16 Novembre 2013 page 2

publicité
Le Nouveau Théâtre de la Bartavelle vous présente :
« Espèces Menacées »
Une pièce de Ray Cooney adaptée par Michel Blanc et Gérard Jugnot
Dossier de Presse
La Troupe…
Voici bientôt vingt ans que la Bartavelle arpente les planches des salles du Sud-Luxembourg et de la
Gaume. Elle a même fait quelques incursions au Grand-Duché de Luxembourg et en France.
La Bartavelle, c’est cette perdrix qui faisait la fierté du papa de Marcel Pagnol dans "La Gloire de mon
Père". Étant donné l’admiration des fondateurs du Théâtre de la Bartavelle pour ce grand maître de
la littérature, du théâtre et du cinéma, le nom s’est imposé de lui-même.
En cette période où le cinéma et surtout la télévision envahissent de plus en plus le champ culturel,
la Bartavelle tente de convaincre le public que le théâtre représente lui aussi un spectacle de qualité,
voire un enrichissement.
Pour cela, elle veille tout particulièrement à offrir un spectacle de qualité, tant au niveau du jeu
qu’au niveau de la technique, malgré les moyens limités du théâtre amateur. Le choix des pièces de
théâtre dans le répertoire est pratiquement illimité, en tout cas à l’échelle de la Bartavelle. Pourtant,
la facilité n’est pas privilégiée.
Comme toutes les aventures humaines, le Théâtre de la Bartavelle a connu des hauts et des bas.
La troupe renaît en 2003 sous le nom de "Nouveau Théâtre de la Bartavelle" pour indiquer le
changement dans la continuité.
Le changement dans la gestion, la continuité dans la volonté de proposer des spectacles de qualité et
de donner la chance à des débutants, à côté de comédiens plus confirmés, de défendre l’œuvre d’un
auteur devant le public.
Après avoir présenté différents spectacles de café théâtre, le Nouveau Théâtre a successivement
présenté "Les Trois Messes Basses", conte provençal d’Alphonse Daudet et animé les intermèdes
humoristiques du TOYP, cérémonie de la Jeune Chambre Economique de Belgique.
Le "Nouveau Théâtre de la Bartavelle" a ensuite préparé une pièce de Francis Veber, "Le Contrat"
(avec Jean Le Poulain et Raymond Gérôme), adaptée pour le cinéma sous le titre de "L’Emmerdeur",
rendue célèbre par Lino Ventura et Jacques Brel. Poursuivant sur cette lancée comique, après
"Oscar", c’est "Une Aspirine pour Deux", de Woody Allen (mise en scène de Jacques Herbet) qui fut
présentée, suivie la saison dernière du "Canard à l’Orange", de William Douglas Home.
La Pièce…
Pour la saison 2013, la troupe a choisi de vous présenter une pièce de Ray Cooney, traduite de
l’anglais par Stewart Vaughan et adaptée en 1997 par Michel Blanc et Gérard Jugnot : "Espèces
menacées" (Funny Money).
Synopsis
En rentrant du boulot, Yvon Lemouël, petit comptable insignifiant, échange par mégarde sa mallette
contre celle d'un inconnu dans le RER. Trouvant des millions de francs à la place de son sandwich, il
commence à rêver d'une nouvelle vie, sous le soleil de Buenos Aires. Mais sa femme refusant de
partir à l'improviste, le soir où des amis doivent venir dîner pour l'anniversaire d'Yvon, les minutes
passent et les catastrophes s'enchaînent. Le débarquement d'un chauffeur de taxi peu
conventionnel, d'un flic malhonnête, de leurs amis devenus indésirables, d'un commissaire en pleine
enquête et du flingueur propriétaire de la mallette aux millions, tout cela déclenche le mécanisme
infernal de la “Cooney Farce” et nous plonge au cœur du cauchemar délirant d'Yvon Lemouël.
Comme nous vous l’annoncions dans notre communiqué de presse, le rire sera plus que présent…
Cet esprit comique c’est aussi à l’auteur que nous le devons…
Les anglais parlent d’une "Cooney Farce" comme nous parlons d’un Feydeau. Il est maintenant âgé
de 81 ans. C’est à 14 ans qu’il a débuté comme comédien. Plus tard, il rejoint une troupe itinérante,
jouant six pièces différentes chaque semaine, dans les salles des fêtes. Ainsi bien rodé, il est engagé
en 1956 comme comédien au Whitehall Theatre à Londres, la Mecque de la farce anglaise. C’est ici,
avec un camarade de scène (Tony Hilton), que Cooney a écrit sa première pièce One for the Tot
(Trois Partout). Elle a été jouée 1500 fois au Whitehall Theatre, traduite dans des dizaines de langues
et jouée dans encore plus de pays…comme toutes ses pièces d’ailleurs.
