Organisations entreprises et Organisations, entreprises et

Organisations, entreprises et
Organisations
management
AM FRAY ESCEM/CJD 2009 Tours
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D’après vous,
vous quels sont les
problèmes et défis de la gestion en ce
début de siècle?
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Question clé de cette introduction :
Quelle est la place du management
dans l’histoire de l’entreprise occidentale ?
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3
Quelques fondements de notre
O id t
Occident
• Raison et philosophie (Grèce Antique)
• Organisation (Empire Romain)
• Spiritualité (catholicisme,
(catholicisme protestantisme,
protestantisme
compagnonnage, mouvements éclairés)
• Science (Galilée, Darwin...)
• Liberté (Révolution française)
• Démocratie (Révolution américaine)
• Progrès (Révolution
industrielle)
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TYPE DE SOCIÉTÉ
INDIVIDUS
FIGURE DOMINANTE
MODE DE
PRODUCTION
TYPE DE
CAPITALISME
ARTISANAT À
DOMICILE
CAPITALISME
URBAIN
Pré-modernité
Société pré-industrielle
« un jeu contre la nature »
SOUVERAIN, NOBLESSE,
SOUVERAIN
NOBLESSE
GUERRIERS,
PAYSANS
ARTISANS
CLERGÉ
Modernité
Société industrielle
« un jeu contre la
nature fabriquée »
Société post-industrielle
« un jeu entre les personnes »
Société de la connaissance
« un jeu entre les
détenteurs de savoir »
CAPITALISTES
(MARCHANDS, FINANCIERS
ET INDUSTRIELS)
OUVRIERS
MANUFACTURES
FABRIQUES / USINES
CAPITALISME
INDUSTRIEL
INGÉNIEURS
PROPRIÉTAIRES/
ACTIONNAIRES
ENTREPRISE
CENTRALISÉE
INTÉGRÉE
MANAGERS
COLS BLEUS
COLS BLANCS
ENTREPRISE
TRAVAILLEURS
DIVISIONNELLE
AUTONOMES
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ADMINISTRATEUR
CAPITALISME
FINANCIER
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TYPE DE SOCIÉTÉ
INDIVIDUS
FIGURE DOMINANTE
MODE DE
PRODUCTION
TYPE DE
CAPITALISME
ARTISANAT À
DOMICILE
CAPITALISME
URBAIN
Pré-modernité
Société pré-industrielle
« un jeu contre la nature »
SOUVERAIN, NOBLESSE,
SOUVERAIN
NOBLESSE
GUERRIERS,
PAYSANS
ARTISANS
CLERGÉ
Modernité
Société industrielle
« un jeu contre la
nature fabriquée »
Société post-industrielle
« un jeu entre les personnes »
Société de la connaissance
« un jeu entre les
détenteurs de savoir »
CAPITALISTES
(MARCHANDS, FINANCIERS
ET INDUSTRIELS)
OUVRIERS
MANUFACTURES
FABRIQUES / USINES
CAPITALISME
INDUSTRIEL
INGÉNIEURS
PROPRIÉTAIRES/
ACTIONNAIRES
ENTREPRISE
CENTRALISÉE
INTÉGRÉE
MANAGERS
COLS BLEUS
COLS BLANCS
ENTREPRISE
TRAVAILLEURS
DIVISIONNELLE
AUTONOMES
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CAPITALISME
FINANCIER
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La pré-modernité et les sociétés préi d t i ll
industrielles
• Le collectif prime sur ll’individuel
individuel en fonction du sacré
• Le mythe est le langage imagé qui fournit les bases du peuple quant à
ses dieux et à ses rapports avec le sacré
• Tradition orale
• Savoir répétitif,
répétitif concret et limité à la mémoire
• Culture conservatrice et ritualisée, largement dominée par le cycle des
saisons
• Rapports inégalitaires
• L
L’accumulation
accumulation du capital est nécessaire mais non pérenne
Principale préoccupation: ss’assurer
assurer que demain sera comme hier
AM(stabilité
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physique)
Naissance d’empires: Chinois, Inca, Maya, Égyptienne
Prouesses techniques et administratives: culte, défense, transport et
entreposage
LES PRÉOCUPATIONS DE GESTION SE SONT DÉVELOPPÉES AVEC LA
SÉDIMENTARISATION ET LAM
’APPARITION
DES RÉGIMES POLITIQUES DIRIGÉS
PAR
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DES EMPEREURS ET DES ROIS.
