Protection des verres d`optique et miroirs aluminiés

Protection des verres d’optique et miroirs alumini´es
Flamant
To cite this version:
Flamant. Protection des verres d’optique et miroirs alumini´es. J. Phys. Radium, 1950, 11 (7),
pp.380-384. <10.1051/jphysrad:01950001107038000>.<jpa-00234278>
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PROTECTION
DES
VERRES
D’OPTIQUE
ET
MIROIRS
ALUMINIÉS
Par
Mlle
FLAMANT.
Summary.2014
The
object
of
this
study
is
the
behaviour
of
films
as
used
for
increasing
or
decreasing
the
reflectivity
of
glass,
and
of
films
likely
to
be
used
for
protection
of
metallic
deposits,
when
they
are
exposed
to
an
atmosphere
containing
sea-air,
at
a
temperature
of
35°C,
during
a
time
sufficient
to
cause
deterioration.
The
conclusions
are
as
follows.
The
fluorides
used
either
as
protecting
films
or
for
anti-reflection
treatment,
have
a
poor
resistance,
magnesium
fluoride
giving
the
best
results,
but
being
practically
destroyed
after
about
ten
days.
Silicium
and
especially
silicium
monoxyde
are
practically
unalterable when
deposited
on
glass.
They
give
by
far
the
best
protection
for
reflecting
surfaces
of
metallic
aluminium.
But
this
protection
disap-
pears
eventually
owing
to
breaking
of
the
protective
layer
which
forms
an
increasing
number
of
fissures
through
which
the
attack
of
the
subjacent
metal
takes
place.
The
difficulty
is
apparent with
all
the
substances
deposited
on
metal,
and in
particular with TiO2.
Alu-
minium
films
of
sufficient
thickness
obtained
under
very
good
conditions
of
vacuum
and
cleanliness,
on
which
the
natural
protective
alumina
film
is
formed
by
exposure
to
air
for
one
month
show
also
good
resistance.
Processes
of
rapid
formation
of
the
protective
film
of
Al2O3
chemical
means
have
given
moderate
results.
LE
JOURNAL
DE
PHYSIQUE
ET
LE
RADIUM.
TOME
11,
JUILLET
1~~07
PAGE
380.
~
Les
essais
dont
nous
parlerons
ici
ont
été
faits
à
la
demande
de
M.
l’Ingénieur
en
Chef
Cuny
qui
, a
bien
voulu
nous
autoriser
à
en
publier
les
résultats.
Ils
ont
été
faits
pour
essayer
de
protéger
les
verres
très
altérables
et
les
miroirs
aluminiés,
des
attaques
ou
corrosions
provoquées
par
l’air
extérieur,
et
surtout
l’air
marin.
1.
Protection
des
verres.
---
Nous
avons
choisi
dans
le
catalogue
de
la
Maison
Parra-Mantois
huit
types
de
verre,
considérés
comme
les
plus
facilement
altérables.
Les
surfaces
de
ces
verres,
après
avoir
été
soigneusement
polies,
ont
été
recouvertes
de
couches
minces
de
diverses
substances,
puis
exposées
dans
une
enceinte
étanche
contenant
une
petite
quantité
d’eau
de
mer,
et
maintenue
à
la
tempé-
rature
de
35°
C.
La
progression
de
l’altération
des
surfaces
a
été
suivie
en
mesurant
l’évolution
dans
le
temps
de
la
quantité
de
lumière
diffusée
par
ces
surfaces.
Méthode
utilisée.
-
Les
échantillons
sont
des
petites
plaques
rectangulaires
à
faces
planes,
de
10
à
20
mm
de
côté
et
de 5
à
I o
mm
d’épaisseur.
Ils
ont
été
placés
dans
une
boîte
étanche,
sur
une
grille
située
à
quelques
centimètres
au-dessus
d’eau
de
mer
artificielle,
la
boîte
étant
elle-même
placée
dans
une
étuve
maintenue
jour
et
nuit
à
3~~
C.
Les
verres
ont
été
constamment
posés
sur
la
tranche
pour
exposer
également
les
deux
faces
du
traitement.
La
mesure
des
facteurs
de
diffusion
a
été
faite
avec
un
photomètre
construit
spécialement
à
cet
effet
(fin.
I ) .
Fig.
1. -
Schéma
du
photomètre.
Ce
photomètre
se
compose
d’une
sphère
diffu-
sante
blanche
S
éclairée
intérieurement
par
deux
lampes
auto,
et
percée
de
deux
trous
B
et
C
à
sa
partie
supérieure,
et
d’un
trou
A
~~
sa
partie
infé-
rieure.
