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Re m e Rc i e m e n t s
Je rends grâce, par ces quelques lignes, à mes amis, notamment de Grenoble,
mais également de La Réunion, qui se reconnaîtront, et à ma famille, pour
avoir, parfois sans le savoir, été capable d’excuser certains états cyclothymiques
indépendants de ma volonté lors de ces douze années de travail permanent
durant lesquelles j’aurai voulu être plus présent dans leur vie ou plutôt dans
la nôtre.
Je reste également reconnaissant envers tous les patients ayant dû subir ces
mêmes états ainsi que des anamnèses parfois invasives, plus particulièrement
quand on sait, bien qu’insufsamment, qu’ils doivent rester au centre de tous
débats concernant la santé.
Le véritable aboutissement de cet ouvrage ne m’aurait été permis sans
avoir travaillé dans le cabinet de kinésithérapie de Sylvaine Durand, qui a su,
d’une part, laisser libre cours à mon instinct thérapeutique pour mener à bien
cette aventure et qui m’a donné, d’autre part, l’occasion de partager, au cours
de nombreuses matinées empreintes d’une ambiance de travail exemplaire,
mes humeurs avec Françoise Vienne. De telles personnes manquent encore
tellement au monde sanitaire et social pour que ce dernier recouvre ses lettres
de noblesse.
Je remercie cet ouvrage pour m’avoir permis d’émettre mes doutes quant à
l’art ostéopathique et, nalement, quant à la vie.