Arguments révisionnistes PUBLIÉS PAR LE WALL STREET JOURNAL le 10 novembre 2011 Commentaires de l’Américain Michael Santomauro parus sur le site du Wall Street Journal le 10 novembre 2011 à la suite de l’article de Anne Jolis intitulé « A French Lesson in Free Speech » [le point 13 est absent]. Cher Alan Sherman [autre internaute commentant l’article], Ci-après quelques-uns des problèmes qui me tracassent au sujet l’Holocauste. Si l’on my répondait, cela m’aiderait beaucoup à y croire. Je cite sans ordre : 1) Pourquoi Elie Wiesel et un nombre incalculable d’autres juifs ont-ils survécu à l’Holocauste si le IIIe Reich avait eu l’intention d’éliminer chaque juif qui lui tomberait sous la main ? Elie Wiesel a été prisonnier plusieurs années ; d’autres juifs ont survécu même bien plus longtemps. La plupart de ces « survivants » étaient des gens ordinaires qui ne disposaient d’aucune expertise particulière susceptible d’être exploitée par les Allemands pour leur effort de guerre. Il n’y avait aucune raison de les conserver vivants. La simple existence de plus de un million de survivants encore aujourd’hui, soixante ans après, est en contradiction avec l’un des éléments fondamentaux de l’Holocauste, à savoir que les Allemands avaient pour politique d’éliminer chaque juif qui leur tomberait sous la main. 2) Pourquoi n’y a-t-il aucune mention de l’Holocauste dans les 6 volumes de l’Histoire de la Deuxième Guerre mondiale de Churchill ni dans les mémoires de guerre de De Gaulle ou d’Eisenhower ni d’aucune de ces moindres sommités qui ont écrit sur la Deuxième Guerre mondiale ? N’oublions pas que tous ces ouvrages ont été écrits des années après la fin de la guerre et par conséquent après que l’Holocauste eut été prétendument prouvé par les Procès de Nuremberg. Pour ce qui a trait à l’Holocauste, le silence de ces « sachants » est assourdissant ! 3) Que venait faire une infirmerie pour les détenus (et un bordel) à Auschwitz si c’était réellement un camp de la mort ? 4) Pourquoi les Allemands auraient-ils raflé des juifs depuis leur vaste empire, immobilisant ainsi un grand nombre de personnel et de matériel roulant alors qu’ils se battaient dans une guerre mondiale sur deux fronts, pour livrer ces gens dans des « camps de la mort » à des centaines de milles et les exécuter à leur arrivée – est-ce qu’une balle sur place n’aurait pas davantage fait appel au légendaire sens de l’efficacité allemande ? 5) Pourquoi, après soixante ans, les historiens sont-ils incapables de nous fournir le moindre document allemand indiquant un Holocauste ? Nous faut-il croire à des gens comme Raul Hilberg qui, au lieu d’ordres écrits, nous affirme qu’il existait une « incroyable rencontre des esprits » entre les bonnes dizaines de milliers de gens qui auraient eu à coordonner leurs actions afin de réaliser une entreprise de cette ampleur ? 6) Comment se fait-il qu’on insiste encore pour dire que six millions de juifs ont été tués alors que le chiffre officiel des morts juives d’Auschwitz, phare du goulag holocaustique, a été réduit du chiffre de 3 millions cité juste après la guerre à un chiffre d’un peu moins de un million ? Pourquoi y a-t-il beaucoup de gens qui répondent à cette remarque en disant : « Qu’il en soit mort six milions ou un million, où est la différence ? » La réponse est que la différence est de cinq millions. Il y a une autre différence, c’est que le fait de le dire peut vous valoir trois ans dans une prison autrichienne… Demandez à David Irving ! 7) Tous les codes allemands pendant la guerre étaient connus, y compris celui qui servait à l’envoi des rapports journaliers d’Auschwitz à Berlin. La transcription de ces messages ne mentionne pas d’exécutions de masse ou même ne suggère pas le moins du monde le développement d’un programme génocidaire. De plus, on insiste pour dire que les Allemands utilisaient une sorte de code à base d’euphémismes pour discuter de leur programme d’extermination des juifs, par exemple les mots de solution finale, de traitement spécial, de réinstallation, etc. Pourquoi avaient-ils besoin d’utiliser de tels euphémismes codés quand ils se parlaient entre eux, à moins qu’ils n’aient pensé que leurs codes avaient été décryptés par les Alliés ? 