Figure 1. Les cellules procaryotes et eucaryotes ont

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Figure 1. Les cellules procaryotes et eucaryotes ont des structures différentes.
Figure 2. Comparaison des ADN procaryotiques et eucaryotiques.
Photo à gauche : L'ADN d'un procaryote (en rouge) n'est ni entouré d'une membrane nucléaire ni associé en complexe avec
des histones. Photo à droite : L'ADN d'un eucaryote est associé avec des histones pour former des chromosomes (dont un
est montré ici) qui sont localisés dans le noyau.
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Figure 3. Les virus présentent une grande diversité de structure et de taille.
(a) Le bactériovirus T4 (en orange). (b) Le virus de la grippe A (structures colorées en vert).
Figure 4. Les bactéries peuvent être cultivées (a) en milieu liquide ou (b) en milieu solide.
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Figure 5. Colonie de Neisseria meningitidis.
Photo acquise par microscopie électronique à balayage d'une colonie de bactéries Neisseria meningitidis adhérente à une
cellule HUVEC (Human Umbilical Vascular Endothelial Cell), cellules endothéliales isolées à partir de la veine d'un cordon
ombilical.
Figure 6. Deux méthodes de culture sur milieu solide en vue du dénombrement de cellules viables.
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Figure 7. Comptage direct de cellules au microscope sur cellules de Petroff-Hausser.
Un microscope à contraste de phase est le plus souvent utilisé afin d'éviter la coloration des cellules.
Figure 8. Dénombrement des cellules viables par la méthode des séries de dilutions de l'échantillon.
Le liquide stérile utilisé pour les dilutions peut être de l'eau, néanmoins une solution saline ou issue du milieu de culture peut
permettre le dénombrement d'une quantité plus importante de cellules. Le facteur de dilution est l'inverse de la dilution.dans
le cas d'un ensemencement par étalement, la série de dilutions doit être adaptée (le volume ensemencé est le plus souvent
0,1 mL).
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Figure 9. Exemples de boîtes de Pétri obtenues par étalement d'une solution bactérienne.
Seule la concentration de la boîte du milieu permet une numération correcte (absence de colonies confluentes, suffisamment
de colonies pour éviter un biais statistique).
Figure 10. Diversité morphologique des bactéries.
Figure 11. Diversité morphologique et description des colonies bactériennes.
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Figure 12. Exemples de colonies bactériennes.
Les colonies sont des amas de cellules résultant d'une ou quelques cellules. La taille, la forme, la texture et la couleur d'une
colonie dépendent de la morphologie des bactéries. Une colonie peut présenter un nombre très variable de cellules ; celles
contenant plus d'un milliard de cellules ne sont pas rares.
(a) Serratia marcescens. (b) Gros plan sur les colonies de Serratia marcescens. (c) Pseudomonas aeruginosa. (d) Shigella
flexneri. (e) Staphylococcus aureus.
Figure 13. Courbe de croissance caractéristique d'une population bactérienne.
Le dénombrement estime la quantité de cellules viables, c'est-à-dire capables de se reproduire. La turbidité, ou densité
optique, est une mesure de la diffraction et de l'absorption de la lumière par une culture bactérienne en milieu liquide.
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Figure 14. Processus général de fission binaire chez une bactérie en forme de bâtonnet.
Par souci de clarté, le nucléoïde est représenté par un cercle vert.
Figure 15. Méthode des répliques. Des bactéries peuvent être isolées sur la base de leur exigences nutritionnelles.
Conclusion : une bactérie qui ne croît que sur milieu avec supplément porte une mutation dans un gène qui code la synthèse
d'un nutriment essentiel.
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Figure 16. Escherichia coli, un organisme modèle.
Figure 17. Taxonomie d'Escherichia coli.
La position phylogénétique d'E. coli est indiquée en gras et soulignée.
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