TYPE DE SOCIÉTÉ
INDIVIDUS
FIGURE DOMINANTE
MODE DE
PRODUCTION
TYPE DE
CAPITALISME
ARTISANAT À
DOMICILE
CAPITALISME
URBAIN
Pré-modernité
Société pré-industrielle
« un jeu contre la nature »
SOUVERAIN, NOBLESSE,
SOUVERAIN
NOBLESSE
GUERRIERS,
PAYSANS
ARTISANS
CLERGÉ
Modernité
Société industrielle
« un jeu contre la
nature fabriquée »
Société post-industrielle
« un jeu entre les personnes »
Société de la connaissance
« un jeu entre les
détenteurs de savoir »
CAPITALISTES
(MARCHANDS, FINANCIERS
ET INDUSTRIELS)
OUVRIERS
MANUFACTURES
FABRIQUES / USINES
CAPITALISME
INDUSTRIEL
INGÉNIEURS
PROPRIÉTAIRES/
ACTIONNAIRES
ENTREPRISE
CENTRALISÉE
INTÉGRÉE
MANAGERS
COLS BLEUS
COLS BLANCS
ENTREPRISE
TRAVAILLEURS
DIVISIONNELLE
AUTONOMES
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ADMINISTRATEUR
CAPITALISME
FINANCIER
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La modernité
17 siècle
17e
iè l
La modernité est une révolution de l’esprit qui apporte
un renouveau ddans lla ffaçon de
d
penser et de voir le Monde
•
•
•
•
•
Raison = principe organisateur du savoir rejetant les vieilles institutions
Science et technique = progrès
Individualisme = émancipation du “ je ”
Liberté = démocratie
Essor du commerce, de l’idée de profit et de l’entreprise privée:
autonomisation de l ’économique
é
ou la logique du marchéé
Principale préoccupation: s’assurer que demain sera mieux qu’hier
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(stabilité psychologique)
La société industrielle
“ un jeu contre la nature fabriquée ”
(1780- 1960)
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Consécration de la société capitaliste
p
Révolution industrielle en Angleterre
Nouvelle structure de classe : bourgeoisie
g
et p
prolétariat
L’accumulation du capital (valeurs protestantes) porte sur l’exploitation
du prolétariat, l’organisation
g
du travail ((la fabrique)) et la présence de
marchés
Développement technique (la vapeur), la division du travail plus
poussée et la formation de la main-d ’œuvre
Révolution managériale: organisation de la production et de la
di t ib ti
distribution
La structure de l’entreprise se base sur celle de l’armée: le contrôle
Triomphe de la rationalitéé instrumentale
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Manager: chef
Le manager dans la société industrielle:
un chef
h f
Application des démarches formelles et universelles
Prédominance
des
facteurs
AM FRAY
ESCEM/CJD
2009 Tourstechniques
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Triomphe de la rationalité
au 20e siècle
•
•
•
•
Division du travail adam smith.pptx
Organisation scientifique du travailTaylor.ppt
Chaîne de montage Henry Ford.pptx
Pensée administrative moderne Henri
Fayol.pptx
Organisation hygiène,
Organisation,
hygiène sécurité et compétitivité
L modèle
Le
dèl b
bureaucratique
ti
d
de gestion
ti
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Les temps
p modernes
Charlie Chaplin
Efficacité versus aliénation
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TYPE DE SOCIÉTÉ
INDIVIDUS
FIGURE DOMINANTE
MODE DE
PRODUCTION
TYPE DE
CAPITALISME
ARTISANAT À
DOMICILE
CAPITALISME
URBAIN
Pré-modernité
Société pré-industrielle
« un jeu contre la nature »
SOUVERAIN, NOBLESSE,
SOUVERAIN
NOBLESSE
GUERRIERS,
PAYSANS
ARTISANS
CLERGÉ
Modernité
Société industrielle
« un jeu contre la
nature fabriquée »
Société post-industrielle
« un jeu entre les personnes »
Société de la connaissance
« un jeu entre les
détenteurs de savoir »
CAPITALISTES
(MARCHANDS, FINANCIERS
ET INDUSTRIELS)
OUVRIERS
MANUFACTURES
FABRIQUES / USINES
CAPITALISME
INDUSTRIEL
INGÉNIEURS
PROPRIÉTAIRES/
ACTIONNAIRES
ENTREPRISE
CENTRALISÉE
INTÉGRÉE
MANAGERS
COLS BLEUS
COLS BLANCS
ENTREPRISE
TRAVAILLEURS
DIVISIONNELLE
AUTONOMES
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ADMINISTRATEUR
CAPITALISME
FINANCIER
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La société post-industrielle
« un jjeu entre
t les
l personnes »
(depuis la fin des années ’60)
• Tertiarisation: passage d’une économie de
production à une économie de service
(commerce,
transport,
information,
enseignement etc.)
