Mots commençants par la lettre P - Astronomie et Imagerie Numérique

Mots commençants par la lettre P
Dernière mise à jour : 11-01-2008
Â
Cliquez sur le mot dont vous désirez connaître la définition :
parabole      parabolique       parallaxe (annuelle)       paraxial        parfocal    Â
parhélie        parsec          passe-bas (-haut)       Peltier (module)Â
pénombre        périastre       périgée         périhélie         période       périodiqueÂ
phase      photométrie       photométrique (réduction)  photosensible    Â
photosite         photosphère         pixel          planète         Â
planéte gazeuse (géante)    planète inférieure (intérieure)     planéte naine    Â
planète supérieure       planète tellurique         planétoïde         plasma      Â
Pleine Lune      pleine lumière (champ de)       PLU       Pogson (relation de)   Â
population stellaire          post-traitement           pouvoir séparateur        Â
précharge         presbytie         prétraitement          prisme         proton      Â
protubérance          PTV          pulsar         pupille
Â
· Parabole : en
· Parabolique : en forme de parabole. C’est le profil utilisé pour la réalisation des miroirs primaires des télescopes de
type Newton : on montre, en effet, qu’un tel miroir donne d’un objet à l’infini (c’est le cas d’une étoile) une image
rigoureusement identique (au phénomène de diffraction prêt) située en son foyer image (on dit, en optique, que ce
miroir est «stigmatique », sur l’axe, pour un objet placé à l’infini).
· Parallaxe (annuelle) : de manière générale la parallaxe d'un objet est l'angle sous laquelle est vue, à partir de cet
objet, une longueur de référence présentée orthogonalement à la direction d’observation. En astronomie, la parallaxe,
exprimée en radian ou en seconde d’arc, permet généralement d’accéder aux distances des astres. Ainsi, on parle de
parallaxe annuelle d’une étoile lorsque cette longueur de référence est le rayon de l'orbite terrestre (1 u.a.).
Une étoile présentant une parallaxe π , exprimée en seconde d'arc, est à une distance 1/π, exprimée en parsec.
· Paraxial : cche
Â
· Parfocal : de
· Parhélie : de m
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· Parsec : unité de distance basée sur la mesure de la parallaxe des étoiles (voir ci-dessus).
Le parsec est la distance d’un astre dont la parallaxe est de 1², ce qui correspond à une distance de 3,26 années
lumière ou encore de 30,8 millions de kilomètres. Ses multiples sont le kiloparsec (1 kpc = 103 pc) et le mégaparsec (1
Mpc = 106 pc).
· Passe-bas(-haut) : unité
· Peltier (module) : phénom
· Pénombre : - zone de semi-obscurité : qu’on observe au voisinage et en retrait (entre la zone d’ombre et celle de pleine
lumière) d’un objet opaque éclairé par une source lumineuse étendue. Durant les éclipses de Soleil, la limite externe de
la pénombre est déterminée par le cône dont les génératrices sont les tangentes internes au Soleil et à la Lune. Vue
depuis la Terre, dans la zone de pénombre, l'éclipse est alors partielle. Durant les éclipses de Lune, l’entrée de notre
satellite naturel dans la zone de pénombre (éclipse par la pénombre) est peu accessible visuellement (tout au moins au
début) : c'est la zone d'ombre engendrée par la Terre et dans laquelle pénètre la Lune au moment de son éclipse qui
rend le phénomène bien visible (éclipse par l'ombre, partielle ou totale).- d’une tache solaire : partie périphérique
présentant en général une structure filamenteuse radiale (alternance de lignes plus ou moins sombres), moins sombre
que la zone centrale. · Périastre : point · Périgée : point d'une orbite décrite autour de la Terre par un satellite ou par la
Lune le plus proche de celle-ci. Le point le plus éloigné correspond à l'apogée.
Exemple : pour la Lune le périgée se trouve à 356400 km de la Terre.
· Périhélie : une planète est à son périhélie lorsqu'elle atteint le point de son orbite le plus proche du Soleil, sa vitesse
de déplacement le long de son orbite est alors maximum. Le point le plus éloigné se situe à l'aphélie. La Terre aborde
son périhélie vers le début de janvier.
· Période : une
· Périodique : une
· Phase : chacune des étapes d'un phénomène physique. On parle, par exemple, des phases lunaires (synonyme
d’angle de phase) pour rappeler que le pourcentage de la surface lunaire illuminée varie selon la position (par rapport au
Soleil et à la Terre) de cet astre sur son orbite.