L’échantillon E
dont
on
veut
mesurer
la
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01950001107038000
381
diff usion,
est
placé
contre
le
trou
A,
de
façon
que
le
trou
B
soit
réfléchi
par
l’échantillon
dans
la
direction
du
trou
C.
Le
trou
B
est
surmonté
d’un
tube
noir
muni
d’écrans
successifs,
et
d’un
couvercle
incliné,
le
tout
formant
corps
noir.
Le
trou
C
est
également
surmonté
d’un
tube
noir
muni
d’écrans,
mais
percé
en
sa
partie
supérieure
d’un
trou
par
lequel
les
mesures
sont
faites
à
l’aide
d’un
brillancemètre
Jobin
et
Yvon.
L’échantillon
examiné
est
posé
au-dessus
d’une
boîte
tapissée
de
velours
noir
N
formant
corps
noir,
pour
éviter
toute
correction
due
à
des
réflexions
ou
diffusions
parasites
du
support.
La
mesure
consiste
en
deux
opérations :
d’abord
la
mesure
de
la
brillance
D
de
l’image
du
trou
B
donnée
par
l’échantillon,
puis
en
inclinant
celui-ci
légèrement,
la
mesure
de
la
brillance R
de
l’image
des
parois
de
la
sphère
autour
du
trou
B.
Lie
f acteur
de
diffusion
est
donné
par
le
rapport R
des
brillances
des
images
du
trou
B
et
de
la
sphère.
On
peut
également
déterminer
le
f acieur
de
réflexion
par
rapport
à
un
miroir
témoin,
qui
est
le
rapport -
o
des
brillances
des
images
de
la
sphère
données
par
l’échantillon
et
par
le
miroir
témoin.
Les
faces
de
certains
échantillons
forment
un
angle
très
prononcé,
ce
qui
interdit
de
superposer
les
images
du
trou B
f ormées
par
les
deux
faces
de
l’ échantillon.
Dans
ce
cas,
on
ne
mesure
pas
la
brillance
D
de
la
lumière
diffusée
par
l’échantillon,
mais
la
somme
de
la
lumière
diffusée
par
la
première
surface
et
de
la
lumière
réfléchie
par
l’autre
surface 11 .
2
Cette
dernière
quantité
étant
approximativement
constante,
n’altère
pas
sensiblement
la
variation
de
la
quantité
de
lumière
diffusée
par
la
première
surface.
Tous
les
verres
choisis
étant
très
altérables,
chaque
échantillon
a
été
repoli
soigneusement
tout
de
suite
avant
que
la
couche
de
protection
ne
soit
déposée.
Chaque
couche
a
été
déposée
en
épaisseur
optique
de X
c’est-à-dire
sous
l’épaisseur
corres-
4
pondant
au
minimum
de
réflexion
pour
les
couches
antiréfléchissantes.
Les
différentes
protections
ont
été
assurées
par
les
dépôts
suivants :
Dépôts
par
évaporation
sous
vide :
fluorure
d’alu-
minium ;
fluorure
de
magnésium;
monoxyde
de
silicium;
fluorure
de
magnésium
recouvert
de
monoxyde
de
silicium.
Enfin
un
échantillon
a
été
recouvert
de
silice
hydratée,
formée
aux
dépens
du
verre
par
attaque
chimique,
en
immergeant
le
verre
dans
une solution
étendue
d’acide
phosphorique,
puis
en
le
recuisant
au
four
à
180°
C.
De
plus,
un
verre
témoin
a
été
laissé
sans
traitement.
Pour
toutes
les
catégories
de
verre,
ainsi
que
pour
chaque
sorte
de
protection,
l’un
des
échantillons
a
toujours
été
manipulé
avec
des
pinces
flambées,
et
posé
sur
un
support
flambé,
tandis
que
l’autre
échantillon
a
été
pris
avec
les
doigts,
et
avant
de
commencer
les
expériences,
ses
deux
surfaces
ont
été
frottées
avec
les
doigts
et
au
besoin
essuyées
avec
un
chiffon
propre.
Fig.
2.
-
Variation
de
la
diffusion
en
fonction
du.
temps.
Les
verres
utilisés
sont
des
verres
Parra-Mantois,
que
nous
désignerons
d’après
la
classification
de
cette
Maison :
A
la
fin
des
expériences,
les
verres
ont
été
nettoyés
à
l’alcool,
puis
au
blanc
d’Espagne,
sur
une
des
faces,
pour
examiner
l’état
du
verre
sous
le
traitement.
_
Résultats.
-
Dans
l’ensemble,
les
verres
se
sont
comportés
de
la
même
manière,
qu’ils
soient
restés
propres
ou
qu’ils
aient
été
manipulés
à
la
main.