Si Cooney a un "truc", c’est qu’il est le maître du mécanisme infernal qui pousse des personnages
ordinaires dans un engrenage d’évènements de plus en plus extraordinaires. Un simple mensonge de
départ déclenche un fleuve d’autres mensonges qui deviennent un torrent délirant. Cooney construit
sdes pièces avec la précision d’une pendule suisse, néanmoins très british. Chaque réplique, chaque
action, même les rires du public, rythment la pièce et provoquent la force comique qui constitue la
"Cooney Farce". En 2004, Ray Cooney s'est vu remettre par le Reine Elizabeth II l'Ordre de l'Empire
britannique pour ses services rendus au théâtre dramatique.
Les Comédiens… et leurs acolytes…
Il nous paraît également essentiel de vous présenter chacun d’entre nous…
Luc Berhin, le chêne. Pilier de la troupe, il assure dans tous les domaines. Il endosse le costume de
l’Auguste ou de Loyal comme bon lui semble. Tour à tour comédien, peintre, organisateur, porteparole… c’est sur scène qu’il se sent bien, qu’il est heureux, et ça se voit !
Son jeu… expressif et explosif
Michel Colin, le conteur. Sa patience (avec tous ces foutus comédiens) n’a d’égale que sa bonne
humeur. Inimitable lorsqu’il s’agit de raconter une histoire, une anecdote, l’écouter des heures
durant est une formalité, sauf pour les zygomatiques.
Son qualificatif… truqulent
Stephan Rossignon, le mélomane. Pianiste, guitariste, batteur, il est le musicien du groupe. Ayant
déjà mis ce talent au service de la troupe, il décide voilà quelques années de passer sur les planches.
Grand bien lui en a pris. Il est de retour cette saison dans un nouveau costume.
Son jeu… précis
Raphaël Reiter, l’autodidacte. A priori, rien ne laissait sous-entendre qu’il devrait un jour résoudre
une énigme policière abracadabrantesque. Le NTB a décidé de s’attacher ses services pour la
première fois et, force est de constater qu’il n’a pas eu besoin d’une longue adaptation.
Son jeu…l’eau qui dort
Véro Goebel, le caméléon. Comédienne aguerrie, elle sillonne les scènes de la région depuis bien des
années. Pour la seconde fois, elle rejoint le NTB. Cette fois, la surprise sera de taille pour les fans de
cette extraterrestre du 6ème art. Attention, ça va gicler !
Son jeu… excentrique
Fred Aubry, l’instinctif. Il joue naturellement et à l’instinct. Tout semble facile à interpréter pour lui,
ça coule de source. Il est le compère de tous les coups de la bartavelle, sur et en-dehors de la scène.
Le duo avec Luc Berhin fait merveille.
Son jeu… naturellement hilarant, désopilant, comique
Marie Duquenne, la pince-sans-rire, Le canard à l'orange était, pour ainsi dire, sa 1ière expérience
théâtrale . Elle nous a épatés tant dans son rôle que quand elle prenait le texte d'autres comédiens
aux répétitions. Elle devenait alors un clown et explosait littéralement sur scène. Si elle a l’air de
prime abord sérieuse, ne la lâchez pas sur une scène.
Son jeu… intuitif et vif
Pierre de Becker, le dernier arrivé. Il est fait pour la bartavelle. Il bosse dans la bonne humeur et
progresse à chaque répétition.
Son jeu… appliqué
Bénédicte Vanhalle, la charmeuse. Avec sa justesse, sa sensibilité dans la composition de ses
personnages, elle pourrait faire passer Hélène Jégado pour une Sainte. Jamais trop, jamais trop peu,
elle s’approprie les rôles avec une permanente recherche de vérité, de l’intention la plus appropriée.
Son jeu… toute en sensibilité et justesse
Thierry Patinet, aux décors mais surtout à la conduite technique, le son, la lumière. De plus il nous a
fait le site web. Il suit le texte quand on patauge en répète (Ce qui n’est pas le plus simple à faire). Il
est de l’aventure barta depuis de longues années.
Son qualificatif… attentionné
Jean-François Rosman. Notre Mc Gyver: il sait tout faire, dans le calme et sans stress, avec le sourire.
Nous on adore les décors qu'il nous fait chaque année depuis Oscar. Et les lasagnes de sa chère
épouse aussi…
Son qualificatif… surprenant
Les associations que nous soutenons…
*Le Tremplin, Maison d’accueil pour hommes en réinsertion socio-professionnelle à Arlon héberge
de nombreuses personnes ayant perdu leur emploi ou en situation très précaire.
Les personnes hébergées « transportent » un ensemble de difficultés sociales qui semblent
insurmontables. Celles-ci se situent bien au delà du document administratif manquant ou de
l’amende en retard de paiement. Elles sont de l’ordre du vécu, du personnel. Elles représentent une
sorte de fardeau intérieur qui paralyse et qui pousse à la dérive.
