MONTRÉAL MÉTRO:
EXCELLENCE EN
RECHERCHE SUR LE
CANCER
MARS 2012
380, Saint Antoine Ouest
Bureau 8000
Montréal, Québec, Canada, H2Y 3X7
: 514 987 8191
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Le saviez-vous?
Une récente étude menée par le Dr Michael Pollack de l’Université McGill publiée dans le « Lancet
Oncology », révèle que les hommes atteints d’un cancer de la prostate courent 2,5 fois plus de risques
de décéder des suites de la maladie, s’ils souffrent d’embonpoint ou d’obésité. Cette étude confirme
que le principal coupable serait l’insuline, qui est sécrétée de façon excessive chez ces patients.
La tradition de l’Université McGill en matière de
recherche sur le cancer est de longue date et
débute en 1965 lorsque le Dr Phil Gold et ses
collègues ont découvert l’ACE (antigène carnino-
embryonnaire), un antigène permettant le
diagnostic du cancer et le plus couramment utilisé
encore aujourdhui.
LA RECHERCHE SUR LE CANCER
État de la Recherche Académique
Depuis plus d’un demi-siècle maintenant, la recherche sur le cancer est un pôle d’excellence à Montréal. La
notoriété de Montréal dans ce domaine résulte d’investissements en recherche importants et soutenus, et la
présence de groupes de recherche de renommée internationale. Plusieurs institutions de renom y consacrent
des efforts de recherche et de développement dont l’Université McGill et l’Université de Montréal et leurs
instituts spécialisés respectifs, le Conseil National de Recherches Canada par le biais de l’Institut de
Recherche en Biotechnologie, ainsi que plusieurs autres centres et institutions de recherche spécialisés.
Deux des principales universités de Montréal ont
d’importants départements et centres dédiés à la
recherche sur le cancer et travaillent conjointement à
la découverte de nouvelles molécules et formulations
permettant, notamment, le développement de produits
thérapeutiques et outils de diagnostic innovateurs
dans ce domaine.
UNIVERSITÉ MCGILL
www.mcgill.ca
Parfois qualifiée de « Harvard du Nord », l’Université
McGill est la plus prestigieuse université de recherche
canadienne, rang qu’elle occupe depuis les quatre
dernières années avec près de 470 millions $CAN de
fonds alloués à la recherche en 2010. McGill est la
seule université canadienne classée parmi les 20 plus
importantes institutions d’éducation supérieure dans
le monde (classement QS mondial). Reconnue
internationalement pour son niveau d’excellence
académique, l’Université McGill a vu sept de ses
diplômés obtenir un prix Nobel tandis que trois
obtenaient un prix Pulitzer.
Avec plus de 100 millions $CAN d’investissements,
McGill inaugurait récemment son nouveau Complexe
des sciences de la vie. Réparti sur une superficie de
plus de 340 000 pieds carrés, ce complexe accueille
60 chercheurs principaux, 600 scientifiques et, à
terme, plus de 50 % de l’espace sera consacré à de
nouveaux laboratoires. Ces chercheurs sont venus se
joindre aux 2,000 chercheurs, techniciens et étudiants
présentement aux études supérieures dans les
édifices Stewart et McIntyre nouvellement rénovés.
La recherche sur le cancer y est depuis longtemps
établie et est parmi les priorités les plus élevées de la
recherche à l’Université McGill comme en font foi ses
centres de recherche dédiés de renommée mondiale.
LE CENTRE DE RECHERCHE SUR LE CANCER
ROS ALIND E T MORRIS GOODMAN (CRCG)
Le Centre de Recherche sur le Cancer Rosalind et
Morris Goodman (CRCG) gère et coordonne des
programmes de recherche fondamentale
indépendants au sein de l’Université McGill et de ses
hôpitaux affiliés. Le CRCG concentre ses activités
dans le développement et l’implantation de
programmes qui intègrent la recherche fondamentale
accélérée, la formation d’étudiants, l’encadrement des
étudiants postdoctoraux, les professionnels et
employés, tout en faisant la promotion de linformation
sur le cancer au grand public.