D’autre
part,
les
différents
traitements
évoluent
sensiblement
de
la
même
façon
sur
les
différents
verres.
Le
graphique
2)
donne
en
fonction
du
temps
(porté
en
abscisses)
la
moyenne
des
logarithmes
382
des
facteurs
de
diffusion
de
tous
les
verres,
pour
chaque
sorte
de
traitement.
Le
fluorure
d’aluminium
s’est
détruit
en
quelques
heures,
les
verres
se
sont
trouvés
recouverts
d’un
voile
très
diffusant.
La
mesure
de
la
quantité
de
lumière
diffusée
varie
beaucoup
d’un
verre
à
l’autre,
à
cause
de
la
forme
prismatique
très
prononcée
de
certains
échantillons,
car
pour
ceux-là,
à
la
lumière
diffusée
par
la
première
face,
s’ajoute
la
lumière
réfléchie
par
la
deuxième.
C’est
pourquoi,
avant
l’expérience,
la
quantité
de
lumière
diffusée
varie
de
0,008
à
o,6;
mais
elle
devient
immédia-
tement
o,5-o,g,
pour
rester
ensuite
constante
jusqu’à
la
fin,
soit
pendant
45
jours.
Le
nettoyage
du
verre
a
montré
ensuite
que
les
surfaces
étaient
restées
parfaitement
polies,
elles
étaient
simplement
plus
ou
moins
recouvertes
d’une
couche
de
silice
hydratée
produite
par
l’attaque
chimique
des
agents
atmosphériques.
Cette
couche
était
régulière
sur
les
verres
restés
propres,
et
irrégu-
lière
sur
les
autres,
et
d’une
épaisseur
variant
de X
X
.
à
environ.
4
La
fluorure
de
magnésium
s’est
altéré
un
peu
moins
rapidement.
Cependant,
en
quelques
jours,
la
quantité
de
lumière
diffuse
est
passée
de
o,o3-o,5
à
0,1-0,6,
puis
a
continué
à
augmenter
pendant
2
mois
environ,
arrivant
à
o,3-o,8,
pour
rester
ensuite
constante.
A
la
fin
de
l’expérience,
le
traitement
n’adhérait
plus
du
tout
au
verre,
et
l’on
a
pu
constater
que
tous
les
verres
étaient
restés
polis,
mais
les
flint
barytes
et
les
baryum-crown
légers
présentaient
un
léger
film
de
silice
hydratée
assez
régulier.
La
couche
de
fluorure
de
magnésium
recouverl
de
monoxyde
de
silicium
s’est
transformée
très
rapi-
dement.
En
quelques jours,
la
surface
est
devenue
complètement
diffusante,
et
a
continué
à
évoluer
pendant
un
mois
environ.
La
quantité
de
lumière
diffuse
est
passée
de
o,01-0,2
à o,6-o,g, et le
traitement
n’adhérait
plus
au
verre.
Tous
les
verres
sont
restés
polis, ,mais
sur
quelques-uns
d’entre
eux,
on
pouvait
voir
une
très
faible
épaisseur
de
silice
hydratée.
L’aspect
général
des
verres
protégés
par
le
mono-
xyde
de
silicium
n’a
pas
changé
au
cours
de
l’expé-
rience
qui
a
duré
plus
de
5
mois.
Cependant,
les
mesures
ont
mis
en
évidence
un
léger
accroissement
de
la
diffusion
pendant
les
deux
ou
trois
premiers
mois,
la
quantité
de
lumière
diffuse
passant
de
0,01-0,6
à
o,oâ-o,6,
puis
restant
constante
ensuite.
Lors
du
nettoyage
ultérieur,
le
traitement
trop
adhérent,
n’a
pas
pu
être
enlevé,
il
n’a
pas
été
du
tout
modifié,
ni
même
rayé
par
le
frottement
pro-
longé
au
blanc
d’Espagne.
Lors
d’une
évaporation
accidentelle
de
l’eau
de
mer
contenue
dans
la
boîte,
les
tranches
des
verres,
non
protégées
par
le
monoxyde
de
silicium,
se
sont
recouvertes
d’un
dépôt
blanc
opaque,
alors
que
les
faces
protégées
sont
restées
intactes,
sans
aucune
trace
de
dépôt,
ni
augmentation
de
la
diffusion.
L’évolution
des
verres
protégés
par
la
silice
hydratée
produite
par
attaque
chimique
est
sensi-
blement
la
même
que
celle
des
verres
recouverts
de
monoxyde
de
silicium :
la
diffusion
augmente
légèrement
pendant
quelques
mois,
puis
reste
constante,
mais
elle
est
toujours
un
peu
plus
forte
que
pour
le
monoxyde
de
silicium.