Les personnes hébergées souffrent quasi toutes de solitude, de manque affectif, d’insuffisance de
valorisation personnelle et de reconnaissance sociale.
Les travailleurs sociaux tentent de les aider à (re)construire un projet de vie axé sur l’avenir dans un
contexte où la dimension psychologique et la santé mentale prennent une place de plus en plus
importante.
Les objectifs de la maison d’accueil se résument dans les termes de dignité humaine à laquelle
chacun a droit. Les activités menées visent à atteindre ce but en favorisant pour les personnes
hébergées : l’accès à un logement décent, l’accès à un emploi, à une formation professionnelle,
l’accès aux soins de santé, l’accès à un soutien psychologique par un service compétent, l’accès à un
revenu de remplacement en cas de maladie ou d’incapacité, l’accès à des activités culturelles,
sportives et à des loisirs…
L’accueil d’urgence est organisé en fonction des possibilités de la maison. Un membre de l’équipe
d’encadrement est détenteur d’un téléphone portable. Il est peut être contacté 24h/24.Les
personnes qui quittent la maison d’accueil et qui le sollicitent peuvent bénéficier d’un
accompagnement social post hébergement, en attendant la prise en charge éventuelle par un autre
service. Un bulletin de liaison est distribué dans le cadre de la sensibilisation aux problèmes des
personnes hébergées.
Remarque : La maison d’accueil travaille le plus souvent possible avec l’aide des services
extérieurs. Les personnes hébergées sont orientées et/ou
accompagnées vers les organismes qui sont compétents pour les aider.
www. letremplin.net
*L'A.S.B.L. Centre Saint-Aubain à Habay-la-Neuve développe un projet commun au départ de deux
activités sociales spécifiques: le Centre Saint-Aubain, centre d'accueil et l'Auberge du Vivier,
résidence troisième âge.
Le projet de vie intergénérationnel des deux Maisons utilise différentes approches dans le but de
créer du tissu social entre: les enfants hébergés au centre, les résidents, les bénévoles et les familles.
En créant ce tissu social, nous tentons de défendre certaines valeurs telles que: la solidarité entre
générations, la tendresse partagée, la joie de vivre des moments simples mais intenses, le partage
(du savoir, de l'expérience de vie,…)et l'accueil des familles pour qu'elles conservent la place qui est
la leur
Le Centre Saint-Aubain est un Centre d'Accueil agréé par l'O.N.E.
Notre capacité d'accueil est de 24 enfants, filles et garçons, âgés de 0 à 7 ans, avec une possibilité
jusque 12 ans en cas de fratrie. La durée du séjour des enfants au sein du Centre peut être envisagée
à court et moyen terme, mais ne peut dépasser un maximum d'un an (sauf avec dérogation).
Les accueils peuvent également s'effectuer en urgence, le Centre étant ouvert 24H sur 24H.
Au terme du séjour de l'enfant, nous avons la possibilité de poursuivre le suivi de l'enfant dans son
milieu familial durant une période de 6 mois renouvelable une fois.
Les enfants nous sont confiés :
 suite à une demande formulée par les parents, éventuellement sur les conseils d'un
service social (CPAS, Consultation des Nourrissons, Service Social communal, A.M.O.,
...). Dans ce cas, l'hébergement se négocie avec les parents (en collaboration avec les
services sociaux).
Les parents restent les décideurs (tant de l'accueil que de la durée du séjour). Ce
type d'accueil nous permet de jouer un rôle de prévention et donc de répondre aux
besoins de la famille avant qu'une situation ne devienne plus lourde.
 suite à une demande émanant de l'Aide à la Jeunesse (S.A.J., S.P.J., Parquet, Juge de
la Jeunesse, ...). Dans ces cas, la philosophie de l'accueil reste la même (durée du
séjour ...) mais les problématiques peuvent être plus lourdes.
Les enfants sont hébergés chez nous pour différentes raisons telles que problèmes de santé
(hospitalisation,...), problèmes de couple, difficultés matérielles et financières, maltraitance, violence
familiale...).
Les enfants ont aussi la possibilité de participer au projet intergénérationnel. Des rencontres
privilégiées avec des « aînés » de la résidence 3ième Age de « l’Auberge du Vivier » qui partage le
même site environnemental que le Centre Saint – Aubain, sont organisées.
www.ama.be
Le Nouveau Théâtre de la Bartavelle dans la
Presse…
Vous trouverez ci- des après des coupures de presse que certains de vos confrères nous avaient déjà
consacrées ainsi que quelques photos…
Pour toute information, n’hésitez pas à contacter le 0494/084586 ou à consulter notre site web :
www.bartavelle.net
Contact presse : Céline De Smedt 0473/642593 ou [email protected]
Téléchargement