, , 6G0 BOS IK)S a prévalu, el c'est elle qui est généralement suivie aujourd'hui dans les collections dont le g. il dans est question ainsi, ; cet article est celui de l'entomologiste danois, correspon- dant au g. Tomicus de Latreille , de sa et Magazine, dans l'ordre des Coléoptères, sur les métamorphoses du Tomicus corps cylindrique, avec très petits, à tronquées ou plutôt courbées et dentées à leur extrémité la tète ; globuleuse s'enfonçant dans le corselet; les palpes très antennes à funkule courtes et terminées en une coniques petits et de cinq articles, massue solide , Scolylus et Bourychus ($ia-t P \> X oz, boucle de cheveux, à cause des filaments sur la narine), pède , Il — Genre établi par Lacé- pois*. d'après l'examen conservés dans les ; Hylesinus , (D.) BOSTRYCHE. Les Bostriches sont des Coléoptères généles élytres Platijpus , qui repose et g. Cis, Bostrichus, J/ylurgus. tribu des Scolytaires. ralement désigne ainsi une n. 9, p. 423), des nombreuses divisions établies par lui de dessins chinois bibliothèque la le caractérisait ainsi pentîforme ; : du Muséum. Corps allongé, ser- deux nageoires dorsales , la se- premiers articles égaux. Les larves de ces conde séparée de celle de la queue deux barbillons à la mâchoire supérieure les yeux as- Insectes, lorsqu'elles sont très multipliées, sez grands et sans voile. ; et les tarses ayant leurs trois que trop souvent, causent ; ; Il y réunit 2 esp. : de grands dégâts dans les forêts en vivant aux dépens de l'aubier qu'elles sillonnent dans tous les sens de manière que l'écorce Bostryche chinois ( B. sinensis ) et le Bostryche tacheté {B. maculatus). En examinant les originaux, on s'assure promplement que les deux dessins chinois repré- par se détacher du tronc. Elles attaquent sentent des espèces qui n'appartiennent pas ce qui n'arrive , finit les arbres résineux ou conifères. très nombreux en — Ce espèces. M. Dejean est g. , dans le au même genre et qu'il n'était , pas néces- un nouveau genre pour les dans la méthode ichlhyologique. La saire d'établir son dernier Catalogue, en désigne 52 , dont 19 d'Amérique, 3 d'Afrique, 1 des Indes classer première figure est celle orientales être d'un Éléotris mais comme on ne voit on ne peut pas affirmer Nous toutes et les autres d'Europe. citerons les plus connues parmi ces dernières ( , Dermestes Kostrichus typngraphus Fab. 1° : id. L., espèce est très Fontainebleau se trouve dans abietis Ziegl., ; Seolyius id. Oliv.). Cette commune dans la forêt 2° B. monographies Fab. les , de qui environs de Paris; 3» B. qui habite 4° enfin B. daciyliperda qu'on trouve dans toute BOSTRICHINS. de Sapins les forêts ; désigne ainsi , d'un Gobie la France. Boslrichini. uns. (D.) — La- la : — , peut- seconde détermination. La seconde espèce aurait dû être placée parmi les Boslrycette choïdes de M. Lacépède , car elle n'a qu'une dorsale. C'est d'ailleurs la figure d'un Ophi- céphale d'une espèce Cuv.,Val., tiist. nat. r l oycz particulière. des poiss.,1. VII, espèce très petite , deuxième tribu des familles des Xylophages parmi les Coléoptères tétramères. Elle se compose des g. Bostriehus, Psoa. Cis, JYemozoma, Cerylon, Rhizopliagus el Clypea&ter. Ces divers g. ont pour caractères communs Palpes (au moins les maxillaires) très apparents, filiformes ou plus gros au bout. (D.) "BOSTRICHITES. ins. M. le comte de Castelnau, dans l'histoire naturelle des Coléoptères faisant suite au Buffon-Duménil t. 2, p. 375, désigne ainsi le troisième groupe de la famille des Xylophages il se compose des g. Apate, Psoa, et Nemosoma. (D.) treille pas les ventrales ; p. 437. (Val.; BOSTRÏ'CHIA veux), bot. cr. proposé ce nom — j3 'cre P uÇ, boucle de che- (Phycées. ) Nous avons (Hist. phys., polit, et nui. du Cuba, p. 39) pour un démembrement du g. Rhodomela d'Agardh, lequel nous avait paru renfermer des espèces que leur organisation devait en exclure. Et en effet, depuis que nous avons publié (1839) les caractères que nous assignons à ce nouveau g., M. Agardh fils (Linnœa, 1841 , Sijmb., p. 28). a distrait, dans sa Classification des Insectes de l'Angle- l'espèce dont nous avons fait le type du noire, mais il l'a réunie à VAlsidium avec lequel elle ne nous semble pas avoir suffisamment d'affinité. En effet, notre g. s'en éloigne non seulement par le port, qui n'est pas non plus une chose qu'on doive tout-à-fait négliger, mais encore par la structure de la fronde. La Rho- emomoloykul domela scorpioides (Fucus amphibiui Tu.cn j ; "BOSTRICITES. terre , —M. ins. d'après les larves ( Tlie. Newmann, des Rhodomèles de son père , BOT BOS et certainement