La m y tho l o
g
ie
g r
ecq u
e
e t ses p
e r s o
n n
ages
Chapitre 3 – De Nombreuses
Nymphes. Les Célèstes.
L'histoire de Hylas de Dryopte.
Nous allons commencer par le mythe de Hylas de Dryopte.
Une peinture du 4ème
siècle de Hylas, de la basilique de Junius Bassus.
Dans la mythologie grecque, (En grec, λας'), Hylas était le fils du roi
Theodomas de Dryope, ou Dryopis (Δρσοπίς), plus tard connu comme
Dioris. Ovide a écrit que son père Hercules et sa mère la nymphe Mélite.
Mais les amour de Mélite avec Herakles provoquèrent un discendieux
dans le couple. On dit que Hylas tenait sa beauté de sa mère ?
Mélite est une ancienne colonie grecque localisée à Malte. Mélite, la
naïade, est la sœur du dieu rivière Aegeus, une des amantes de Zeus.
Son fils est Hylas.
Mélite set aussi une pièce de théâtre de Pierre Corneille.
Mélite, ou les fausses lettres est une comédie en cinq actes et en vers
écrite par Pierre Corneille ( 1606-1684), en 1625 représentée pour la
première fois en décembre 1629 au théâtre du Jeu de paume de Berthaud
( L'impasse Berthaud est une ruelle du 3e arrondissement de Paris, située
dans le quartier du Marais), par la troupe de Montdory( Guillaume
Desgilberts, ou Dosgilbertz dit Montdory ou Mondory, est
un acteur français, né à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, Auvergne,
en 1594).
Avec cette pièce, Corneille crée un nouveau genre théâtral, la comédie de
mœurs, qui rompt avec la farce grossière et bouffonne en vogue à
l'époque.
Il est admis que Corneille a basé sa pièce sur un évènement dont il a
été témoin. La pièce tourne autour de l’incompréhension des amoureux
qui ont été trahit par de fausses lettres.
Eraste est amoureux de Mélite. Quand Eraste la présente a son ami
Tircis, celle-ci en tombe amoureux. Alors Eraste ecrit des lettres
d’amour, et les envoie à Philandre comme venant de Mélite.
Tircis, qui voit Philandre les lire, tombe jaloux, et part en début de
désespoir.
Plein de remord, Eraste devient fou et, plus tard il confesse enfin sa
faute, et constate a ce moment là que Tircis et, Mélite sont mariés.
A la fin de la pièce ; pardonné il se marie avec la sœur de Tircis, Cloris.
Revenons a la mythologie.
Hercule était donc le beau-père de Hylas.
Mais Hercule tua Theodamos, le père de Hylas, d’un grand coup d’épée!
En effet, Teodamos refusait l’arrivée de Hercule, et Athéna lui fit
paraître comme Hercule, qui agacé par cette image miroir, le fendit d’un
coup d’épée.
Alors Hercule prit Hylas comme compagnon de route, et lui dit de servir
les armes.
Hercule prit donc Hylas sur le navire Argo. Et en fit un Argonaute. Hylas
fut kidnappé par la nymphe du printemps Dryape, qui fut amoureuse de
lui ensuite à Mysia, et disparut sans laisser de traces. ( selon Apollon
de Rhodes, 3ème , siècle av jc ; égyptien hélleniste, un des plus grand
poète épique. Poète et documentaliste de la bibliothèque de Alexandrie.)
Ceci bouleversa Hercule, qui rechercha son ami avec Polyphemos (ne
pas confondre avec le cyclope), pendant longtemps. Le bateau reprit sa
route sans eux, mais il ne le trouvèrent pas et se consolèrent grâce à la
sentence suivante:
« porter son courage et l’amour.»
(Gaius Valerius Flaccus, Argonautica)
Junius Bassus, dit Theotecnius ( 317- 359), dont la basilique est
mentionnée précédemment, était un ancien politicien romain. Le fils de
Junius Annius Bassus. Il était clerc et vicaire de rome, puis préfet
supérieur pendant 5 mois. C’était un chrétien.
Gaius Valerius Flaccus (mort en 90) était un poète romain très connu de l’
« âge de l’argent », sous les empereurs Vespasien, et Titus; il écrivit en
Latin Argonautica, qui emprunte beaucoup de Apollon de Rhodes,
mentionné ci-dessus !
19ème siècle, peinture de Hylas et les nymphes par John William Waterhouse
Q
u'est -ce qu'une
n
y m p
h e
?
Une nymphe dans la mythologie grecque, est une petite divinité qui a
une localité associée ou un type de paysage. Elles sont décrites comme
jolies, souvent des esprits apaisants, jeunes femmes asexuées, qui aiment
chanter et danser. Leurs amours libres les éloignent de la façon dont les
dieux et déesses sont associés a la cité. Elles sont dans les montagnes et
grottes calmes, et grandissent avec les chutes d’eau ou rivières. Ou se
recherchent aussi dans les arbres, les taillis, ou au frais dans les forêts.
Les nymphes sont souvent en relation avec certains dieux comme
Apollon. Elles sont la cible fréquente des satyres, mi-hommes, mi-boucs ;
Elles sont fréquentées par des divinités supérieures comme la déesse
protectrice des forêts, Artémis, ou comme le prophétique Apollon, le dieu
du vin et des excès Dionisos, ou des dieux rustiques comme Pan ou
Hermès.
Les nymphes sont des personnifications des activités créatives et une
promotion de la nature, le plus souvent identifié avec la balade en pleine
nature. Walter Burkert écrit vers 1985, «L'idée que les rivières sont ides
dieux et les nymphes, donc de ressorts divins, est profondément enracinée
non seulement dans la poésie, mais aussi, dans la croyance et les rituels,
l'adoration de ces divinités est seulement limitée par le fait qu'ils sont
inséparablement identifiés avec une localité spécifique ». Le mot grec
nymphe (νύμθη ) a "épouse" et "voilée" dans sa signification. D’autre
lectures refèrent au mot rubere, latin, et au mot germain, knospe, dont
la racine exprime l’idée de gonflement. Une des significations de muse en
grec est révélateur. Il signifie joliment le « bouton de rose. ».
Les nymphes grecques étaient des esprits invariablement lié à des lieux, et
cela peut rappeler au genius loci latin. De là une difficulté de transférer
leur culte. Dans les oeuvres des poètes grecs instruits au latin, les
nymphes ont progressivement absorbés dans leurs rangs les divinités
indigènes italienne de sources et des ruisseaux (Juturne, Egeria, Carmenta,
Fontus), tandis que les Lymphae (à l'origine Lumpae), en Italien les
déesses aquatique des rivières, en raison la similitude de leurs noms, ont
pu être identifiés avec les Nymphaées.
Les mythologies des poètes romains classiques étaient peu susceptibles
d'avoir affecté les rites et le culte des nymphes individuels vénéré par les
paysans.
Parmis les écrits retenus, leur sphère d'influence a été limitée, et elles
semblent presque exclusivement être aperçues comme des divinités de
l'élément aqueux.
1 / 17 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !