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INSTITUT DE RENNES
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Références du devoir
Matière :
Code :AP21.DEVOIR02
N° du devoir : Numéro 2 ..........................
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Indicatif 220 30 0287 4
Nom : GOUY ............................................
Prénom : Emilie ......................................
Adresse : 13 rue des ombrelles,13016 Marseille
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.................................................................
.................................................................
........................ Pays : France ..................
Pour la rédaction de votre devoir respectez bien le modèle présenté ci-après
Nom de la professeure correctrice : Mme POIRIER
Observations de la professeure : Vous avez su trouver les bonnes sources
Note
de documentation… Mais il semble que vous n’ayez parfois pas vraiment compris de quoi
certaines phrases parlaient et on se retrouve avec un commentaire morcelé (phrases sans
verbe…) et une argumentation incohérente dont les différents éléments sont éparpillés
sans aucune logique tout au long du texte !! Le plan ( ?) est incertain.
14/20
Il semble que vous ayez pris plusieurs textes traitant du même tableau et, du coup, vous parlez
plusieurs fois des mêmes éléments, et reprenez les mêmes idées en plusieurs endroits du texte, sans
les développer pour autant, ni expliquer ces variations de points de vue (sic).
N’hésitez jamais à citer vos sources : on ne pourra qu’approuver vos recherches documentaires. De
plus, si certains commentaires sont contestables… on ne vous les attribuera pas ( tout au plus vous
reprochera-t-on d’avoir pèché par humilité) !
Bien entendu, désignez clairement vos propres points de vus personnels, et précisez en quoi ils
épousent tels ou tels autres, ou bien s’en écartent… Montrez que vous comprenez de quoi il est
question et quels enjeux sont latents ( ici, la représentation conceptuelle ou non de la réalité, par
exemple ?)
Plusieurs affirmations ici auraient mérité d’être appuyées par des croquis ou schémas, ou
bien des exemples d’œuvres. Bonne recherche documentaire.
DOCUMENT 3.
Pablo PICASSO
« Bouteille de Vieux marc » 1913. Fusain ? papiers
collés et épinglés sur papier. 63 x 49 cm. MNAM.
Paris.
Analysez cette oeuvre de Picasso
Le principe fondamental du cubisme est la combinaison
de formes figuratives et non figuratives. Avec ses
nouveaux moyens d’expression (collages, assemblages)
les cubistes ont posé les jalons incontournables dans
l’évolution de l’art moderne. Réalisation de l’espace
pictural plane, vertical et bidimensionnel. verbe ?
Picasso délaisse progressivement les pinceaux et la
peinture pour coller, épingler ou assembler des
matériaux de décoration, de bricolage et de récupération
(le rebut : papiers peints, cartes à jouer, bois, métal,
etc..). Après les paysages et les personnages s‘ajoute la
nature morte, inspirée de l’univers des cafés et de la
?? Ne serait-ce pas plutôt une certaine manière de
représenter une certaine « réalité » ??
 Ce principe fondamental ( ni n’est pas juste de
mélanger des trucs ensemble !), est exposé plus bas…
A votre avis, dans quel but ? Que recherchait-il ainsi ?
musique (bouteilles, verres, journal, pipe, guitare,
etc.…)
De toute la série des « Bouteilles de vieux marc » du
printemps 1913, est fondée sur la réintroduction de la
couleur et du décoratif par le biais de papiers peints,
chamarrés, épinglés ou collés sur des fonds très colorés,
celui-ci se distingue par son minimalisme.
Petite ville française, Céret est le lieu secret de Picasso
pour travailler au développement du cubisme, et à
l’apparition des papiers collés. Un tableau cubiste
montre ce que l’on sait des choses et non ce que l’on
voit d’un point de vue donné. C’est le départ du cubisme
synthétique. Avec une nouvelle technique, celle du
papier collé entre 1912/1914. C’est l’objectif du tableauobjet avec l’enjeu capital du réel à reformuler. Les
papiers collés de Picasso jouent sur la couleur et la
surenchère décorative et n’échappent pas toujours à
l’emprise de sa vie sur son art.
Ce tableau a été réalisé au printemps 1913 au fusain
avec des papiers peints collés et épinglés sur papier
vergé blanc filigrané « Ingres 1871 » H 47,8 cm L 62
cm.
L’introduction neuve de matériaux étrangers à la
peinture traditionnelle élimine l’écriture subjective du
pinceau et permet d’identifier l’objet. Le tracé
géométrique s’harmonise aux matériaux rapportés pour
équilibrer la composition et affirmer la planéité du
support. Le fond est blanc agrémenté de quelques traits
très légers au fusain au second plan. Au premier plan les
traits sont plus appuyés. La réalité est représentée de
manière objective (la bouteille simplifiée semble dépliée
et son goulot est vu de dessus, prend une valeur
poétique)… L’étiquette est plate et le mot Vieux marc
est dessiné. Le début des lettres est peu marqué par
rapport aux autres lettres plus accentuées (excepté le X).
