraser l’envahisseur.
 Et une fois que l’envahisseur est vaincu, le système immunitaire a acquis la conscience
de « se mettre en veille » et passer, comme on dit dans l’armée, de DEFCON 5 à
DEFCON 1.
 Et aussi surprenant que ce puisse l’être, nous n’avons pas encore parlé des trois plus
importants aspects du système immunitaire : les aspects qui mettent en évidence son
intelligence, à savoir :
 D’abord, une fois qu’il a vaincu un envahisseur, le système immunitaire se souvient de
celui-ci et de la défense qu’il a utilisée pour le vaincre. Si jamais cet envahisseur fait
une autre apparition, même des décennies plus tard, le système immunitaire peut
lancer une défensive immédiate.
 Encore plus étonnant, toutefois, est le fait que le système immunitaire peut identifier
lorsqu’une cellule de l’organisme a changé, est « passée chez l’ennemi » si jamais
c’est le cas. Ceci est extraordinairement sophistiqué. Parmi les billions de cellules de
l’organisme, le système immunitaire peut dire lorsqu’une seule cellule a muté et est
devenue cancéreuse et, dans la plupart des cas, se rend sur place et la détruit avant
qu’elle ne puisse faire de dommage. En fait, il accomplit ceci des millions de fois par
jour.
 Et, le plus étonnant de tous, le système immunitaire est en complète communication
avec chaque partie de lui-même. « Et puis après, diriez-vous ? le cerveau fait la même
1
Il existe normalement quelque chose comme entre 100 et 10,000 cellules anormales circulant dans
l’organisme en tout temps.
chose ! » Oui, mais souvenez-vous que les milliards et milliards de cellules du système
immunitaire ne sont pas en contact les unes avec les autres. Pour paraphraser
Einstein : « En son sein, le système immunitaire ressemble à rien d’autre qu’une
« grande pensée. »
Dans les quelques chapitres suivants, je vais tâcher de résumer le fonctionnement du
système immunitaire. En réalité, une discussion complète prendrait plusieurs volumes juste
pour clarifier la quantité limitée de ce que nous savons à son sujet en ce moment même.
Néanmoins, ce que j’aimerais faire est de vous donner au moins un résumé, un bref aperçu
contextuel si vous voulez, sur la façon dont ce merveilleux système fonctionne.
Les Parties du Système immunitaire
Toutes les cellules du sang, que ce soient les globules rouges ou blancs, sont formées à
partir de la moelle osseuse. Ces cellules commencent sans distinction aucune à assumer
des caractéristiques individuelles et deviennent soit des globules rouges (des transporteurs
d’oxygène) ou des globules blancs (les cellules du système immunitaire). Voici maintenant
une plus grande différenciation au sein des globules blancs (aussi appelés leucocytes), qui
se subdivisent en quatre principaux types de cellule :
 Les lymphocytes
 Les phagocytes
 Les granulocytes
 Les cellules dendritiques
Cellules souches
(source de toutes les cellules sanguines)
(globules rouges et blancs)
|
Leucocytes
(tous les globules blancs)
________________________________________|_____________________________________________
|
|
|
|
Lymphocytes
Phagocytes
Granulocytes
Cellules dendritiques
|
|
|
______________________________
___________
___________
|
|
|
|
|
|
|
Lymphocytes T Lymphocytes B Cellules tueuses Monocyte Neutrophile
Éosinophile Basophile
|
|
naturelles
|
|
_____________
|
|
|
|
|
|
T-3
T-4
T-8 Plasma cellulaire
Macrophage
Bâtonnets
|
|
|
T-auxiliaire Lymphocytes T Anticorps/
cytotoxiques
Immunoglobulines
Les Lymphocytes
Les lymphocytes sont de petits globules blancs qui servent à effectuer des opérations-clés
du système immunitaire. Dans un corps sain, non assailli, on en trouve environ un par
million. Il existe trois principales classes de lymphocytes.
1.
Les cellules B. Chaque cellule B est programmée pour fabriquer un anticorps2
spécifique pour se défendre contre un envahisseur en particulier. Par exemple, une
cellule B produit un anticorps pour se défendre contre seulement une souche de grippe
Un anticorps est une protéine soluble produite par les cellules B qui est capable de s’attacher à une
substance étrangère spécifique (aussi appelée un antigène) pour la détruire ou la neutraliser dans
l’organisme. Les anticorps appartiennent à une famille particulière de neuf protéines appelées les
immunoglobulines.
2
particulière. Tandis qu’une cellule B entièrement différente est nécessaire pour une
autre grippe spécifique et une troisième cellule B pour la bactérie du streptocoque. Les
cellules B travaillent pratiquement sur les fluides de l’organisme et à la défense contre
les envahisseurs « étrangers » et les molécules toxiques. Elles sont incapables de le
défendre contre ses propres cellules qui ont « mal tournées ».