8) A Auschwitz la nappe phréatique est à 45 cm de la surface, ce qui rend insoutenable la thèse selon laquelle il existait d’immenses fosses d’incinération de dizaines de milliers de victimes. 9) Au début, on prétendait que des exécutions massives dans des chambres à gaz avaient eu lieu dans des camps situés à l’intérieur de l’Ancien Reich, comme, par exemple, à Dachau ou à Bergen-Belsen. Les « preuves » étaient tout aussi convaincantes que celles qu’on invoquait pour les autres camps situés dans la Pologne occupée mais, sans la moindre explication, on nous a dit, au début des années soixante, que ce n’était pas le cas et que tous les « camps de la mort » étaient situés à l’est, par exemple en Pologne, loin des regards inquisiteurs (diraient certains par commodité) des érudits occidentaux. 10) Personne n’a été en mesure de concilier le fait que les témoins oculaires racontaient que le personnel pénétrait dans les chambres à gaz au bout de vingt minutes sans équipement de protection et le fait que le Zyklon B était un gaz « à effet retard » dont la capacité létale pouvait durer encore au moins 24 heures. Et que, même après vingt-quatre heures, les cadavres seraient restés eux-mêmes suffisamment contaminés par le gaz cyanhydrique pour tuer n’importe quelle personne qui les toucherait si elle ne portait pas d’équipement de protection. 11) Pourquoi n’entend-on plus raconter que les Allemands fabriquaient du savon, des abatjour et des culottes de cheval à partir des corps de juifs morts – serait-ce qu’à la lumière des recherches modernes et de la connaissance qu’on a sur l’ADN ces allégations seraient devenues absolument insoutenables ? 12) Pourquoi n’entend-on plus raconter que des quantités formidables de juifs ont été exterminés en masse dans des chambres à vapeur ou électrocutés sur des grilles spéciales – des « preuves » dans ce sens ont été fournies à Nuremberg – des preuves qui ont envoyé des hommes à la potence ? 14) Elie Wiesel est considéré comme « l’apôtre de la mémoire » et pourtant, dans son livre de souvenirs, La Nuit, qui traite de son séjour à Auschwitz, il ne mentionne pas les si célèbres chambres à gaz. N’est-ce pas un peu comme quelqu’un qui, parlant des Evangiles, ne mentionnerait pas la Croix ? 15) Quasiment tout survivant qui a été ausculté à Auschwitz raconte qu’il ou elle a été ausculté(e) par le célèbre Dr Mengele. 16) D’après les témoignages des survivants, des centaines de milliers de juifs ont été exécutés à Treblinka et ensuite enterrés dans des fosses dans la région alentour. Comment se fait-il que des examens approfondis par sonar de ces lieux d’ensevelissement révèlent que le sol où les victimes de l’Holocauste auraient trouvé leur repos définitif est resté intact depuis au moins la dernière époque glaciaire ? 17) Les « preuves » de l’Holocauste se fondent prioritairement sur les témoignages des survivants ; il existe peu de preuves solides, s’il en existe. La meilleure démonstration de ceci nous a été donnée par Jean-Claude Pressac qui n’a trouvé que « des traces de crime ». Même le juge Gray, qui a présidé le procès Irving/Lipstadt, a fait part de sa surprise de constater que les preuves de l’Holocauste étaient « extrêmement minces ». Pour paraphraser Arthur Butz, « un crime de cette ampleur aurait laissé une montagne de preuves » – où sont-elles ? Il y a eu bien plus de preuves solides plaidant contre OJ Simpson lors de son procès et il a été DÉCLARÉ INNOCENT ! 