Un effet de rondeur, est réalisé par deux courbes audessus des mots Vieux et marc, effet accentué par
l’ombre de la bouteille. On peut apercevoir un demicercle qui pourrait représenter un verre, à côté de la
bouteille. L’épure de la table, qui est ronde, reçoit une
nappe constituée d’une chute de tapisserie et sa bordure
s’enrichit d’une moulure imprimée. Le contour de cette
table est formé d’un cercle est très appuyé et réalisé au
fusain. Sur cette table, on voit un journal plié, (la 1ière
page), en biais et une trace d’ombre au-dessus du titre,
sur la table. Picasso fait surtout un usage constant du
papier journal, instrument idéal de son système
analogique et sémantique de représentation. Le journal
et la nappe sont les deux seuls éléments colorés de cette
C’est à dire ? Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
|
|Ce paragraphe aurait fait une introduction élégante.
|
|
|
|
Par contre, vous avez assemblé des morceaux de textes
sans verbe, dans une cohérence incertaine…
C’est à dire ? Exemple ? Par exemple, la série des
« Bouteille de vieux Marc » traite de l’espace quotidien
d’un café… 
Pas du tout de peinture ? Parlez-en.
1. Voir plus bas. … Comme ces papiers peints, des
journaux, ou des morceaux de tissus, …
?? C’est à dire ?  au lieu de peindre un journal,
Picasso en colle un fragment sur l’espace du tableau (
métonymie). Il introduit donc la « réalité » dans un
expace vu traditionnellement comme subjectif !
Résumé simple : au lieu de le peindre, il en colle un bout
pour qu’on le reconnaisse !! ( voir plus bas)
3.  Pourquoi, à votre avis ?
… Qu’entendez-vous par là ?? Une bouteille qui semble
dépliée est représentée de manière objective ???
4. Espace/Lumière/plans
L’étiquette est-elle collée (est-ce une vraie étiquette ou
non ? Parlez-en ) ?
Demi-cercle : ou bien la marque du verre sur la table !
On « voit »… ou on « reconnaît » ??
2  coller un bout de l’objet « réel »… De plus, mot =
concept (et non l’objet réel), d’où un double jeu 
« Vrai » journal et « vrais » mots, eux mis en lieu et
place de l’objet réel, comme la bouteille de Vieux Marc,
désignée mais non présente réellement ( au contraire du
bout de journal)…
Pourquoi tout semble superposé ?
toile. Tous les éléments semblent superposés. Dans ce
papier collé, tout fait référence à l’imprimé ( papier
peint, étiquettes ou journal ) effectivement présent et
collés, avec une alternance des pleins et des vides (fond
de la toile avec des traits vides faits au fusain et les
objets, tels que tapisserie et journal). Affirmation de
deux dimensions par la surface plane de la toile,
accentuée par le collage de la toile cirée et du journal.
Les couleurs dominantes sont dans les tons d’ocres. Le
dessin sur fond de toile laisse une partie délibérément
inachevée. L’impact du nouveau procédé des éléments
concrets sont intégrés à la toile et considérés en euxmêmes. Ils induisent des sensations tactiles et optiques.
Ces fragments de la réalité externe confèrent à la toile
un statut de fragments de la réalité. La peinture est un
tableau-objet. Les formes ne reçoivent pas d’éclairage
mais émettent des variations lumineuses autonomes sous
l’aspect de facettes claires et sombres. La couleur se
réduit à des tons de convention comme l’ocre, dans la
période lyrique. Les papiers achetés dans le commerce
(papiers peints, faux bois, etc.…) collés sur le support
réintroduisent la couleur dans la période synthétique.
Les motifs imprimés des produits manufacturés puis les
objets réels (journaux) assument la représentation pour
éliminer le travail du pinceau trop sélectif. L’œuvre
stimule un échange avec le spectateur et les signes
(simulation d’objet, lettres) permettent de reconnaître les
objets. Les moyens plastiques s’efforcent de traduire
l’équivalent pictural de l’objet. Le dessin indique
l’essentiel des formes et la réduction géométrique du
sujet et du fond donne un rythme saccadé.
Des recherches ont été expérimentées par Picasso entre
1912/1914 ainsi que leurs prolongements, car le papier
collé chez lui a une vie après le cubisme. C’est loin de
se résumer à des techniques et à des formules figées. Le
procédé est au contraire dynamique et expansif, au point
de se prolonger jusqu’aux années 50 et se renouvelle à
travers plusieurs types de réalisations, toutes génériques
(maquettes de théâtre, préparation des grands formats,
cartons de tapisserie, écran de cinéma). Picasso libère
l’imagination et la technique, tout en restant figuratif et
éminemment poétique tout au long de sa vie. Collages
de papiers colorés, dessins rehaussés de coupures de
journaux ou échantillons de tapisserie épinglés,
combinaison d’objets tout faits font que toutes les
recherches de Picasso partage l’enjeu du réel à
reformuler sont représentées dans le cubisme.
|
| 4. Espace/Lumière/plans
!
4. Espace/Lumière/plans
 Voir plus haut ! 2
 Voir plus haut. 1
4. Espace/Lumière/plans
5. Couleur
 Déjà plus ou moins dit plus haut. 1
3. Dessin
Quelles recherches ?
Citez une ou deux œuvres en référence…
Phrase incompréhensible.
QUI partage ?
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