Une fois qu’une cellule B rencontre un envahisseur en particulier pour lequel elle fut
conçue pour la défense de l’organisme,3 elle produit une grande quantité de plasma de
cellules. Un plasma de cellules n’est rien d’autre qu’une « manufacture » qui produit
des millions et des millions d’anticorps spécifiques pour les libérer dans le flux sanguin.
Une fois l’envahisseur éliminé, les cellules B cessent la production de plasma cellulaire
et retournent à leur mode d’attente.
2.
Les cellules T sont plus intelligentes que les cellules B. C’est comme si elles étaient
allées à l’école. Après avoir été produites dans la moelle osseuse, les cellules T se
fraient un chemin vers le thymus où elles sont éduquées sur la façon de distinguer les
cellules propres à l’organisme des cellules envahissantes ; et à distinguer les cellules
normales saines des cellules mutantes dévoyées.4 Chaque cellule T porte un
marqueur, une molécule distinctive à sa surface, qui détermine son comportement.
Chaque cellule T porte un marqueur T-3.
 De plus, certaines cellules T portent un marqueur T-4. Celles-ci sont connues comme
étant les cellules T auxiliaires, qui servent le but d’identifier les envahisseurs étrangers,
puis ensuite à activer les cellules B, d’autres cellules T, les cellules auxiliaires
naturelles, et les macrophages pour attaquer l’envahisseur.
 Et finalement, certaines cellules T portent un marqueur T-8. La plupart des cellules T-8
sont connues comme étant les cellules T cytotoxiques,5 qui identifient les cellules
mutantes dévoyées de l’organisme ou les cellules qui se sont fait envahir par des virus
et compromettre. Une fois qu’elles ont identifié l’ennemi, les cellules T cytotoxiques
attaquent les cellules de l’organisme qui ont été infectées ou sont devenues malignes,
pour les détruire.
3.
Les cellules auxiliaires naturelles. Contrairement aux cellules T cytotoxiques, les
cellules auxiliaires naturelles n’ont pas besoin de reconnaître un envahisseur
spécifique pour agir. Elles attaquent toute une gamme de microbes en plus des
tumeurs des cellules. Tout comme les cellules T cytotoxiques, elles tuent les cellules
ennemies par contact en leur envoyant des éclats mortels de grains chimiques qui
trouent les cellules visées en les « brûlant », les faisant éclater pour ensuite se vider de
leur contenu.
Les Phagocytes
Les phagocytes sont de gros globules blancs qui mangent et digèrent (principalement grâce
à leur activité enzymatique) les pathogènes envahissants. Il existe plusieurs sortes de
phagocyte : les monocytes, les neutrophiles, et les macrophages. Les macrophages, en
particulier, sont plutôt fascinants et ont plusieurs fonctions au sein du système immunitaire.
Non seulement attaquent-elles les envahisseurs étrangers, elles jouent également un rôle
clé en tant qu’éboueurs en « dévorant » les cellules affaiblies et d’autres déchets de
3
Même si les cellules B sont capables de reconnaître des envahisseurs par elles-mêmes, cette
fonction revient d’abord aux cellules T.
4 Les cellules T qui ne peuvent faire cette distinction sont éliminées à ce point de sorte qu’elles ne
puissent plus circuler dans l’organisme pour l’attaquer.
5 On les appelle aussi « cellules suppressives ».
l’organisme.6 Et finalement, une fois que les macrophages ont « digéré » un envahisseur, ils
présentent alors la clé d’identification des molécules, ou les antigènes, aux cellules T pour
initier la réponse immunitaire.
Les Granulocytes
Les granulocytes comprennent les éosiniphiles, les basophiles et les neutrophiles (les
neutrophiles sont à la fois phagocytes et granulocytes), puis les cellules bâtonnets (mast
cells). Les granulocytes détruisent les envahisseurs en libérant des granules remplies de
puissants produits chimiques.
Les Cellules dendritiques
Les cellules dendritiques se reconnaissent à leurs genres de longs tentacules traînants
servant à enrober non seulement les antigènes mais aussi les lymphocytes puis à les
acheminer aux nodus lymphatiques pour qu’ils soient expulsés de l’organisme.
Les Organes du Système immunitaire
Nous avons déjà parlé de deux organes-clés, la moelle osseuse (qui produit les cellules du
système immunitaire) et le thymus (qui entraîne les cellules T). Parmi les autres organesclés, on retrouve les nodus lymphatiques, la rate, les amygdales et les végétations, puis
l’appendicite. Bien que l’on puisse survivre sans un ou plusieurs de ces organes, ils sont
vitaux et irremplaçables. L’ablation de l’un d’entre eux compromet sérieusement le système
immunitaire. La rate, par exemple, sert à la fois en tant que zone de relais pour les globules
blancs défensifs et en tant qu’usine de filtration sanguine pour éliminer les cellules sanguines
épuisées. L’ablation de la rate rend quelqu’un très vulnérable aux infections. Même les
amygdales et les végétations ne sont pas sans valeur unique. On a des évidences comme
quoi les seuls organes pouvant produire une défense contre la polio sont les amygdales et
les végétations. Si cela est vrai, l’ablation de ces organes chez les enfants les rendrait
vulnérables à la polio.
