KHAFIF Linda 1ère S.2
FERRERO Emilia
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Kepler-22b, cette exoplanète, observée en décembre 2011, serait deux fois plus
grande que notre planète bleue, selon certains chercheurs il se pourrait même qu’elle soit
recouverte d’un immense océan ;
Tau-Ceti-e, extraplanète découverte en décembre 2012, serait dotée d’une atmosphère
très proche de la nôtre bien que plus épaisse, un effet de serre pourrait ainsi s’y produire. Etant
située relativement proche de son étoile Tau-Citi-e possèderait une température à sa surface
avoisinant les 70°C, si une vie s’y développait, ces organismes seraient donc très certainement
thermophiles ;
Gliese-667Cc, aussi surnommée « Jumelle de la Terre » a été aperçue pour la première
fois en février 2012, un observateur se trouvant à sa surface pourrait voir en son ciel trois
« soleils » dont deux lointains paraissant donc visuellement de petite taille, et un gros, d’un
diamètre deux fois supérieur à notre Soleil (soit environ 2 X 1.391.000 km) ;
Gliese-163c, découverte mi-septembre 2012, elle orbiterait autour d’une naine rouge
et possèderait une masse d’environ sept fois celle de la Terre (soit 76.1024 kg).
HD-40307g, exoplanète potentiellement habitable dernièrement découverte, soit début
novembre 2012, celle-ci recevrait un taux d’ensoleillement similaire à celui de notre planète.
Diverses méthodes de détection d’extraplanètes ont vu le jour ces dernières années. Certaines plus
récentes que d’autres ont notamment permis une augmentation exponentielle du nombre total de
planètes connues.
Jusqu’à présent, les méthodes de détection de planètes extrasolaires sont indirectes, en effet, on
déduit leur présence des effets qu’elles induisent sur leur étoile-hôte.
Parmi les plus populaires de ces méthodes, bien qu’il en existe d’autres, nous pouvons citer :
La spectrométrie des vitesses
radiales : Tout au long de son orbite, la planète
exerce une attraction gravitationnelle sur son
étoile et réciproquement. L’étoile est alors
entraînée dans un léger mouvement de rotation
autour d’un point appelé « centre de masse » du
système étoile-planète. Ainsi, l’étoile
s’approche et s’éloigne alternativement d’un
observateur terrestre par un léger mouvement
de va et vient. Bien que presque invisible à l’œil
nu, elle paraît davantage bleue lorsqu’elle