BIBLIOGRAPHIE ANNOTÉE 3
les connaissances linguistiques. L’alternance des codes peut aider aux apprentissages, ce qui est
le but du système scolaire.
Ensuite, Gato et Steffen présente la place des trois types de l’alternance de code dans
l’apprentissage de L2. La micro-alternance, c’est quand on change de langue pendant une
interaction verbal, pour faciliter la communication immédiate. Le Macro-alternance c’est un
choix d’employer l’autre langue pendant une leçon ou pour enseigner un sujet / classe en
particulier. La méso-alternance, c’est quand on présente les mêmes concepts scolaires dans les
deux langues, dans un ordre séquentielle. L’article explique la place de chaque alternance dans
le cadre d’immersion précoce.
On présente alors la question des principes différentes : une personne-une langue, basé
sur le principe que « les interlocuteurs d’un enfant bilingue doivent rester, d’une certaine
manière, dans une relation monolingue avec lui. » (Gajo & Steffen, 2015, p. 477) et une
personne-deux langues, ou le même locateur change de langues, soit par la micro-alternance, la
macro-alternance ou la méso-alternance. On regarde des cas des familles, et puis d’une classe
d’immersion précoce.
Enfin, Gato et Steffen conclure que l’emploi de macro-alternance et méso-alternance
servent bien à créer un cadre d’apprentissage qui favorise l’acquisition de langue et
l’apprentissage du contenu selon le cadre curriculaire.
Méthodologie :
Étude de cas (Ronjat, 2013)
Étude qualitatif (Gato et al. 2008)
Mots clefs :
Alternance de codes, micro-alternance, macro-alternance, méso-alternance, plurilinguisme,
enseignement bilingue, immersion précoce