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Ceci est une traduction du texte qui est écrit pour les jeunes d'Aagtekerke
LE COMMENCEMENT
Il y a un an que le conseil du village d'Aagtekerke décidait d'ériger un monument pour les
aviateurs français qui sont tués quand leur avion écrasait le 22 octobre 1943 auprès du
Kalfhoeksepad à Aagtekerke. La cause de cette décision était le fait que le conseil est
autorisé de dépenser € 2000 chaque an pour améliorer la qualité de la vie ou des environs
du village.
On installait un comité pour effectuer cette décision. M. Pieter Horst acceptait la
responsibilité de dessiner le monument, M. Ton Verhulst pour maintenir les contacts avec la
municipalité de Veere dont Aagtekerke est un des treize villages. M. Hans Nonnekes était
désigné pour le support administratif et Hubert Willems pour trouver parents et
descendants des aviateurs et maintenir les contacts avec eux.
Et – important pour l'avenir – les élèves des deux écoles primaires adopteront le
monument et participeront dans la céremonie et avec le conseil du village ils vont
commemorer chaque an l'écrasement.
Le comité s'assurait du support de la société 'Wings to Victory' – un 'club' avec beaucoup
de connaissance dans le domaine des batailles aériennes dans la province de Zélande
pendant la guerre. M. León Dewitte - président de la Fondation Libérateurs Walcheren
était invité de coopérer et d'agir comme maître de cérémonie pendant du dévoilement.
Avec bonne courage le comité commençait ses travaux et faisant chemin l'enthousiasme
augmenta: la municipalité de Veere cooperait très bien, la banque local promit une somme
substantiel et n'oublions pas 'de Parel' dont aura lieu la réception après la céremonie
autant que les commerçants locaux. Parceque assez vite il devenait claire que la somme de €
2000 était loin d'être suffisant.
Après que la municipalité avait préparé le terrain, beaucoup de volontaires travaillaient
pendant les week-ends sous le direction de Pieter Horst pour effectuer le monument et tout
cela tiendra comme résultat que le 22 octobre prochain aura lieu le dévoilement du
monument. C'est le date exact que l'avion était abattu en 1943.
Avec la cooperation de l'ambassade française à La Haye, l'ambassade néerlandaise en
Brésil et la municipalité de Boulogne-sur-Mer nous avons réussi de trouver descendants et
parents des aviateurs. Beaucoup d'eux nous ont fait savoir d'assister á la céremonie et ils
viennent de tous directions du monde: les États-Unis, du Canada, du Royaume Uni, de la
France, d'Israël, du Royaume Uni et même de Tahiti – en total plus de vingt descendants et
parents. Et nous apprendions de plus en plus sur les aviateurs et nous racontons dans cette
livrette-ci avec le titre qui trouve son source dans une citation d'une des descendants: « la
célebration de la vie ».
' LA CÉLEBRATION DE LA VIE'
LES TÉMOINS
Il est le 22 octobre 1943 et la fille Betje Maljaars de 20 ans est au retour d'un mariage avec
sa soeur au chemin à sa maison. C'est la guerre mais en Aagtekerke, sauf des soldats
allemands qui sont stationnés dans la région, il y a peu de preuves. Mais quand elle passe à
trois heures l'apres-midi à sa biciclette par le Kalfhoeksepad la guerre soudain s'approche très
auprès. Dans la proximité un avion s'est écrasé et , il ya vingt ans qu'elle a dit ceci:"Cet
avion avait atterri où maintenant se trouvent les terrains de la municipalité, les flammes ont
éclaté et les éclats volent autour de nos oreilles. C'étaient les balles à bord de cet avion et il
brûle, brûle! J'ai senti la chaleur dans mon dos. Il y avait un ouragan de bruit! Le pilote avait
survécu, pas son camarade ".
Mais fermier Piet Kodde - il avait alors 24 ans - a vu l'écrasement de l'avion.