Le Système immunitaire complémentaire
À un moment donné, lorsque le système immunitaire macrophage est entièrement
submergé, le « système immunitaire complémentaire » se met en branle. Ce système
secondaire est fait d’environ 25 protéines/enzymes qui s’activent en cascades séquentielles
et se terminent avec ce qu’on appelle « l’attaque combinée de la membrane ». Comme son
nom le dit, ce composé attaque les membranes cellulaires des envahisseurs. Une fonction
secondaire du système immunitaire complémentaire est d’aider à débarrasser l’organisme
des CIC (Composés Immunitaires en Circulation), ce dont on a parlé au chapitre 5. Lorsque
la surcharge du système immunitaire complémentaire est assez grande, il peut en résulter
une sévère inflammation des tissus, causée par l’activité d’albumines. Ce qu’il est important
de voir là-dedans, c’est que les tissus de l’organisme commencent littéralement à s’attaquer
entre eux. C’est-à-dire qu’on se retrouve alors avec une condition auto-immune !
Comment le Système immunitaire communique avec lui-même
Nous savons maintenant quelque peu comment le système immunitaire fonctionne,
comment il identifie les envahisseurs en préparant une réaction, mais par tous les saints,
Les macrophages jouent un rôle-clé dans le jeûne. Lorsqu’on cesse de manger et qu’il se crée des
déchets dans l’organisme, les macrophages ont une chance de se pointer dans le jeu pour aller
nettoyer les débris. Le temps du jeûne devient un temps de nettoyage de printemps pour les
macrophages.
6
comment fait-il pour communiquer avec lui-même ? La réponse se trouve dans une série de
puissants messagers chimiques secrétés par les cellules du système immunitaire appelées
les cytokines. Vous avez probablement entendu parler de plusieurs de ces cytokines, y
compris l’interféron et le Facteur nécrosant les tumeurs ; mais ce sont les interleukines qui
se propagent à travers l’organisme comme des milliards de petits messagers qui :
 activent les cellules B et les cellules T ;
 entraînent les cellules ;
 favorisent la croissance rapide des défenseurs « entraînés » ;
 sonne la retraite des défenseurs lorsque la menace est passée ;
 contrôlent la réponse à l’inflammation.
Renforcir son immunité
À toutes les fois que les cellules T ou les cellules B s’activent à cause d’un envahisseur,
quelques-unes de ces cellules deviennent des cellules mémorielles. À savoir qu’elles codent
une « mémoire » de l’antigène particulier associé avec l’envahisseur de sorte qu’à la
prochaine rencontre de ce même antigène, le système immunitaire puisse répondre sans
délais.
Il existe plusieurs facteurs affectant le niveau de réponse immunitaire que l’on peut
cumuler. La génétique joue un rôle certain. Certains individus naissent tout simplement avec
un système immunitaire plus forts que d’autres. La diète, le style de vie et l’environnement
peuvent également soit améliorer ou détériorer le système immunitaire. De plus, la force de
la réponse immunitaire de même que la durée de la mémoire immunitaire sont grandement
influencées par le type d’antigène impliqué, et la quantité ayant pénétrée l’organisme.
En naissant, nos systèmes immunitaires sont faibles ; peu importe l’immunité que nous
avons reçue de nos mères. Presque immédiatement, cependant, en prenant pour acquis
qu’on est allaité, cette immunité commence à s’établir. Le premier « lait » que nous recevons
de notre mère est, en fait, non pas du lait. C’est une substance appelée colostrum, dont le
principal but est d’établir notre immunité. Le colostrum est rempli de multiplicateurs
immunitaires naturels comme le lactoférin, les alkyglicérols et le facteur de mutation. De
plus, comme nous en avons parlé au chapitre 4, l’allaitement aide à établir les cultures
probiotiques dans les intestins, ce qui aide également à développer nos systèmes
immunitaires.7
Les Vaccins
Dans la grande sagesse de la médecine moderne, nous avons créé des vaccins afin de
« construire à l’avance une mémoire » pour nos systèmes immunitaires – la mémoire de
maladies significatives que nous n’avons jamais eues comme la rougeole, les oreillons, la
polio, la diphtérie, la petite vérole, etc. Les vaccins contiennent une version stérilisée affaiblie
de microorganismes (ou de protéines de ces microorganismes) capables de produire une
réponse immunitaire dans l’organisme sans induire une installation complète d’une maladie
en soi. Bien que les vaccins aient joué un rôle significatif pour aider à réduire le nombre de
morts parmi les enfants, les bénéfices ne sont pas sans coûts.
