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1er expérience
Le premier cobaye a développé une réaction acquise au contact de l’anatoxine.
Le 2nd cobaye n’est pas capable de se défendre contre la toxine diphtérique. La réaction immunitaire
est spécifique à un antigène donnée.
Le cobaye B survit à l’injection de toxine tétanique, cela indique que l’on lui a injecté des substances
qui le protègent contre le tétanos. C’est substances sont spécifiques
Le cobaye C a reçu une dose de filtrat qui n’a plus les substances capable de neutraliser la toxine
(capter dans la colonne). Ceux sont des anticorps.
La deuxième colonne sert de témoin.
Le cobaye à fabriquer des anticorps spécifiques à l’antigène, c’est une réaction immunitaire
spécifique à médiation humorale
2ème expérience
Le premier cobaye a mémorisé le bacille de Koch, c’est une réaction immunitaire spécifique.
Le second cobaye meurt après l’injection de sérum, il n’y a pas d’anticorps, il n’y a a pas de médiation
humorale.
Les lymphocytes vivants ont permis au 3ème cobaye de rester vivant, c’est une réaction immunitaire à
médiation cellulaire.
2. Le déroulement de la réaction immunitaire spécifique.
La première étape est la reconnaissance de l’antigène par les lymphocytes.
Cela est dût a des récepteurs présent sur la membrane cellulaire. Ils sont spécifiques à un antigène
donné.
Les lymphocytes B : c’est une immunoglobuline M : IgM. On l’appelle aussi BCR (Receptor Cell B)
Les lymphocytes T : TCT (Receptor Cell T)
a) La réaction immunitaire humorale
Voir doc 1
L’activation des lymphocytes B permet de se multiplier, uniquement ceux qui reconnaissent
l’antigène. La différenciation en plasmocytes : transformation des cellules (apparition d’organites
cytoplasmique, cela aboutit à la synthèse des protéines Ig=Ac).
Tout est éliminer a près par la phagocytose.
Pour amplifier l’activation, il faut aussi les interleukines
b) Réaction immunitaire cellulaire : les lymphocytes T
Voir Doc 3