Le
traitement
est
resté
trop
adhérent
pour
pouvoir
être
enlevé
ou
même
seulement
rayé
par
le
frottement
du
blanc
d’Espagne.
Pendant
2
mois
environ,
les
verres
fémoins
ont
évolué
sensiblement
comme
les
verres
protégés
par
le
monoxyde
de
silicium,
la
diffusion
a
augmenté
légèrement,
passant
de
0,005-0,4
à
o,o3-o,fi,
mais
elle
a
continué
à
augmenter
alors
que
la
diffusion
des
verres
protégés
au
monoxyde
de
silicium
restait
constante.
Après
l’évaporation
accidentelle
de
l’eau
de
mer,
les
verres
étaient
tous
plus
ou
moins
recou-
verts
d’un
dépôt
opaque
et
blanc,
non
adhérent.
Sous
ce
dépôt,
on
a
pu
constater
que
les
verres,
tout
en
restant
parfaitement
polis,
étaient
recouverts
d’une
assez
forte
épaisseur
de
silice
hydratée,
d’épaisseur
optique
voisine
de
L
2.
Protection
des
miroirs
aluminiés.
-
Nous
avons
suivi
la
même
méthode
pour
étudier
la
pro-
tection
des
miroirs
aluminiés.
Les
miroirs
ont
été
placés
dans
la
même
boîte
que
les
verres,
et
la
lumière
diffusée
par
les
surfaces
a
été
mesurée
de
la
même
façon.
Fig.
3. -
Facteur
de
diffusion
en
fonction
du
temps.
Miroirs.
Les
miroirs
sont
des
plaques
de
verre
recouvertes
d’aluminium
par
évaporation
sous
vide,
et
l’alu-
minium
lui-même
recouvert
de
la
couche
protectrice,
383
également
par
évaporation
sous
vide,
et
sans
contact
avec
l’air
entre
les
deux
évaporations,
c’est-à-dire
sans
possibilité
de
formation
d’une
couche
d’alumine
entre
les
deux.
Les
différentes
couches
protectrices
étaient
les
suivantes :
Fluorure
de
magnésium
en
différentes
épaisseurs;
Monoxyde
de
silicium
en
différentes
épaisseurs;
Silice
produite
par
oxydation
du
monoxyde
de
silicium
au
four.
Résultats.
---
Dans
l’ensemble,
les
résultats
sont
analogues
à
ceux
constatés
pour
la
protection
des
verres.
La
figure
3
donne
en
fonction
du
temps
la
moyenne
des
logarithmes
des
facteurs
de
diffusion
des
miroirs,
pour
chaque
sorte
de
traitement.
Fig. l.
Les
miroirs
protégés
par
le
fluorure
de
magnésium
se
sont
recouverts
immédiatement
d’un
dépôt
diffusant,
puis
après
quelques
jours,
l’aluminium
a
Fig.
5.
commencé
à
se
décomposer
sur
les
bords,
formant
de
petites
arborescences.
Au
bout
d’un
mois
environ,
l’aluminium
se
transforme
par
plaques
au
millieu
des
miroirs,
ces
plaques
gagnant
peu
à
peu
la
presque
totalité
du
miroir.
Il
est
à
remarquer
d’ailleurs
que
sur
ces
plaques,
l’aluminium
n’a
pas
disparu,
mais
il
s’est
transformé.
Il
reste
un
dépôt,
probablement
d’alumine,
qui
est
transparent,
mais
cependant
plus
réfléchissant
que
le
verre.
Fi g. 6.
Pour
ces
miroirs,
le
facteur
de
diffusion
qui
a
augmenté
continuement,
est
passé
de
o,003-0, z
à
o,I-o,5
au
bout
de
3
mois
environ.
Fig.7.
Les
miroirs
protégés
par
le
monoxyde
de
silicium
se
sont
révélés
beaucoup
plus
résistants.
La
couche
protectrice
s’est
craquelée
au
bout
d’une
dizaine
de
jours,
formant
un
réseau
de
plus
en
plus
serré,
de
filaments
qui
diffusent
la
lumière.
Ces
filaments
sont
en
réalité
des
fissures
très
fines
(fig.
4)
au
fond
desquelles
l’aluminium
est
à
nu,
et
finit
par
se
ronger
également.
Ce
n’est
d’ailleurs
qu’au
bout
de
3
mois
que
l’aluminium
a
commencé
à
disparaître
un
peu
sur
les
bords.
La
diffusion
qui
a
augmenté
de
façon
continue,
est
passée
de
o,oo3
à
o,o5
environ.
La
protection
par
la
silice
semble
moins
efficace.
L’évolution
de
la
couche
est
sensiblement
la
même
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