Je ne vais pas m’attarder là-dessus, étant donné un douloureux souvenir émotif qui fait
qu’il m’est impossible d’être objectif sur ce sujet. Mon plus jeune frère a fait partie de ce
« petit pourcentage » d’enfants qui a mal répondu à la série de trois piqûres qu’il reçut au
début des années 60. À chaque fois qu’il recevait une de ces piqûres, il faisait beaucoup de
température et pleurait toute la nuit – la dernière fois, il a littéralement hurlé durant des
heures. Chaque fois, ma mère appelait le pédiatre, qui la rassurait en disant qu’il n’y avait
7
Les enfants à qui on donne immédiatement le biberon de lait non maternel ne profitent pas de ces
bienfaits. Non seulement le lait non maternel donne à ces enfants des coliques, des infections
oculaires et des rhumes, etc., mais il y a une preuve accablante que, dans la plupart des cas, leurs
systèmes immunitaires ne réussissent jamais à « s’établir pleinement ».
pas de quoi s’en faire. Mais ce qui suit montre qu’il avait tort. Mon frère, avec plusieurs
milliers d’autres enfants – malheureusement, même un petit pourcentage, lorsque cela
s’applique à un grand nombre, équivaut à plusieurs milliers d’enfants –, était allergique à ces
vaccins. Chaque piqûre lui causait une petite hémorragie, qui le rendit en fin de compte
sévèrement retardé. Bien que le fabriquant de ce vaccin ait émis une mise en garde sur cette
possibilité, il n’avait pas communiqué cela clairement aux pédiatres qui l’administraient.8 Ce
genre de réaction à un vaccin et ce genre d’irresponsabilité d’une compagnie pharmaceutique ne sont pas aussi anormales que vous pourriez le penser.
 Le vaccin de la polio qui fut donné aux enfants dans les années 50 et 60 n’était pas aussi
stérilisé qu’on pensait originellement. En fait, plus tard, quand on utilisa de meilleurs
équipements de test, on a découvert qu’il y avait 140 virus vivants dans ces premières
versions du vaccin de la polio. Et qu’en résulta-t-il ? Eh bien, une chose certaine, un de
ces virus, le SV40, est fortement impliqué dans le cancer du cerveau.
 Jonas Salk a attesté devant un sous-comité du Sénat que depuis 1961, exception faite de
quelques cas importants d’autres pays, tous les cas de polio furent causés par le Vaccin
Oral de la Polio.9
 En 1986, le gouvernement fédéral a mis sur pied un Programme de compensation pour
tord causé par le Vaccin national afin de compenser les victimes de ce vaccin. À ce jour,
près de $1 milliards fut remis en compensation.
 En plus de cette partie « active » du vaccin, le vaccin comprend des substances telles
que l’éthylène glycol (antigel), du formaldéhyde (un carcinogène connu), et de
l’aluminium.
Regardez, je ne dis pas que les vaccins devraient être éliminés, mais seulement qu’on
devrait faire un peu plus de discrimination que ce qui se fait en ce moment. Éventuellement,
il est possible que de nouvelles techniques de l’ingénierie génétique, en devenant capable
d’isoler complètement l’antigène offensif, puisse offrir une forme de vaccin plus sécuritaire.
Mais jusqu’à ce que cela se produise…
Les Problèmes qui peuvent survenir avec le Système immunitaire
Les problèmes qui peuvent survenir sont :
1.
2.
3.
4.
5.
Le système immunitaire est submergé par trop d’envahisseurs.
Le système immunitaire s’affaiblit et devient vulnérable aux attaques.
Le système immunitaire devient déprogrammé et perd l’aptitude à identifier les
envahisseur ou les cellules mutantes.
Le système immunitaire devient déprogrammé et commence à se tromper en
identifiant des cellules saines de l’organisme comme étant des ennemis et commence
à les attaquer.
Le système immunitaire est compromis ou déficient à la naissance.
De tous ces problèmes, les quatre premiers sont, dans la plupart des cas, corrigeables. Mais
lorsque le corps naît sans l’aptitude à produire un composé-clé, les options sont franchement
limitées, mais pas nécessairement sans espoirs.
Avant 1990, les docteurs n’étaient pas légalement tenus de rapporter des réactions adverses aux
vaccins au Centre de Contrôle des Maladies; et, même avec la loi sur l’obligation de la déclaration, on
estime que seulement 10% des docteurs rapportent les dommages dont ils sont témoins au Centre de
Contrôle des Maladies.
9 En fait, il y a une forte évidence que cette même épidémie à l’origine de la polio de la fin des années
40 fut causée par un autre vaccin. Le premier triple vaccin contre la diphtérie, la toux et le tétanos fut
sans l’ombre d’un doute la cause de la polio paralytique chez quelques enfants à qui il fut administré.
L’incidence de polio chez les enfants vaccinés avec cette dose fut statistiquement plus grande que
chez les enfants non vaccinés. Ce scandale fut mis au jour en Grande-Bretagne au cours de l’année
1949, une année épidémique de polio; d’autres rapports vinrent ensuite de l’Australie.
