Base de Données M Cieloski
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BASE DE DONNEES
I Concepts de base :
C’est un système d’information, ce que l’on peut en voir au travers d’un SGDB
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3 couches d’un SGBD : système de gestion de fichiers.
Caractéristiques :
Indépendance Physique : pas à se soucier de la machine sur laquelle on
travaille, ni des méthodes d’accès. Pas nécessaire de réécrire les
application si on change de système.
Indépendance Logique : possibilités d’offrir une vue sur les informations,
droits d’accès.
Rend possible la manipulation des données par des non informaticiens.
Accès efficaces aux données (les SGBD sont pourvu d’algorithmes
performants)
Administration centralisées des données (permettent de vérifier la
cohérence des données)
Outils de sauvegarde des données.
Non redondances des données (éviter la duplication des données)
Assurer la cohérence des données.
Gérer les concurrences d’accès
Pouvoir doter le système d’information de prise en charge de la sécurité.
OFFRE non Exhaustive de SGBD :
DB 2 ORACLE O2
SYBASE SQL Server Gemstore
INGRES INFORMIX ObjectStore
ACCES S PARADOX JASMIN
Visual DB FOXPRO
FileMaker 4 D
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SGBD : système de gestion de bases de données
Système de
gestion de
fichiers
SGBD
Interne
SGBD
Externe
Orientés Objet
Base de Données M Cieloski
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II Les niveaux de description d’une base de données :
Norme ANSI / X3 / SPARC 1796
3 niveaux de description
- Niveau Conceptuel : MERISE
- Niveau Interne : permet de qualifier les structures de stockage
Caractéristiques des données (type et longueur…)
- Niveau Externe Description des vues sur les données
MODELISATION DES DONNEES :
MERISE : Modélisation et séparation des traitements des données.
Définitions :
Notion de propriété
: données élémentaire et indécomposable du
système d’information (ex solde compte client)
Notion d’Entité
: représentation d’information ayant une existence
matériel ou non conforme aux choix et aux règles de l’entreprise,
l’entité est constituée d’une liste de propriétés.
Notion d’Association : elle traduit dans un système d’information, un
lien entre les différentes entités d’intervenants dans cette association
caractérise sa dimension.
Elle peut être réflexive, lorsqu’elle porte sur la même entité, binaire
lorsqu’elle porte sur 2 entités, N’aire lorsqu’elle porte sur N entités.
Remarque : Une association peut porter une priorité
Il peut être important de chiffrer le volume d’informations. Une
cardinalité caractérise le lien entre une entité et une association. Elle est constituée
une borne minimale et d’une borne maximale.
Cardinalité minimale
: Le nombre minimal de fois qu’une occurrence d’une entité
participe aux occurrences d’une association (dans la plupart des cas 0 ou 1)
Cardinalité maximale
: : Le nombre maximal de fois qu’une occurrence d’une entité
participe aux occurrences d’une association (dans la plupart des cas 1 ou N)
Schéma
Externe
Schéma
Externe
Schéma
Interne
Base de Données M Cieloski
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Association réflexive :
NOTION D’ IDENTIFIANT : est constitué d’une ou plusieurs propriétés d’une entité,
de sorte qu’à chaque valeur de l’identifiant corresponde 1 et 1 seule occurrence de
l’entité.
Modèle Conceptuel d’une banque :
Client, Employé, Banque, sachant qu’un employé peut gérer pour un même
client plusieurs contrats et qu’un employé peut gérer plusieurs clients sur un même
contrat.
LE MODELE RELATIONEL :
Dans un SGBD les données sont regroupées en tables, ces données correspondent à
certaines règles de gestion des ensembles. Elles sont regroupées dans l’algèbre
relationnelle.
Un domaine : c’est un ensemble fini ou infini de valeurs possible.
Le produit cartésien : d’un ensemble de domaine D1, D2,…, Dn qui s’associe dans D1
x D2 x…x Dn , c’est l’ensemble des tuple <V1, V2, … , Vn> qui pour l’exemple
donne :
D1= {Durand, Dupont}
D2 = {Alain, John, Raoul}
Employé
Est
chef
0,1
0,1
CLIENT
EMPLOYE
CONTRAT
gére
1,n
1,n
1,n
Base de Données M Cieloski
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Personne
C1
C2
D1 xD2 =
Durand
Durand
Durand
Dupont
Dupont
Alain
John
Raoul
Alain
John
Attributs
TABLE RELATIONNELLE : est un sous ensemble d’un produit cartésien d’une liste de
domaine, elle est caractérisée par nom qui permet de l’identifier clairement
Une base de données relationnelle est une BD dont le schéma est un ensemble de
schémas de table relationnelle et dont les occurrences sont des tuples de cette base.
LE PASSAGE DU MCD AUX TABLES RELATIONNELLES .
Une fois le MCD écrit, on peut traduire en un modèle plus proche de la réalité. Le
MLD
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.
Méthode :
Chaque entité devient une table
Chaque propriété devient colonne d’une table
L’identifiant de l’entité devient la clé primaire
Une association de cardinalité 0,n ; 0,1 provoque la migration d’une clé etrangère,
c’est l’identifiant qui vient du coté 0,n, migre vers la table coté 0,1.
Si les propriétés étaient portées sur l’association, elle vont migrer du coté 0,1.
Exemple :
Passage du MCD au tables
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MLD : Modèle Logique des Données
ENT 1
A
B
ENT 2
C
D
Assoc
E
0,1
0,1
TABLE 1
A
B
C
E
TABLE 2
C
D
Base de Données M Cieloski
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Une association 0,n ; 0,n donne quant à elle naissance à une nouvelle table, les
identifiants des entités vont migrer dans une autre table, la clé primaire de cette
table va être constituée de la réunion des identifiants.
Si les propriétés sont porte par cette association elle vont migrer dans cette table.
Exemple :
ENT 1
A
B
ENT 2
C
D
Assoc
E
0,n
0,n
TABLE 1
A
B
TABLE 3
A
C
E
TABLE 2
C
E
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