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Présidentielle 2017 Force Française - Réflexions sur quelques idées de fond –– Script vidéo 2
Sainte Rita Loi sur la presse de 1881 L’Église et son histoire judaïsme islam
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Je vais commencer par une dédicace… Je dédie cette vidéo à Sainte Rita de Cascia. Au
moment où je préparais ce second volet, en ce mois d’août 2016, l’Église Sainte-Rita du 15ème
arrondissement de Paris était évacuée manu militari par les forces de l’ordre… Le système
républicain de M. Hollande ne trouvait pas mieux que d’envoyer ses argousins « libérer » cette
église vouée à la destruction, le lendemain même de l’enterrement du curé de la paroisse de
Saint-Étienne du Rouvray qui venait de se faire égorger par des jeunes musulmans exaltés et
fanatisés, se revendiquant du groupe terroriste islamique Daesch.
Restons un instant sur l’affaire de l’église Sainte-Rita. Au-dede son aspect juridico-
administratif et de son affectation à un culte particulier certes un peu folklorique, mais les
animaux ont droit au même respect, sinon à la même considération, que les êtres humains en
tant que créatures de Dieu —, c’est laspect symbolique qui retient mon attention. Détruire une
église consacrée au culte catholique pour transformer le lieu en parking, témoigne d’un
glissement de notre civilisation vers le matérialisme provocateur le plus abject. Et quand on a
réussi à raser une église, pourquoi ne pas en raser une autre et ainsi de suite. Ce qui m’a amené
à définir ainsi le promoteur immobilier moderne, spéculateur privé ou public : un promoteur
immobilier est un monsieur qui rêve de raser les 130 églises de Paris pour construire des tours
de 50 étages à la place, et vendre le m2 au prix fort. Ils ne rêvent que d’empiler les étages dans
Paris ! Et ces églises qui dressent leurs fiers clochers, leurs majestueuses façades sur les plus
beaux emplacements de la capitale, semblent être là, à chaque carrefour, à chaque place, comme
pour les narguer ; elles leur gâchent la vie comme elles gâchent le terrain… Nous avons le
syndrome babélien ou babylonien de la tour, du gratte-ciel, symbole de puissance et de
domination jeté à la face de Dieu, qui obsède tant les esprits et les rends fous : que l’on regarde
ce qui se passe dans le monde entier à ce sujet.
En disant ces mots, je ne voudrais pas froisser la susceptibilité de l’un d’entre eux et pas des
moindres, M. Trump en personne, grand bâtisseur de gratte-ciel, de casinos, de terrains de golf,
candidat dit populiste à la Présidence des États-Unis. À quelques semaines des élections
américaines, je ne voudrais pas m’immiscer dans la campagne acharnée qui l’oppose à la
candidate de Wall-Street, de la Haute finance internationale et de linterventionnisme tous
azimuts à outrance, dame Hillary Clinton… Laissons à l’homme le bénéfice de sa bonne foi,
jugeons-le sur les faits. Jugeons-le sur les actes quand il affirme ceci : « Il est plus agréable de
discuter avec ses amis que de leur faire la guerre ». En une phrase, il renverse la politique
extérieure actuelle des États-Unis qui est de livrer au monde entier une guerre sourde sans merci
qui ne dit pas son nom, une guerre faite, surtout et y compris, à leurs amis européens… Alors,
attendons pour voir… S’il y a à voir…
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Dans le premier volet, rappelez-vous, j’avais fait une petite introduction philosophique.
J’avais employé le mot « entropie » qui signifie au sens strict transfert, transfert d’énergie en
l’occurrence mais dans un sens unique, du chaud vers le froid ; la chaleur se définit comme de
l’agitation ou désordre moléculaire ; exemple : le soleil qui peut atteindre plusieurs millions de
degrés. L’entropie est l’un des éléments d’une science très compliquée que l’on appelle
thermodynamique ; elle est au cœur de la science physique.