Afin d’exploiter le plein potentiel de ses efforts
d’investigation, le Centre organise sa recherche selon
5 grands thèmes :
Le cancer du sein
Le développement embryonnaire et le cancer
L’ADN endommagé, sa réparation et l’apoptose
Le métabolisme et le cancer
Les cellules souches et la signalisation
Quelques-uns de ses scientifiques de premier plan
sont :
Michel L. Tremblay, Ph.D.
http://www.medicine.mcgill.ca/cancercentre/tremblaylab/
Directeur du CRCG
Avec plus de 60 chercheurs, étudiants et « fellow »
post doctoraux, le laboratoire du Dr Tremblay se
concentre sur les PTPases (protéine tyrosine
La recherche sur le Cancer dans le Montréal Métro Mars 2012
phosphatases) et dont les récentes découvertes ont
mené à l’identification de leur implication dans le
diabète, l’obésité, les traumatismes de la moelle
épinière, les maladies infectieuses et de nombreux
cancers.
L’intérêt du Dr Tremblay pour la recherche s’est
concentré sur plusieurs enzymes récemment dont, la
PTP1B, TC-PTP, PTP-PEST, RTPT-sigma et la PRL-
PTP. De plus, son laboratoire développe plusieurs
scénarios d’inhibition des PTP lors de criblages de
familles génétiques par siRNA dans le but de
découvrir de nouvelles applications pour différentes
maladies.
Philip Branton, Ph.D., M.Sc., B.Sc.
www.mcgill.ca/biochemistry/department/faculty-
members/branton
philip.brant[email protected]
Au cours des 30 dernières années, le Dr Branton a
mené une carrière en recherche qui s’est concentrée
en grande partie sur les adénovirus humains. Il les a
utilisés comme système expérimental pour découvrir
les mécanismes fondamentaux de l’oncogenèse, de
la suppression de tumeurs et la régulation de la
prolifération et de la mort des cellules.
Le laboratoire du Dr Branton se concentre
présentement sur l’étude des mécanismes d’action de
2 sous-produits de la région 4 d’adénovirus humains
pendant les infections mais également sur les cellules
saines et cancéreuses. Son équipe travaille à élucider
le mécanisme d’action mortel du E4orf4 dans les
cellules humaines et les levures et le mécanisme de
gulation du PP2A par E4orf4.
Actuellement, Dr Branton est un Professeur Gilman
Cheney au département d’oncologie et de biochimie à
l’Université McGill et est devenu un des plus influents
stratèges en recherche sur le cancer au Canada.
Dr Nahum Sonenberg, Ph.D.
nahum.sonenberg@mcgill.ca www.med.mcgill.ca/nah
um/
Le Dr Sonenberg est professeur et chercheur émérite
James McGill au Département de Biochimie de
l’Université McGill et au Centre sur le cancer
Goodman de McGill.
Le Dr Sonenberg est un chercheur qui a complété sa
maîtrise en microbiologie et immunologie à
l’Université de Tel-Aviv et son Ph.D. au « Weizmann
Institute of Science » à Rehovot en Israël. Détenteur
d’une bourse Chaim Weizmann, il a par la suite
travaillé au « Roche Institute of Molecular Biology » à
Nutley au New Jersey aux États-Unis comme
chercheur post-gradué.
Il est un chercheur boursier de l’Institut de Recherche
en Santé du Canada, du « Howard Hughes
International Scholar » et récipient du prix « Robert L.
Noble » de l’Institut National Canadien du Cancer, du
« Killiam Prize for Health Sciences », du «
2007 Katherine Berkan Judd Award » du « Memorial
Sloan-Kettering Cancer Center », du « 2007 Roche
Diagnostic Award » et du « Gairdner International
Award » en 2008. Au cours de sa carrière, il a publ
plus de 350 articles, écrit plus de 84 chapitres dans
des livres spécialisés et a édité 5 livres. Le Dr
Sonenberg recevait, en Juillet 2010, le prestigieux
prix de l’Ordre du Canada.