une organisation qui s'opla réunion proposée , et nous aime- offre mieux la voir laissée parmi le seul (Hit moyen de trancher question, la de suivre la nature, qui, en dotant celle plante et les espèces voisines d'une structure c'est pose à rions que ses ancien- a voulu qu'elles ne nes congénères que placée entre deux autres parfaitement distincte plantes qui représentent, à notre avis, des g. pussent pas être confondues. Les espèces qui bien distincts eux-mêmes. Car, quoique les devront faire partie du g. Bosinjchia, s'il est adopté, sont les B. scorpioides , calamisiralu callipiera eljloccosa. La première radicans Thamuophora Seaforihii rapprochent par leur tai, et même du leur fronde et triangularis se rigidité , leur habi- , , est la seule qui se rencontre sur nos côtes assez par la composition de g. Ahidium , la l'Océan première au moins des deux espèces présente un mode de fructification tout-à-fait étranger à ce dernier, mode dont M. Martius a parlé le premier, et dont nous avons donné aussi une description et une figure analytique dans l'ouvrage cité plus haut (p. 00, V, t. fig. 1). Nous reviendrons sur ce sujet au mot Thamuophora. Nous n'avons à nous occuper ici que des différences réelles et profondes que nous croyons avoir aperçues entre notre Bosinjchia , Rhodomèles les vraies et g. YAlsi- ; mérique méridionale ou aux Antilles. (CM.) BOSTBÏCHITE, Walker. min. Syno- — nyme de BOSWELLIA Genre de (nom propre), bot. la famille ( , cissant à l'air libre rameaux eux-mêmes en ra- portant des , ou épars, divisés mules tournés du même côté, en apparence articulés et roulés en boucle ou en crosse distiques , corom., 4, petit nombre l'Inde, ayant le port des ph. — établi , 207), et t. d'arbres de Elaphrium , et pro- duisant une résine balsamique qui découle de leur tronc sées ; leurs feuilles décidues, dispoalternes, au sommet des rameaux, sont imparipennées, à forme, cylindracée, de couleur violette, noir- des Burséracées PL par Roxburgh comprenant un dentées en scie fili- (Del.) Prehnite. dium. Exposons d'abord ses caractères, nous Fronde continue de toutes les autres sont propres à l'A- serons ensuite mieux à portée de faire ressortir ces différences. , folioles opposées, sessiles, éstipulées , ; sont les fleurs blanches, courtement pédicellées, disposées en panicules denses, terminales, bractéolées, ou en grappes axillaires solitaires. Ce genre fleurs se distingue essentiellement par des hermaphrodites; un calice 5-denté, persisune corolle insérée sous un disque tant ; sur une ou plusieurs rangées, des sphéro- annulaire et crénelé; des étamines subulées, persistantes ; un style court à stigmate trilobé une capsule drupacée , à endocarpe spores composés de 3 à 4 spores. Strutture sub-osseux. à leur extrémité. Fructification stichidiaire consistant en sortes de siliques renfermant, : La couche extérieure consiste en plusieurs de petites cellules oblongues ou cubiques, contenant des grarangées concentriques nules colorés d'où la plante tire sa teinte violacée; la couche ultérieure, est formée de cellules ou la moelle, très allongées, longitu- renfermant des corps filiformes, colorés comme le reste de l'algue. Si nous passons maintenant à la comparai- dinalement placées, et son de cette structure avec celle des Rlwdomelasubfusca, Gaimardi, etc., nous trouvons d'énormes différences, celle de ces dernières espèces se rapprochant davantage sous ce rapport des Polysiphonies. Aussi , déjà avant Agardh M. Duby avait-il séparé la Hhodomela scorpioides des vraies Rhodomèles pour la réunir au Plocamium. Nous trouvons bien que la séparation est nécessaire, forcée même, mais nous pensons que ni l'un ni l'autre rapprochement n'est irréprochable, M. .!. , ; On en cultive plusieurs dans nos L.) (G. serres chaudes. *BOTANEBIUS (|3otocv/), herbe &' ; vie). ç, _ Genre de Coléoptères tétramères, INS fa- mille des Curculionites, ordre desGonatocères , Mécorhynchides établi par légion des Schœnherr(t. entre les III, p. 358, g. 218), Amhonomus et les qui place le Prionomerus, mais il en diffère g. a le faciès des Cionus, principalement par le funiculedes antennes, composé chez lui de G articles, et de 5 seulement chez ces derniers. L'auteur n'y rap- Ce porte qu'une seule espèce, qu'il nomme II. et qui est originaire de l'île de lubercidus , Cuba ; elle a 4 mil. 1 /2 de long sur 2 largeur. /2 de l^-j BOTANIQUE. — Branche 1 de Bolanica (/3oTa'vvj, berlic'. l'histoire naturelle qui em- brasse l'étude et la connaissance des végés'oc taux. C'est une science immense, qui cnpe à la fois de l'organisation générale dc^