6) Comment se fait-il qu’on insiste encore pour dire que six millions de juifs ont été tués
alors que le chiffre officiel des morts juives d’Auschwitz, phare du goulag holocaustique, a
été réduit du chiffre de 3 millions cité juste après la guerre à un chiffre d’un peu moins de
un million!? Pourquoi y a-t-il beaucoup de gens qui répondent à cette remarque en disant!:
«!Qu’il en soit mort six milions ou un million, où est la différence!?!» La réponse est que la
différence est de cinq millions. Il y a une autre différence, c’est que le fait de le dire peut
vous valoir trois ans dans une prison autrichienne… Demandez à David Irving!!
7) Tous les codes allemands pendant la guerre étaient connus, y compris celui qui servait à
l’envoi des rapports journaliers d’Auschwitz à Berlin. La transcription de ces messages ne
mentionne pas d’exécutions de masse ou même ne suggère pas le moins du monde le
développement d’un programme génocidaire. De plus, on insiste pour dire que les
Allemands utilisaient une sorte de code à base d’euphémismes pour discuter de leur
programme d’extermination des juifs, par exemple les mots de solution finale, de
traitement spécial, de réinstallation, etc. Pourquoi avaient-ils besoin d’utiliser de tels
euphémismes codés quand ils se parlaient entre eux, à moins qu’ils n’aient pensé que leurs
codes avaient été décryptés par les Alliés!?
8) A Auschwitz la nappe phréatique est à 45 cm de la surface, ce qui rend insoutenable la
thèse selon laquelle il existait d’immenses fosses d’incinération de dizaines de milliers de
victimes.
9) Au début, on prétendait que des exécutions massives dans des chambres à gaz avaient eu
lieu dans des camps situés à l’intérieur de l’Ancien Reich, comme, par exemple, à Dachau
ou à Bergen-Belsen. Les « !preuves !» étaient tout aussi convaincantes que celles qu’on
invoquait pour les autres camps situés dans la Pologne occupée mais, sans la moindre
explication, on nous a dit, au début des années soixante, que ce n’était pas le cas et que
tous les « !camps de la mort !» étaient situés à l’est, par exemple en Pologne, loin des
regards inquisiteurs (diraient certains par commodité) des érudits occidentaux.
10) Personne n’a été en mesure de concilier le fait que les témoins oculaires racontaient que
le personnel pénétrait dans les chambres à gaz au bout de vingt minutes sans équipement
de protection et le fait que le Zyklon!B était un gaz «!à effet retard!» dont la capacité létale
pouvait durer encore au moins 24 heures. Et que, même après vingt-quatre heures, les
cadavres seraient restés eux-mêmes suffisamment contaminés par le gaz cyanhydrique
pour tuer n’importe quelle personne qui les toucherait si elle ne portait pas d’équipement
de protection.
11) Pourquoi n’entend-on plus raconter que les Allemands fabriquaient du savon, des abat-
jour et des culottes de cheval à partir des corps de juifs morts – serait-ce qu’à la lumière
des recherches modernes et de la connaissance qu’on a sur l’ADN ces allégations seraient
devenues absolument insoutenables!?
12) Pourquoi n’entend-on plus raconter que des quantités formidables de juifs ont été
exterminés en masse dans des chambres à vapeur ou électrocutés sur des grilles spéciales –
des «!preuves!» dans ce sens ont été fournies à Nuremberg – des preuves qui ont envoyé
des hommes à la potence!?
14) Elie Wiesel est considéré comme «!l’apôtre de la mémoire!» et pourtant, dans son livre