Il a raconté l'année passée au journal local ce qu'il passait quand l'avion s'est écrasé et il était
avec une charretée de sable en chemin à sa ferme. Il a déclaré au journal: «J'étais là , sur le
chemin à ma ferme. Pour rester hors de danger je me suis roulé dans le fossé, les rênes encore
à la main, parce que on ne veut pas que le cheval va galoper. Et puis soudain, l'avion est au
dessu de nous. Il a piqué à travers la cime des arbres d'une ferme, et s'est écrasé à droite de la
Roosjesweg. Et puis il y a eu un grand coup. Si j'avais là quelques secondes plus tôt, j'aurais
été touché par l'avion. Lorsque j'avais rampé du fossé, juste en face, un des moutons était
mort, touché par une balle. J'ai ensuite rentré à la maison via un détour. Parce que je n'osais
pas passer l'avion brûlant. »
LE VOL
Le 22 Octobre 1943 s'effectuait un vol d'attaque de l'Angleterre à Courcelles en Belgique. La
mission était de bombarder là une usine d'aviation.
Trois escadrons fournaient 38 avions de type-Douglas Boston. Ce vol s'agissait d'un vol à
basse altitude. Il était important de voler avec précision de manière à atteindre au bon endroit
si l'on approchait territoire occupé. En approchant la côte l'approchement était prévu entre
les îles de Walcheren et Schouwen. Probablement par une erreur de navigation les avions
approchèrent la côte entre Westkapelle et Domburg. Dans les environs de de Veere beaucoup
de FLAK était déployé et dans un court laps de temps se déroulait un drame. Cinq avions ont
été abattus dans un délai de 5 minutes.
À cause de basse altitude les équipages avaient peu de chance de survivre. Treize membres de
l'équipage du quinze en total ont été tués. L'un des avions était le Boston avec le numéro
BZ393 de l'escadron 342 des Forces Aériennes Françaises Libres (FAFL). L'escadron 342
portait le nom de «Groupe Lorraine» et faisait partie de l'Armée de l'Air française libre.
Ces hommes français étaient des hommes venus de France et de partout du monde qui avaient
fui ou franchi à l'Angleterre pur lutter contre les Allemands.
L'équipage de la BZ 393 se composait de:
Sergent Julien Allain - tireur - enterré à Kapelle
Lieutenant Charles Lang - navigateur - enterré à Boulogne-sur-Mer
Sergent Georges Schteinberg - radioman - enterré à Kapelle
Lieutenant Simon Stoloff - pilote. Il a survécu l'écrasement et eu pitié de Julien Allain. Celui-
ci avait perdu ses deux jambes par l'écrasement et il est mort dans ses bras. Puis il a sauté de
l'avion brûlant qui était plein d'explosifs et il a fait prisonnier par les Allemands qui avaient
arrivé entretemps et etaient parfaitement siderés.
LES QUATRES AVIATEURS
Mais qui étaient ces quatre aviateurs dont trois ont été tués dans le combat pour notre liberté?
Et comment a vécu sa vie le pilote survivant qui a été pris prisonnier? Nous avons donc
commencé à chercher des descendants et des membres de la famille pour apprendre d'eux
plus au sujet de ces aviateurs. La recherche a duré plusieurs mois et s'est déroulée sur tous les
continents, de l'Amérique à la France et d'Israël au Brésil.
Nous voulons vous raconter quelque chose au sujet de ces quatre aviateurs - comme déjà dit -
dont un aviateur a survécu le crash. Cet aviateur – le lieutenant/pilote Simon Stoloff - est
devenu 84 ans. Cela signifie qu'il pouvait vivre une vie qui était enlevée de trois autres
aviateurs.
Nous commençons avec l'aviateur dont nous savons le plupart parce qu'il était marié
quelques mois avant sa mort et quelques mois après qu'il a été tué a eu un bébé. Nous
commençons avec:
SERGENT JULIEN ALLAIN
Nous avons trouvé descendants de Julien Allain assez facilement par l'aide de l'ambassade
française. Qui me dit que Julien avait une fille qui est née en 1944, vivante en Amérique et
nous avons obtenu son adresse de courreil.. Nous l'avons contacté et avec l'aide d'elle et du
internet nous avons apprendi ce qui suit.
