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La vie existe-t-elle sur d'autres planètes?
J - Heureusement que le magnétophone enregistre vos paroles, M.
Vaskas, car vous avez dit toutes ces choses si rapidement que je n'ai
pas pu les retenir toutes. Pourtant, vous avez réussi à me montrer
clairement que l'Univers est un organisme vivant, en auto-expansion, qui
s'auto-insémine et s'autorenouvelle, et surtout qu'il peut penser.
V - Je vous répète encore une fois que tout ce qui est réel et qui existe
autour de nous crie et révèle que le système polygalactique dans lequel
nous sommes est sans aucun doute possible un organisme vivant
polymorphe en expansion cyclorotative, qui s'auto-améliore
continuellement... et qui a la faculté de penser.
J - Vous m'avez étonné en affirmant que les Galaxies sont des
organismes vivants, et aussi par votre façon de soutenir ce point de vue.
Voulez-vous vraiment dire que d'autres systèmes stellaires de l'Univers
possèdent des planètes, et notamment des planètes organiques
semblables à la terre?
V - Je ne vois pas pourquoi vous seriez étonné après tant d'analyses
sur ce sujet facile à comprendre et qui peut se concevoir sans la moindre
difficulté. Il suffit de penser que dans l'Univers polygalactique connu se
trouvent des milliards de Galaxies dissemblables, classifiées, je le
répète, en irrégulières, rondes, ovales, elliptiques, régulières, spirales,
barrées, etc., etc.. dont la forme change en fonction de leur destination,
de leur âge et d'autres facteurs. Les Galaxies de type elliptique, par
exemple, ont déjà transformé toute leur substance matério-poussiéro-
gazeuse en astro-planéto-satellites et ne semblent pas avoir de nuages
mésoastriques, pas plus que d'étoiles en formation, tandis que les
Galaxies spirales sont pleines de nuages de matière mésoastrique,
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comme c'est le cas pour la notre qui est une Galaxie de taille moyenne
contenant des dizaines de milliards d'étoiles et beaucoup d'autres en
formation, entourées, comme vous l'avez entendu précédemment, de
leurs planéto-satellites avec les nébuleuses qui les constituent ; et elles
contiennent également des Mères Descendantes qui forment autour
d'elles leurs propres astro-planéto-satellites, tous constitués suivant le
Code qui a déterminé avec l'exactitude d'une montre les mécanismes de
leur système ; avec par exemple dans notre système solaire, la loi des
distances qui ordonne les planètes a des distances bien établies et
souvent proportionnelles.
Ainsi, comme l'atome n'existe pas sans au moins un électron qui orbite
autour de son noyau, il n'y a pas beaucoup d'étoiles sans planéto-
satellites en orbite autour d'elles ; et donc, dans notre Galaxie, des
milliards d'étoiles, comme notre soleil, qui émettent des radiations
constantes, sont aussi entourées de planètes dont quelques unes,
inséminées par des comètes, acquièrent une atmosphère, de l'eau, des
mers ou des océans et des conditions de chaleur et d'humidité
appropriées pour faciliter le déroulement biogénétique du Code, et par
conséquent le développement de la vie et de l'intellection qui ont leurs
débuts avant nombre de générations, héritage de la Première Galaxie.
Et tenez compte que n'émettant pas leur propre lumière, ces planètes
habitables de type terrestre ne sont donc pas faciles à discerner à des
distances aussi lointaines ; et si aucune n'a encore été clairement
identifiée, notamment en dehors de notre système solaire, c'est parce
que les étoiles les plus proches de nous sont quand même distantes de
4 à 20 années-lumière ; et à de telles distances, il n'est pas facile de
discerner leurs planéto-satellites obscurs et nous ne les voyons pas de
notre terre. De leur côté, à peine capables de distinguer notre brillant
soleil nain, les civilisations même très développées qui doivent exister
sur certaines de ces planètes lointaines voient d'autant moins notre terre
microscopique, perdue parmi les centaines de milliards d'autres planètes
que notre Galaxie accueille, avec son intellection légèrement développée
comparée à la leur : je veux parler de l'intellection planétaire unifiée de
l'humanité. Car si aucune trace de vie sur terre n'est observable, ne
serait-ce que de la lune, à peine éloignée de la terre d'une seconde et
demie à la vitesse de la lumière, cela ne veut pas dire pour autant que
l'existence de la vie sur de nombreuses autres planètes semblables à la
notre ne soit pas une réalité.
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J - Mais alors M. Vaskas, pourquoi n'avons-nous pas été approchés
par des êtres hyperintelligents d'autres planètes plus vieilles. Les plus
proches étoiles ne paraissent pas si loin pour des véhicules spatiaux à
très grande vitesse?
V - Il semble que vous ignorez ce que signifient des distances en
années lumière et ne réalisez pas avec quelle rapidité ces véhicules
devraient se déplacer, ni quelles sont les distances en question. Ecoutez
mon ami, je vais essayer de vous donner les éléments nécessaires pour
vous aider à comprendre facilement ce qui est connu de tous les
astrophysiciens. Prêtez donc attention! Si vous voyagez dans un
véhicule spatial fonctionnant avec de l'énergie atomo-thermo-nucléaire
contrôlée continuellement renouvelée, par exemple proton à proton, et
pouvant acquérir une vitesse incroyable, proche de la lumière, soit
300000 km par seconde environ, vous vous rendrez jusqu'à notre soleil,
distant d'environ 150 millions de kilomètres, en 8 minutes et 19
secondes... et en 35 minutes vous pourrez vous rendre jusqu'à Jupiter...
et en 5 heures et 25 minutes, vous serez sur Pluton...