18) Pourquoi le révisionnisme est-il considéré comme un délit dans au moins onze pays – quelle autre vérité historique aurait-elle besoin pour se maintenir de ces menaces d’emprisonnement ou de destruction de carrière ? Faudrait-il envoyer en prison celui qui exprimerait des doutes sur ce que prétendent les Chinois, à savoir qu’ils ont eu trente-cinq millions de morts dans la Deuxième Guerre mondiale ? 19) Pourquoi les historiens de cour affirment-ils que « nier l’Holocauste » c’est comme nier l’esclavage ou dire que la Terre est plate alors que cela n’a rien à voir. Les principaux révisionnistes sont des érudits de première grandeur qui détiennent de hauts diplômes des plus grandes universités du monde. Y a-t-il quelqu’un parmi eux qui dise que le monde est plat ou que l’esclavage n’a jamais existé ? 20) Les promoteurs de l’Holocauste ont exprimé leur crainte que le souvenir de l’Holocauste ne disparaisse avec la mort des derniers survivants. Pourquoi les historiens de la Guerre civile n’ont-ils pas exprimé les mêmes craintes lorsque le dernier survivant de ce conflit est mort en 1959 ? 21) Des survivants de l’Holocauste ont témoigné avoir vu de la fumée s’échapper des crématoires lorsqu’étaient brûlés les corps des victimes assassinées – certains témoins ont même prétendu qu’ils pouvaient détecter les origines nationales des victimes à la couleur de la fumée. Comment concilier cela avec le fait que les crématoires fonctionnant correctement ne produisent pas de fumée, d’aucune couleur ? 22) D’après la version officielle de l’Holocauste, des centaines de milliers de juifs hongrois ont été raflés au milieu de 1944 et envoyés à Auschwitz où la plupart ont été gazés à leur arrivée et leurs corps incinérés dans d’immenses fosses à ciel ouvert utilisant des traverses de chemins de fer et de l’essence. Comment se fait-il qu’on ne trouve aucune trace de ces immenses bûchers funéraires dans les photographies à haute résolution prises par les avions alliés qui survolaient le camp quotidiennement à cette époque ? De plus, pourquoi n’a-t-on retrouvé aucun reste, puisque les incinérations en plein air, même avec essence, ne génèrent pas une chaleur suffisante pour consumer un corps en totalité ? 23) Tous les camps libérés étaient jonchés de cadavres ; existe-t-il un seul rapport d’autopsie ou toute autre preuve médico-légale montrant qu’une seule de ces morts était le résultat d’un empoisonnement par le gaz ? 24) Le chiffre des morts de l’Holocauste repose exclusivement sur des statistiques de population fournies par des sources juives ; a-t-on produit la moindre étude démographique montrant qu’environ six millions de juifs « manquaient » à la fin de la guerre ? 25) Pourquoi les rapports d’inspection des camps dressés par la Croix-Rouge internationale pendant la guerre ne mentionnent-ils pas d’exécutions massives ? – On a du mal à croire que des crimes aussi monumentaux aient pu rester cachés. Les seules explications sont que soit ces crimes n’ont pas eu lieu soit la Croix-Rouge était complice. 26) Pourquoi n’a-t-on pas tenté de répondre au Rapport Leuchter ? 27) « L’Holocauste a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu ». Pourquoi cet argument intellectuellement nul, qui inverse l’ordre normal des prémisses et des conclusions, est-il considéré par les promoteurs de l’Holocauste comme une vérité historique, et considéré comme une réponse suffisante aux preuves révisionnistes grandissantes du contraire ? 28) Quelles sont les autres vérités historiques qui se fondent, autant que le fait l’Holocauste, sur des témoignages de « témoins oculaires » – et pourquoi n’a-t-on jamais contreinterrogé ces témoins ? 29) D’après la version officielle de l’Holocauste, les juifs ont ignoré juqu’à la fin le sort qui leur était réservé, tant leurs meurtriers nazis étaient habiles à tromper leurs victimes. Comment concilier cette ignorance avec le fait que les juifs ont été, en tant que groupe, les gens les plus cultivés et les plus hautement informés de la planète, avec cet accès légendaire aux échelons les plus élevés du gouvernement ? Paix Michael Santomauro [email protected]