Julien Allain est née à Raiatea, le 6 Février Tahiti - une île française d'outre-mer dans le
Pacifique. Il était un étudiant et se présente comme bénevole en Septembre 1940 à Papeete
aux Forces armées de la France libre.
Il est affecté à la FAFL et en mai 1942 il est envoyé au Moyen-Orient, Damas, pour une
éducation militaire initiale. De là, il va au Kenya – colonie de Grande Brétagne – pour
poursuivre son éducation militaire. Après cela il est prêt d' aller à Angleterre pour compléter
son éducation et il navigue avec le bateau Mendoza . Mais ce bateau est torpillé le 1er
Novembre 1942 à soixante-dix miles de la côte près de Durban.
Des quatre cents passagers, 150 sont noyés, mais le groupe de 33 hommes duquel Julien
Allain faisait partie survivait en son intégralité. D'entre eux 29 hommes jamais verraient le fin
de la guerre................. . Pendant trois jours ils flottaient dans un canot de sauvetage avant
d'atteindre Durban.
À la fin de Décembre, Julien va de là par bateau à Londres - un passage qui passe sans
problèmes.
Dans la Royal Air Force - RAF – il complète son formation comme tireur- mitrailleur.
Au cours de cette formation, il fait un vol d'entraînement qui à cause de grivage est obligé
de faire un atterrissage d'urgence. L'avion prend feu et il rentre de nouveau l'avion a fin de
sauver son camarade-mitrailleur. Ses mains et son visage sont gravement brûlés.
Pendant cette période il rencontre l'infirmière Mary Hart et ils se sont mariés en Juillet 1943.
De ce mariage naquit une fille au début de 1944 qui son père n'a jamais peut savoir, parce que
quelques mois avant sa naissance son père perd la vie à Kalfhoeksepad. Cette fille, qui
répond au nom Lovika, va plus tard en Amérique et elle est la mère de quatre enfants. Ces
enfants ont à son tour des enfants et cette famille va avec quinze personnes assister à
l'inauguration du monument. Cettes personnes viennent de l'Amérique, du Canada, de la
Nouvelle-Zélande et de l'Angleterre et leur présence à l'inauguration du monument a une
signification particulière, parce que Lovika écrit dans un de ses messages: « Nous appelons
notre présence à la céremonie <UNE CÉLEBRATION DE LA VIE > parce que sans mon
père, Julien Allain, aucun de nous ne serait ici. Il nous a laissé avec son plus beau cadeau: son
ADN ". Cette phrase aura encore plus de sens quand on sait que Mary Hart devait accocher
de son enfant pendant que son mari quelques mois plus tôt était tué. Elle donc devait éprouver
la même chose comme sa mère durant la Première Guerre mondiale: son mari a été tué à
Ypres quelques mois avant la naissance de sa fille Mary, mère de Lovika.
Lovika, qui s'appelle aujourd'hui Lovika De Koninck et qui est le 'mater familias' de la
famille-Julien Allain va a dévoiler le menument le 22 octobre dans la présence de parents du
lieutenant Lang en Sgt Schteinberg.
Sergent Julien Allain est à titre posthume décoré avec le Médaille Militaire et le Médaille de la
Résistance.
LIEUTENANT CHARLES LANG
Après longues recherches, nous avons trouvé des proches de Charles Lang à Boulogne-sur-
Mer où il est enterré. Nous savions qu'il était né le 9 Mars 1920 à Aubérive, alors il semblait
facile de trouver parents parce que Aubérive est un hameau de 200 habitants. Mais le maire
nous faisait savoir qu'aucune personne à cette date apparaissait dans son registre. Et ça
semblait le fin du recherche. Mais nous découvrions qu'il y avait un autre village avec le
même nom à 240 kilomètres au sud. Avec nouvel espoir nous contactions le maire de ce village
et ç était une déception. Il ne répondait pas à nos messages de courreil et quand nous l'avions
contacté il nous disait que Lang n'était pas marié et qu'il n'avait pas d'autres informations.