8
Optimiser son Système immunitaire
Puisque le but du système immunitaire de l’organisme est de le défendre contre des
attaques et de l’aider à se réparer, mieux il se porte, plus on est en santé. Pour faciliter ce
processus, nous avons besoin d’adresser deux zones-clés de la fonction immunitaire que
nous avons déjà identifiées :
1.
Nous devons améliorer la fonction immunitaire dans son ensemble – pour permettre au
corps de mieux se défendre par lui-même.
2.
Nous avons besoin de viser spécialement (tuer/détruire) les bactéries, virus,
microorganismes et les autres pathogènes envahissants, afin d’aider le système
immunitaire, comme il se doit.
Les scientistes savent depuis des années qu’il est possible d’améliorer le fonctionnement du
système immunitaire. Ici, aux États-Unis, l’approche consiste à utiliser de coûteuses drogues
de marques déposées. Les favorites en ce moment comprennent des concentrés de
cytokines comme l’interleukine et l’interféron. Le reste du monde, d’autre part, a adopté une
approche plus proche de la nature en cherchant à utiliser des substances naturelles pour :






Stimuler et renforcir le système immunitaire
Combattre les infections
Stimuler la capacité des macrophages
Augmenter la production de cellules T et la protection des cellules T auxiliaires
Complémenter l’action de l’interféron et de l’interleukine 1
Assister la réponse immunitaire médiane des cellules
Assez surprenant, non seulement les multiplicateurs immunitaires naturels sont plus
sécuritaires que l’approche avec les drogues (ayant beaucoup moins d’effets secondaires) ;
ils sont également beaucoup plus puissants que leurs contreparties pharmaceutiques.
Jetons un œil sur quelques-uns de ces puissants multiplicateurs disponibles.
L’Échinacée
L’Échinacée est une herbe vraiment miraculeuse. D’une part, elle contient de l’échinacoside
(un antibiotique naturel, comparable à la pénicilline pour ses effets) qui peut tuer une bonne
gamme de virus, bactéries, champignons et de protozoaires, ce qui donne à cette plante une
valeur inestimable pour guérir les blessures et traiter les maladies infectieuses. La recherche
a également démontré l’efficacité de l’Échinacée pour traiter les rhumes, les bronchites, la
tuberculose, les infections, etc.
L’Échinacée contient aussi de l’échinacéine, une substance biochimique qui protège contre
l’attaque des germes en neutralisant l’enzyme dissolvante des tissus, l’hyaluronidase,
produite par plusieurs germes. Aussi, des études comme celle publiée dans Infection and
Immunology montrent que l’Échinacée contient des substances qui multiplient l’aptitude
macrophage de l’organisme à détruire les germes. Et d’autres études de l’Université de
Munich ont montré que les extraits d’Échinacée décuplent la production des cellules-T
jusqu’à 30% de plus que les drogues utilisées pour le système immunitaire.
Le Pau d’arco
Le Pau d’arco (Tabebuia heptophylla) vient des forêts humides du Brésil et d’autres régions
de l’Amérique du Sud. Cette extraordinaire herbe nourrit le système de défense de
l’organisme et aide à le protéger contre les organismes pathogènes. On l’utilise depuis des
siècles afin d’améliorer les fonctions immunitaires, détoxiquer, et réduire la douleur dans le
corps, tout particulièrement pour les articulations. La recherche a montré qu’il contient un
agent antibactérien naturel, qu’il a un effet de guérison sur tout l’organisme, nettoie le sang
et tue les virus.
Le Pau d’arco est utilisé pour traiter le SIDA, les allergies, toutes les infections et
inflammations, l’anémie, l’asthme, l’arthrite, l’artériosclérose, pour renforcir le sang, contre
les bronchites, tous les types de cancer, le candida, les colites, les cystites, l’emphysème, le
diabète, l’eczéma, les fistules, la gastrite, la blennorragie, les hémorragies, les hernies, la
maladie de Hodgkin, les maladies du foie, la leucémie, le lupus, la sclérose en plaques,
l’ostéomyélite, la maladie de Parkinson, les polypes, les prostatites, le psoriasis, les
rhumatismes, le cancer de la peau, les clous, les infections de la rate, les morsures de
serpent, les ulcères, les varices, les verrues et de vieilles meurtrissures.
Le Suma
Les natifs de la jungle amazonienne utilisent le Suma depuis au moins les derniers 300 ans.
Ce ne fut toutefois pas avant 1975 que le Suma fut présenté au cours du 20e siècle et testé à
l’Université de Sao Paulo, Brésil.
