Sept erreurs sur l`islam - Reseau

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LA PETITE FEUILLE VERTE
"Clarifier, c’est permettre d’agir en vérité"
Régulièrement, les médias, les intellectuels et les responsables politiques ou religieux évoquent
l’Islam, les musulmans, les minarets, la burqa… Mais ils adoptent souvent, soit par méconnaissance, soit par feinte, convenance ou calcul, des positions qui ne correspondent pas à la réalité.
Il ne faut certes pas confondre les personnes et le système auquel elles adhérent. Mais il ne faut
pas, pour autant et pour quelque motif que ce soit, occulter la vérité. Voici les réponses aux sept
exemples d’erreurs qui nous sont distillées jour après jour.
1 - L’Islam est un système [politique] totalisant qui, sous le couvert du Dieu du Coran, veut tout
dominer, – et on persiste à le considérer exclusivement sous son aspect religieux.
2 - L’Islam se croit investi d’une mission divine : conquérir le monde entier par tous les moyens,
– et l’on ne veut pas reconnaitre qu’une véritable guerre de conquête nous est faite (1).
3 - L’Islam, dans sa doctrine (le Coran), réfute avec véhémence l’essentiel, le cœur du dogme chrétien (Trinité, Incarnation, divinité du Christ, Rédemption…),
- et l’on s’obstine, alors que les divergences sont radicales, à dire que les deux religions ont une
base commune puisqu’on se réfère de part et d’autre à "Dieu"
4 - L’islam n’admet pas la laïcité, il mêle complètement les domaines temporels et spirituels,
- et, d’une part, on continue à penser qu’il pourrait accepter des valeurs et des lois laïques où
le Dieu du Coran et la charia (la loi islamique) n’auraient pas la première place,
- et, d’autre part, on lui accorde peu à peu, au nom du respect des religions, tout ce qu’il revendique pour vivre en dehors de ces valeurs et de ces lois.
5 - L’Islam ne reconnaît pas l’égalité foncière entre les êtres humains,
- et l’on refuse de voir que le Coran enseigne la supériorité du « vrai » croyant sur le dhimmi
(juif et chrétien) et aussi et surtout la domination de l’homme sur la femme.
6 - Il n’y a qu’un Coran et qu’une tradition mahométane, donc une seule et intouchable source de
références islamiques,
- et l’on continue d’affirmer qu’il y a un Islam modéré apte à faire contrepoids à un Islam déviant,
alors que l’un et l’autre ont ces mêmes références et donc qu’il n’y a pas deux Islams, même s’il
y a diverses manières de comprendre et de vivre l’Islam.
7 - L’Islam affirme que son système est le meilleur de tous, et que ses fidèles n’ont donc pas à
entrer dans une démarche de réciprocité avec les non-musulmans,
- et l’on s’obstine à développer cet argument de réciprocité comme s’il était recevable par les
mentalités et les autorités de l’Islam.
Étienne PéJéant, 10 février 2010, PFV Fiche 02
(1) cf. "Djihad : 4 pour 1" (PFV Fiche 01 du 21 décembre 2009)
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Référence : 2Ba86
mis en ligne : 02/ 2010
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