Le Nouveau Théâtre de la Bartavelle vous présente :
« Espèces Menacées »
Une pièce de Ray Cooney adaptée par Michel Blanc et Gérard Jugnot
Dossier de Presse
La Troupe
Voici bientôt vingt ans que la Bartavelle arpente les planches des salles du Sud-Luxembourg et de la
Gaume. Elle a même fait quelques incursions au Grand-Duché de Luxembourg et en France.
La Bartavelle, c’est cette perdrix qui faisait la fierté du papa de Marcel Pagnol dans "La Gloire de mon
Père". Étant donné l’admiration des fondateurs du Théâtre de la Bartavelle pour ce grand maître de
la littérature, du théâtre et du cinéma, le nom s’est imposé de lui-même.
En cette période où le cinéma et surtout la télévision envahissent de plus en plus le champ culturel,
la Bartavelle tente de convaincre le public que le théâtre représente lui aussi un spectacle de qualité,
voire un enrichissement.
Pour cela, elle veille tout particulièrement à offrir un spectacle de qualité, tant au niveau du jeu
qu’au niveau de la technique, malgré les moyens limités du théâtre amateur. Le choix des pièces de
théâtre dans le répertoire est pratiquement illimité, en tout cas à l’échelle de la Bartavelle. Pourtant,
la facilité n’est pas privilégiée.
Comme toutes les aventures humaines, le Théâtre de la Bartavelle a connu des hauts et des bas.
La troupe renaît en 2003 sous le nom de "Nouveau Théâtre de la Bartavelle" pour indiquer le
changement dans la continuité.
Le changement dans la gestion, la continuité dans la volonté de proposer des spectacles de qualité et
de donner la chance à des débutants, à côté de comédiens plus confirmés, de défendre l’œuvre d’un
auteur devant le public.
Après avoir présenté différents spectacles de café théâtre, le Nouveau Théâtre a successivement
présenté "Les Trois Messes Basses", conte provençal d’Alphonse Daudet et animé les intermèdes
humoristiques du TOYP, cérémonie de la Jeune Chambre Economique de Belgique.
Le "Nouveau Théâtre de la Bartavelle" a ensuite préparé une pièce de Francis Veber, "Le Contrat"
(avec Jean Le Poulain et Raymond Gérôme), adaptée pour le cinéma sous le titre de "L’Emmerdeur",
rendue célèbre par Lino Ventura et Jacques Brel. Poursuivant sur cette lancée comique, après
"Oscar", c’est "Une Aspirine pour Deux", de Woody Allen (mise en scène de Jacques Herbet) qui fut
présentée, suivie la saison dernière du "Canard à l’Orange", de William Douglas Home.
La Pièce…
Pour la saison 2013, la troupe a choisi de vous présenter une pièce de Ray Cooney, traduite de
l’anglais par Stewart Vaughan et adaptée en 1997 par Michel Blanc et Gérard Jugnot : "Espèces
menacées" (Funny Money).
Synopsis
En rentrant du boulot, Yvon Lemouël, petit comptable insignifiant, échange par mégarde sa mallette
contre celle d'un inconnu dans le RER. Trouvant des millions de francs à la place de son sandwich, il
commence à rêver d'une nouvelle vie, sous le soleil de Buenos Aires. Mais sa femme refusant de
partir à l'improviste, le soir où des amis doivent venir dîner pour l'anniversaire d'Yvon, les minutes
passent et les catastrophes s'enchaînent. Le débarquement d'un chauffeur de taxi peu
conventionnel, d'un flic malhonnête, de leurs amis devenus indésirables, d'un commissaire en pleine
enquête et du flingueur propriétaire de la mallette aux millions, tout cela déclenche le mécanisme
infernal de la “Cooney Farce” et nous plonge au cœur du cauchemar délirant d'Yvon Lemouël.
Comme nous vous l’annoncions dans notre communiqué de presse, le rire sera plus que présent
Cet esprit comique c’est aussi à l’auteur que nous le devons…
Les anglais parlent d’une "Cooney Farce" comme nous parlons d’un Feydeau. Il est maintenant âgé
de 81 ans. C’est à 14 ans qu’il a débuté comme comédien. Plus tard, il rejoint une troupe itinérante,
jouant six pièces différentes chaque semaine, dans les salles des fêtes. Ainsi bien rodé, il est engagé
en 1956 comme comédien au Whitehall Theatre à Londres, la Mecque de la farce anglaise. C’est ici,
avec un camarade de scène (Tony Hilton), que Cooney a écrit sa première pièce One for the Tot
(Trois Partout). Elle a été jouée 1500 fois au Whitehall Theatre, traduite dans des dizaines de langues
et jouée dans encore plus de pays…comme toutes ses pièces d’ailleurs.
Si Cooney a un "truc", c’est qu’il est le maître du mécanisme infernal qui pousse des personnages
ordinaires dans un engrenage d’évènements de plus en plus extraordinaires. Un simple mensonge de
départ déclenche un fleuve d’autres mensonges qui deviennent un torrent délirant. Cooney construit
sdes pièces avec la précision d’une pendule suisse, néanmoins très british. Chaque réplique, chaque
action, même les rires du public, rythment la pièce et provoquent la force comique qui constitue la
"Cooney Farce". En 2004, Ray Cooney s'est vu remettre par le Reine Elizabeth II l'Ordre de l'Empire
britannique pour ses services rendus au théâtre dramatique.
Les Comédiens… et leurs acolytes
Il nous paraît également essentiel de vous présenter chacun d’entre nous…
Luc Berhin, le chêne. Pilier de la troupe, il assure dans tous les domaines. Il endosse le costume de
l’Auguste ou de Loyal comme bon lui semble. Tour à tour comédien, peintre, organisateur, porte-
parole… c’est sur scène qu’il se sent bien, qu’il est heureux, et ça se voit !
Son jeu… expressif et explosif
Michel Colin, le conteur. Sa patience (avec tous ces foutus comédiens) n’a d’égale que sa bonne
humeur. Inimitable lorsqu’il s’agit de raconter une histoire, une anecdote, l’écouter des heures
durant est une formalité, sauf pour les zygomatiques.
Son qualificatif… truqulent
Stephan Rossignon, le mélomane. Pianiste, guitariste, batteur, il est le musicien du groupe. Ayant
déjà mis ce talent au service de la troupe, il décide voilà quelques années de passer sur les planches.
Grand bien lui en a pris. Il est de retour cette saison dans un nouveau costume.
Son jeu… précis
Raphaël Reiter, l’autodidacte. A priori, rien ne laissait sous-entendre qu’il devrait un jour résoudre
une énigme policière abracadabrantesque. Le NTB a décidé de s’attacher ses services pour la
première fois et, force est de constater qu’il n’a pas eu besoin d’une longue adaptation.
Son jeu…l’eau qui dort
Véro Goebel, le caméléon. Comédienne aguerrie, elle sillonne les scènes de la région depuis bien des
années. Pour la seconde fois, elle rejoint le NTB. Cette fois, la surprise sera de taille pour les fans de
cette extraterrestre du 6ème art. Attention, ça va gicler !
Son jeu… excentrique
Fred Aubry, l’instinctif. Il joue naturellement et à l’instinct. Tout semble facile à interpréter pour lui,
ça coule de source. Il est le compère de tous les coups de la bartavelle, sur et en-dehors de la scène.
Le duo avec Luc Berhin fait merveille.
Son jeu… naturellement hilarant, désopilant, comique
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