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Les scientifiques considèrent que l’information est un vecteur d’énergie. Exemple : un
ingénieur construit une machine ; si une erreur se glisse dans ses calculs, la machine ne marche
pas ; la machine qui marche, c’est de l’ordre ; la machine qui ne marche pas ou révèle des
défauts pouvant entraîner des dégâts, c’est du désordre ou de l’entropie. Nous avons vu qu’à
l’entropie s’oppose la néguentropie, notion que les scientifiques récusent car elle n’obéit à
aucune loi scientifique : la néguentropie, c’est l’énergie de la vie ; l’énergie de la vie ou énergie
vitale ne peut donc être traduite en termes mathématiques d’équation, de vecteur, de
logarithmes, d’intégrales, de tout ce que vous voudrez ; elle n’est pas de l’ordre cosmique, elle
est de l’ordre humain.
Dès lors que cette information relève de l’ordre humain, elle est vérité ou mensonge. La
vérité, c’est ce qui est conforme au réel : donc la vérité génère de l’ordre, elle est guentropie ;
le mensonge, c’est ce qui travestit la vérité, donc modifie la perception du réel : le mensonge
est facteur de désordre, donc d’entropie. Et l’on perçoit la cohérence des propos du Christ quand
il dit : « Je suis la voie, la vérité, la vie » ; autrement dit, je suis l’Ordre ! Quoi de plus simple,
de plus clair, de plus logique ?...
Par ailleurs, il dit aussi quelque chose qui n’est pas fait pour le rendre en odeur de sainteté
parmi les francs-maçons, et l’on peut comprendre que les républicains en soient venus à haïr la
religion catholique : « Rien n’est voilé qui ne sera dévoilé ; rien n’est caché qui ne sera connu. » ;
il est vrai que cette assertion est rigoureusement incompatible avec la pratique initiatique du
secret maçonnique. Il ajoute plus loin : « Ce que je vous dis dans l’ombre, dites-le au grand
jour. » Autrement dit, il est important, c’est absolument capital, absolument indispensable, de
dénoncer les manigances obscures de Satan, de les exposer au grand jour, à la connaissance du
monde pour mieux les combattre. Tout ce qui est caché doit être révélé. Là encore, quoi de plus
simple, de plus clair, de plus cohérent ?...
Or la vérité qui se fait jour aujourd’hui, et de plus en plus, est que c’est bien Satan qui
gouverne le monde, l’entraîne dans une spirale entropique entropique, donc contraire à la
vie —, spirale fatale qui conduit l’humanité au chaos. Le vecteur le plus actif de cette chéance
est le monde anglo-saxon. Oui, j’affirme, indépendamment des peuples concernés, que le
monde anglo-saxon ou anglo-américain est une monstruosité maçonnique, mélange judéo-
protestant de cabale et de bible ancienne, qui rejaillit sur l’ensemble des peuples du monde et
en influence négativement le cours de la vie sous le nom générique trompeur d’humanisme.
*
Après ces quelques précisions philosophiques, revenons à l’immédiat. Dans le premier
volet, nous avons examiné deux documents officiels qui ont une grande influence sur la vie des
gens en société, des préceptes légaux qui déterminent les comportements publics auxquels une
population doit se soumettre : la Déclaration (on peut même dire les déclarations) des droits de
l’homme, celle de l’ONU en particulier, et la loi de juillet 1972 contre le racisme, que je définis
comme une loi antifrançaise…
Maintenant, nous allons examiner une troisième loi dont le retentissement sur la vie des gens
en sociéest aussi considérable que les deux premières, sinon plus : la loi du 29 juillet 1881
dite sur la « liberté » de la presse.
Voici le document… [Vidéo. Je montre un tirage papier d’une vingtaine de pages exposant les 70 articles
de la loi, et les modifications dans le sens du renforcement qu’elle subit depuis 1881. Je souligne le fait que l’article
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1 est libellé ainsi : « L’imprimerie et la librairie sont libres » Toute la loi est contenue dans cet article 1. Sauf !...