Les intérêts de recherche du Dr Sonenberg
concernent le contrôle translationnel, un mécanisme
par lequel l’information génétique permet de produire
des protéines. En collaboration avec le Dr Aaron
Satkin il a identifié la « eIF4E », une protéine
capsulaire 5’ de l’ARNm qui, combiné à d’autres
travaux, l’ont amené à découvrir que des taux élevés
de cette protéine étaient précurseurs de tumeurs.
Morag Park, B.Sc., Ph.D.
www.mcgill.ca/mog/research/park/
morag.park@mcgill.ca
Les intérêts de recherche du Dr Park visent
principalement les mécanismes moléculaires
d’activation oncogénique des tyrosines kinases et les
mécanismes de transformation cellulaire en utilisant
le Met, les facteurs de croissance des hépatocytes
(HGF) et les oncoprotéines comme modèles. Les
travaux ont pour but d’identifier les signaux
moléculaires qui seraient régulés par les récepteurs
HGF/SF, et les récepteurs de tyrosine kinase en
général, et qui contribuent à la progression des
tumeurs et seraient des cibles thérapeutiques de
choix.
Le groupe de recherche a développé des modèles de
cellules épithéliales, de fibroblastes ainsi que des
modèles de souris, qui permettent, au niveau
moléculaire, d’étudier les signaux requis permettant la
morphogénèse épithéliale ainsi que les signaux qui
provoquent la dégradation des structures épithéliales
organisées, la croissance indépendante de l’ancrage,
la tumorigénèse et l’invasion cellulaire.
De plus, les travaux du Dr Park se dirigent maintenant
vers la compréhension de l’effet synergique entre les
altérations génétiques multiples et les évènements
épigénétiques et son influence sur la promotion de la
tumorigénèse et la progression du cancer du sein.
Gordon Shore, Ph.D.
gordon.shore@mcgill.ca
Dr Shore est professeur adjoint à l’Université McGill
et chercheur en recherche fondamentale au Centre
de recherche sur le cancer Rosalind et Morris
Goodman et est détenteur d’un doctorat en biochimie
végétale de l’Université McGill. Après s’être joint au
laboratoire de Jam Tata sur la biochimie du
développement au « National Institute for medical
Research (Mill Hill) », au Royaume-Uni, il s’est
La recherche sur le Cancer dans le Montréal Métro Mars 2012
tourné, à titre de stagiaire postdoctoral, vers l’étude
de l’intercommunication entre le réticulum
endoplasmique (RE) et les mitochondries. Au début
des années 90, il a commencé à s’intéresser au
cancer et au gène Bcl-2, et plus particulièrement, aux
vies régulées du RE par les gènes p53 et Bcl-2.
Gordon Shore et son collègue Phil Branton ont fondé
GeminX Pharmaceuticals Inc. dans le but d’appliquer
les connaissances sur ces voies dérégulées à des
traitements possibles contre le cancer. La société
GeminX a tout dernièrement été acquise par la
société Cephalon Inc.
Département de pharmacologie et
thérapeutiques
www.medicine.mcgill.ca/pharma/home_history.htm
Le partement de pharmacologie et thérapeutiques
est aussi vieux que l’Université McGill et sa Faculté
de médecine, et au moment de sa fondation en 1824,
il n’y avait que 5 professeurs sous la gouverne du Dr
Andrew F. Holmes. La recherche au département de
pharmacologie et thérapeutiques se concentre dans 8
disciplines : le cancer, la cardiologie, la signalisation
cellulaire, le développement de drogues et la
nanomédecine, l’épigénétique, les neurosciences, la
reproduction et le développement et finalement la
toxicologie.
Moshe Szyf, M.Sc., Ph.D.
www.medicine.mcgill.ca/pharma/mszyflab/
moshe.szyf@mcgill.ca
Dr Szyf est un pionnier dans l’étude de l’épigénétique,
considérée en quelque sorte comme notre deuxième
code génétique. Ses recherches d’avant-garde ont
démontré, que bien que notre ADN est déterminé,
plusieurs facteurs externes, dont des toxines ou
encore des évènements sociaux, peuvent enclencher
une réaction biochimique au niveau du noyau
cellulaire pouvant influer sur l’expression des gènes.
