Interactions des Anti-Inflammatoires non Stéroïdiens avec les

Jordan Birebent1, Sitraka Ramambazafy1, Fabien Despas2,3, Julie Dupouy1, Stéphane Oustric1.
1. Département Universitaire de Médecine Générale, Faculté de Médecine, Université Paul Sabatier, Toulouse, France
2. Laboratoire de Pharmacologie Médicale et Clinique, Faculté de Médecine, Université Paul Sabatier, Toulouse, France
3. UMR1027, Inserm, Toulouse, France
Etude comparative de l'avis des médecins généraliste et des pharmaciens à propos de
l'auto test HIV
Contexte
La France compte 30000 personnes ignorant leur statut séropositif au VIH
Ce chiffre est stable depuis plusieurs années malgré les thodes de dépistages existantes
Un dépistage plus précoce permettrait de débuter un traitement et de limiter le risque de diffusion de
l’infection.
Un autotest de dépistage du VIH a été mis à disposition des patients dans les pharmacies en septembre
2015
Ce test est réalisé par les patients sans la présence d’un professionnel de santé
Le but des autorités est de diagnostiquer les patients échappant au mode de dépistage existant
Résultats
Recueil : 142 (5.7%) Questionnaires Médecins et 141 (13.4 %) questionnaires Pharmaciens récupérés.
thode
Envoie d’un questionnaire symétrique aux Médecins Généralistes et aux Pharmaciens d’officines
Analyse descriptive des données recueillies
Objectif
Evaluer le point de vue des Médecins Généralistes et des Pharmaciens d’Officines de Midi-Pyrénées
sur l’autotest de dépistage du VIH dans sa capacité à dépister de nouveaux patients VIH +.
Conclusion
Les Médecins Généralistes et les Pharmaciens d’Officines sont favorables à l’utilisation de l’autotest du VIH
pour dépister de nouveaux patients échappant au mode de dépistage en place.
Les Médecins Généralistes se sentent exclus du dépistage par autotest car leur rôle préventif dans la prise
en charge du patient est niée.
La coordination entre professionnels de santé est cohérente dans la prise en charge d’un patient
présentant un résultat positif à l’autotest VIH.
Lobjectif des autorités de santé ayant mis en œuvre la mise à disposition de cet autotest est partiellement
atteint, le nombre de patients dépités par ce biais devant être évalué plus à distance.
Figure 2 : Attitude des Médecins Généralistes et des Pharmaciens
d’Officine devant un patient présentant un résultat positif à l’autotest
de dépistage du VIH
Figure 1 : Points de vue des médecins généralistes et des
pharmaciens d’officine sur les limites d’utilisation de l’autotest VIH.
Autotest HIV jugé utile pour dépister de nouveaux patients par les Médecins et les Pharmaciens
Orientation des patients avec un test positif vers le Médecin Traitant en priorité qui se dit prêt à poursuivre la
prise en charge
Les Médecins sont plus soucieux de la limite du test qui nécessite une confirmation sérologique et ne permet pas
une recherche des autres IST
0
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90
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Pourcentage
MédecinsGénéralistes Pharmaciensd'Officine
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20
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40
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60
70
Orienterversuncentre
dedépistage
PoursuivrelaPriseen
Charge,Orienterversle
MG
Orienterversassistance
téléphonique
Orienterversunservice
spécialisé
Pourcentage
MédecinsGénéralistes Pharmaciensd'Officine
1 / 1 100%
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