Et tout le contenu des exceptions est contenu dans les 69 articles suivant. D’où une contradiction entre l’esprit et
la lettre qui ne semble pas gêner le législateur ni lui poser des problèmes de conscience]
Revenons sur le mot « liberté ». Ce mot que je finis par ne plus supporter, c’est presque
physique, au point de le vomir, tellement il est galvaudé par tout une faune d’avortons de
l’intellect pour se justifier à tout instant de leur médiocrité, de leur impuissance à être, des
ravages qu’ils commettent au nom de leur liberté à eux, cette pseudo liberté qui n’est que la
conséquence de leur profonde irresponsabilité… Car ils ont oublié une chose : il n’y a de liberté
que là où il y a responsabilité individuelleD’où la distinction entre deux type de liberté : la
liberté de responsabilité et la liberté d’irresponsabilité, c’est-à-dire la liberté du fou, du drogué,
du délinquant, du déviant, de l’imbécile, etc. Et c’est encore plus terrible quand les mêmes ont
du pouvoir, que ce soit le pouvoir de l’argent ou le pouvoir politique. La liberté implique un
engagement personnel qui consiste à prendre sur soi les conséquences de ses actes ou de ses
dires : c’est le sens même de la responsabilité ; « liberté » n’a jamais signifié de dire ou faire
n’importe quoi… Il n’y a pas de liberté sans responsabilité ni sanction.
Dans le cas qui nous occupe, le mot « liberté » est, comme il fallait s’y attendre, un
mensonge. Car intituler une loi sur la presse en la qualifiant de « liberté » pour aussitôt rogner
cette liberté de toutes parts, nous sommes bien dans l’inversion sémantique, c’est-à-dire
l’inversion du sens des mots : quand ils disent « liberté de la presse », il faut comprendre
interdiction de s’exprimer sous peine de prendre au mieux un avertissement, au pire, dix ans de
prison et la saisie de vos biens personnels si vous ne pouvez payer l’amende astronomique qui
vous attend. Dans ce cas, je préférerais revenir à l’autorisation préalable ; ce serait au moins
plus honnête. Non que la presse ne puisse faire l’objet d’une loi, ne serait-ce dans le cadre de
son organisation professionnelle ; ce qui est le cas des quinze premiers articles… Rien
n’échappe à la loi ; et l’on sait bien que lune des manies de notre « représentation » nationale
est de légiférer à peu près sur tout et n’importe quoi… Dans le cas présent, il suffirait de
l’intituler « Loi sur la presse », le mot liberté étant superfétatoire et trompeur.
Et c’est bien cette façon d’utiliser des mots pour ce qu’ils ne disent pas qui est choquante ;
on retrouve cette inversion à tous les étages de la société ; elle apparaît comme la marque de
fabrique du mensonge maçonnique, comprenons du mensonge républicain ; quand on veut
savoir le vrai, il suffit d’inverser le sens des mots et de comprendre le contraire de ce qu’ils
signifient comme dans la novlangue, le langage de Big Brother ; ainsi de la devise républicaine :
quand vous entendez liberté, il faut comprendre interdire ; quand vous entendez égalité, il faut
comprendre écraser ; quand vous entendez fraternité, il faut comprendre se faire entourlouper,
et je reste poli… Quand vous entendez diversité, entendez le contraire : métissage ; quand vous
croyez entendre démocratie, vous entendez : tais-toi !... L’inversion sémantique est avec
l’inversion accusatoire quand la victime devient bourreau et le bourreau devient victime
, ainsi que l’inversion du bon goût ; s lors que le beau, le bien, le vrai, ne sont plus les repères
de notre société, le mauvais goût, le laid, le faux prennent le dessus… Le laid, le faux, le mal :
pas de doute, nous sommes bien en République.
