La Vipère péliade : projet de veille écologique

Observatoire des Reptiles d’Auvergne
Royat - 63520 Estandeuil
[e-mail]
Si votre structure est inté-
ressée : contactez nous !
La vipère péliade est une espèce boréale
emblématique du massif central, pré-
sente dans 3 départements de l’Auver-
gne grâce à des habitats d’altitude pré-
servés.
Elle subit actuellement une forte régres-
sion et a été classée comme
« vulnérable » dans la récente liste rouge
nationale (IUCN, 2015).
Vous aimez les reptiles et le terrain :
rejoignez notre réseau d’observateurs !
la force de ce projet sera le nombre de sites suivis Votre mission :
Effectuer plusieurs visites par an en-
tre avril et août sur un ou plusieurs si-
tes prédéfinis, au cœur ou en marge
des populations de vipère péliade afin
d’observer les reptiles présents en
prospection à vue
Pour vous aider :
Formation à l’écologie de la vipère pé-
liade, au protocole et à la prospection
sur le terrain par les membres de l’as-
sociation
RDV le 4 mars 2017 pour
planifier l’opération
Pour plus d’infos :
contactez nous !
Crédits photo : H. Lisse et M. Ausanneau - Images : M. Guillon
Coordination Auvergne : ORA
Coordination scientifique & générale : CEBC-CNRS
Partenariats envisagés :
SHNAO - CEBC-CNRS - SHF
PNR LF - PNR VA - PNR MA
CEN Auvergne - LPO Auvergne
La Vipère péliade : projet de veille écologique
Plusieurs objectifs
Début au printemps 2017...
Quel avenir pour la vipère péliade en Auvergne ?
Dans le massif central, la survie de
l’espèce semble compromise à
moyen terme (Impact du changement
climatique sur la distribution d’une reli-
que glaciaire; Guillon, 2012).
Les causes de son déclin : le chan-
gement climatique et la dégradation
de ses habitats.
Des opportunités locales telles que
l’existence de landes et tourbières d’al-
titude, servant de zones refuges micro-
climatiques, pourraient assurer la sur-
vie de la vipère péliade et de toutes les
autres espèces de milieux froids...
Pour mieux cerner l’évolution de cette
sentinelle du changement climatique,
l’ORA s’implique dans le suivi d’un vaste
réseau de sites témoins.
Améliorer les connaissances
sur la répartition de l’espèce
Suivre sa répartition et la
persistance des populations
sur 15 ans minimum
Définir des stratégies
locales de conservation pour
l’espèce et ses milieux
E. Cadé
J.P. Toumazet
H. Lisse
M. Ausanneau
C. Fossé
S. Gagnier
A. Sprumont
H. Lelièvre