Les études faites par le Dr Milton Brazzach ont conclu que sans être une cure, cela
soulageait de façon significative le cancer, le diabète et ceux qui souffrent de la goûte, et ce,
sans effets secondaires indésirables. Depuis lors, les études faites à l’ [Université américaine
des Arts de la guérison] « American College of Healing Arts » par le Dr Michael Tierra,
auteur du livre The Way of Herbs [Le sentier des herbes], indiquent que l’utilisation constante
de Suma peut aider à combattre la fatigue (y compris le traitement de la fatigue chronique et
de conditions de manque d’énergie), prévenir des rhumes et des grippes, accélérer la
guérison, contrôler l’hypoglycémie, et stimuler les pulsions sexuelles.
Les ingrédients actifs du Suma sont :
 L’acide pfaffique, qui empêche la propagation de divers désordres cellulaires.
 Les pfaffocides et d’autres saponines, qui aident à stopper les maladies en progression.
 Les hormones sitostérol et stigmastérol de la plante, qui empêchent l’absorption de
cholestérol et améliorent la circulation sanguine.
 L’alantoïne, qui aide à accélérer la guérison.
 Et le plus important de tous : le germanium. Le Suma possède l’une des plus hautes
concentrations de Ge-132 de toutes les plantes connues.
Qu’y a-t-il de si merveilleux avec le Ge-132 ? Il fut en fait découvert il y a environ 20 ans par
un chimiste japonais, un chercheur du nom de Kazuhiko Asai. Son nom au complet est le
Carboxyethylgermanium Sesquioxide (ou le Germanium Sesquioxyde, qui est un diminutif).
Selon les études du Dr Parris M. Kidd : « Cette substance, alors qu’elle est exempte d’effets
secondaires majeurs, peut apparemment tonifier, rajeunir, restaurer la fonction reproductrice,
protéger contre les fausses couches durant la grossesse, guérir les brûlures sans cicatrices,
mettre fin à la maladie des rayons, restaurer la vue et l’ouïe, apaiser la douleur due à des
cancers avancés, et faire régresser des cancers en quelques semaines. Les désordres
circulatoires, comprenant les attaques cardiaques, l’angine de poitrine, les crises cardiaques,
et les détériorations périphériques répondent bien au Ge-132, tout comme l’hépatite et la
cirrhose et quelques désordres de comportement.
Les champignons médicinaux
Plusieurs composés que l’on retrouve dans les champignons Reishi, Maitake et Cordyceps
sont classés comme des Host Defense Potentiators (HDP). On croit que des combinaisons
de ces composés renforcissent le système immunitaire humain tout comme il aide à la
transmission nerveuse, au métabolisme, à l’équilibre hormonale et au transport des
nutriments et de l’oxygène. À travers un mécanisme immunitaire hôte médium (les
cellules T), ils aident l’organisme à réguler le développement des cellules du courant
lymphoïde et d’autres importantes réponses immunitaires défensives.
Reishi : Les effets anti-cancérigène et immunitaire des champignons Reishi sont
grandement attribués aux polysaccharides. Les champignons Reishi ont une haute teneur en
mucopolysaccharides, que l’organisme incorpore dans les membranes cellulaires le rendant
résistants aux virus et aux bactéries pathogènes. Il appert que les polysaccharides activent
les macrophages, les globules blancs qui « consomment » les virus, les bactéries et d’autres
masses particulières.
Maitake : Ces champignons comportent une haute concentration d’un composé de
polysaccharide unique appelé le bêta 1,6 glucan, que les chercheurs considèrent aujourd’hui
comme étant l’un des plus puissants stimulants immunitaires et adaptogènes connus. Une
étude de recherche parue dans le Chemical Pharmaceutical Bulletin (1988) a démontré que
le Maitake a une valeur inhibitive de 64% pour le cancer du sein et la propagation de
tumeurs et une valeur inhibitive de 75% pour le cancer de la peau et la propagation de
tumeurs. Les études en laboratoires au US. National Cancer Institute et au Japanese
National Institute of Health ont aussi démontré que l’extrait de Maitake tue le virus de
l’immunodéficience humaine (VIH) et améliore l’activité des lymphocytes T auxiliaires. La
recherche a démontré que le Maitake stimule une variété de certaines cellules immunitaires
comprenant les macrophages, les cellules tueuses naturelles, les cellules Th, Tc et Tdh.
Et non seulement stimule-t-il la production de ces cellules immunitaires, mais il augmente
leur efficacité en favorisant la production d’inteleukine-1, inteleukine-2, et de lymphokines.
Comme nous l’avons déjà mentionné, ce sont des produits chimiques que le corps
synthétise normalement afin de stimuler la réponse immunitaire de l’organisme et aider à
cibler les substances étrangères. Il est confirmé que le Maitake possède plusieurs aspects
bénéfiques pour combattre le cancer et les tumeurs, à savoir :




Il protège les cellules saines en les empêchant de devenir cancéreuses.
Il aide à prévenir la propagation du cancer (métastases).
Il ralentit ou arrête la croissance des tumeurs.
