Regards sur
Les marqueurs discursifs formés sur le verbe
dire
Journées d’études - 28 et 29 mai 2015
Universidad Complutense de Madrid, Facultad de Filología, Paraninfo.
Jeudi 28 mai
9h45 - 10h00 : Accueil des participants
10h00 – 10h30 : Jean-Claude Anscombre (CNRS-LDI Paris XIII)
« Comme on dit, on dirait (que), dirait-on, on dit que, dit-on, à ce qu'on dit. Communauté(s) linguistique(s)
et prise en charge dans les marqueurs génériques en on et en dire »
10h30 – 11h00 : Sandrine Deloor (Université de Cergy-Pontoise)
« Autant dire que, pour ne pas dire plus, c'est le moins qu'on puisse dire, c'est beaucoup dire, c'est peu de
dire que : les marqueurs en dire formés sur des adverbes de quantité »
11h00 – 11h30 : Laurence Rouanne (Universidad Complutense de Madrid)
« Si on peut dire, si je puis dire, si j’ose dire : variations sur le même dire ? »
Pause-café
12h00 - 12h30 : Laurent Perrin (Université de Paris-Est Créteil)
« Des effets d'intensification associés aux formules : je vous dis pas, que dis-je, c'est dire (si), y'a pas à dire,
tu peux le dire »
12h00 – 13h00 : Christiane Marque-Pucheu (Université Paris Sorbonne, STIH)
« Entre syntaxe et interprétation de dire : les exclamatives (et) dire que… ! ; que n'a-t-on pas dit ! ; qu'est-ce
que tu veux que je te dise ! ; qu’est-ce que je vous disais ! ; quand je vous le disais ! »
Déjeuner
15h30 – 16h00 : Jean-Jacques Franckel (Université Paris Ouest Nanterre La Défense)
« Les formes impératives du dire: dis, dites, disons, dis donc, dites donc »
16h00 – 16h30 : Juliette Delahaie (Université Paris Diderot, LLF)
« Ne va pas me dire, ne me dis pas, cela va sans dire... Parler pour ne rien dire : de l'usage et du sens de
quelques expressions paradoxales »