EVALUATION DE L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL ET SOCIAL EN RDC
Siège social : 25, Avenue Comité Urbain Kinshasa/ Gombe
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la province, approvisionnement en eau, logements, et installations de
stockage des matières premières et des produits finis dédiés au projet) ;
− La localisation, le site et la conception du projet (par exemple,
technologie/processus ; conception, construction, exploitation et
maintenance, et clôture ou mise hors service des installations) ; et
− Des indications sur la santé et la sécurité des travailleurs et de la
communauté, ainsi que sur les questions sociales, et le fait que des
évaluations ou des plans complémentaires sont ou non nécessaires (par
exemple : des plans de réinstallation ou des plans d’appui aux peuples
autochtones). Une carte montrant le site du projet, sa zone d’influence
(telle que déterminée au cours de la phase de détermination de la portée)
et les caractéristiques environnementales et sociales sensibles.
− Une description des conditions physiques, biologiques et humaines
existantes, pertinentes pour le projet ;
Étape 2 : Recueillir l’information de référence
Les données de référence environnementales et sociales existantes ou prévues,
doivent être présentées pour la zone d’influence du projet. Elles comprennent :
− Une évaluation de tous les changements prévus dans ces conditions avant le
démarrage du projet, ainsi que l’évolution dans le temps des données après
le lancement du projet, prévue indépendamment de celui-ci, y compris les
activités de développement actuelles et proposées, situées dans la zone du
projet, mais pas directement liées à celui-ci ; et
− Une estimation de la fiabilité des sources d’information utilisées et de la
qualité de l’information disponible, y compris son exactitude, précision,
exhaustivité, représentativité, etc.
Les données de référence doivent refléter les objectifs et les indicateurs identifiés
dans le rapport de détermination de la portée. Pour les plans spatiaux, la référence
peut utilement comprendre l’inventaire des biens naturels, notamment les zones
sensibles, les habitats essentiels et les composantes valorisées de l’écosystème.
Pour les plans sectoriels, la référence dépendra des principaux types d’impacts
environnementaux et sociaux prévus, et des indicateurs appropriés peuvent être
sélectionnés (par exemple, des indicateurs hydrométriques, hydrauliques et
hydrométéorologiques).