enseignement,
etc )
• Prééminence de la classe professionnelle et
technique
• Manager: leader
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Le manager dans la société post-industrielle
: un leader
l d
Adaptation de la gestion aux spécificités du contexte
Contingence de l’importance
l importance accordée aux
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facteurs techniques et
humains des relations humaines.ppt
Management moderne : la Direction par Objectifs,
1950-1960
Période de l’après-guerre et prémisses de la société de
consommation ⇒ Début des trente années glorieuses
• Modèle de l’Etat-Providence : l’Etat investit toutes les sphères
économiques au motif de mieux allouer les ressources nationales ⇒ Naissance
des entreprises publiques à caractères industriel et commercial
Mode
M
d
de
d
gestion
ti
plus
l
administratif
d i i t tif que managérial
éi l
entreprises fonctionnant comme des bureaucraties
⇒
Direction par objectifs (DPO)
• Responsabilisation des individus
• Motivation par la fixation d’objectifs
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D
Des
Obsession de la planification, 1960-1973
Abondance des ressources, ouverture des frontières au niveau
européen, communication par informatique
Souci de pilotage des organisations
• Besoin de recherche, traitement et stockage de l’information
• Invention d
d’une
une batterie d
d’outils
outils quantitatifs servant à l’anticipation
l anticipation,
l’analyse du marché, placement des capitaux, positionnement sur le marché,
etc.
Pénétration de la pensée stratégique dans le schéma
organisationnel
• Révision du modèle de leadership : la théorie des 5 M – Men, Money,
Machines, Methods, Markets
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Montée du modèle japonais et le mouvement qualité,
1973-1980
1973
1980
Première crise économique, développement des innovations
technologiques, émergence de différents modèles performants
particulièrement
ti liè
t celui
l i du
d Japon
J
• Reverse ingeneering : importer la technologie, la démonter, la copier en vue
de la dépasser
• Qualité :
Conception techniciste
Philosophie de gestion
Management de la qualité totale : « ensemble de principes et de méthodes
organisés en stratégie globale, visant à mobiliser l’entreprise pour obtenir une
meilleure satisfaction du client au moindre coût » ((Nemoto,, PDG de
Toyota)
♣ Kaizen : processus d’amélioration continue
♣ Juste
Juste--à-temps : méthode de production à flux tendus qui consiste à acheter
ou à produire la quantité juste nécessaire au moment où on en a besoin
♣ Cercles de qualité : structure permanente ou temporaire chargée de
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résoudre des problèmes auAM
quotidien
Leadership et recherche de l’excellence, 1980-1993
Mouvance de l’environnement
Difficultés de planification et de prévision
• Fin de l’Etat-Providence
Approche culturaliste de l’organisation :
Culture organisationnelle détermine la performance
Il s’agit d’un ensemble de croyances et de valeurs fondamentales partagées
par tous les membres de l’organisation
L culture
La
lt
estt fortement
f t
t dét
déterminée
i é par lle profil
fil d
du di
dirigeant
i
t (leader)
(l d )
• Benchmarking : démarche consistant à identifier les meilleures
pratiques pour une activité
activité, un processus ou une fonction et à les utiliser
comme cibles de progrès
• Logique de compétences : Chaque organisation construit un ensemble de
connaissances et de savoir qui lui sont propres et qui lui donnent un avantage
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concurrentiel
TYPE DE SOCIÉTÉ
INDIVIDUS
FIGURE DOMINANTE
MODE DE
PRODUCTION
TYPE DE
CAPITALISME
ARTISANAT À
DOMICILE
CAPITALISME
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Pré-modernité
Société pré-industrielle
« un jeu contre la nature »
SOUVERAIN, NOBLESSE,
SOUVERAIN
NOBLESSE
GUERRIERS,
PAYSANS
ARTISANS
CLERGÉ
Modernité
Société industrielle
« un jeu contre la
nature fabriquée »
Société post-industrielle
« un jeu entre les personnes »
Société de la connaissance
« un jeu entre les
détenteurs de savoir »