Une fois stimulé, un groupe de molécules, les
groupes méthyl, s’attache au centre de contrôle des
gènes et l’inhibe, altérant ainsi la fonction génétique
sans toutefois affecter la séquence d’ADN.
Grâce à des fonds de recherche accordés par la
Société Canadienne du Cancer, le Dr Szyf et son
équipe étudient certaines des substances chimiques
qui incitent les gènes à produire des tumeurs et à
enclencher la formation de métastases.
Plus spécifiquement, les chercheurs ont observé que
lorsque la protéine DNMT1 n’est pas activée
correctement, il s’ensuit que les cellules normalement
au repos se transforment en cellules cancéreuses se
multipliant de fon anarchique. Par la suite, ils ont
découvert que la protéine AUF1 inhibait la protéine
DNMT1, prévenant ainsi le développement de cellules
cancéreuses. Les chercheurs ont également mis au
jour tous les « partenaires chimiques » de la protéine
AUF1 et ont identifié du même coup de nouvelles
cibles potentielles pour traiter le cancer.
Horacio Uri Saragovi, Ph.D.
uri.saragovi@mcgill.ca
Dr Saragovi est professeur associé aux départements
d’Oncologie et de pharmacologie et thérapeutiques
de la Faculté de médecine de l’Université McGill.
Les intérêts de recherche de son groupe sont la
compréhension des relations fonctionnelles des
structures macromoléculaires et tout particulièrement
les interactions ligands/récepteurs. Entre autres, son
laboratoire a contribué à la compréhension et au
développement de technologies mimétiques. Le
groupe a développé des mimétiques d’anticorps, de
récepteurs cellulaires ainsi que des facteurs de
croissance polypeptidiques (agonistes et
antagonistes).
Plus récemment, le groupe de recherche a aussi
développé une technologie permettant le relargage
d’agents thérapeutiques à des cellules ciblées. Cette
stratégie a démontré, en essais in vivo, que l’index
thérapeutique de drogues peut être décuplé.
Centre de Recherche Translationelle sur
le Cancer de McGill (MCTRC)
www.mcgill.ca/translational-research-
cancer/research-themes
Directeur: Dr Gerald Batist, M.D.
Situé au Sir Mortimer B. Davis de l’Hôpital Général
Juif de Montréal/Institut Lady Davis, le Centre procure
des infrastructures de pointe aux chercheurs
impliqués dans la « recherche translationelle »
permettant de générer de nouvelles approches contre
le cancer.
Les recherches du Centre se concentrent sur 4
thèmes principaux et sont pilotées par plus de 40
chercheurs répartis dans 8 institutions de recherche
et universitaires de la grande région de Montréal:
Pharmacologie moléculaire et nouvelles
thérapies;
Nouvelles cibles moléculaires;
Thérapie génique et cellulaire en cancer;
Génétique et prévention du cancer.
Gerald Batist, M.D.
gbatist@onc.jgh.mcgill.ca
Le Dr Batist est professeur au département de
médecine et oncologie, directeur du département
d’oncologie et directeur du MCTRC, à l’Université
McGill.
Le Dr Batist est l’auteur de plus de 100 articles
scientifiques et a récemment reçu l’appui pour la
construction du Centre d’expérimentation
thérapeutique de Montréal pour le développement de
La recherche sur le Cancer dans le Montréal Métro Mars 2012
nouveaux agents thérapeutiques pour la prévention et
le traitement du cancer.
De plus, le Dr Batist est à la tête d’un important
programme de recherche en pharmacologie
moléculaire et plus particulièrement la régulation et la
modulation de la signalisation de détoxification, les
communications cellules-cellules ainsi que les cibles
thérapeutiques en cancer. Les programmes de
recherche du Dr Batist s’intéressent aux nouvelles
thérapies et il a largement contribué à la conception
de nouveaux traitements contre le cancer.
Le Dr Batist est diplômé en médecine de l’Université
McGill et a fait ses études spécialisées en oncologie à
l’hôpital St-Vincent à New York, au « New England
Deaconess Hospital » à Boston au Massachussetts et
au NIH à Bethesda, également aux États-Unis.
UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
www.umontreal.ca
Fondée en 1878, l’Université de Montréal (UdeM) est
l’une des plus prestigieuses universités canadiennes
et l’une des plus actives en Amérique du Nord avec
plus de 483 millions $CAN de fonds dédiés à la
recherche en 2009. L’Université de Montréal et ses
écoles affiliées accueillent plus de 60 000 étudiants
dont plus de 7 000 viennent de l’étranger et elles
accordent près de 10 000 diplômes par année.
D’ailleurs, le « Times Higher Education Supplement »
inclut l’UdeM dans son palmarès des 100 meilleures
universités au monde.
La recherche en santé au sein de l’UdeM est répartie
sur plusieurs sites et dans plusieurs disciplines, et les
projets de recherches en cancer sont supportés par
plusieurs centres d’excellence.
LE CENTRE DE RECHERCHE DU CENTRE
HOSPITALIER DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
(CRCHUM)
www.chumtl.qc.ca/crchum.fr.html
Le CRCHUM est le plus important centre de
recherche affilié de l’Université de Montréal. La
recherche au CRCHUM s’appuie sur de larges
cohortes de patients traités au CHUM, sur 1 300
personnes (chercheurs, professionnels, personnel de
support), sur des étudiants en sciences de la vie à
tous les cycles de formation, sur des plateformes
technologiques de pointe, sur une desserte de soins,
sur un réseau important d’établissements affiliés et
sur un réseau international de partenaires des
secteurs académique, public et privé.
GROUPE DE RECHERCHE EN CANCER DU
SEIN www.grcs-crchum.ca
Dr André Robidoux, M.D., F.R.C.S.(C)
Chirurgien-oncologue de profession, le Dr Robidoux
est le directeur médical du GRCS du CHUM depuis
plus de 20 ans.
Il participe à l’élaboration d’un grand nombre d’études
cliniques nationales et internationales multicentriques
évaluant de nouveaux agents thérapeutiques dans le
traitement et la prévention du cancer du sein. Par
ailleurs, les National Institutes of Health des États-
Unis (NIH) ainsi que le National Cancer Institute le
subventionne de façon ininterrompue depuis plus de
28 ans.
Titulaire de la Chaire Scotia de l’Université de
Montréal en diagnostic et traitement du cancer du
sein, le Dr Robidoux est également titulaire du Fonds
Lilly pour lequel il a mis sur pied une équipe de
recherche regroupant des chercheurs de l’Université
de Montréal et du CHUM afin de favoriser l'intégration
des sciences fondamentales et cliniques en cancer du
sein.
Ses résultats de recherche lui ont valu plusieurs prix
reconnaissance en prévention du cancer du sein.
Récemment le Dr Robidoux a reçu deux prix. Le
premier, le British Journal of Surgery Lecture Award,
lui a été décerné par l’Association of Breast Surgery
de BASO, « Royal College of Surgeons of England »
au Royaume-Uni. Le deuxième, le « Distinguished
Investigator Lifetime Achievement Award », lui a été
remis par le NSABP pour souligner son engament
indéfectible envers le NSABP et la recherche en
oncologie. Il a également été nommé attaché de
liaison principal du NSABP au Canada. Le
Dr Robidoux a récemment été élu au conseil
d’administration du Partenariat canadien contre le
cancer.
L’INSTITUT DE RECHERCHE EN IMMUNOLOGIE
ET EN CANCÉROLOGIE (IRIC) - WWW.IRIC.CA
L’IRIC est une composante de l’UdeM et compte à ce
jour 27 unités de recherche dirigées par des
scientifiques de renom en provenance du Canada,
des États-Unis et de l’Europe répartis dans 3 grands
axes et opèrent des plateformes technologiques à la
fine pointe de la science. Les effectifs de l’IRIC sont
appelés à doubler d’ici les prochaines années, portant
à plus de 500 le nombre de chercheurs, stagiaires
postdoctoraux, étudiants, techniciens et
professionnels.
La recherche sur le Cancer dans le Montréal Métro Mars 2012
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