Il travaille en conjonction avec la chimiothérapie en amoindrissant les effets secondaires
négatifs. Une étude fait état d’une diminution de 90% des effets secondaires de la chimio
comprenant la perte des cheveux, la douleur et les nausées.
Le Cordyceps a des propriétés similaires à celles du ginseng et est utilisé pour renforcir et
reconstruire le corps après un épuisement ou une longue maladie. On l’utilise aussi
traditionnellement pour l’impuissance, la neurasthénie, et les maux de reins. Une recherche
récente avec des extraits de Cordyceps a rendu une protéine combinée à un polysaccharide
très active contre les tumeurs, tout en amenant amélioration immunologique. Le Cordyceps
est l’un des champignons le plus prisés de toute la médecine chinoise, et aussi l’un des plus
chers (coûtant jusqu’à $249 par kilogramme).
Le Cordyceps est largement employé pour traiter des problèmes de bronches, l’impuissance,
les systèmes immunitaires affaiblis, et pour l’endurance des athlètes.
L’Ail
L’ail est l’un des meilleurs remèdes disponibles à la fois pour les infections bactériennes et
virales. L’un de ses nombreux ingrédients, l’allicine10, est un antibiotique naturel qui ne
semble pas créer de souches bactériennes résistantes contraignantes. De plus, l’extrait d’ail
frais s’est avéré être mortel pour plusieurs virus.
L’ail possède également l’aptitude à stimuler l’activité des macrophages qui étreignent les
organismes étrangers, comme les virus, les bactéries, et les levures. De plus, l’ail augmente
l’activité des cellules T auxiliaires. Et l’ail peut être tout particulièrement efficace dans le
traitement des bronchites causées par des virus, en raison de ses propriétés stimulantes de
l’immunité et sa capacité à dégager le mucus des poumons. Et finalement, l’ail est aussi
efficace contre les bactéries du streptocoque et du staphylocoque.
(Tout ce qu’on a dit sur l’ail s’applique aussi aux oignons. Les oignons et l’ail comprennent
plusieurs composés sulfuriques qui ont une très grande efficacité en tant qu’agents
antiviraux et antibactériens.)
L’Aloe vera
La substance polysaccharide de l’Aloe vera, l’acémannan, possède une activité antivirale
significative et renforcit l’immunité. Malheureusement, la quantité d’acémannan varie
grandement d’un fabriquant à l’autre. Les produits ayant un haut niveau d’activité
d’acémannan se sont avérés augmenter l’action des lymphocytes sur les alloantigènes par
l’amélioration de la libération de monocytes de l’inteleukine-1. De plus, on a observé que
l’acémannan augmente les niveaux macrophages et a un effet positif sur les niveaux CD-4,
CD-8, T-4 et T-8.
Alkyglycérols
Les alkyglycérols (aussi connu sous le nom d’alkolxyglycérols, ou AKG) sont naturellement
fabriqués par l’organisme et se retrouvent dans le lait maternel, le foie, la rate et la moelle
osseuse. Ils jouent un rôle majeur dans la production et la stimulation des globules blancs.
Ils aident également à normaliser la fonction de la moelle osseuse. L’effet d’assistance
immunitaire de l’AKG aide l’organisme à se protéger contre les infections bactériennes,
fongiques et virales. La source la plus puissante d’AKG au monde est l’huile de foie de
requin.
Le Lactoférin
Le lactoférin est l’un des cytokines produit par l’organisme. On en retrouve dans les endroits
particulièrement vulnérables aux attaques, comme dans les intestins, les yeux, les oreilles, la
gorge, le canal urinaire, etc. Le lactoférin a démontré qu’il :
 inhibe la multiplication des virus, y compris les virus du SIDA et de l’herpes, dans les
cellules saines ;
 inhibe la croissance des tumeurs et les métastases ;
 qu’il est directement toxique pour les bactéries et les levures, ayant ainsi une valeur
incomparable dans la prévention de surcroissance bactérienne et de candidat dans les
intestins ;
 active les cellules neutrophiles.
La substance qui donne à l’ail son odeur forte est ce qui détruit, ou inhibe diverses bactéries et
champignons. Cette substance est l’allicine, et lorsqu’on l’écrase et la mélange à l’enzyme allinase, il
en résulte une action antibactérienne équivalente à 1% de pénicilline.
10
Un supplément de lactoférin (ou en favoriser la production dans l’organisme avec un
probiotique) peut stimuler de façon significative le système immunitaire et/ou aider
l’organisme à se rétablir d’une infection. D’autre part, maintenir sa flore intestinale à des
niveaux sains permet à l’organisme de produire son propre lactoférin.