Alors nous avons pris la derniére chance, la municipalité de Boulogne-sur-Mer oú Charles
Lang est enterré. Et nous étaient agréablement surpris de recevoir une réponse positive: ils
avaient trouvé un neveu de Charles Lang, monsieur Michel Lang. Monsieur Michel hélas n'est
pas disponible d'assister à la céremonie mais sa femme avec cinq parents assisteront au
dévoilement du monument.
Charles Lang servait comme soldat dans l'armée française et il était blessé auprès de
Dunkerque et évacué à l'Angleterre le 4 Juillet 1940. Là il était soigné et dans l'été de 1941 il
se présentait aux FAFL. Pour son éducation il était transferré au Orient-Moyen et après cela
au Kenia. Il avait le même experience comme Julien Allain au bord du bateau Mendoza.
Retourné à l'Angleterre il complait son éducation comme navigateur et il était affecté à l'
escadron 342 des FAFL.
Après qu'il était tué dans l'écrasement près de Kalfhoeksepad dans notre village il est
enterré à Flessingue et en 1947 à Boulogne-sur-Mer.
Lieutenant Lang à titre postume est décoré comme Chevalier Légion d'Honneur et avec la Croix
de Guerre 39-45 avec Palme.
LIEUTENANT SIMON STOLOFF
Avec l'aide de l'ambassade française nous apprendions qu'un fils de Simon Stoloff – Bernard
Stoloff – vie à Strasbourg et il n'était pas trop difficile pour le trouver. Après un contact par
télephone avec Bernard nous avions une correspondence par courreil avec lui y nous
apprendions ce que suit.
Simon Stoloff est le pilote de l'avion dont nous parlons. Il est né le 21 juin 1917 à Paris et le 16
septembre 1939 il est mobilisé – dans le mois quand commençait la deuxième guerre mondiale.
Pour son éducation comme pilote il est dirigé á l'école d'aviation à Bordeaux.
Le 18 juin 1940 il fuit à l'Angleterre et il se met à disposition du Géneral de Gaulle qui était le
commandant des français libres. Ces français libres étaient des hommes français qui de la
France et du tout le monde s'avaient dirigé à l'Angleterre pour se battre contre les Allemands.
Stoloff est affectué aux FAFL et – aussi comme Lang et Allain est dirigé à Moyen-Orient et
souffre les mêmes experiences au bord du Mendoza.
Il est également affecté à l'escadron 342 et effectue plus de dix assauts sur le territoire occupé,
jusqu'à son avion est abattu dans Kalfhoeksepad le 22 octobre 1943. Il survit l'écrasement
avec des brûlures. Dans certains documents, il est allégué qu'il a survécu le crash en sautant
de l'avion avec son parachute , mais ce n'est pas correct. Il a pris Julien Allain qui avait perdu
ses deux jambes, dans ses bras et bercé jusqu'à sa mort. Également il évite juste avant le
crash par un reflexe de coup au levier de commande un soldat allemand sur le sol qui se
trouvait dans un trou de mitralleur. Ce soldat lui a rendu visite plusieurs fois à l'hôpital.
Après d'être soigné il est transféré à un Wehrkreis, c' est une zone militaire, au nord de
Berlin.
Il réussit pendant la période Novembre 1944 - Mars 1945 à organiser une unité de résistance
dans son 'luftlag' et envoyer messages à la France. C'était vers la fin de la guerre et,
apparemment, il et ses codétenus dans ces mois de l'effondrement allemand, avaient beaucoup
espace de mouvement. Quoi qu'il en soit, il est allé - après qu'íl était libéré par l'armée
soviétique – avec eux pour liberer les camps de concentration - y compris Ravensbrück -
désarmer Allemands et organiser des autorités militaires dans la zone russe de l'Allemagne.
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