CAPITALISTES
(MARCHANDS, FINANCIERS
ET INDUSTRIELS)
OUVRIERS
MANUFACTURES
FABRIQUES / USINES
CAPITALISME
INDUSTRIEL
INGÉNIEURS
PROPRIÉTAIRES/
ACTIONNAIRES
ENTREPRISE
CENTRALISÉE
INTÉGRÉE
MANAGERS
COLS BLEUS
COLS BLANCS
ENTREPRISE
TRAVAILLEURS
DIVISIONNELLE
AUTONOMES
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La société de la connaissance
« un jeu entre les détenteurs de savoir »
(depuis les années ’90)
• Expansion des services techniques et professionnels (recherche,
(recherche éducation,
éducation
traitement informatique et analyse de systèmes)
q , à l ’université et aux centres de recherche et au
• Centralité aux scientifiques,
partenariat avec les entreprises
• L ’entreprise: un monde de projets menés par des individus polyvalents et
créatifs
é tif
• Augmentation des travailleurs autonomes
• Formation continue
• Remise en cause des syndicats et des coopératives
• Débat protectionnisme / libéralisme dans le contexte de la mondialisation
• L’absence d’innovation est la première cause de déclin des organisations et
l’ignorance
g
du management
g
est responsable
p
de l’échec des nouvelles
entreprises
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• Manager: coach
Management par le réseau et la recherche de la
création de valeur
Complexité des problèmes, foisonnement des T.I.C,
compétitivité accrue
Logique de création de valeur
• Primauté de la satisfaction du client devenant de plus en plus exigeant
•Q
Quête permanente
p
d’innovation et de q
qualité
• Veille stratégique : scruter en permanence l’environnement pour en
capter
toutes
sortes
d’informations
(économiques,
commerciales,
technologiques...)
• Temps, source de compétitivité
• Gouvernance des entreprises : Intégration des actionnaires dans la vie
de l’entreprise
• Valorisation du capital humain : La réussite de l’entreprise passe par la
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mobilisation des compétences individuelles et collectives
(suite)
Conséquence : Nouveau design organisationnel
• Aplatissement
p
des niveaux hiérarchiques
q
: la structure devient de
plus en plus légère et en réseau
g
axé sur l’empowerment
p
, la mise en valeur des
• Modèle de gestion
compétences, le coaching, l’apprentissage en collectif de travail
Conclusion :
A chaque nouvelles données de l’environnement, de nouveaux concepts
théories méthodes émergent en vue de l’adaptabilité de l’entreprise
théories,
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25
Mais…survivance des tendances
du passé
• Diminution de l’employé
l employé et glorification du dirigeant;
• Croyances aveugles dans les vertus des outils, des
techniques et des technologies (recettes miracles,
miracles modes et
gourous)
• Les gens ont une vision simpliste de l’être humain: une pièce
interchangeable
• Problèmes sociaux (stress, alcoolisme, etc.), éthiques
(responsabilité des dirigeants) et environnementaux.
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De nouveaux lieux…. De nouvelles formes
de socialisation…
socialisation et de nouveaux remèdes
LE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS EST UNE PRÉOCCUPATION RÉCENTE À L ’ÉCHELLE DE
L ’HISTOIRE
HISTOIRE DE L ’HUMANITÉ
HUMANITÉ
… QUI EST APPARUE ET S ’EST DÉVELOPPÉE POUR RÉPONDRE AUX BESOINS DES CITÉS ET
DES ÉTATS CENTRALISÉS
… QUI S ’EST NOURRI E DES MÉTHODES ET DES PRÉOCCUPATIONS ASSOCIÉES À
L ’ÉMERGENCE ET AU TRIOMPHE DE L ’ENTREPRISE PRIVÉE ET DE LA LOGIQUE DU
MARCHÉ
… QUI N ’A JAMAIS (ou pas souvent) MIS L ’ÊTRE HUMAIN AU CŒUR DE SES PRÉOCCUPATIONS,
CE Q
QUI FAIT Q
QUE LE « GOUVERNEMENT DES PERSONNES » EST LE PLUS SOUVENT
DÉFAILLANT.
PRÉOCCUPATION CENTRALE CONTEMPORAINE :
LE MANAGEMENT EST REDEVABLE D’UNE PERFORMANCE MAIS COMMENT LA
DÉFINIR, LA MESURER ET L’OBTENIR ?
LE MANAGEMENT CONCERNE LES HUMAINS, LEURS VALEURS ET LEURS PROGRÈS :
SON IMPACT ET SES RAPPORTS AVEC LES COMMUNAUTÉS FONT EN SORTE QU’IL
A UN RAPPORT ÉTROIT AVEC LA NATURE DE L’ÊTRE HUMAIN,
HUMAIN l’ETHIQUE , LE
DEVENIR DE NOTRE
DE
NOTRE HUMANITÉ
AM FRAYPLANÈTE
ESCEM/CJDET
2009
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