1 Corinthiens : 10/4 (Ce rocher était Christ), Genèse : 41/26 (les sept vaches belles sont sept années, et les sept
beaux épis sont sept années: c’est un seul songe).
Luc : 22/20 Jésus dit “cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ”. Pourquoi ne dit-il pas ce vin ? Est-ce la
coupe qui est l’alliance ?
Matthieu : 26/28 Si nous prenons les mots à la lettre, cela veut dire que le sang de Jésus est déjà versé ! Or, il n’en
n’est rien.
De plus, il est étonnant que les catholiques, prenant à la lettre ces paroles, n’en fassent pas de même pour le “buvez-
en tous ” de Jésus ! !
Notons deux choses :
a) En présentant le pain, Jésus n’a pas dit : “ Que cela devienne mon corps ”. Il n’a pas “ consacré ” le pain et
le vin.
b) Il n’est pas concevable non plus que Christ étant présent, corporellement visible, Il puisse prendre Son
propre corps dans Ses mains, le rompre et le donner à Ses disciples. En présentant un morceau de pain, Il ne peut
pas dire au sens propre et littéral “ceci est mon corps ” puisque Son corps est là tenant le morceau de pain.
Un autre argument est tiré de la parole suivante :
Jean 6/53 : “ Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en
vous-même ”. Cette parole trouvée dure et incompréhensible par ceux qui l’entendirent est aussitôt expliquée :
Jean : 6/63 : C’est l’Esprit qui donne la vie.
Ainsi, dans la “ messe ” catholique, le sacrifice et le repas sacré appartiennent au même mystère et sont étroitement
liés, car dans le “ sacrifice de la messe ”, notre Seigneur est immolé quand il commence à être présent de façon
sacramentelle, en tant que nourriture spirituelle des fidèles sous les apparences.
2/ Doctrine de la consubstantiation
C’est celle des Luthériens et de quelques églises.
Dans la Sainte Cène, il se produit une union entre le pain et le vin d’une part, et le corps et le sang de Christ d’autre
part. Le communiant reçoit AVEC le pain et le vin, le vrai corps et le vrai sang de Christ. Cela se fait d’une manière
surnaturelle et incompréhensible, en vertu des paroles de Jésus.
5. COMMENT DOIT ÊTRE ADMINISTRÉE LA SAINTE CÈNE
1/ Les éléments (ou espèces) :
Ce sont le pain et le vin. A cause des coutumes bibliques juives, nous pouvons être à peu près certains que le pain
rompu par Jésus était sans levain. C’est pourquoi les catholiques utilisent l’hostie sans levain. Cependant le
symbolisme de la Sainte Cène n’exige pas cela. On pourrait objecter que le levain est le symbole du péché, que Jésus
était sans péché, que ce pain symbolise Son corps et doit donc être sans levain. Mais le symbole n’est pas dans cette
voie : le pain symbolise LA NOURRITURE. Notre corps ne peut vivre sans nourriture. De même notre être spirituel,
notre nouvelle nature divine et éternelle ne peut vivre sans Jésus qui est notre nourriture spirituelle indispensable.
Cela devra donc être symbolisé par la nourriture principale, la nourriture de base traditionnelle de celui qui
communie. Au Groenland, c’est le poisson sec qui sert pour la Sainte Cène car il est la nourriture habituelle. En