Et plus généralement, bien que le diamètre de notre système solaire
s'étende sur presque 11 heures-lumière, dans un rayon d'action de 5
heures et 25 minutes, vous pouvez rencontrer les 9 planètes déjà
observées et d'autres, plus petites, encore inconnues, les dizaines de
satellites, les presque 900 comètes, et le cercle d'environ 400000 corps
ou éclats polymorphes des astéroïdes et météorites (provenant comme
certains le pensent d'une planète qui aurait explosé, mais qui sont, plus
vraisemblablement, les restes des phénomènes de formation de notre
système solaire dans la nébuleuse où il s'est constitué qui ont été
équilibrés par la Loi cyclo-attracto-répulsionnelle cosmofonctionnelle sur
la trajectoire de leur orbite actuelle, bien que certains d'entre eux,
rarement, quittent leur orbite et voyagent, une fois libres, jusqu'à
retrouver un équilibre, une nouvelle orbite, ou tomber et heurter un autre
corps céleste).
Et en continuant de voyager, ne l'oubliez pas, à cette vitesse proche de
la lumière, à la recherche d'étoiles disposant de systèmes planétaires
dont certains comme la terre ont déjà développé la vie et une
conscience, après environ 4 ans et 3 mois, vous pourrez rencontrer les
étoiles les plus proches de nous, comme Proxima Centauri qui est d'un
très faible éclat... mais dans la même constellation, vous poursuivrez
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certainement vers l'étoile plus brillante appelée Alpha du Centaure... et
en ayant à l'esprit qu'une année-lumière représente environ 10 trillions
de kilomètres, vous devrez parcourir une distance de plus de 40 trillions
de kilomètres pour y parvenir. Par conséquent, si cette étoile fixe pas
tellement brillante, à peine visible de la terre puisqu'elle est de 11ème
grandeur, est pratiquement hors d'atteinte, comment nous serait-il
possible de discerner l'existence éventuelle de planéto-satellites obscurs
qui tournent autour d'elle? En tous cas, si vous y alliez et ne trouviez
aucune trace de vie sur quelque planète de cette étoile, vous pourriez
continuer votre voyage à la même vitesse pour arriver à l'étoile de
Barnard, distante de 5 années et 9 mois de notre planète... et à 8
années et 6 mois, vous rencontreriez l'étoile nommée Sirius... et si vous
ne trouviez pas là non plus de planètes qui ont la vie, vous pourriez
continuer toujours à une vitesse proche de la lumière, et à 11 ans et 2
mois de la terre, vous rencontreriez l'étoile 61 du Cygne, et à deux mois
de plus l'étoile Procyon, et à 13 ans et 9 mois, vous rencontreriez l'étoile
Van Manaen... et à 16 années et 6 mois, l'étoile Altaïr. Et si vous ne
trouviez toujours pas de vie, en continuant de voyager à la même
vitesse, vous rencontreriez une autre étoile toutes les 4 à 5 années en
moyenne.
Et s'il n'y avait pas de planètes habitées par la vie dans ces précédents
lieux, avec un rayon d'action de 50 à 100 années lumière, vous en
trouveriez certainement près des étoiles voisines. Mais à de telles
distances, même la civilisation la plus fortement développée ne pourrait
voir notre soleil, bien qu'il soit brillant et plus d'un million de fois plus
grand que notre minuscule et obscure planète. Par conséquent, il est
normal que l'intelligence extraterrestre ou les civilisations développées -
qu'elles soient semblables ou non à celle de l'homme et plus ou moins
avancées - qui se trouvent à d'aussi grandes distances ne puissent pas
communiquer facilement avec nous... et quand bien même leur
technoscience avancée le leur permettrait, à de telles distances, notre
minuscule planète resterait insignifiante pour eux, et peut-être
inhospitalière du fait d'une atmosphère probablement différente.
Et bien que nous dépensions des sommes d'argent importantes, par
centaines de millions, en moyens sérieux pour la recherche scientifique
et le développement d'une conscience logique d'intellection syllogistique
- parce qu'en tant qu'hommes, nous acquérons une certaine perspective
sur nous-mêmes et voulons enfin discerner notre rôle dans l'ensemble
du Cosmos environnant et connaître notre avenir -, notre technoscience
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et nos véhicules spatiaux ne nous permettent pas encore d'aller à la
rencontre d'autres civilisations ; et peut-être ne pourrons nous jamais
observer de très près le Noyau de notre Galaxie si nous devons d'abord
dépasser la constellation du Sagittaire qui est déjà distante de nous de
28000 années lumière. Cela signifie que l'homme restera isolé encore un
certain temps sur notre minuscule planète pratiquement inexistante dans
l'immense complexité de notre Galaxie.
Mais cela ne veut pas dire, malgré la petitesse de notre planète, que
nous n'existons pas ou que ces civilisations n'existent pas, ni que ces
astro-planéto-satellites ne sont pas administrés par la même Loi globale
cyclo-attracto-répulsionnelle cosmofonctionnelle de la ΛV. Et selon
certains, des indices sérieux donneraient même à penser que notre
planète aurait pu être parfois utilisée comme escale par des êtres
anthropomorphes technoscientifiquement plus avancés, au cours de
leurs voyages vers des destinations plus lointaines. Quoi qu'il en soit, je
crois que nous trouverons prochainement l'énergie et le véhicule qui
nous permettront de nous déplacer pour découvrir pas à pas l'espace qui
nous entoure ; et après avoir voyagé dans un véhicule spatial pendant
des mois ou des années, étant rendu à des millions de kilomètres sur
une autre planète à l'intérieur ou à l'extérieur de notre système solaire,
certainement que nous pourrons toujours communiquer avec la terre
dans un temps de quelques secondes en utilisant nos progrès dans les
communications.
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