Un angle de phase de 0° correspond à un astre invisible (cas de la nouvelle Lune) tandis qu'un angle de phase de 180°
correspond à un astre montrant une face totalement éclairée (cas de la pleine Lune). Les planètes supérieures ont des
phases comprises entre 0 et 90 ° (surtout bien visibles sur Mars, et de moins en moins pour Jupiter puis Saturne) alors
que les planètes inférieures peuvent présenter toutes les phases comprises entre 0° et 180°.  Â
· Photométrie : une  Â
· Photométrique (réduction) : phénom
· Photosensible : une
· Photosite : cellule photosensible élémentaire d'un capteur CCD ou CMOS. Carrés ou rectangulaires, les photosites
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constituent, au même titre que les grains d'argent d'un film photographique, un point élémentaire du capteur. Les
photosites ont pour rôle de convertir l'énergie lumineuse reçue en charge électronique, laquelle est ensuite "convertie"
en valeurs numériques puis codée en niveau de gris (cas des caméras possedant un capteur N & B).
· Photosphère : couche de l'atmosphère solaire qui constitue la surface apparente du Soleil et d'où provient le
rayonnement visible. A noter qu'il y a, au-dessus de la photosphère, d'autres couches gazeuses : la chromosphère et
la couronne. La photosphère a une épaisseur de quelques centaines de kilomètres. Elle sépare les régions inférieures,
avec son opacité élevée aux radiations, des régions supérieures pratiquement transparentes. Elle est parsemée de
diverses structures : granulation, facules (zones claires) et taches solaires (la photosphère, percée en certain points,
laisse apparaître la couche inférieure, moins chaude et donc plus sombre par contraste).
· Pixel : souvent confondu, par abus de langage, avec le mot photosite. Ce terme désigne en toute rigueur
l'information "contenue" dans un point d'une image numérique. L'identification du mot pixel avec le mot photosite ne
pose pas de problème lorsqu'un point de l'image correspond à un élément physique d'un capteur CCD (bining 1×1 d'un
capteur N & B). Par contre, en binning 2×2 d'un capteur N & B, les charges électriques de 4 photosites adjacents sont
utilisées pour, finalement, donner un seul pixel de l'image. Il est alors préférable de distinguer photosite et pixel.Â
Dans la pratique on parle de "pixel chaud" pour désigner un photosite dont le signal thermique est anormalement élevé,
de "pixel froid" (ou pixel mort) pour désigner un photosite dont  la réponse est anormalement faible (voire nulle).Â
· Planète : les
· Planète gazeuse : les planètes gazeuzes, également nommées géantes gazeuses, sont des planètes massives
mais de densité faible, composées essentiellement d’hydrogène et d’hélium avec des traces de méthane, d’eau et
d’ammoniac. Dans notre sytème solaire ce sont les planètes :
 * Jupiter (densité moyenne dJ = 1,33 à comparer à celle de la Terre dT = 5,52 ; rayon équatorial : RJ = 71400 km Ã
comparer à celui de la Terre RT = 6378 km ; masse MJ ≈ 318. MT ) ;
* Saturne (densité moy. dS = 0,71 ; rayon équ. : RS = 60400 km ; masse MS ≈ 95. MT ) ;
* Uranus (densité moy. dU = 1,57 ; rayon équ. : RU = 25650 km ; masse MU ≈ 15. MT ) ; Â
* Neptune (densité moy. dN = 1,77 ; rayon équ. : RN = 12825 km ; masse MN ≈ 17. MT ).Â
· Planète inférieure (ou intérieure) : planètes dont l'orbite se trouve à l'intérieur de l'orbite de la Terre. Il s'agit de
Mercure et de Vénus. Elles présentent la particularité de pouvoir présenter toutes les phases de 0° à 180°, de ne jamais
beaucoup s’écarter du Soleil (environ 28 ° pour Mercure, 48 ° pour Vénus) et de pouvoir passer, exceptionnellement,
devant le Soleil.
· Planéte naine :  selon la récente définition (2006) de l'union astronomique internationale (UAI), une planète naine est
un corps céleste en orbite autour du Soleil et qui possède : - une masse suffisante pour que sa force gravitationnelle
l'emporte sur les forces de cohésion du corps solide et le maintienne en équilibre hydrostatique sous une forme presque
sphérique ;Â
- qui n'est pas un satellite, mais qui n'a pas fait place nette dans son voisinage orbital. Trois corps accèdent
désormais au statut de planète naine : l'ex-neuvième planète du système solaire Pluton, Eris (objet trans-
neptunien) et l'ex-astéroïde Céres (liste non définitive).
· Planète supérieure : planètes dont l'orbite se trouve en-deça de l'orbite de la Terre. Il s'agit de Mars, Jupiter,
Saturne, Uranus, Neptune et Pluton (planète naine). Leurs phases, contrairement à celles des planètes inférieures, sont
très limitées (la plus visible étant celle de Mars et, dans une moindre mesure, celle de Jupiter).
· Planète tellurique : (du latin tellus uris : terre) nom donné aux planètes dont la structure rappelle celle de la Terre,
c'est-à -dire un noyau liquide (roches en fusion) entouré de couches minérales et métalliques solides. Il s'agit des
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planètes Mercure, Vénus, de la Terre et de Mars.