Ce n’est pas tout. L’intitulé de la loi est datée de 1881 ; or elle n’a cessé depuis d’être
amendée, modifiée, renforcée dans le sens de la répression, si bien qu’elle apparaît aujourd’hui
comme un véritable tissu d’Arlequin. Cependant, comme toute loi, elle est signée par les grands
dignitaires de l’État. Et quels étaient les signataires à la date de sa promulgation, en 1881 ? Le
Président de la République Jules Grévy ; le président du Conseil, ministre de l’instruction
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publique et des beaux-arts, Jules Ferry ; le ministre de l’intérieur et des cultes, Constans. Que
du beau linge ! Évidemment, s’agissant d’une loi aussi fondamentale, on ne pouvait s’attendre
à moins. Dès lors, leurs descendants politiques ne pouvaient supprimer cette référence à la
liberté sans désavouer leurs grands ancêtres et outrager leur mémoire… Pensez-donc, la
République des Jules, c’est quelque chose dans la mémoire républicaine ! Les grands ancêtres
avaient bien fait les choses : avec cette loi, ils s’appropriaient d’emblée le mot « liberté » et du
même coup ils s’en faisaient les uniques détenteurs, comme ils se sont approprié les droits de
l’homme, que pour ma part je leur laisse bien volontiers.
Qui étaient Jules Grévy, Jules Ferry, Ernest Constans ?... Trois avocats, trois francs-
maçons… Maintenant si vous n’avez pas compris d’où sortent les grandes lois qui déterminent
et conditionnent la vie des citoyens français, je ne sais plus comment vous l’expliquer. Je me
permettrai en outre de souligner le rôle maléfique qu’ont joué la corporation des avocats et la
basoche en général dans le déroulement de l’histoire de la République, ainsi que l’immense
responsabilité qu’ils ont dans le malheur que connaissent actuellement la France et les Français,
l’aboutissement logique du chaos républicain.
*
Maintenant, nous allons parler religion. Eh oui, cela fait aussi partie du monde réel… Depuis
que le sang coule aujourd’hui sur notre territoire au nom de ces prétendues religions que sont
le judaïsme et l’islam, le réel frappe à la porte et vient se rappeler au bon souvenir de nos
compatriotes… Nous avons évoqué sainte Rita plus haut…Cela tombe bien : Rita est la sainte
patronne des causes désespérées ; et s’il y a des cause désespérées à sauver aujourd’hui, ce sont
bien celles de la France et de l’Europe, pour s’en tenir à notre continent ; c’est d’ailleurs
pourquoi nous avons mis Force Française sous la haute protection de Jeanne d’Arc et de sainte
Thérèse de l’Enfant Jésus, les patronnes secondaires de la France. Il ne suffit plus d’évoquer
leur saint nom, il faut l’invoquer dans nos prières pour qu’elles soutiennent le juste et légitime
combat que nous menons afin de sauver notre pays et les sublimes valeurs de civilisation qu’il
porte en lui depuis des siècles…
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Présentation de l’Histoire de l’Église du Christ [Vidéo. Je montre à la caméra un des quatorze
volumes de l’Histoire de l’Église du Christ, très belle édition abondamment illustrée et documentée].
À la lecture de quelques tomes de l’Histoire de l’Église du Christ de Daniel-Rops (1), j’ai
pris conscience que sans l’Église catholique, la France n’aurait jamais existé. Je précise à propos
de Daniel-Rops, romancier et historien, réputé catholique moderniste (c’est pourtant un converti
du protestantisme), que j’ai trouvé cette Histoire de l’Église fort bien réalie, documentée,
d’une vulgarisation de bon aloi, la rendant agréable à la lecture et à la portée du plus grand
nombre ; elle a l’avantage d’avoir été écrite par un écrivain et non par un collectif
d’universitaires, dont le style souvent rébarbatif a parfois pour effet de dissuader les meilleures
volontés. L’Histoire s’arrête avec le début de Vatican II et la mort de l’écrivain en 1965.
