POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Un sondage révèle que les Canadiennes veulent prévenir le cancer du col de l’utérus, mais que la plupart ne posent pas les gestes nécessaires. À l’approche de la Semaine nationale de sensibilisation au cancer du col de l’utérus, deux nouvelles sources d’information sont proposées aux jeunes femmes pour les encourager à passer à l’action. Montréal, QC – Le 19 octobre 2011 – Une étude récente révèle que si presque toutes les Canadiennes âgées de 18 à 25 ans (99 %) ont déjà entendu parler du cancer du col de l’utérus et que 80 % sont désireuses d’en savoir plus sur les façons de prévenir ce cancer, la plupart d’entre elles ne parlent pas de prévention à leur médecin et très peu se font vacciner i. Le sondage a été réalisé par Opinion publique Angus Reid, grâce à une subvention de GlaxoSmithKline Inc. (GSK) avec l’appui de la Société de gynéco-oncologie du Canada. Qui plus est, seulement 28 % des répondantes savent qu’il existe des vaccins pour prévenir le cancer du col de l’utérus – une donnée alarmante quand on sait que 99 % des filles et des femmes de 10 à 25 ans pourraient recevoir le vaccin contre le cancer du col de l’utérus pour prévenir les infections futures par un VPH oncogène ii. Si 83 % des Canadiennes interrogées admettent que l’examen de dépistage leur procure une « tranquillité d’esprit », 42 % sont gênées de parler du test Pap à leur médecin et 41 % n’ont même jamais eu de test Pap iii. « Le test Pap permet de déceler la présence de cellules anormales sur le col de l’utérus, qui seront par la suite surveillées ou enlevées. Un dépistage adéquat est essentiel si nous voulons prévenir les effets néfastes et les conséquences du cancer du col de l’utérus et des maladies associées », déclare le Dr Susie Lau. « Le problème, c’est que la majorité des femmes qui développent un cancer du col de l’utérus n’ont pas eu de test de dépistage dans les trois années précédant le diagnostic et, malheureusement, l’affection cervicale provoque rarement des symptômes à ses débuts. Le cancer du col de l’utérus est un problème que l’on peut traiter et prévenir, mais qui demeure discret. Voilà pourquoi il est si important pour nous de sensibiliser les femmes à cette maladie, qui peut être prévenue par un dépistage adéquat et la vaccination. » Vaincre une maladie évitable Même s’il ne mesure que 5 cm de long, le col de l’utérus est une partie importante de l’appareil reproducteur féminin, mais il est aussi particulièrement vulnérable à la formation de cellules malignes iv. Le cancer du col de l’utérus est la deuxième forme de cancer la plus courante chez les Canadiennes de 20 à 44 ans v. Chaque jour, une Canadienne meurt du cancer du col de l’utérus vi et toutes les six heures, une Canadienne apprend qu’elle est atteinte de la maladie vii. Le principal facteur de risque lié au cancer du col de l’utérus est l’infection au virus du papillome humain ou VPH. Jusqu’à quatre femmes sur cinq seront infectées par le VPH au cours de leur vie viii et, dans certains cas, l’infection évoluera vers un cancer du col de l’utérus ix. En tout, seulement 15 % des Canadiennes interrogées ont déclaré avoir été vaccinées contre le VPH et encore moins (6 %) ont déclaré avoir été vaccinées contre le cancer du col de l’utérus x. « Il est important que les femmes sachent où aller pour obtenir des renseignements et poser des questions dans un cadre informel; elles seront ensuite plus à l’aise pour discuter avec leur médecin de la santé cervicale », affirme le Dr Susie Lau. « Plus nous parviendrons à transmettre de l’information précise aux jeunes femmes, meilleures seront nos chances d’éradiquer un jour le cancer du col de l’utérus au Canada. » Rejoindre les jeunes femmes Si les jeunes femmes ne parlent pas à leur médecin de prévention du cancer du col de l’utérus, où vont-elles chercher de l’information? Le sondage révèle que 62 % des jeunes femmes utilisent les moteurs de recherche sur Internet pour obtenir des renseignements sur la santé, mais que moins de 10 % utilisent ces outils pour se renseigner sur le cancer du col de l’utérus xi. Pour répondre au besoin d’en savoir plus, GSK lance, juste avant la semaine de sensibilisation au cancer du col de l’utérus (du 23 au 29 octobre), deux nouvelles sources d’information qui devraient aider les jeunes femmes à s’occuper davantage de la santé de leur col utérin : Facebook.com/VotreCol et connaissezvotrecol.ca. La communauté Facebook offre un espace convivial et inspirant, qui peut amener les femmes à prendre en charge leur santé cervicale, tandis que le site Web leur donne un complément d’information sur la prévention du cancer du col de l’utérus. Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez Facebook.com/VotreCol et connaissezvotrecol.ca. À propos du sondage Le sondage a été réalisé entre le 29 juillet et le 4 août 2011 par Opinion publique Angus Reid. Il a été administré en ligne auprès de 1 005 Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, inscrites au Forum Angus Reid, un panel d’études de marché en ligne. La marge d’erreur, qui mesure la variation de l’échantillonnage, est de ± 3,1 %, 19 fois sur 20. Les résultats du sondage ont été statistiquement pondérés en fonction des données du recensement de 2006 sur la région de façon à assurer un échantillonnage représentatif de la population féminine adulte de 18 à 25 ans du Canada. Le sondage a été réalisé grâce à une subvention de GlaxoSmithKline Inc. avec l’appui de la Société de gynécooncologie du Canada. 2 À propos de la Société de gynéco-oncologie du Canada La Société de gynéco-oncologie du Canada (GOC) est un organisme sans but lucratif composé de médecins, d’infirmières, de chercheurs et d’autres professionnels de la santé spécialisés en oncologie gynécologique. Sa mission est d’améliorer les soins prodigués aux femmes qui présentent ou qui sont susceptibles de présenter un cancer gynécologique en rehaussant les normes de pratique, en encourageant la poursuite de la recherche, en favorisant l’innovation dans la prévention, les soins et la découverte et en poursuivant la sensibilisation. La GOC cherche également à diffuser les connaissances auprès des praticiens, des patientes et de la population en général au sujet des cancers gynécologiques, ainsi qu’à collaborer avec d’autres organismes s’intéressant à la santé des femmes, à l’oncologie et aux domaines connexes. Pour un complément d’information, veuillez visiter le site www.g-o-c.org. À propos de GlaxoSmithKline Inc. (GSK) À titre de géant mondial voué à la recherche dans le domaine des médicaments, des vaccins et des soins de santé, GlaxoSmithKline Inc. est résolue à améliorer la qualité de la vie en aidant les gens à être plus actifs, à se sentir mieux et à vivre plus longtemps. GlaxoSmithKline a consacré, en 2008 seulement, plus de 156 millions de dollars en recherche et développement, ce qui en fait l’une des 15 entreprises qui investissent le plus à ce chapitre au Canada. GlaxoSmithKline a par ailleurs été désignée Société généreuse par le programme Imagine Canada et figure année après année parmi les 50 employeurs de choix au Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la société, visitez le site www.gsk.ca. -30Pour obtenir de plus amples renseignements sur le sondage ou sur les ressources en ligne, ou pour demander une entrevue avec la GOC, veuillez communiquer avec : Catherine Pouliot Edelman 514-315-1986 [email protected] Références: i Sondage d’Opinion publique Angus Reid mené auprès de Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, du 29 juillet au 4 août 2011. ii Sondage d’Opinion publique Angus Reid mené auprès de Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, du 29 juillet au 4 août 2011. iii Sondage d’Opinion publique Angus Reid mené auprès de Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, du 29 juillet au 4 août 2011. iv http://www.hc-sc.gc.ca/hl-vs/iyh-vsv/diseases-maladies/cervical-uterus-fra.php v Le cancer chez les jeunes adultes au Canada 2006, Action Cancer Ontario et l’Agence de santé publique du Canada. Dernière consultation le 10 novembre 2009. http://www.cancer.ca/canadawide/about%20cancer/cancer%20statistics/~/media/CCS/Canada%20wide/Files%20List/liste%20 3 de%20fichiers/PDF%20-%20Policy%20-%20Canadian%20Cancer%20Statistics%20%20various%20-%20French/Cancer%20in%20young%20adults%20in%20Canada%20%20completed%20PDF%20-%20French.ashx vi Cervarix. Données sur le cancer du col de l’utérus (2011). Dernière consultation le er 1 septembre 2011. http://www.cervarix.ca/fr/understanding.html vii Cervarix. Données sur le cancer du col de l’utérus (2011). Dernière consultation le er 1 septembre 2011. http://www.cervarix.ca/fr/understanding.html. viii Société canadienne du cancer. Qu’est-ce que le cancer du col de l’utérus? www.cancer.ca. Dernière consultation le 16 septembre 2011. ix Société canadienne du cancer. Qu’est-ce que le cancer du col de l’utérus? www.cancer.ca. Dernière consultation le 16 septembre 2011. x Sondage d’Opinion publique Angus Reid mené auprès de Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, du 29 juillet au 4 août 2011. xi Sondage d’Opinion publique Angus Reid mené auprès de Canadiennes âgées de 18 à 25 ans, du 29 juillet au 4 août 2011. 4