Â
· Planétoïde : parfois employé comme synonyme de «petite planète ». Ce mot désigne également une planète en
cours de formation par accrétion et dont la dimension est comprise entre le mètre et le kilomètre ainsi que les
nombreux objets artificiels, inertes (satellites dont l’exploitation est terminée), en orbite autour de la Terre.
· Plasma : désigne un état particulier de la matière se comportant, à certains égard, comme un gaz. Un plasma est un
milieu globalement neutre, en général peu dense, composé de particules neutres et chargées (ions, électrons...).· Pleine
Lune : désigne · Pleine lumière (champ de) : désigne · PLU : acronyme de "plage de lumière uniforme". C'est l'image
d'une pose de durée courte, effectuée en visant une plage de lumière uniforme (typiquement une partie de ciel bleu, à la
tombée de la nuit ou au levé du jour acquise dans la direction opposée au Soleil, ou encore un écran blanc uniformément
éclairé). Elle a pour but de prendre en compte les irrégularités de gain des différents photosites de la matrice CCD ainsi
que les irrégularités de transmission optique (présence de poussières sur le capteur, vignetage optique, etc). Â
· Pogson (relation de) : phénom
Â
· Population stellaire : notion introduite par Baade. Selon cet astronome, certaines observations tendraient à prouver qu’il
existe deux catégories de populations stellaires rassemblant des étoiles ayant des propriétés intrinsèques et
cinématiques semblables. Population de type I : étoiles de tous âges, riches en éléments lourds, comparables au Soleil
et constituant le disque de la Galaxie.Population de type II : étoiles très vieilles, pauvres en éléments lourds, se trouvant
principalement dans le halo de la Galaxie.· Post-traitement : désigne · Pouvoir séparateur : énorme · Précharge :
phénom· Presbytie : c'est la déformation du cristallin qui permet à l'oeil de voir nettement des objets situés entre le
punctum remotum (P.R. : c'est le point le plus éloigné que l'oeil puisse voir nettement sans accomoder, c'est-à -dire au
repos, lorsque la déformation du cristallin est nulle) et le punctum proximum (P.P. : c'est le point le plus proche que l'oeil
puisse observer distinctement, la déformation du cristallin étant alors maximale).
- pour un oeil normal (également appelé emmétrope) le P.P. se trouve à environ 25 cm de l'oeil, le P.R. se trouve à l'infini
;Â
- la presbytie, qui intervient avec l'âge, est une perte d'élasticité du cristallin : le domaine d'accomodation de l'oeil est
restreint et la vision des objets proches est altérée. Le P.P. se trouve à plus de 25 cm de l'oeil (la lecture, par exemple,
devient impossible lorsque le P.P. se trouve à une distance supérieure à la longueur des bras !), le P.P. est à l'infini (si l'on
suppose que l'individu jeune était doté d'une vision normale). On corrige ce défaut, pour la vision des objets proches, Ã
l'aide d'une lentille convergente.· Prétraitement : énorme · Prisme : les  · Proton : énorme
· Protubérance : énorme jet de gaz incandescent expulsé au-delà de chromosphère solaire jusqu'à de grandes
distances du Soleil. Le phénomène lumineux associé à cette éjection de matière a, en général, une durée de quelques
minutes à quelques jours (exceptionnellement) et se manifeste souvent au voisinage des facules et des taches solaires.
Les protubérances sont normalement uniquement visibles durant les éclipses totale du Soleil mais il possible de les
étudier, en dehors de ces rares instants, à l’aide d’un coronographe associé à un filtre à bande passante étroite centrée sur
la raie Ha de l'hydrogène.Les protubérances sont principalement composées d'hydrogène porté à des températures de
l’ordre de 15000 à 20000 °C. On distingue usuellement : - les protubérances actives qui se présentent sous forme
d'éjectas de matière recourbés en arches (typiquement de 80000 km de long et culminant à 50000 km au-dessus de la
photosphère, le gaz se déplaçant à des vitesses comprises entre 100 km.s-1 et 200 km.s-1) sous l'effet du champ
magnétique solaire et dont la durée de vie et en générale comprise entre quelques minutes et quelques jours. - les
protubérances quiescentes qui se présentent sous forme de lames de gaz stables (pouvant atteindre un million de km et
culminant à 100000 km au-dessus de la photosphère) dont la durée de vie est souvent importante.- les protubérances
éruptives, qui sont les plus impressionnantes du fait de leurs vitesses verticales prodigieuses (1000 km.s-1, c’est-à -dire
plus que la vitesse de libération solaire qui est de l’ordre de 600 km.s-1) et des altitudes atteintes (400000 à plus d’un
million de km, soit plus que la distance Terre-Lune).· PTV : Les  · Pulsar : éne · Pupille : nme  Â
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