D’une certaine façon, on pourrait apprendre l’Histoire de France par l’histoire de l’Église de
France tout autant que par l’histoire des Rois très chrétiens, tellement les deux sont
mutuellement impliqués et solidaires dans la construction et l’évolution de notre pays. Le rôle
de l’Église est tellement fondamental, qu’imaginer la France sans elle ou débarrassée d’elle,
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comme le font les matérialistes républicains, n’est tout simplement pas concevable ou alors on
parle d’un autre pays, certainement pas d’un pays que l’on serait fier et heureux d’habiter.
Pour comprendre cette réalité, en dehors des témoignages qu’elle nous donne simplement en
observant notre environnement historique et la couverture du fameux « blanc manteaux des
églises », il faut remonter à son origine, à la date fondatrice de 496, voici plus de 1500 ans.
On ne peut vraiment comprendre cette réalité historique que si l’on tient compte de l’union
immédiate et instantanée à l’échelle du temps — du pouvoir royal incarné par Clovis, et du
pouvoir spirituel incarné par saint Rémi. L’un ne va pas sans l’autre, l’un ne se comprend pas
sans l’autre. Clovis était le roi d’une tribu barbare germanique appelée Francs ; brillant chef de
guerre, il s’imposera en Gaule par ses conquêtes et transformera celle-ci en royaume Franc.
Mais la Gaule est chrétienne et lui païen. Très tôt, il entrera en relation avec l’évêque de Reims ;
une sorte d’entente fondée sur l’estime réciproque s’établira aussitôt entre ces deux fortes
personnalités. Sous l’influence de Rémi, il épousera une protégée de l’évêque, une princesse
chrétienne burgonde nommée Clotilde. Mais le mariage ne peut avoir lieu que si Clovis se
convertit au christianisme ; or il est païen, son peuple aussi ; de plus, il subit linfluence de sa
sœur Lantechilde qui le pousse à se convertir à l’arianisme, avant que celle-ci n’en arrive à son
tour à embrasser la religion chrétienne. Mais les rois de religion arienne sont aussi des chefs
religieux, des chefs spirituels, ce que Clovis refusera.
La situation va se débloquer à la suite de la victorieuse bataille de Tolbiac. Nouveau
Constantin, Clovis voit dans la victoire un signe du Dieu de Clotilde. Il recevra le baptême à
Reims des mains de l’évêque mi en même temps que trois mille de ses soldats. Il est probable
que sainte Geneviève, confidente du couple royal, ait contribué à sa conversion. Morte presque
en même temps que Clovis, mais beaucoup plus âgée que lui, la sainte patronne de Paris
reposera aux côtés du fondateur du royaume franc.
C’est donc dans cet environnement spirituel et princier favorable que la France est e ; tous
les éléments historiques, fussent-ils rudimentaires, l’attestent ; dès cet instant, les structures
seront mises en place sous la double autorité des comtes et des évêques, binôme fondateur ; la
France, succédant à la Gaule romaine, va prendre son essor sous le signe de la Croix ; elle
s’appuiera sans discontinuer sur ces deux immenses colonnes que sont l’Église et la monarchie ;
elle ne dérogera jamais, et il en sera ainsi jusqu’à la Révolution française, soit 1300 ans…
Il est donc absolument scandaleux d’entendre parler des « racines de l’Europe autant
musulmanes que chrétiennes » comme un chef d’état a pu le colporter et que d’autres esprits
mal tournés tentent dimposer. L’Europe et la France chrétiennes existaient, que l’islam
n’existait pas encore.
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Allons plus loin… Dans la mesure de plus en plus on essaie de nous imposer l’idée que
sans la communauté juive la France n’existerais pas, ou que celle-ci aurait également des
origines musulmanes et ceci à travers les religions respectives que sont le judaïsme et l’islam
—, parlons religion, comparons avec le christianisme… Cela nous amènera à mieux
comprendre la véritable essence spirituelle et historique de la France.
Je reprends la Bible, l’Ancien testament ou Bible ancienne ou hébraïque (2). Beaucoup
diffusée, mais peu lue, semble-t-il, même, on se le demande parfois, par les premiers intéressés,
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