SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DE VICTORIAVILLE
Informations recueillies :
Les détaillants font de moins en moins de dons de fruits et de légumes en saison en raison d’une gestion plus serrée.
Les légumes arrivent souvent moins frais et la période de conservation étant très courte, ils doivent être distribués la journée même.
Nos achats de légumes sont patates, carottes, oignons. Parfois des concombres, laitues, betteraves, navets.
Nos achats de fruits sont pommes, oranges, bananes. Parfois des raisins pour Noël.
La récolte des surplus dans les champs (ex. : bleuets) est parfois complexe en raison de la difficulté à mobiliser rapidement des bénévoles et à les véhiculer. Il faut récolter quand c’est mûr, donc presque tout de suite, et c’est,
la plupart du temps en dehors de la ville, loin des utilisateurs qui n’ont pas d’auto.
L’organisme prévoit élaborer un calendrier d’acquisitions annuelles pour des aliments tels que la viande.
Dans la période des Fêtes, il y a plus de donateurs, par contre il y a plus de besoins à combler.
Nous pourrions faire du conditionnement, en saison, pour mettre en réserve des surplus de légumes tant les quantités sont grandes parfois.
L’organisme ne charge aucun frais aux utilisateurs pour du dépannage alimentaire.
Réponses au sondage :
Quantité distribuée /
Quantité manquante
% perte /
raisons des pertes
À l’année (sauf de la fin
juin à la fin août, durant
les vacances scolaires)
190 litres par semaine / un litre par ménage
Le lait récupéré est remis aux grosses familles, en plus du litre
que nous achetons. S’il en manque, nous remplaçons par un
autre produit laitier ou des œufs.
100 % achats (13 000 $ par année)
Un peu de récupération provenant de commerces,
dont du lait de chèvre.
Nous recevons un don de 650 litres du Syndicat des
producteurs laitiers pour nos paniers de Noël.
Selon les disponibilités, la redistribution se fait en
alternance : petites familles : 1 douzaine; personnes seules :
½ douzaine, grosses familles : 1 douzaine
Parfois des surplus, parfois non
100 % dons des commerces et des producteurs ou
d’achats faits par des particuliers.
Il y en a rarement assez. Les utilisateurs choisissent eux-
mêmes leurs fruits parmi ceux offerts dans les boîtes, mais il
nous faut veiller à ce qu’il y en ait suffisamment pour tout le
monde… ça peut signifier très peu. Lorsque nous en
achetons, on remet l’équivalent de ce qui est nécessaire à la
confection de 1 à 3 repas par personne.
Achat de 800 à 1 000 $ par mois de fruits et
légumes, de novembre à avril.
Tout au long de l’année, nous recevons la
récupération des épiceries, mais la tendance est que
nous en recevons de moins en moins.
On peut estimer une perte 15 % à 30 %
des fruits et légumes récupérés
(provenant des épiceries).
Il y en a rarement assez, sauf en saison. Les utilisateurs
choisissent eux-mêmes leurs légumes dans les boîtes, mais il
nous faut veiller à ce qu’il y en ait suffisamment pour tout le
monde… ça peut signifier très peu. Lorsque nous en
achetons, on remet l’équivalent de ce qui est nécessaire à la
Achat de 800 à 1 000 $ par mois de fruits et
légumes, de novembre à avril.
Tout au long de l’année, nous recevons la
récupération des épiceries, mais la tendance est que
nous en recevons de moins en moins.
Tout au long de l’année, nous recevons
la récupération des épiceries, mais la
tendance est que nous en recevons de
moins en moins.
On peut estimer une perte 15 % à 30 %