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CHEMINS DE MÉMOIRE
LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
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LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
Photo : M. Normand, 1915 (coll. O. Renault).
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LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
SOMMAIRE
3 Lexposition
9 Autour de l’exposition
14 Les rendez-vous
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CHEMINS DE MÉMOIRE
LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
L’EXPOSITION
À l’occasion du Centenaire 14-18, cette exposition exceptionnelle revient sur l’empreinte
laissée au Mans par la Grande Guerre.
Entre itinéraires individuels et destin collectif, elle propose de raconter la guerre à partir de
sources inédites, issues du patrimoine écrit et iconographique local (témoignages, documents
d’archives, photographies originales, objets).
En plongeant dans le quotidien des combattants ou des civils, l’objectif est de mieux
comprendre la manière dont les Manceaux ont vécu la guerre, au front et à l’arrière.
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LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
Manceaux sur le front : des témoignages inédits
Henri Sentilhes
L’exposition évoque le parcours de ce jeune homme parti
au front à l’âge de 19 ans. Entre février 1915 et avril 1916,
Henri Sentilhes écrit de très nombreuses lettres à ses parents
et réalise de nombreux clichés photographiques, souvent
commentés, qui forment un véritable reportage de guerre
pris sur le vif. Ce formidable témoignage nous restitue, le
quotidien, les pensées, les questionnements et le sens que
veut donner à sa vie ce jeune militaire, prêt à se battre et qui
se retrouve dans la «fournaise» du front.
Maurice Normand
Un ensemble remarquable de photographies retrouvées chez
l’arrière petit-ls de Maurice Normand, l’un des poilus de la
3e Compagnie commandée par Henri Sentilhes, apporte un
autre regard sur la vie des combattants. Sans faux-semblants,
ces clichés montrent le quotidien au front : les paysages
bouleversés, la boue, les «gourbis», les tranchées, où il est
parfois difcile de distinguer les morts des vivants. Ils nous
restituent également les gestes de solidarité entre camarades,
les moments furtifs de détente, mais aussi l’angoisse, la peur et les incertitudes de soldats qui
ont sacrié leur vie.
Lettres et photographies ont été mises en lumière avec la publication de Lieutenant à 19 ans
dans les tranchées. Henri Sentilhes, lettres à ses parents, 1915-1916 (éd. Point de vues/Société
historique & archéologique du Maine, 2013). Réalisé par la famille d’Henri Sentilhes, ce
très beau livre constitue un véritable travail de mémoire, qui a inspiré la conception de
l’exposition.
© coll. famille Sentilhes
© coll. O. Renault
© coll. O. Renault
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LES MANCEAUX DANS LA GRANDE GUERRE
André Bouton
Célèbre historien du Maine et auteur de nombreux ouvrages, président de la Société
d’agriculture, sciences et arts de la Sarthe, André Bouton est clerc de notaire lors de sa
mobilisation le 1er août 1914. Il n’a que 23 ans. Affecté dans un service administratif, il part à
sa demande au front en octobre avec le 117e RI. Le régiment alors décimé recrute en masse.
Il ne sera libéré qu’en mars 1919. Décoré de la Croix de guerre, il a connu tous les statuts
possibles d’un sous-ofcier : bureaux d’état-major, unités de combat du 117e et 404e RI sur
le front de la Somme, hôpitaux de Pau et de Paris après blessures au combat, postes de
surveillance dans l’Orne à l’arrière du front.
André Bouton tient un journal de bord d’août 1914 à mars 1919, soit plus de 1 000 pages
réunies dans 15 carnets. Une fois par semaine, il adresse des copies à sa mère restée au Mans.
Ces notes, sans concessions, d’un grand intérêt historique et digne d’un vrai reporter, sont
aujourd’hui réunies dans un ouvrage réalisé par Didier Béoutis, son petit-ls, et enrichi de
nombreuses photographies souvent inédites (Mémoires d’un Manceau, soldat pendant la Grande
Guerre, Société littéraire du Maine, 2014).
© coll. famille Béoutis-Bouton
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