La Glutathion
La glutathion est une molécule naturelle d’un acide aminé tripeptide qu’on retrouve dans les
cellules de l’organisme. En plus d’être un puissant antioxydant,11 la glutathion supporte
activement le fonctionnement du système immunitaire et est un élément-clé de tous les
lymphocytes. De fait, tous les lymphocytes ont besoin de niveaux suffisants de glutathion
intracellulaire afin de fonctionner correctement. Cette molécule joue également un rôle
protecteur majeur contre les effets dommageables de toute la gamme de pathogènes et de
carcinogènes. Chez plusieurs personnes, les suppléments de glutathion perturbent leur
estomac. Parmi les alternatives, on retrouve les précurseurs de glutathion cystine et la
cystine glutamyle et particulièrement des produits à base de petit lait.
Le Bêta Glucan
Le Bêta 1-3/-16 Glucan est un composé naturel d’hydrate de carbone qu’on retrouve
principalement dans les parois cellulaires des levures. Il fonctionne en « activant » les
cellulaires macrophages.
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
Trop de gens pensent que le système immunitaire est quelque chose faisant cavalier seul.
C’est une grosse erreur. Revoyons rapidement la Ligne de base du programme de santé
pour avoir un aperçu sur la façon que chaque système influence tout l’organisme.
 Dans quel état votre système immunitaire (même si vous prenez tous les suppléments au
monde que vous voulez) si votre côlon est encombré de 20 livres de vieilles matières
fécales ? Une portion substantielle de votre système immunitaire doit alors combattre les
effets d’auto-intoxication. Nettoyez vos intestins, et vous soulagerez votre système
immunitaire.
 Une bactérie bénéfique (si elle est présente) fabrique de puissants multiplicateurs
immunitaires comme le Facteur de mutation et le lactoférin directement dans les intestins.
En d’autres mots, prenez un bon probiotique et vous vitaliserez votre système immunitaire
en augmentant la production interne de plusieurs puissants facteurs immunitaires.
 Comme nous en avons parlé au chapitre 5, prendre des suppléments d’enzymes
digestives réduit de façon significative l’incidence de CIC, ce qui soulage du même coup
le stress du système immunitaire complémentaire.
 Une diète de nourriture appropriée revitalise le système immunitaire. Chaque cellule
immunitaire de l’organisme est fabriquée à partir de la nourriture qu’on ingurgite. Une
diète nutritionnelle déficience signifie des cellules immunitaires avec un fonctionnement
déficient. Un bon supplément de vitamines et minéraux augmente la production des
cellules immunitaires de l’organisme.
 L’acide gras Omega-9+ est un modulateur du système immunitaire qui aide à maintenir le
système immunitaire bien programmé de sorte qu’il ne s’attaque pas à lui-même.
 Un spectre complet d’antioxydants de qualité décuple le système immunitaire de plusieurs
façons. Juste comme exemple, prenez la curcumine. Dans Immunological Investigations
La glutathion n’est pas unique en son genre. Plusieurs autres substances naturelles, comme la
vitamine C par exemple, fonctionnent aussi à la fois en tant qu’antioxydants et stimulants
immunitaires.
11





[Investigations immunologiques], 1999, Vol. 28, Publications 5-6, p. 291-303, sont
publiées des études qui prouvent que la curcumine peut renverser la quantité de globules
blancs jusqu’à 50% en juste 12 jours, sans parler des anticorps en circulation par 512
dans le même espace de temps.
Nettoyer le foie avec un purgatif efficace et un programme de reconstruction améliore la
capacité du foie à produire des facteurs immunitaires et à éliminer les bactéries du sang.
Nettoyer le sang avec un nettoyant sanguin à base d’herbes et équilibrer le pH du sang
aide aussi à améliorer la fonction immunitaire.
Et bien entendu, l’utilisation quotidienne de potions d’herbes dont nous avons parlé
dans ce chapitre s’est avéré améliorer significativement le système immunitaire sur
toute la ligne, même lors d’une chimiothérapie agressante.
 Multiplicateurs immunitaires : échinacée, Pau d’arco, Suma, Reishi, Maitake,
Cordyceps
 Destructeurs de pathogènes : ail, oignon, gingembre, jus de habenéro, raifort (radis
noir), vinaigre de cidre de pommes
L’exercice mental et la visualisation tels que définis dans le prochain chapitre peuvent
décupler par deux la fonction immunitaire en aussi peu que 24 heures. De plus,
l’utilisation d’un tonique à base d’herbes pour les nerfs peut dramatiquement réduire le
stress dans l’organisme, ce qui résultera en une augmentation des fonctions du système
immunitaire, pratiquement seulement au cours de la nuit.
Et gardez à l’esprit que le point d’entrée principal de la plupart des pathogènes se fait via
les yeux, le nez et la bouche par contact avec les mains. Gardez à l’esprit que les mains
sont une menace potentielle en raison des contacts avec les autres personnes (poignées
de mains, par exemple) et le contact avec les objets comme les poignées de porte et les
téléphones. Se laver régulièrement les mains au cours de la journée (même avec du
savon ordinaire) peut servir à épargner le système immunitaire.
Et finalement, l’un des principaux bénéfices de faire régulièrement de l’exercice est un
système immunitaire optimisé.
Téléchargement