PRECARITE
Dans une situation difficile de manque et de difficultés matériels divers (enclavement,
isolement ; accès difficile aux services de base comme la santé ou l ' instruction) la
précarité est présente au quotidien.
Mais paradoxalement, des formes sociales de résistances se sont créées et se sont
développées contre la précarité chronique : Solidarité sociale ; travaux collectifs d'intérêt
public ; remise en cause des normes d'échanges des biens (Troc ; Don et contre don..). Le
milieu est en partie un milieu " démonétarisé ", l'argent n’a pas de place par défaut (Non
accès aux services financiers classiques). Un proverbe affirme AOMBY BIBY ; VOLA
TARATASY, OLO HARENA (Le zébu n'est qu’animal, l’argent du papier, l’homme est
Richesse)
EMPLOI et TRAVAIL
La terre est donc un outil de travail tout en créant un emploie aux gens. La production
elle-même entraine une autonomie de la collectivité (les gens mangent à leur faim)
L'économie même se distingue par des degrés différents d
L’économie de SURVIE (Vivre des ordures)
L’économie de subsistance (produire avec intelligence pour subvenir aux besoins
primaires et, dans un temps ne pas encore se propulser en avant et s’insérer vite dans
l’économie Monde ou l’exportation.
Et enfin une économie de SPÉCULATION. C 'est une action selon les paysans qui " Joue
avec l ' argent " et la spéculation c 'est un acte où l ' argent produit de l ' argent ( ou des
bénéfices ) qui eux même reproduisent encore de l ' argent ..La caricature sera la
mondialisation sauvage de l’économie et ses BULLES financières. Ou mirages financiers.
L’économie a perdu son bons sens primaire dans la spéculation sauvage, ÉCONOMISER
C' EST DE BIEN GÉRER LES BIENS ...
NUMÉRIQUE
L’ère du numérique est à double tranchant. D ' une part elle provoque , à force d ' abus ,
des problèmes imaginaires ( Ne plus distinguer la réalité de l ' imaginaire ) , d 'autre part
des opportunités sont offert aux utilisateurs ( connaissances techniques ou scientifiques
..Informations.)
Le choc du numérique à Madagascar est plus ou moins amortis par le nombre
relativement réduit des consommateurs (Moins de 10 % de la population est connectée) et
par la tentative du pays à s’approprier la T I C (malgachisation du jargon numérique..). Le
cyberstress n’est pas encore une maladie populaire ici, comme en Inde par exemple.